Lun 28/02/2022. Environnement. Nettoyage des bords de l’Allier

Animateur Michel J.

Nombre de participants : 11 animateur compris (2F, 9H)

Geneviève, Frédéric, Claude, Pascal, Alain, Vincent, Jean-Louis, Mady, Daniel, Gérard et le photographe Michel j.

Météo : ciel bleu, température douce

Durée : 5h 00 (déplacement routier compris)

Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (55 km) et 2 voitures du Crest ( 55 km) soit 220 km en co-voiturage.

Matériel apporté par les participants mis à disposition : une débroussailleuse, un tronconneuse et des crocs, rateaux piochons etc…

Préparation et rédaction : 3h00

Cette opération organisée avec l’accord de la mairie de Joze consiste à réduire le développement de la renouée du Japon sur les bords de l’Allier. Ce projet initié en 2018 a permis de rendre en aval du pont, une zone aux promeneurs et pécheurs, entretenue régulièrement depuis notre intervention par les employés communaux de la ville. Le projet cette saison se situe en amont du pont passage de la future voie verte qui s’intégrera dans le projet V70 de la Loire à la Lozère et la partie attribuée représente environ 10 000 m². Les adhérents présents font partie de la liste de diffusions mise à jour pour la saison 2022.

10 000m2 de renouée du Japon 1ère phase…
Dégagement des bois pour faciliter le passage des engins…

En 5 heures, un travail considérable a été accompli dans une végétation dense. Dégagement du bois mort, d’arbres ou branches tronçonnés qui gênaient la progression de la débroussailleuse. Mise en tas des déchets végétaux secs, notamment les tiges de renouée et incinération sur place.

Incinération sur place avec l’accord de la mairie…

Le tout dans une bonne humeur sous un ciel printanier. Un goûter préparé par Mady et Michel J. a permis de faire une pause et d’échanger sur ce travail au profit de la collectivité. A bientôt pour finir cette phase du chantier…

Bravo à tous !

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Dim 27/02/2022 Combrailles- Méandres de la sioule

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 9 animateur compris (6F-3H)
Météo : grand soleil et grande douceur
Distance : 27,4 Km   (GPS de Claude) 
Dénivelée : 1035 m (GPS de Claude) 
Durée : 8h10
Classement Atlas : Difficile
Kilométrage voitures : 72 km pour 2 voitures
Préparation et CR : 2h

Itinéraire : Les Sardiers, intersection D416&D19, le Vernet, la Pradelle, Moignoux, barrage de Queuille, rive gauche de la Sioule jusqu’au pont de Chambon, le Bout du Monde,Teix, Génestines, Puy Gibaud, Gouzet, La Bussière, les Sardiers

Le classement moyen n’était pas usurpé. C’est une longue et belle journée de randonnée engagée qu’ont vécu les fidèles adhérents du dimanche. Depuis les Sardiers joli hameau aux maisons restaurées, nous prenons la direction de l’ouest et de la Sioule qui sera notre axe de randonnée. Le plateau sur lequel nous avançons n’est pas plat et est parcouru des maints cours d’eau qui filent pour la plupart vers la grande rivière du coin. De fait, après le Vernet, la tendance est à la pente descendante vers la vallée. Au sud-est, nous avons Vitrac en point de mire qui semble être un gros bourg aux grandes maisons de maitre, surmonté par l’église Saint Patrocle.

Après la Pradelle, la petite route descend rapidement en lacets successifs vers la Sioule à travers une belle forêt de hêtres.

Parvenus en fond de vallée, nous longeons par de beaux chemins forestiers un lac artificiel avant de parvenir au barrage de Queuille proprement dit. Barrage modeste de 116 m de long pour 28 m de hauteur, il retient près de 6 millions de M3. Sa production hydroélectrique lui permet de subvenir aux besoins d’une ville de 25000 habitants….

Nous pique-niquons rive gauche, à proximité du barrage, bien exposés à un chaud soleil. Nous remontons ragaillardis par la pause la petite route qui descend rive gauche au barrage, pente prononcée au menu de la digestion…. Je veux retrouver une sente bien indiquée sur la carte (mise à jour récente) au PC 593 qui replonge vers la rivière.

Hélas la sente a disparu car le PR qui remonte au pont de Chambon le long de la Sioule l’a rendu caduque. Il nous faut donc descendre les 150-200 m de D- sur une pente recouverte de ronces vigoureuses et agressives. Cheminement hors-piste plus ou moins apprécié. Après une demi-heure d’effort, nous rejoignons le chemin qui balconne  à plus ou moins 40 m au-dessus de la Sioule jusqu’à Bas de Lacot et le pont de Chambon qui nous fait repasser sur la rive droite.

En remontant vers le haut du plateau par le Bout du monde et Teix, je pensais avoir de beaux points de vue sur les méandres de la Sioule mais que nenni, le couvert végétal nous masque en partie la rivière. Le seul beau point de vue sur les méandres est donc bien à Queuille uniquement. Le chemin du retour ne sera pas de tout repos alternant au gré des ruisseaux rencontrés, petits coups de cul vivifiants et belles descentes : les plus de 1000 m de D+ s’expliquent bien finalement 😊. Arrivés à la Bussière nous apercevons au très loin nos voitures garées au-dessus du dernier vallon de la journée qu’il nous faudra bien franchir : le dernier d’une belle journée de randonnée en Combrailles.

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Jeu 24/02/2022 Pays des Couzes Madriat

Animateur : Georges
Nombre de participants : 19 ( 8 F et 11 H )
Distance : 22 km
Dénivelé : 800 m
Durée : 7 h pause comprise
Classement Atlas : facile
Météo : un petit vent frais sur les hauteurs, soleil et nuages toute la journée avec des températures agréables
Kilométrage voitures : 120 km pour 2 voitures et 80 pour 2 autres soit 400 km

Ancienne carrière de terre rouge


ITINERAIRE
Départ de Madriat, Letz, Le Fromental, Champ Mazel, Chalande, Laval, Chalouze, les Ribes, Brugère Haut, retour à Madriat.

Vue sur St Hérent

Notre point de départ, Madriat sur la rive gauche de la Couze.  Nous nous dirigeons vers le village de Letz, un petit détour pour voir le château, ancienne maison forte qui date des 15ème 16ème siècles. Direction plein ouest, un petit arrêt à l’ancien village de la Fridière entièrement en ruine, c’est assez surprenant. Je n’ai pas trouvé les raisons de cet abandon. Nous arrivons au Fromental, sur un promontoire basaltique se dressait un ancien château de la puissante famille de Mercoeur, Il fut démantelé en 1633 sur ordre de Louis Xlll, il ne subsiste aujourd’hui qu’une arche et une petite chapelle. Face à nous, le Champ Nazel, prochain objectif. C’est en hors piste que nous atteignons le sommet à 950 m, la recherche de la borne géodésique trouvée, nous entamons la descente en direction des villages de Chalande et Laval.

Chateau de Letz

Nous voici dans la vallée du ruisseau de Courbière, il est l’heure du casse-croûte, un pré en pente avec vue fera l’affaire. Nous prenons un peu de hauteur jusqu’au village des Ribes, en contre bas, se trouvent le village de st Hérent et son église au milieu du cimetière.  Un peu de hors piste non prévu pour éviter un troupeau de vaches particulièrement excité.
Une dernière halte très appréciée du groupe : une ancienne carrière de terre rouge, des ravines et deux petites cheminées de fée sans leur chapeau de protection d’un rouge vif sont d’un bel effet avec le vert environnant. Merci à tous et à bientôt pour de nouvelles randos.

Au château de Fromental

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Dim 20/02/2022 Sancy nord Orcival

Animatrice :    Christelle
Nombre de participants :  8 p. animatrice incluse 4 F 4 H
Météo : Plafond bas le matin avec un peu de bruine, quelques éclaircies ensuite, vent sensible bien frais
Terrain :   quelques passages gras

Distance :  23  km   
Dénivelé :  710 m
Durée : 7 h pauses comprises
Classement Atlas :  facile
Kilométrage auto : 64 km x 2

ITINERAIRE : Départ proche ancienne ferme INRA Le Roc, Roche Branlante, PR direction nord vers Rochefort, bifurcation vers Largillier, Le Barry, Lacoux, cascade de la Graille, la Graille, vallon de la Plane, chez Chocol, sud Puy de Coquelogne, le Roc

Malgré une ambiance bien hivernale qui contrastait avec les douces températures de fin de semaine, nous avons tous appécié ce grand bol d’air. Les volutes nuageuses trouées par quelques rayons de lumière donnaient une belle note sauvage aux paysages. Un bon rythme a permis de ne pas avoir froid et les reliefs nous ont bien protégé du vent qui était bien plus agressif sur les parties hautes (traversée vers le Puy de Coquelogne) . Et merci au soleil qui nous a réservé un petit créneau bien agréable pour un pique-nique à l’abri d’un beau tas de bois à la sortie de Lacoux.

Les curiosités du jour :la Roche Branlante qui fût une découverte pour certains surprend toujours par sa masse imposante posée en équilibre sur un bloc bien plus petit . Il se dit que l’on peut la faire bouger juste en la poussant sur le côté gauche… tentative faite sans succès !! Le groupe s’est lancé dans des calculs pour tenter de déterminer son poids !

Cachée dans une belle hêtraie, la cascade de la Graille mérite également le détour. Haute de 6 mètres environ elle est toute en force en cette époque de fonte des neiges puisqu’elle prend naissance au Puy Loup qui n’est pas si loin. J’aurai aimé que nous puissions la voir d’en bas mais la descente et la remontée sont assez délicates.

Le vallon qui l’abrite est vraiment un joli site de même que celui de Fontsalade que nous traversons avec en point de mire au sud les roches Sanadoire et Tuilière : Superbe point de vue !!

Cela donne vraiment envie de revenir par grand beau temps car les nuages nous ont quand même privé de beaux aperçus sur le Sancy et la chaîne des Puys !

Merci à tous pour la bonne ambiance et les petites gourmandises !

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Sam 19/02/22 Marche Sportive. Nord Chaine des Puys

Secteur : Volvic
Date : 19 février 2022
Animateur : Thierry
Nombre de participants : 11 animateur compris (3F-8H)
Météo : grand soleil et grande douceur
Distance : 24,2 Km   (montre GPS de Michel J.)
Dénivelée : 549m (montre GPS de Michel J.)
Durée : 3h33 (3h45 pauses comprises)
Moyenne : 6,8 km/h
Itinéraire : Parking des Eaux deVolvic, Tournoël, vers Beauvaleix, Facemeunier, Charbonnières-les-Varennes, le Bouy, tour du Suc de Beaunit par le sud, contournement sud du puy de Verrières, sud du puy de Paugnat, les Goulots, Volvic.

Laurent, Véronique, Dominique, Thierry, Ida, Fabien, Pascal, Sandrine, Quentin, Régis et le photographe Michel J.

Remarques : Sortie très dynamique sous un doux soleil de printemps (en hiver) ! Groupe important mais homogène : 30 m entre le premier et le dernier pendant une grande partie de la marche. Terrain souple mais pas boueux ce qui aurait compliqué la progression. Quentin un jeune adhérent continue son intégration et il trouve du plaisir à l’exercice. Véronique, très à l’aise et légère a souvent tracé la route. Tout aurait été parfait si Ida n’avait pas chuté de tout son long dans la descente finale avant le parking. Résultat des courses un poignet fracturé et quinze jours d’arrêt. Il lui tarde de revenir marcher m’a-t-elle dit ce soir 😊.
Merci à Michel qui a mené l’échauffement très important avant cette « débauche » d’énergie. 

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Jeu 17/02/22 Orsonnette Entre Val d’Allier et Livradois

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 21 animatrice comprise (9F, 12H)
Météo : journée ensoleillée et température douce
Distance : 26km
Dénivelé : 885m (montre altimétrique)
Durée : 7h30
Classement Atlas : moyenne ( annoncée facile mais reclassée en raison de la distance, du dénivelé et du hors piste effectués)
Kilométrage auto : 120 km pour 3 voitures de Clermont Fd (360 km) et 66 km pour 2 voitures du Crest (132 km) soit au total 492 km
Préparation et rédaction : 2 h30
ITINERAIRE : Orsonnette, contournement de la Jonquière, la Matelle, la Croix d’Auzat, Esteil, le ravin des Bérards, la Barre, Les Martres, les Pierres de Brare, Pont du Taillis, Féroussat, Mailhat, Orsonnette.
Depuis Orsonnette niché au pied du dyke volcanique de Nonette, nous partons en direction du ruisseau le Gouffre du Rat. Un nom très évocateur ! Pourtant point de gouffre, ni de rat ni même de ruisseau ! Terrain un peu gras il est vrai ce qui laisse supposer que l’eau n’est pas loin. Mais dès que nous commençons à monter vers La Jonquière le terrain s’assèche. Arrivés près de cette butte nous commençons à avoir une belle vue sur la vallée de l’Allier, Nonette et apercevons le chevalement de la mine de La Combelle. Mis en service en 1924, haut de 54 mètres, ce fut le premier chevalement métallique de la région. Jusqu’au XIX ème siècle, avant l’avènement des transports ferroviaires puis routiers, le charbon extrait de ces mines était transporté à dos d’ânes jusqu’à l’Allier, notamment vers Auzat sur Allier pour être embarqué sur des sapinières, grands bateaux construits dans des ateliers de villages voisins, dont celui de Jumeaux, pour être acheminé jusqu’à Paris via le canal de Briare.

 

Nonette et la vallée de l’Allier

Après quelques zig et quelques zag en montagnes russes autour de la Jonquière, nous descendons vers la Matelle. A partir de là nous abordons dans la belle chênaie du Bois Rond les contreforts du Livradois pour arriver à la Croix d’Auzat.

                                                                                                           La Croix d’Auzat

C’est ensuite Esteil et son église romane. Cet ancien prieuré de l’ordre de Fontevraud fut pendant la révolution française scindé en lots, vendus séparément en 1796. Un mur sépara alors en deux le vaisseau de l’église, formant d’un côté une grange, de l’autre l’église. Mais ses malheurs n’étaient pas terminés puisque en1944 elle brûla dans un incendie volontaire déclenché par les troupes allemandes.

Ce lieu appelle à une pause plus longue, mais il est encore tôt pour le pique nique qui sera pris juste avant la descente sur le ravin des Bérards. Une dernière vue sur la Chaîne des Puys qui sort des nuages avant de pénétrer dans une forêt de Douglas et descendre vers le ruisseau de la Ribeyre qui prend sa source à proximité. Mais le flux de l’eau est si petit qu’on ne l’aperçoit pas si ce n’est à un seul endroit.

A partir de les Martres on commence le retour vers le Val d’Allier, à nouveau dans une forêt de feuillus et sur un beau chemin. Mais à une intersection erreur de l’animatrice, et un peu plus loin le chemin s’arrête… il faut faire un peu de hors piste à travers la forêt pour retrouver le bon cheminement et arriver au point souhaité sur la D24. Au pont du Taillis nous retrouvons le ruisseau de la Ribeyre qui s’appelle plus loin le ruisseau de Féroussat.

 

Un soupçon de hors piste pour détendre les muscles….

On traverse le village du même nom, laissons Vinzelles sur notre droite, apercevons le château de la Prias et arrivons à Mailhat. Sa magnifique église en arkose ravit toujours autant et on ne se lasse pas d’admirer les arcs aux décors tous différents, les modillons très variés et la porte aux vantaux en bois sculpté datant du XV ème siècle.

 

Calvaire de Mailhat

 

Un des arcs de l’église de Mailhat

Dernière étape pour retrouver Orsonnette aux toits recouverts de tuiles canal et génoise sur plusieurs rangs qui lui confèrent un bel aspect méditerranéen.

Merci pour les distributions de gourmandises en cours et en fin de journée et à tous pour votre participation, aux photographes, Laurent et Michel J.

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Dim 13/02/2022 Raquettes Sancy sud Cézallier nord

Sortie mixte raquettes/pédestre du dimanche 13/02/22

Animateur : Michel D.
Nombre participants.  7 : 4F 3H
Météo : Ciel voilé avec vent Sud F 3 puis ensoleillé toute la journée.
Distance :  17 km.  dénivelé :  400m
Qualité de la neige : plaques et croûte le matin, encore assez conséquente dans bois de la Banny.
Matériel à disposition : 2 paires de raquettes
Durée mouvement : 4h50
Durée d’enregistrement :  6h10
Classement : Facile ( Dans ce secteur parcours entièrement en hors sentiers)
Kilométrage Auto.     2 voitures de Clermont.   130 km X2 = 260 km


Itinéraire :  Escarot, plaine de la Banny, plaine de Moncineyre, Sous Jansenet, Puy Ferrand 1303m, bois de Fontlonges , son sommet 1306m et son petit étang secret gelé, lac Moncineyre, repas de midi, Plaine de Moncineyre, bois haut de Chambedaze, buron détruit de la plaine 1196m, allée forestière de la forêt de Cisternes, bois de la Banny.


    Départ du parking sans raquettes  direction le plateau de la Banny, puis passage sous la montagne de Jansenet, et montée au puy  Ferrand 1303m pour la vue à 360′. Descente en direction plein sud pour rentrer dans la pinède haute de Chambedaze et là, rencontre inopinée avec un groupe de baroudeurs qui sort juste où je voulais rentrer. C’est le groupe d’Atlas qui fait la traversée en autonomie du weekend . Discussion de 5mn et chacun part dans sa direction. Nous, vers le sommet dans la pinède 1306m et son petit étang secret. Ensuite descente sur le lac gelé de Moncineyre et pause de midi à la cabane forestière du propriétaire de la montagne Moncineyre. Après la pause repas nous chaussons les raquettes car la neige, suite au radoucissement ne nous porte plus, nous les garderons jusqu’au lac de Chambedaze qui lui aussi est gelé. Puis direction Ouest. Pour éviter les Sagnes  nous rentrons dans la forêt de Cisternes par la longue allée (nous remettons les raquettes) qui nous conduit au bois de la Banny et retour aux voitures.

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Séjour n°1 Hivernale dans le Sancy transformé en Raid Hivernal pédestre entre Cézallier et lac Chambon.

Du samedi 12 au dimanche 13 février 2022
Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 6 hommes.
Météo: temps couvert avec une température négative au départ se réchauffant en matinée (3 à 6°C), vent de Sud Est sensible tournant progressivement au Sud Ouest. Début de soirée avec quelques rayons de soleil au coucher, douceur nocturne, vent se levant en cours de nuit assez fort. Dimanche, ciel dégagé en matinée se couvrant progressivement par l’ouest Sud Ouest. Vent se renforçant en matinée devenant fort sous rafales du Sud. Partie Ouest du Sancy couvert, dégagé à l’Est.
Classement : difficile compte tenu des distances parcourues et des parties hors pistes.
Transport : dépose des participants avec deux véhicules, une Peugeot modèle 307 et une Peugeot 3008. Récupération des adhérents, dimanche vers 17h00 à la plage du lac du Chambon avec une Peugeot 3008 et une Renault Kangoo. Merci aux conducteurs Isabelle, Yves et Mady pour leurs disponibilités.
Kilométrage routier : 532
Temps de préparation du matériel et rédaction des divers documents : 10 heures
Cartographie utilisée : cartes Ign, série bleue au 1/25000 n°2534 Est, Top 25 n°2534 OT et 2432 ET.
Matériel mis à disposition : deux tentes Coleman modèle Cobra, cinq couvertures de survie Space Blanket orange, un sursac en goretex.

Quentin, Benoit, Sébastien, Régis, Claude, Michel j. au départ

Consignes sanitaires : compte tenu de la pandémie, il a été décidé que le couchage se ferait sous des tentes individuelles.
Faune rencontrée : quatre renards, un lièvre, un couple de grands corbeaux. La présence du vent a chassé les ongulés dans les bois.

Mot de l’animateur.
En accord avec les participants, il a fallu se résoudre à modifier par manque de neige cette hivernale qui devait se dérouler, raquettes aux pieds et en tirant des pulkas sur le massif du Sancy. Un itinéraire linéaire pédestre a été proposé dont le challenge consistait à partir du Cézallier et à se déplacer d’un point haut vers un autre point haut. Une grande partie du parcours s’est déroulée en hors piste (95 % le samedi et 60 % le dimanche).
Quelques chiffres : données fournies par une montre Sunto (dénivelés et durée du déplacement) et une application gps (distances parcourues).
Dénivelées positives : J1. Dénivelées positives 1045m négatives : 955m, kilométrage : 23
Heures de déplacement 8h23 (pauses comprises). J2. Dénivelées positives 850m négatives : 1105m, kilométrage : 23. Heures de déplacement 8h09 (pauses comprises).

Départ de l’itinéraire à la sortie Ouest d’Anzat-le-Luguet, à proximité du ruisseau de la Combe à une altitude de 1110m environ. L’échauffement se fait tranquillement en suivant un chemin pastoral qui conduit aux estives d’été. Passé le bois de la Barre, notre cheminement à travers les pâtures se fait maintenant à découvert et le vent sensible refroidit l’atmosphère. La progression est bonne et les quelques parties enneigées traversées se font sans difficulté sur une neige dure non verglacée. Nous laissons le Signal du Luguet (alt.1551m) à notre droite et poursuivons en lisière de forêt pour éviter les accumulations de neige en sous bois plus molle.

Pente sous le Mont Chamaroux

L’orientation est maintenant plein Ouest allant du point côté 1516 au 1491, au 1484, puis au 1481 avant d’atteindre le col de Chamaroux après une longue pente orientée Nord à moitié enneigée. La pose est prise au sommet du Mont Chamaroux (alt.1476m) facilement identifiable par sa croix en bois.

Mont Chamaroux (alt. 1476m)

Du sommet du Haut de Chamaroux (alt.1429m), l’orientation Nord est abandonnée pour le Nord-Est afin de gagner le Testou (alt.1327m) que nous descendons pour contourner par l’Est, le lac de St Alyre.

Joli cirque à l’Est de la Montagne de Chamaroux

La pente est raide pour gagner les deux points hauts de la Montagne de Riocros Haute aidés par les nombreuses traces laissées par les animaux de ferme. Le terrain tourbeux avant la Noue Haute, nous prépare bien à la traversée de la tourbière de Jacquot non gelée où passant de tremblant en tremblant on essaie d’éviter de mettre les pieds dans l’eau (souvenir !). Le bois de Garde atteint, il nous faut changer d’orientation et prendre Nord-Ouest pour atteindre le Teston de Joran (alt.1323m) en zigzaguant dans une forêt parfois encombrée par des arbres tombés, des coupes à blanc et des plantations récentes où une végétation de lumière s’est mise en place. Ce cheminement irrégulier nous permet de découvrir de nombreux garde-mangers d’écureuils où les cônes d’épicéas déchiquetés par la base laissent des filaments effilochés. Passé le Sud du lac de Cureyre, nous progressons dans une pessière encombrée par des têtes d’arbres cassées par le vent ou sous la charge d’une neige à un moment abondante. Il est tard et nous devons trouver un lieu de bivouac et de l’eau pour le repas du soir et le petit déjeuner. Une pointe de bois légèrement surélevée, plate à l’abri du vent fort de Sud-Ouest avec un sol moelleux, sera notre havre pour la nuit. Une zone humide couverte d’une neige immaculée produira l’eau.

La soirée a été agréable, un feu égayant le repas. Le vent a faibli rapidement donnant une première partie de nuit calme et reposante. Vers quatre heures du matin, le bruit du mouvement des arbres a réveillé une partie de l’équipe et quelques oiseaux à l’aube naissante ont laissé entendre des chants printaniers. Il est 09h00 lorsque nous nous mettons en mouvement. Le col de la Chaumoune est vite passé, les obstacles se révèlent vers le nord. La Montagne du Ronzier franchie, le Puy de la Vaisse est rapidement atteint (alt.1359m).

Montée vers la Montagne du Ronzier
Vue du puy de la Vaisse

La descente versant Nord dans une superbe hêtraie recouverte par un manteau neigeux épais représente pour certains une difficulté à maîtriser, mais sont encouragés par le reste du groupe déjà au pied de la pente au soleil. A la lisière du bois les Fontlonges, un groupe apparaît à quelques centaines de mètres, il est vite identifié. En ces lieux, il est rare de rencontrer beaucoup de monde. Nous sommes dimanche, c’est bien des adhérents d’Atlas en compagnie de leur animateur qui viennent à notre rencontre. Salutations et échanges, et nous reprenons chacun en sens inverse nos directions respectives. Nous atteignons le point haut du Ferrand (alt.1303m) où nous pouvons découvrir sur notre droite sous un ciel lumineux le lac de Montcineyre pris par la glace.

Le Montcineyre, vue prise du Puy Ferrand (alt.1300m)

La hêtraie Jansenet passée, nous évitons les zones humides pour atteindre les contreforts Ouest du Montchal que nous contournons par le Nord afin de gagner la D978. Retour à la civilisation !.Petite pause à la Couze du Pavin, pour prendre de l’eau et suivant une petite route, puis un chemin et de nouveau une petite route nous atteignons le village de Leylavaux et le GR30. Le chemin coincé entre deux clôtures de barbelés et parfumé par l’épandage de fumier se dirige maintenant vers la forêt de Courbanges. Le bord sud atteint, nous suivons un large chemin d’exploitation « la Grande Allée » plus ou moins empierré qui doit servir au transport de grumes de bois. Progressivement, nous perdons de l’altitude. Vers l’ouest, le ciel se charge de nuages noirs alors que nous restons sous un ciel bleu. Nous sommes maintenant en parallèle du ravin du ruisseau de Courbanges sur un chemin magnifique à la pente douce avec comme fond sonore le bruit de l’eau qui nous arrive atténué par la végétation et l’éloignement. Jassat atteint, reste à franchir la crêtes vers le nord par une petite sente puis un chemin. Un petit moment de hors piste et nous découvrons à travers de grands arbres le lac de Chambon, terme de notre week-end.

Lac Chambon

Merci pour les photographes et la bonne humeur pendant ce court séjour. Je n’oublie pas de remercier l’épouse de Claude pour son succulent pain d’épices.

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Jeu 10/02/2022 Chaîne des Puys Les Goules

Animatrice : Liliane
Nombre de participants : 22, animateur compris (11 F, 11 H)
Météo : températures fraiches le matin, un peu plus élevées l’après-midi allant jusqu’à 11. Soleil présent par moment mais ciel nuageux la plupart de la journée
Terrain : chemins et sentes agréables, boueux seulement à quelques endroits
Distance : 24,5 km Dénivelé : 800 m Durée : 8h pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 30 X 3 et 60 X 2 soit 300 kms, cinq voitures en tout

ITINERAIRE : Parking des Goules, Puy des Goules, PC 938, Puy de Chaumont, Puy des Gouttes, Puy de Leyronne, contournement des Puy Coquille et Jumes, bois de Pérol, bois du Girardet, Croix de Ternant, point de départ.

Ma proposition du jour au groupe : petite brochette de puys. La météo annoncée est favorable.

Nous partons du parking des Goules avec pour premier objectif le puy des Goules. La mise en jambe est rapide car très vite le chemin, en montée douce au départ, devient de plus en plus raide jusqu’au sommet. Là-haut nous sommes accueillis par un peu de vent, mais la vue sur les puys principalement du Pariou, du Puy de Dôme, du côme est saisissante. Nous faisons le tour du cratère et un peu plus loin ce sont les puys de Chaumont, les Gouttes et Chopine, Coquille et Jumes que nous pouvons admirer. On ne s’en lasse pas de ces puys !

Nous redescendons et contournons le Grand Sarcoui par la gauche pour nous diriger vers le puy de Chaumont. Nous entamons l’ascension de ce dernier par des chemins confortables. Puis, ne trouvant pas le petit chemin indiqué sur la carte, nous terminons en hors-piste jusqu’au sommet.

Nous redescendons, direction Puy des Gouttes, au sommet duquel est prévue la pause déjeuner avec vue panoramique. C’est par le GR qui grimpe fortement dans les arbres que nous atteignons notre but. Notre effort est récompensé par la superbe vue sur le Grand Sarcoui, le puy des Goules, du Côme, de Lantegy et bien sûr encore le Puy de Dôme qui trône au milieu. Mais c’est à l’abri du vent que nous prenons le temps de nous restaurer et de déguster quelques gourmandises offertes par certains (encore merci à eux).

Nous reprenons notre chemin par le fond du cratère tout en admirant le Chopine qui nous fait face, magnifique. Direction le puy de Leyronne que nous traversons en passant vers son sommet jusqu’aux puys de Coquille et Jumes. Le chemin qui passe par le sommet de ces deux derniers étant fermé pour travaux, nous les contournons par la gauche. Du coup, nous faisons le détour jusqu’à la Croix de Ternant. Les chemins empruntés sont un peu boueux mais gardent tout leur charme dans ces bois de Pérol et du Girardet. Puis dernière ascension jusqu’à la Croix pour apprécier la vue sur Clermont-Fd et ses alentours, avant de retourner à notre point de départ et terminer cette belle journée partagée.

Merci à vous tous pour votre bonne humeur et à très vite sur d’autres chemins.

La croix de Ternant

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Dim 06/02/2022 Raquettes Sancy – col de Clamouze

Animateur : Michel D.
Nombre de participants : 9 :  4F et 5H
Météo : Grand froid le matin, couvert température négative , redoux l’après midi avec humidité puis neige. Grosses bourrasques de vent d ‘ouest sur les parties découvertes.
Distance : 15 km 800
Dénivelé : 400m + et –
Qualité de neige : Croûtée le matin et souple sous le couvent de la forêt d’épicéas
Durée : 5h30
Classement : Facile
Kilométrage Auto : 2voitures de Clermont 120 x 2 =240km et du Crest  85 x 1 = 85km Total =325 km



Itinéraire :   Escarot , forêt de la Banny, ouest de Cocudoux, forêt de Cisternes, PC 1184, la Plaine, lac de Chambedaze, forêt de Fontlonges, PC1213, traversée de la grande forêt direction Montcineyre, grande plaine au sud du lac de Montcineyre, passage au dessus de la grande plage sud du lac, PC1206, puy Ferrand, sous Jansenet, Est du Cocudoux, retour au bois de la Banny et retour Escarot.


Départ du parking sans raquettes car la neige est dure et nous porte très bien, nous chaussons les raquettes à l’entrée du bois de la Banny que nous traversons dans une épaisseur de neige conséquente et souple. Après la forêt de la Banny nous entrons dans la forêt de Cisternes , nous la traversons du nord au sud jusqu’à Sagnes , plaine puis direction lac de Chambedaze caché dans un épais brouillard. Nous rentrons dans le bois de Fontlonges pour la pause de midi, puis grande traversée du bois en direction du lac Moncineyre qui est entièrement gelé. Montée au puy Ferrand et direction Est du Cocudoux. Puis de là on replonge dans le bois de la Banny à l’abri du fort vent d’ouest, après la traversée nous nous laissons descendre sur notre point de départ.

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