Animateur : Yves Nombre de participants : animateur compris 11 (9F, 2H) Météo : Frais le matin, ensoleillé et chaud l’après-midi Distance : 25 km Dénivelé : 600 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : (52 X 2 et 22 X 1 soit 126 km) Préparation et rédaction : 2 H
Le but du jour était de découvrir et apprécier le patrimoine bâti des villages traversés. Anciennes places fortes ou villages fortifiés, ils ont été également durant le 19°siècle d’importants villages vignerons dont les belles et grandes demeures en sont le témoignage.
Après un départ très frais, 3°C en bord de Couze Chambon, la montée, avec du givre bien présent dans les zones d’ombre, nous réchauffe un peu. A Sauvagnat-Ste-Marthe les remparts et le château sont notre première halte.
Nous gagnons le plateau de Pardines, où la vue, sur les Dômes, le Sancy, le Forez, entre autres, est splendide ce matin, mis en valeur par la levée du soleil qui nous caresse les épaules. La traversée du plateau se fait tranquillement en repérant et dénommant villages et puys environnants. De Pardines, un beau panorama sur la Vallée de la Couze Pavin cette fois, s’offre à nous.
Direction le château de la Ronzière, commanderie des Chevaliers de Malte jusqu’en 1790, et gîte équestre renommé aujourd’hui. Descente sur Neschers, construit en bout de la coulée de lave du volcan Tartaret dont l’éruption a barré la Couze de Chaudefour pour donner naissance au lac Chambon. Au fond du village, caché dans un décor champêtre, se trouve un pont gallo-romain à trois arches, très étroit et bien conservé, qui enjambe la Couze Chambon.
Avant Chadeleuf, ancienne seigneurie d’Issoire, petit détour pour dénicher le château de Lavaur que l’on ne pourra qu’entrapercevoir car blotti dans un parc à la végétation débordante. Mon insistance à contourner le site pour finalement ne rien voir ou presque a incité les participants à me charrier gentiment. Avant Coudes, il reste encore une curiosité locale. Le sentier symbolisé sur la carte semble déboucher juste en face, je croise les doigts. Nous traversons la Couze, sur une passerelle d’un autre âge, marquée par le temps. Soudainement notre regard est capté par une imposante construction, le château de Beauvezeix, villa néo-classique privée du 18°S avec ses parterres et bassins à la française. Nous retraversons la Couze par une passerelle plus moderne pour retrouver nos voitures.
Animateur : Michel J. Terrain : souple Météo : température négative au départ, ciel bleu Temps de préparation et de rédaction : 2h 00 Mise à disposition de bâtons : 1 paire de 115 cm Kilométrage : 4 voitures avec une moyenne de 35 km (aller et retour) soit 140 km Nombre de participants : 7 animateur compris (1F, 6H) Distance : 21 km 740 ; moyenne 6,6 km/h (montre gps), dénivelée 525 m (montre altimétrique), 547 m (montre gps). Durée : 3 h 16 (de marche) et 3 h 43 (de déplacement) Itinéraire : parking du panoramique des Dômes, chemin des Gouris, direction Sud, traversé de la D68, col de Ceyssat, Sud grand Sault, Bac de Montmeyre, chemin passant à l’Est du puy de Gorce, Bas de Ceyssat, passage entre Puys de Côme et Balmet, Ouest de Chabanne Vieille, traversé de la D941, col des Goules, parking des Goules, traversé de la D941, stand de tir, Sud-Est du Puy Pariou, chemin des Gouris, parking… Observations : échauffement habituel. Deux pauses d’un total de 27 minutes environ ont permis d’absorber, eau, quelques fruits secs et autres encas tirés du sac à dos. Déplacement dans la bonne humeur et avec dynamisme mais sans excès !
Animateur : Yves Nombre de participants : 18 animateur compris (10F, 8H) Météo : Couvert le matin, ensoleillé l’après-midi Distance : 26 km Dénivelé : 900 m Durée : 7H 50mn pauses comprises Classement Atlas : Facile reclassée : Moyenne Kilométrage auto : (96 X 2 et 80 X 2 soit 246 km) Préparation et rédaction : 2H
ITINERAIRE : Les Garniers, Prudent, LesPins, Colonge, La Triade, St-Remy-sur-Durolle, Mouchardias, Forest, Chantebout, La Loge de Voirdière, Chez Roman, Mont Sauvy, Chabrol, Chopine, Lambost, Les Garniers.
Départ des Garniers, petit hameau tranquille de la grande banlieue Thiernoise. Notre passage devant l’école primaire nous permet de constater, que celle-ci fonctionne encore, car nous apercevons des élèves à travers les vitres. Nous traversons le tunnel un peu sombre sous la voie ferrée qui relie Vichy à Thiers en se demandant si celle-ci est encore utilisée, ce soir le passage d’un TER nous confirmera son utilité.
Montée raide en plusieurs étapes sur un sentier bien raviné jusqu’à Chochat où un petit crachin commence à tomber. Après la traversée de l’autoroute et afin de nous éloigner du bruit nous empruntons le sentier en plein bois passant par Colonge, hameau en ruine où nous pouvons remarquer d’anciennes constructions en pierre de taille. Le sentier bien tracé sur la carte et bien visible sur le terrain nous conduit dans une zone marécageuse et très encombrée. Demi-tour, un autre sentier part dans la direction voulue, inconnu de la carte, nous le prenons. Malheureusement il s’arrête net quelques mètres plus loin. Fougères, ronces, végétation luxuriante, et ruisseau de la Tirade à traverser, nous nous frayons un passage et venons à bout de cette difficulté. Nous repassons sous l’autoroute par le passage pour animaux et regagnons Saint Rémy sur Durolle après un joli raidillon de 80 m positif.
Traversée du bourg avant de monter au belvédère du calvaire, au bord d’une étonnante falaise de quartz, où un vaste panorama s’offre à nous, la table d’orientation nous aidera à repérer monts et villages. Descente au plan d’eau pour prendre une pause déjeuner agréable sous un soleil apprécié. Le niveau bas de l’eau laisse apparaitre des berges un peu boueuses. Contournement de ce lac artificiel pour grimper aux Chalards où comme ce matin, le chemin se finit en queue de poisson et nous oblige à pratiquer du hors-piste pour arriver à Chantebout.
De là nous gagnerons les pentes des bois noirs en direction du Mont Sauvy, point haut de la journée, non sans difficulté car une fois encore le sentier prévu se perd dans les bois. Le jamais deux sans trois, pour le hors-piste, s’est avéré aujourd’hui ! Promis, il n’y en aura plus !
Effectivement la descente se fera sans encombre sur de beaux chemins. A proximité d’un petit lieu-dit le chemin est bordé d’une plante imposante aux fleurs pourpres en grappe. Martine nous confirme qu’il s’agit de Raisin D’Amérique, normal on arrive à Chopine.
A Lambost l’envers des feuilles de peupliers, argentées et bercées par le soleil, déguisent ces arbres en arbre à coton.
Retour aux voitures où un copieux quatre heures maison, offert par Jean Louis, nous attend. Ce dernier sera apprécié de tous. Merci encore.
Animateur : Michel D. N. de participants : 12. 7 F , 5H Météo : Ensoleillé températures très douces Distance : 22 Km Dénivelé : 1200 m (annoncé 990m mais requalifié difficile compte tenu du dénivelé supplémentaire) Durée : 9h avec les nombreuses pauses explicatives. Classement : Difficile Km véhicules : 112×2 = 224km et 92×1= 92km. total 316 km
Itinéraire : Départ baraques de Vassivière, chemin de croix source de Vassiviaire et chapelle, madonne redescendue a Besse pour l’hivers, traversée du bois de Landrode sous le puy de Paillaret, passage vers un curieux rocher (explication donnée au groupe présent), passage au col de Couhay, GR 30 puis sommet du puy Ferrand 1854 m car la majorité du groupe n’y était jamais monté puis pause déjeuner sur une terrasse a 360° Un groupe d’une trentaine de militaires fait de même sûr celui que j’appelle le petit Ferrand 1844m juste au dessus du col Ferrand, passage au col de la cabane, pas de l’âne où je rencontre Guillaume T. un copain d’école de Besse et ami de mon fils qui est garde du parc, passage au pas des chèvres avec ses chaînes garde fou, puy Redon, col du val de Courre sous le puy Chabanne, longue descente au buron détruit du roc de Tuile, traversée de la pinède et passage au buron refuge de Merdencon inconnu par un grand nombre de personnes du groupe, puis passage à la source salée et puis chose incroyable pour moi personne du groupe ne connaissait la cascade de la vallée…. mais la aussi il fallait être avec le groupe pour connaître cette cascade qualifiée de fabuleuse par les participants avec ses deux ressauts, remontée sur la montagne haute, passage sous le Paillaret ouest. Toute la journée le ciel était rempli d’oiseaux de toutes les couleurs (les parapentes), col de la Geneste, descente sur Vassivière par les pistes de ski de fond, on repasse à la source car les gourdes sont vides et retour aux véhicules. Superbe journée a tout point de vue , seul bémol aucun animal sauvage . Merci et bravo aux participants
Carte 2432 ET Animatrice : Mady Nombre de participants : 17 animatrice comprise (10F, 7H) Météo : journée ensoleillée, température douce Distance : 20 km (openrunner) Dénivelé : 1000 m ((openrunner) Durée : 7 h 15 Classement Atlas : moyenne Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (100 km X 2) et 2 voitures du Crest (80 km X 2) soit au total 360 km Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : Parking de la maison de la Réserve Naturelle, Montagne de la Plate par versant Nord, Puy de Champgourdeix, Col de la Cabane, Pan de la Grange, Puy de Cacadogne, Puy des Crebasses, Sud Chambon des neiges, Pont St Anne, Parking.
Nous ne partons pas vers la vallée mais à l’opposé. Le chemin permet une montée régulière et douce sur le plateau. Vue de ce côté, la Montagne de la Plate ne l’est pas vraiment !
Alors que nous progressons vers elle, sur l’épaulement, un mouflon nous observe tranquillement avant de s’éloigner. Après une petite pause au sommet, d’où nous pouvons profiter de panoramas sur le massif mais aussi plus lointains, nous repartons pour retrouver le parcours qui suit les crêtes.
Le Puy de la Perdix nous accueille pour le pique nique. Il fait très beau et il faut motiver le groupe pour repartir. Près du col de la Cabane, à nouveau, 2 mouflons qui traversent le sentier et disparaissent côté Chaudefour. Nous avons vraiment de la chance. Et ce n’est pas fini !
Alors que nous surplombons la vallée de Chaudefour, plusieurs groupes et des individus isolés se déplacent ou paissent tranquillement sur les pentes. Les yeux pleins de belles images, nous quittons les hauteurs et faisons une dernière pause sur une douce pelouse au cours de la descente vers le Chambon des Neiges. Un chemin bien ombragé nous ramène vers la vallée. Petit détour par la fontaine St Anne et c’est la fin de cette randonnée où tous les éléments, météo, paysages, faune, étaient réunis pour en faire une très belle journée. Sans oublier bien sûr les participants et les gourmandises partagées !
Remarques : 2ème sortie dans le Sancy à peu d’intervalle compte tenu de la météo.
Carte 2432 ET Animatrice : Mady Nombre de participants : 11, animatrice comprise (7F, 4H) Météo : journée ensoleillée avec des températures fraîches le matin et sur les hauteurs exposées au vent du Nord-Est Distance : 20 km (openrunner ) Dénivelé : 930 m (montre altimétrique) Durée : 6 h 40 Classement Atlas : moyenne (annoncée facile mais requalifiée compte tenu du dénivelé réel) Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd soit 114 km x 2 et 1 voiture du Crest soit 120 km au total 348 km Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : La Bourboule (ZAC de la Vernière), les Marais, Pailloux, Puy Gros, Banne d’Ordanche, traversée de la D609 à l’ est du village de vacances de Murat le Quaire, l’ Usclade, Zac la Vernière.
Le ciel est bien dégagé mais il fait très frais au point de départ situé à côté de la Dordogne. Le Puy Gros domine la vallée. C’est un des objectifs de la journée. Nous empruntons le chemin qui suit, à part quelques petits écarts, la rivière.
Découverte d’un pavillon à l’abandon abritant la source Félix dont l’eau était utilisée en bain pour soigner les maladies de peau et un peu plus loin du Moulin de la Compissade. Sur ce lieu fut construite en 1898, une centrale pour alimenter en électricité le funiculaire des Capucins, 1er funiculaire de France à traction électrique. Cette centrale a été remise en service en 2016, avec l’objectif d’alimenter en électricité (hors chauffage), entre 300 et 350 foyers du Mont Dore.
A l’entrée du Mont Dore, nous nous éloignons de la rivière pour gagner les hauteurs. Le soleil bien présent nous réchauffe. Nous profitons d’un arrêt pour enlever des «couches» et admirer le paysage. De la Montagne de Bozat au Roc de Cuzeau, les différents sommets sont énumérés.
Le chemin zigzague entre forêt de hêtres et parties découvertes pour arriver finalement sur le plateau où souffle un petit vent de Nord-Est. Un nouveau panorama plus large sur tout le massif et au loin sur la chaîne des Puys un peu dans la brume. Arrivés au sommet du Puy Gros, il faut se mettre à l’abri côté sud ouest pour le pique nique. Bien calés dans la pente, à l’abri de rochers, nous pouvons en toute tranquillité nous restaurer avec sous les yeux, notre point de départ. Après une friandise offerte par Régine, il est temps de repartir pour la Banne d’Ordanche dernier point haut de la journée.
Avec en partie le vent dans le dos nous grimpons alertement les dernières pentes Bizarrement, arrivés à la table d’orientation, le vent est moins fort ! A la descente nous nous arrêtons au Tra reconstitué par des passionnés de la nature. Cette forme d’habitat temporaire typiquement auvergnat, très probablement des abris pastoraux liés à l’estive bovine, intrigue encore les archéologues.
Au-dessus du village de vacances de Murat le Quaire, nous prenons la direction Est. Le chemin serpente d’abord dans une forêt de conifères avant de retrouver une belle hêtraie. A la jonction avec le GR 30, c’est la descente vers notre point de départ et la fin de cette belle journée.
Remarques : après plusieurs journées de grisaille, contents de retrouver un ciel dégagé et le soleil. Un seul regret, aucun animal aperçu au cours du parcours.
Date : 09/102021 au 10/10/2021 Massif du Pilat Carte IGN 2934 ET Animateur : Christelle Nombre de participants : 15 animatrice comprise 9 F 6 H Météo : J1 Brouillard le matin ; ciel couvert jusqu’en début de soirée avec une belle éclaircie pour la tombée de la nuit J2 ciel dégagé puis purée de pois en altitude qui s’est diluée dans la matinée laissant place à un ciel laiteux et température douce
Terrain : Plutôt sec, quelques passages de petits graviers un peu instables dans la descente des 3 dents
Distance : J1 23 km J2 20 km Dénivelé : J1 1007 m J2 690m Durée : J1 8H J2 8H25 Pauses incluses
Classement Atlas : MOYEN Kilométrage auto : 430 km pour 3 véhicules Préparation et rédaction : 20H
ITINERAIRE : J1 :Dépose des voitures à St Appolinard, St Jacques d’Atticieux, Eteize, lac du Ternay, Blanchard, Col du Banchet, les Baumes, descente sur St Julien Molin Molette par le GR65, Colombier, D34, Mizérieux, Mamet, Vernolon
J2 :Crêt de Peyranne, Crêt de la Perdrix par Beau Girard, Col d’Etançon, PC 1391, Crêt de Botte, Crêt de l’Oeillon, Col de l’Oeillon, les 3 Dents, PC 1045, PC 955, le Fayon, Croix de St Sabin, chapelle St Sabin, PC 1075, Buet, le Verdier, gîte de Ste Blandine, le Vernat, St Appolinard.
Départ nocturne de Clermont à 7h où, sur la route, le brouillard déjà présent nous annonce la note pour la journée ! Arrivée à St Appolinard où nous déposons les voitures non loin de l’église que l’on remarque pour son joli clocher polychrome. La troupe se met en route dans une belle campagne vallonnée mais nous ne pouvons pas trop en apprécier les horizons ondulés car la brume reste très basse. Passage à Eteize où, du coup nous ne verrons qu’une partie des curiosités géologiques locales que l’on appelle les haldes. Ce sont d’immenses « pistes » caillouteuses constituées de déchets de triage et lavage résultant de l’exploitation de filons riches en plomb (1717/1831). La végétation n’a jamais recolonisé ces longues bandes que l’on repère de loin par temps clair.
Puis descente vers le lac du Ternay , lac de barrage construit en 1858 pour alimenter Annonay et les usines CANSON. D’une superficie de 30 hectares, le site bordé de vénérables et magnifiques cèdres du Liban et séquoïas a beaucoup de charme et est d’ailleurs très fréquenté par les locaux. Nous y faisons une sympathique pause pique-nique même si le soleil n’est toujours pas de la partie ! Retour au sport avec une longue montée vers le col du Banchet où nous consommons une partie de nos 1000 mètres de dénivelée prévus aujourd’hui et apprécions un panorama qui s’ouvre un peu plus. Descente vers St Julien Molin- Molette dont les habitants ne sont pas les Cléas ( Molette… hihihi !!) mais les Piraillons !! On y découvre le surprenant jardin du calvaire implanté sur 3000 mètres carré en 1886 par le curé de l’époque. On y trouve 3 grottes (reproduction de Lourdes et de la Salette) ainsi que la représentation des 14 stations du chemin de croix et les 15 mystères du rosaire : surprenant !
Le village était aussi la base d’une manufacture de croix et de Christ qui a exporté dans le monde entier ! reste un petit musée où l’on peut faire créer son objet religieux personnalisé ! Et St Julien était surtout réputé pour ses filatures et fabriques de crêpes et foulards. Aujourd’hui, la commune est assez fréquentée par des artistes . Nous traversons une partie du village par une jolie sente le long du Ternay (qui a donné son nom au lac) et entamons une longue remontée dans la forêt pour atteindre Colombier d’où l’on aperçoit enfin la vallée du Rhône. On y voit quelques belles bâtisses construites avec les pierres issues du massif que nous découvrirons un peu plus dimanche.
Encore 200 mètres à gravir avant l’auberge du Vernolon où nous sommes chaleureusement accueillis par Sophie et Stéphane. Le ciel bleu est enfin de retour mais la fraicheur arrive vite,une bonne douche chaude sera la bienvenue ainsi qu’un bon repas dégusté dans une ambiance très chaleureuse. Le lieu est très joli et nos hôtes ont un sens de l’accueil que l’on trouve rarement, adresse à mémoriser !!
Dimanche matin départ 9h, je n’ai pas voulu partir à l’aube car je crains de trouver encore du brouillard en altitude. Cela se confirme, nous atteignons le premier crêt du jour ; le crêt de la Perdrix (1430m. point culminant du massif du Pilat) enveloppé d’une brume épaisse nous privant de tout panorama ! Dans la bonne humeur le groupe étudie quand même la table d’orientation sans pouvoir observer les sites indiqués ! Passés le col d’Etançon, l’horizon se dégage un peu, nous faisons une halte auprès d’une longue coulée de blocs que l’on appelle ici chirat et qui est quasiment unique en son genre. Ils auraient été constitués au moment où les glaciers alpins avaient atteint la vallée du Rhône. Apportant avec eux un front froid ils ont provoqué la création de névés presque permanents où les variations de températures et le phénomène de gélifraction ont engendré la constitution de ces coulées de blocs rocheux.
Nous passons sous le Crêt de Botte coiffé d’une tour militaire pour rejoindre le dernier de la famille ; le crêt de l’Oeillon.Vue assez large sur la vallée du Rhône mais dommage pas de panorama sur les Alpes, on devine juste le sommet du Mont Blanc au dessus des nuages. Nous quittons le crêt en traversant un de ces fameux chirats, stable mais cahotique quand même, bon exercice d’équilibre que tout le monde passe sans problème.
Douceur et soleil sont avec nous pour la traversée des fameuses Trois Dents qui en fait sont 4 petits pics qui offrent un cheminement ludique où l’on enchaîne petites montées et descentes qui peuvent parfois être un peu plus acrobatiques. Nous contournerons d’ailleurs la 3ème pour éviter quelques « marches » un peu hautes !
Nous y ferons notre halte pique-nique sous le soleil. On se poserait bien un peu plus longtemps pour se faire dorer mais nous avons encore du chemin à faire !
Genoux et mollets sont un peu sollicités pour traverser le vallon du Fayon et remonter vers la chapelle St Sabin où nous faisons une halte pour profiter d’une belle vue étendue sur la vallée du Rhône .Le lieu est bien fréquenté par les pélerins qui s’y retrouvent, entre autres, le jour de la Pentecôte. Auparavant à cette occasion,les bergers montaient avec leurs troupeaux pour les faire bénir.
Nous reprenons la descente vers St Appolinard , joli cheminement avec une vue dégagée cette fois ce qui nous permet d’apprécier la distance parcourue depuis la veille et notamment voir nos fameuses haldes vues à Eteize , longues trainées beiges que l’on repère de loin .
Arrivée aux voitures à 17h30, bien contents de ces 2 jours passés dans le Pilat , un massif qui n’est pas si loin de chez nous , mais que beaucoup ne connaissaient pas et qui mérite le détour !
Merci à tous pour votre présence et l’ambiance joviale !
Animateur : Liliane (Thierry) Nombre de participants : animateurs compris 19 (10F, 9H) Météo : nuageux avec un peu de soleil Distance : 23 km Dénivelé : 950 m Durée : 7h30 H pauses comprises Classement Atlas : annoncée Facile mais reclassée Moyenne car un peu plus de D+ et de nombreuses portions HP Kilométrage auto : (122 X 2 et 92 X 2 soit 428 km)
ITINERAIRE : Dauzat sur Vodable, vers source du Vieux moine, le Pié , W de Rouérent-Bas, Trémoulène, PC 963 sur D127, Favard Bas, Favard Haut, le Leyranoux PC1253, la Rode antenne, D23, Chassagne, Malnon, anc.abbaye de Mégemont par GRP, retour Dauzat par GRP
Première rando guidée par Liliane que je conseille de proche en proche sur un terrain pas facile, facile. Départ de Dauzat avec deux objectifs : le mont Leyranoux qui surplombe le plateau de la Chavade plus à l’ouest et l’ancienne abbaye de Mégemont sur le GRP « Autour d’Issoire ». Comme vous le savez nous sommes déjà dans le pays Coupé avec de nombreux cours d’eau qui ont entaillé la partie orientale du plateau du Cézallier. La première partie du circuit fera alterner descentes prononcées et montées sèches…
La rando commence donc par une belle descente dans le Ravin des Rivaux pour trouver la confluence avec le ruisseau de Trémouleine qui nous donnera le point de départ du 1er HP vers le Pié au prix d’un beau « coup de cul ». Quand on parle de plateau entaillé, le beau sentier qui descend le confirme : il est rendu difficile par le granit concassé qui le recouvre. Un peu de repos à l’approche de Rouérent-Bas où nous retrouvons un beau chemin vers Trémouleine, hameau perdu… Le repos ne dure pas longtemps car rapidement la trace s’évanouit autour du ruisseau de Combe. Nous sommes dans un pays d’élevage reculé et pas facile pour les exploitants. Nous ne sommes pas au pays des fermes 2.0 ! C’est l’Auvergne de la moyenne montagne.
Après Trémouleine, il reste à trouver un soupçon de trace toujours portée sur les cartes et les sites (Openrunner et Iphigénie) mais qui n’existe plus sur le terrain. Il faut faire confiance à la boussole et au suivi de l’azimut défini. Liliane s’y emploie avec succès ! Nous rejoignons, après une petite déambulation forestière qui aura rempli les sacs de beaux mousserons, la départementale au point exact prévu. Partis avec un peu de retard sur l’horaire prévu pour cause de circulation difficile autour du Zénith, il est près de midi et certains ventres commencent à se manifester. Mais il est un peu tôt et même si on marche depuis deux heures on n’a pas forcément beaucoup progressé. L’animatrice décide donc de continuer en direction de Favard-Bas. Encore une descente dans la forêt en HP car le sentier n’est plus visible et une remontée à partir du ruisseau de Favard vers le haut de la pente à proximité de la ferme de Favard Bas. La pelouse sommitale est orientée sud et propice à la pause méridienne grâce au généreux soleil qui l’éclaire. Parvenu à la ferme de Favard Bas, il reste à trouver le passage pour la contourner. Je l’avais trouvé facilement lors de mon dernier passage il y a quelques années mais pas aujourd’hui. Une porte ou ce qui en tient lieu (assemblage de palettes et de ficelles) nous permet de nous extraire encouragés par un habitant du cru. Les derniers randonneurs tomberont sur une habitante du cru également mais moins encline à laisser fouler la propriété par une bande de randonneurs. Plates excuses et tout rentre dans l’ordre. Nous rejoignons rapidement la ferme de Favard-Haut complétement abandonnée, elle. C’est le début de la dernière partie du parcours en HP avec la forêt de résineux à l’est du Leyranoux en point de mire. La végétation (de hauts genêts et de féroces ronces) nous ralentit mais nous parvenons finalement au point haut de la rando ce mont Leyranoux vieux volcan du Cézallier actif il y a 5 millions d’années qui a laissé beaucoup de trace de basalte sur le plateau au nord en redescendant vers Chassagne : les prés sont ceinturés de nombreux murs de pierre sèche qu’on ne voit pas si souvent que cela dans la région. Pour gagner un peu de temps car l’après-midi est bien avancé, je conseille à Liliane d’abandonner le tracé prévu par le Brugelet pour mettre le cap sur Chassagne que nous rejoignons par la route après moultes passages de clôtures.
La dernière partie de la rando est plus apaisée car nous empruntons le GRP jusqu’à Dauzat. Nous faisons une halte dans la belle ferme-abbaye de Mégemont qui fut élevée en cet endroit paisible mais reculé au XIIème siècle. Les bénévoles qui s’occupent de ce bel édifice ont fait un travail remarquable de mise en valeur du bâtiment et du site tout autour. Les derniers kilomètres vers Dauzat ne sont dès lors qu’une formalité. Nous avons de belles échappées à l’est sur Vodable et le pays d’Issoire. La traversée du village me laisse un goût un peu amer tant les maisons en ruine ou abandonnées foisonnent. La vie des quelques anciens qui restent au pays ne doit pas être de plus facile. Il est tard et nous n’avons pas le temps (et l’énergie ?) de nous approcher de l’église Saint-Géraud du 12ème et 13ème siècle perchée sur son piton de basalte. Nous aurions pu voir à l’intérieur les sculptures des chapiteaux datées du 13ème siècle et des visages ou des masques conservant le caractère fantastique cher au style roman (grimaces, peu de réalisme). On y aurait également trouvé un Christ en ivoire. Ce sera pour la prochaine car la rudesse du pays est propice à de nouvelles belles randos. Merci à Pascal et Didier pour leurs photos.
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 5 2F et 3H Météo :. Couvert et chaud, 1h30 de forte pluie de 11h30 à 13h Distance : 23 km Dénivelés :. 1150 D+ et – Durée : 8h15 Classement Atlas: moyenne Kilométrage auto : 24×1 et 32×1 soit 56km
Itinéraire : parking du covoiturage de Ceyrat salle de sport ARTENIUM, stade de Ceyrat, camping de Ceyrat, Boissejour, carrière de Gravenoire, Champeaux, rocher d’escalade, ruisseau de Thèdes, bois de Charmeix, PR sous Berzet, la Goutelle, ruisseau de st Genes, rocher d’escalade, remontée par le PR du ruisseau de st Genes au dolmen de Samson, passerelle puis remontée sur le plateau et la ferme de Redon haut, descente par le PR au quart de rond et descente sur Pradeaux par une sente, retour parking ARTENIUM.
Le but de la journée était de faire du dénivelé pour les inscrits au séjour du Queyras sur les sentes de la faille de la Limagne.Les présents se sont bien régalés sur les belles sentes qu’ils ne connaissaient pas, surpris de pouvoir faire un très bon entraînement à deux pas de Clermont.
Nous avons appelé cette rando « Rando Salamandres » car nous en avons vu 5 sur le parcours d’une taille 12/15cm.Je n’en n’avais jamais vu autant sur une journée, c’était certainement dû à l’averse de 1h30 que nous avons subie.
Animateur : Yves Nombre de participants : 19 animateur compris (11F, 8H) Météo : Ensoleillé Distance : 23 km Dénivelé : 700 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : (90 X 2 et 105 X 2 soit 390 km) Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : Courpière les Taillades, Roddias, Le Mégain, Le Bertrix, Loumas, Berlet, Aubusson-d-Auvergne, Les Gâts, Chateauneuf, La Sauvet, Les Quatres Vents, Puissauve, Les Taillades.
But de la journée : se rendre au plan d’eau d’Aubusson-d’Auvergne, à partir du camping de Courpière. Après l’avoir traversé au Salet, nous longeons en rive gauche le Couzon. Ce ruisseau alimente la retenue d’Aubusson, se jette dans la Dore après avoir rempli différentes pièces d’eau que nous observons au passage.
Passé Roddias le hors-piste est nécessaire car le chemin se perd dans les bois, mais pas de problème on aime ça à Atlas. Nous ne pourrons voir, le domaine de Pugnat et sa chapelle en plein champ, que de l’arrière car le propriétaire a condamné l’accès. Dommage ce petit bâtiment avec ses tours devait être intéressant. Il faut modifier le parcours.
Les traversées de Le Mégain, Le Bertrix, Loumas, et Berlet nous conduiront au pied de la retenue du plan d’eau d’Aubusson. Ce lac de 28 ha créé en 1990 par 12 communes a pris place dans cette petite vallée. Ces prairies humides, traversées par un maigre ruisseau, n’étaient pas d’un grand rapport. L’aménagement des berges et bois environnants fait que certains oiseaux migrateurs passent ou séjournent aujourd’hui.
Nous remontons le long du lac, en découvrant les panneaux qui nous renseignent sur la flore, les oiseaux et les poissons, jusqu’à l’extrémité, où nous prendrons notre pause de mi-journée dans un environnement agréable au bord de l’eau.
Après la traversée du village, le contournement de l’église, nous remontons par un sentier très rocailleux aux Gâts, point culminant du jour, 535 m.
La descente se fait tranquillement, d’abord en balcon avec une dernière vue sur le lac, les Dômes et le Sancy à l’horizon, puis un peu plus rapide de Puissauve aux voitures le tout accompagné par un soleil radieux.
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