Echappée printanière aux portes du Vercors

Séjour n° 5 Echappée printanière aux portes du Vercors

Prévu du 01 mai au 03 mai reporté pour des raisons sanitaires du 18 au 20 septembre 2020

SECTEUR              VERCORS  DROMOIS                 CARTE IGN    3136 ET   et   3136 SB
NOMBRE PERSONNES :   16 animatrice incluse   (10 F, 6 H)
METEO :  vendredi  beau et chaud à l’abri ; samedi  atmosphère lourde, quelques gouttes et nuages ; dimanche cocktail de ciel bleu, brume et nuages en alternance, température plus fraiche.
TERRAIN  :  Très sec  vendredi et samedi et humide le dimanche.
DISTANCES, DENIVELEES : vendredi, 16 km, 795 D+ et 5H30 (temps de déplacement, pauses incluses) ; samedi 20 Km, 805 D+ et 7H ; dimanche 10 km, 485 D+ et 3 km, 30 D+ 4H30.
CLASSEMENT : Facile
ITINERAIRES : vendredi. Départ col de Rousset,  GR 93 direction sud, col de Chironne,  aller retour en HP vers sommet du But de Neve, retour sur le GR 93 jusqu’au scialet de la Seppe, direction Ouest, Bernard, col de St Alexis, GRP Tour du Vercors drômois, col de Rousset.
Samedi. Départ Beaufort sur Gervanne, descente vers la Gervanne, Pierre Blache, PC 427, PC 547, Plan de Baix, aller-retour  Croix du Vellan par Rimon, Fonchet , PC 684, l’Anchâtra, PC 691, Les Peupliers, PC 477, jardin botanique, retour Beaufort par la D743.
Dimanche. Départ col de la Bataille, sente au pied des falaises du Roc de Toulau, col de Toulau, aller-retour sommet Roc de Toulau, Pas du Gouillat,  retour col de la Bataille par GR 93,  aller-retour sur les crêtes des Rochers de la Sausse jusqu’au PC 1450, retour voitures.
Parking refuge Gardiol , aller-retour jusqu’au Mur des Chartreux.

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Pour ce nouveau séjour, nous voici à quelques encablures de Valence pour une échappée printanière qui  s’est transformée en échappée automnale mais ouf, le temps de Toussaint a attendu quelques jours avant d’arriver et nous avons bien apprécié cette incursion chez les Vertacomicoriens !! Surprenante appellation des habitants du Vercors qui nous a fait sourire !
Nous entamons le séjour par une  montée au col de Rousset  par sa route aux multiples lacets qui attire beaucoup de monde pour ses belles vues sur les rochers de Chironne entre autres (voir extrait  « Des racines et des Ailes »). Il faut y être vigilant car on bataille dur avec les cyclistes qui veulent aller plus vite que nous !! ( notamment au retour dans la descente !!).
Puis nous chaussons les  » crampons  » pour emprunter le chemin des Muletiers, très belle voie « romaine » posée au pied des  falaises et très fréquentée par les commerçants  en des temps plus reculés car il existait peu de passages entre la vallée de la Drôme et les Alpes du Sud.
Nous entamons ensuite une belle montée (qui nous a fait penser au Puy de l’Ouire) avec,  à l’arrivée le réconfort d’un bon pique nique et surtout un immense panorama sur une grande  partie du massif.
Puis descente dans la plaine par un beau sentier forestier mais un peu  chaotique. Le site, proche de Vassieux en Vercors reste  très marqué par les combats maquisards de la 2ème guerre et notamment l’attaque menée par 15000 allemands en juillet 1944 qui fît pas loin de 900 victimes.
Retour aux voitures,  passage à Die oblige, nous faisons escale pour découvrir le pétillant local bien connu, la Clairette. Puis direction Beaufort sur Gervanne et le gîte de la Brèche, charmant hébergement  installé dans  de vieilles bâtisses en pierre. Un bon gratin dauphinois a été  le bienvenu après cette longue journée !

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Pour  le deuxième jour, nous partons à pied du gîte. Je vois se dessiner au loin l’objectif du jour, la falaise du Vellan qui semble vraiment lointaine ! A une bonne cadence nous rejoignons ce promontoire qui culmine à 950 m d’altitude. Le site vaut le détour car il permet d’avoir un  beau panorama très étendu  sur les multiples bosses  et ondulations  qui remplissent l’espace. Les habitants de Plan de Baix ont bien de la chance d’habiter au pied de ce belvédère, les couchers de soleil doivent y être fantastiques !!  Le site est très fréquenté par les vautours dont nous admirons le vol majestueux .
Toujours dans le même village, passage devant le centre de jeûne de la Pensée sauvage. Pour ceux que cela intéresse, il faut compter environ 1800€ les 6 jours ! Cela fait cher le kilo perdu.
Nous préférons sortir notre classique pique nique, installés sur un pré où un petit fond d’air frais est le bienvenu car l’atmosphère est lourde et orageuse. A l’abri des pins et des chênes pubescents nous redescendons petit à petit avec en toile de fond les belles  falaises des 3 becs et de Roche Courbe qui nous invitent à revenir !
Avant l’arrivée, nous prenons le temps de faire le tour du jardin botanique mis en place par la marque « Sanoflore » (cosmétique naturelle). Visite rapide car le pauvre jardin est un peu grillé et n’a  plus l’allure qu’il devait avoir au printemps !
Retour à Beaufort après une belle journée que nous avons été heureux de partager avec Gilbert, ancien animateur atlassien installé dans la Drôme qui en a profité pour  venir nous rejoindre et partager les bons souvenirs avec les plus anciens ! Petite pause boisson  en terrasse  et malgré la pluie certains iront faire un saut dans une belle marmite de la Gervanne !!
Fin de journée dans la bonne humeur avec un bon repas préparé par Véronique, la responsable du gîte, que l’on remercie pour sa gentillesse et sa disponibilité. Pendant la nuit un bon orage illumine le ciel.

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Au matin direction le col de la Bataille (1313 m), lieu de passage de quelques tours de France et dont l’origine du nom fait un peu débat ; on retient celle d’une confrontation souvent rude entre vents du sud et du nord. Le secteur est réputé pour des orages violents et justement les prévisions météo en annoncent pour la fin de matinée. Je renonce donc  à faire le  tour complet du plateau d’Ambel. Le ciel nous laissera quand même le temps de monter au  Roc de Toulau. Ce sommet de 1581m offre une belle vue sur le Vercors, Diois, Drôme Provençale et même le Mont Ventoux par temps clair. Les faces nord et ouest présentent de vertigineuses falaises que l’on  peut admirer depuis la sente permettant d’accéder au sommet.
Retour vers les voitures de bonne heure, l’aller et le retour ayant été assez court, nous n’avons  pas envie de reprendre le chemin du retour vers Clermont. Nous partons donc  pique niquer sur  un joli promontoire rocheux et  enchaînons par une montée aux Rochers de la Sausse jusqu’à leur point culminant. Encore de beaux aplombs  très aériens  et une belle vue d’ensemble sur les falaises du Toulau. Le site mérite bien le détour.
Il nous reste encore un peu de temps, nous en profitons pour rejoindre en voiture le parking du refuge Gardiol et faire un court trajet jusqu’au Mur des Chartreux et le Saut de la Truite. Cette magnifique falaise culmine à 960 m et surplombe le village de Bouvante 360 mètres plus bas. Par contre la truite ne risque plus de sauter car le ruisseau de la Lyonne est totalement à sec ! Dommage car la cascade en eau doit être impressionnante.
Cette fois c’est fini, nous entamons le retour  avec  un dernier et beau clin d’œil d’un duo de biches que nous apercevons dans les bois. Nous passons en plein territoire de la noix dont l’époque de la récolte ne va pas tarder à commencer.
Merci à tous pour  votre participation, les belles photos, l’excellente ambiance, les petites douceurs pour les gourmands. Merci  également pour le coup de main au gîte et la ponctualité !

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Traversée en autonomie de la chaîne des Puys

Date : du vendredi 13 au mardi 17 mars 2020

Séjour n°3 Aventure hivernale sur les hauts plateaux du Vercors devenue la traversée en autonomie de la chaîne des Puys
Animateur : Michel J.
Kilométrage auto : 100 km
Nombre de véhicules : 1 pour la dépose et la récupération des participants. 
Organisation
Ce séjour devait se dérouler sur les hauts plateaux du Vercors. La météo pluvieuse le vendredi et le lundi et l’enneigement irrégulier m’ont incité à proposer aux inscrits un itinéraire de remplacement insolite et motivant, une traversée de la chaîne des Puys ! Vivre à deux pas de chez soi, un moment de pleine nature avec comme fil conducteur d’aller de sommets en sommets et de faire un maximum de puys, petits et grands, connus ou anonymes.
Difficulté : Cette itinérance est classée hors catégorie pour les raisons suivantes :
– parcours en majorité en hors piste
– pourcentage de certains passages
– passage parfois difficile dans une végétation dense
– portage d’un sac à dos lourd
– dénivellations journalières négatives et positives de plus de 1000m
Participants : 4 (1F 3H)
Matériel utilisé et mis à disposition par l’association : une tente de marque Lafuma.
Hébergement : nuits, en pleine nature, sous des tentes individuelles.

Météo : vendredi, quelques nuages dans le ciel. Température négative dans la nuit. Ciel étoilé
Samedi : beau temps avec une douceur agréable en journée à l’abri de la légère brise. Température négative dans la nuit
Dimanche : beau avec ciel dégagé. Averses de pluie dans la nuit.
Lundi : ciel couvert avec quelques gouttes de pluie en matinée et à l’installation du bivouac. Nuit plus douce avec la couverture nuageuse. Petite averse au lever du jour.
Mardi : Ambiance humide au réveil puis amélioration en attendant le rapatriement…lié au confinement !

Itinéraire : construit à la dernière minute, il a été présenté chaque début de journée aux participants. Il s’est révélé très simple et consistait à une ligne tracée au stabilo sur la carte de puy en puy. Le but était de traverser des espaces connus d’une façon originale et d’essayer de voir un maximum d’éléments concernant la faune et la flore.

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Au sommet du Louchadière   
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                                                        Sur les lèvres du puy de Barme  

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En montant le Sarcoui 
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Lieu de bivouac au petit matin

Pour ce compte-rendu, les données des distances proviennent de la montre de Bastien, les dénivelées positives et négatives (moyenne des données du gps de Fabien et des montres de Bastien et Michel J.). Le calcul des pentes est le résultat du travail minutieux de Fabien. Le tracé de chaque journée provient du Gps de Fabien.
Jour 1 : Départ du parking des eaux de Volvic. 7 puys gravis . Durée du déplacement 7h28. Dénivellation : positive, 1205m, négative, 795m. Distance parcourue, 19 kilomètres
Bivouac : au pied du Louchadière à l’altitude de 960m au soleil couchant (sud ouest par rapport au sommet). Merci à Bastien et à Fabien pour l’aller et retour à Beauregard (soit 3.5 km environ en plus) pour la corvée d’eau du groupe.
Pourcentage des montées des Puys gravis (à l’exception du puy Desmaret insignifiant au niveau du relief mais qui nous a fait « jardiner » comme disent les spécialistes !)
-de la Nugère : 31% sur 400m ; de la Baneyre : 21% sur 500m ; de la Gouly : 21% sur 210m ; de l’Espinasse : 28% sur 190m ; de Tressous : 27% sur 190m ; de Louchadière : 35% sur 265 m.

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Jour 2 : 9 puys gravis. Durée du déplacement 7h46. Dénivellation : positive, 1237m, négative, 1270m. Distance parcourue, 18.7 kilomètres. Bivouac : au bac de Ceyssat à 930m d’altitude.
Pourcentage des montées des Puys gravis : de Jumes : 19,8% sur 500 m ; de la Coquille : 16,8% sur 215 m ; de Chaumont : 29,6% sur 400 m ; Grand Sarcoui : 32,6% sur 440 m ; des Goules ; 25% sur 250 m. A noter pour lui le % impressionnant de la descente : 41% pendant 300 m. de Fraisse : 35 % sur 250 m ; Pariou à partir de la crête d’Argnassou : 20% sur 340 m ; le Petit Suchet : 18% sur 580m ; le Grand Suchet : 24% sur 225 m.

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Jour 3 : 5 puys gravis . Durée du déplacement 6h20. Dénivellation : positive, 1126m, négative, 1035m. Distance parcourue, 17 kilomètres. Bivouac : au pied du puy de Barme altitude 1020m.
Pourcentage des montées des Puys gravis : de Côme : 20% sur 1,30 km et la descente à travers la hêtraie : 43% sur 180m ; de Dôme (à partie du Creux de la Berthe) : 16% sur 1,3 km ; de la Besace : 20,5% sur 360m ; de Salomon : 25% sur 420 m ; de Monchier : 23% sur 320 m.

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Jour 4 : 9 puys gravis . Durée du déplacement 8h16. Dénivellation : positive, 1220m, négative, 1205m. Distance parcourue, 21 kilomètres. Bivouac : au puy de l’Enfer altitude 1050m.
Pourcentage des montées des Puys gravis : de Barme 26 % sur 220 m et 36% sur 220 m pour la descente ; de Pourcharet : 34 % sur 250 m et 31% sur 280 m en descente ; de Mercoeur : 29% sur 440 m et 30% sur 380 m en descente ; de Lassolas : 23% sur 315m ; de la Vache : 19% sur 380 m et 31% sur 400 m en descente ; de Vichatel : 27% sur 430m et 42% sur 260m pour la descente ; de Charmont : 31% sur 360m ; de la Combegrasse : 36% sur 260 m.

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Jour 5 : Récupération vers 10h00 pour cause de confinement à la sortie ouest de la Garandie.

Observations : Au cours de ce parcours dans une végétation difficile à pénétrer dans des endroits ou peu de personnes passent, nous avons pu remarquer de nombreux éléments naturels. Sans préciser les lieux volontairement et les énumérant d’une manière non chronologique, voilà ce que nous avons pu voir et entendre…
Dans un bac bien en eau, des notonectes et une larve de libellule à la recherche de proies, deux grenouilles rousses mâles dans l’attente d’un nouvel accouplement, des paquets d’œufs en nombre de ce batracien.
En progressant dans la forêt, un magnifique chevreuil (mâle), une souche d’arbre malmenée par un pic, la salle à manger d’un écureuil, les boutis de sangliers, de la moquette (excréments) et des places de chevreuil. Nous avons pu jouer à reconnaître de nombreux arbres, pin sylvestre, sapin pectiné, douglas, épicéa, pin à crochets, mélèze, hêtre et voir les premières fleurs des sous-bois, un rameau de bois gentil de l’année précédente portant les fleurs roses, les scilles lis-jacinthe avec leurs épis
bleus, les aspérules odorantes (fleurs blanches), les anémones sylvie (fleurs blanches), les euphorbes en pleine croissance aux formes caractéristiques. Sur les sommets, la callune et dans la fraîcheur des bords des puys, les framboisiers. Au niveau de la faune ailée, le tambourinage des pics, le croassement particulier des grands
corbeaux… Au sommet du puy de Dôme, des hirondelles de rocher et à l’un des bivouacs, dans la première partie de nuit, la chouette hulotte et sans doute beaucoup d’autres choses déjà oubliées !

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Traversée hivernale du Cantal au Sancy

Séjour n°1 Traversée hivernale du Cantal au Sancy
Date : du samedi 01 février au lundi 03 février 2020
Animateur : Michel J.
Kilométrage auto : 735 km
Nombre de véhicules : 2 pour la dépose et la récupération des participants. Merci aux conducteurs Mady  et Yves  pour leur aide.
Organisation : compte tenu de l’absence de neige sur l’intégralité du parcours, j’ai proposé aux inscrits de transformer ce raid sur neige en raid pédestre avec portage et j’ai modifié le parcours en allongeant la distance et en partant du col d’Entremont situé au-dessus de Murat.
Participants : 8 (2F 3H)
Matériel utilisé et mis à disposition par l’association : 1 réchaud à gaz de marque MSR. Deux tentes (une d’une place et une de deux places)
Incidents : aucun
Hébergement : nuits sous des tentes individuelles et une bi-places, en pleine nature.

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Météo : samedi, le ciel était encombré dès le matin avec une visibilité réduite, le vent d’ouest sud-ouest soufflait en rafale. Nous avons bénéficié de courtes éclaircies l’après-midi dans une humidité bien présente.

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Dimanche au lever du jour, le vent a soufflé d’ouest entre 60 et 80 km/heure. La pluie s’est mise à tomber régulièrement en altitude une bonne partie de la journée. La fin d’après-midi a été un peu plus calme au moment du bivouac.
Lundi, le vent était encore bien présent, l’ambiance humide également mais pas de grosses averses. A l’abri, la température aux bivouacs a été douce.

Itinéraire : l’itinéraire a été modifié à la dernière minute afin de prendre en compte la météorologie et de façon à avoir un cheminement le plus abrité possible. (les dénivelées, le déplacement sont donnés par une montre altimétrique, la distance et la durée de la randonnée par un Gps)

Jour1 – départ du col d’Entremont à 1184m d’altitude, bois de Frau de Collanges, Peyre del Cayre, lac du Pêcher, traversée sud-nord du bois de la Pinadelle, bois du Chay, Laneyrat, bois de Roche Grande, le Trapassou, Romaniargues. Bivouac le Fouet Haut (alt. 1084m) Dénivelée positive : 510m. Dénivelée négative : 665m. Distance parcourue : 23.21 kilomètres. Durée de la randonnée 5h13. Durée du déplacement 7h24

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Jour2 – ferme de Piquemeule, ruisseau d’Allanche, les Coudercs, Peyre d’Aygues, Pradiers, bois de la Montagne de Pradiers, buron de Paillassère Bas, col de Chamaroux, ouest du Mont Chamaroux, Roche d’Orcine Basse, bois au sud-est du Teston de Joran. Bivouac (alt 1220m environ) Dénivelée positive : 845m Dénivelée négative : 690m. Distance parcourue : 26.79 kilomètres. Durée de la randonnée 5h51. Durée du déplacement 7h33

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Jour3 – sommet du teston du Joran, col de la Chaumoune. Récupération des participants. Dénivelée positive : 170m Dénivelée négative : 230m. Distance parcourue : 5.64 kilomètres. Durée de la randonnée 1h29. Durée du déplacement 2h02

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Observations : la météo ne s’améliorant pas en altitude, j’ai proposé de nous faire récupérer au col de la Chaumoune et d’abréger ce raid.
Dégâts : aucun.
Commentaires : la randonnée itinérante en hiver dans l’humidité permet de tester son matériel et nous nous sommes rendu compte que même le meilleur des goretex finit par prendre l’eau ! Deux adhérents faisaient leurs premiers pas avec Atlas en autonomie. Ce fut un beau baptême ! Bonne ambiance. Bravo à Fabien qui a fait la navigation du deuxième jour avec brio…Merci pour le relevé des traces

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Temps de préparation : préparation du matériel, modification de l’itinéraire, nettoyage, séchage, compte rendu, rangement 8 heures.

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