ANIMATRICE : Christèle NOMBRE PERSONNES : 16 P (9 F 7 H) METEO Brume en début de randonnée, soleil et ciel bleu le reste de la journée TERRAIN Quelques passages gras et un peu glissants DISTANCE 21 KM DENIV 510 M D+ DUREE 6H45 pauses incluses CLASSEMENT Facile KM AUTO 100 km X 2, 74 km X 1, 80 km X 1 PREPA ET REDACTION 3 heures
ITINERAIRE Ossebet, la Brousse, la Villedieu, Puy de l’Arfilloux, Villatier, PC 888, Moulin du Bost, Cisternes la forêt, PC 774, vallon du ruisseau du Besanton , passage HP, Lavergne, PC 865, Puy du Faux, le Bartéry, Ossebet
RECIT : Arrivée en force des Atlassiens à Ossebet qui viennent troubler la tranquillité de ce petit hameau agricole où l’élévage domine. Toute la journée la présence de nombreuses vaches (de race prim’holstein majoritairement) nous rappellera que nous sommes au pays de Mont Lait. Atmosphère laiteuse également pour notre début de parcours avec un ciel encombré par la brume.
Mais le soleil reprendra vite le dessus nous permettant d’apprécier les belles couleurs d’automne des forêts de Combrailles qui occupent encore un espace important notamment à proximité de la bien nommée Cisternes la forêt.
Le départ du brouillard nous a permis, à l’approche du Puy de Redondet, de retrouver la ligne des sommets du Sancy avec une petite révision des noms de certains. Après une descente le long d’une belle chênaie, un joli pré arrosé de soleil et à l’abri de la brise nous tend les bras ! il est tout juste midi , Jean Louis n’est pas là pour le rappeler… mais nous avons une pensée pour lui et décidons de vite profiter de cette agréable aire de pique-nique et profiter d’une première valse de douceurs apportées par certains que l’on remercie!!
Après la reprise, traversée du tranquille village de Cisternes la Forêt avant de plonger vers le ruisseau du Besanton .
Les pluies de la veille ayant grossi le petit cours d’eau, la traversée se fera en prenant appui tant bien que mal sur quelques grosses pierres ou carrément en mode trempette histoire de stimuler la circulation !.
Nous enchainons sur une petite montée hors-piste dans les bois qui réchauffe vite les pieds humides !
Puis c’est la remontée vers Lavergne et ses jolies maisons en pierre et la traversée d’un plateau dominé par un certain Puy du Faux (895 m) où l’on profite d’une belle vue étendue sur la totalité de la chaîne des Puys.
Fin de parcours très agréable car ciel bleu, soleil et douceur nous accompagnent mais avec le changement d’heure, l’astre jaune décline rapidement et se couche déjà derrière les collines lorsque nous retrouvons les voitures. La température baisse nettement ! Heureusement une sympathique collation offerte par Régine réchauffe vite l’atmosphère ! Grand merci à elle ! Et merci à tous les participants, c’est un grand plaisir de retrouver le « gang » du jeudi !!
Animateur : Jean-Michel Nombre de participants : 13, animateur compris (9 F, 4 H) Météo : Frais le matin, nuages et soleil, peu de vent Terrain : Sec Distance : 23,5 km Dénivelé : 530 m Durée : 6h35 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 3 X 80 km Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : Chidrac, St Cirgues sur Couze, St Vincent, St Floret, Chazeras, Tourzel, Antaillat, Puy de Mercoeur, Meilhaud, Chidrac
La journée se déroule à partir de Chidrac sur un versant nord de la Couze Pavin, qui faisait partie du Dauphiné d’Auvergne. Départ de la salle polyvalente ; le temps est frais, de saison, mais restera sec toute la journée avec soleil le matin, nuages à midi, soleil en fin d’après-midi. Nous traversons la Couze Pavin pour arriver à St Cirgues sur Couze où l’on peut admirer un important château du 16ème siècle qui a malheureusement brûlé en 1990 et mériterait une réhabilitation. Thomas Bohier, homme d’État au service des rois de France l’a édifié ainsi que le château de Chenonceau dans le Val de Loire qui est devenu propriété du Roi François 1er
Nous allons remonter la Couze jusqu’à St Floret en passant par St Vincent aux maisons bien restaurées et aux jolis pigeonniers. A un endroit on observe des travaux de consolidation des berges de la couze renforcées par des rangées de piquets de robinier
St Floret situé sur la Via Arverna du Chemin de Compostelle nous accueille avec son pont médiéval de la Pède surmonté d’un oratoire avec une Vierge à l’enfant et son château fort du 13ème siècle avec un donjon renfermant des fresques illustrant le roman de Tristant et Iseut.
Nous empruntons le joli sentier qui monte vers l’église du Chastel où se présente une vue sur le Massif du Sancy couvert de neige récente. L’église est entourée d’un cimetière qui présente des tombes anthropomorphes carolingiennes et un curieux ossuaire pyramidal. En quittant le site nous croisons une équipe de collectionneurs de voitures anciennes qui font une pause en plein air. Le chemin large nous mène en montée vers le hameau de Chazeras puis le village de Tourzel où nous nous installons sur une place pour le pique-nique. Liliane nous fait découvrir les délicieux crackers aux lentilles corail qu’elle a confectionnés. Le village de Tourzel abrite le Moulin des Volontaires, actuellement gîte d’étape, qui a reçu l’équipe d’Alain Bashung en 2003 pour la préparation de sa Tournée des grands espaces (chaque chambre a pour nom le titre d’une de ses chansons). Nous reprenons la route puis le chemin en descente avec sur la droite le Puy d’Ysson et le Puy de Vodable. Le parcours traverse Antaillat et rejoint le Puy de Mercoeur, homonyme de celui proche de Laschamps, mais plus modeste. Nous grimpons au sommet avec une petite vue sur le Sancy puis le contournons pour retrouver la Couze Pavin. Dans la descente, belle vue sur les grottes de Perrier occupées jusqu’à la moitié du 20ème siècle et qui ont été bien restaurées par une association locale
Le retour s’effectue sur un bon chemin rectiligne qui traverse Meilhaud où nous faisons une pause dans les remparts d’un ancien château médiéval situé au centre du village
Juste après Meilhaud, le château de Langlade propriété d’un haut fonctionnaire qui a été Secrétaire général des Iles Wallis et Futuna puis Préfet de la Savoie. Le chemin nous ramène à St Cirgues puis à Chidrac terme de la randonnée. A bientôt pour une nouvelle sortie.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 17 animatrice comprise (7F, 10H) Météo : ciel couvert Distance : 21 km Dénivelé : 800 m Durée : 6h30 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 150 km pour 2 voitures de Clermont Fd et 64 km pour 2 voitures du Crest, soit au total 214 km Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : parking du cimetière de Yronde, Buron, traversée D49 au point côté 573, point côté 683 , la Tiolière, Sud de Langlade, Chalogne, Pignols, traversée D225 au point côté 606, est du Puy de la Gardelle, Fayet, Font Merle, Col de la Croix des Gardes, Foncrépon, Yronde.
Le départ s’effectue sous un ciel couvert mais avec un magnifique panorama sur les sommets des Dômes et de la chaîne du Sancy. Un vent du sud-ouest nous accompagne dans la montée au village de Buron dominé par la sombre silhouette de son château en ruine. Arrivés au centre du village, nous prenons quelques instants pour visiter la chapelle.
Dommage, l’absence de clarté et de lumière (nous ne trouvons pas de bouton !) empêche de découvrir la fresque peinte sur la voûte qui évoque la légende du triste sire Robert de Buron, la terreur du pays.
Nous quittons le village en contournant La Motte, et nous dirigeons plein Est, direction le bois de la Comté. Dans la descente vers la D 49, nous remarquons une magnifique mais singulière sculpture en bois du Christ !
Après la traversée de la route nous nous retrouvons rapidement à l’abri du vent d’abord grâce aux haies qui bordent le chemin puis avec le passage en forêt entre le Puy de St Hippolyte et le Puy des Chaumes. A la Tiolière, nouveau passage dégagé, au loin les Dômes et en contrebas Vic-le-Comte qui paraît tout proche.
Mais autre chose nous interpelle : est-ce une statue ou un être vivant assis, immobile, en tenue de camouflage avec un fusil sur les genoux en bord du pré ? Un léger mouvement de tête et le mystère est éclairci ! Nous poursuivons en direction de Pignols que nous apercevons au loin. Nous montons jusqu’en haut du village pour arriver à l’église Sainte Madeleine renommée pour ses peintures murales datant du 14ème et 16ème siècle. Elle est fermée et ce n’est qu’après un aller retour à la mairie pour récupérer la clé que nous pouvons découvrir les particularités et richesses de l’édifice.
Après la visite il est encore trop tôt pour le pique nique et sur ce point haut nous ressentons fortement les rafales de vent. Nous attendrons un lieu plus abrité. Belle surprise à la sortie du village, où des légumes d’été, tomates, poivrons, aubergines sont encore bien présents dans un jardin. Le chemin passant dans le bois du Cheix Blanc étant fermé pour cause de travaux forestiers, je modifie le parcours pour arriver, sans passer par le Pont de la Pendue, à la D 225.
Après le pique nique pris confortablement assis sur le parapet du pont franchissant le ruisseau de Pignols nous empruntons une petite sente le longeant pour retrouver le chemin qui nous permettra de passer à l’est du Puy des Gardelles. Au Fayet, le ciel se découvre et le soleil fait une timide apparition.Deux broutards de race Salers, échappés du pré voisin où paissent leurs congénères, nous regardent passer. Pourvu qu’ils ne veuillent pas nous suivre comme le font quelquefois les chiens rencontrés ! Pas de risque, avec le «sautadou» assez remarquable, construit avec des petites branches de robinier faux acacia, disent les connaisseurs, qu’il faut utiliser pour passer la clôture.
Après de beaux chemins, une petite sente nous remonte sur Font Merle où l’on retrouve un chemin en courbe de niveau qui va nous conduire jusqu’au col de la Croix des Gardes. En cours de chemin, questionnement au sujet d’une borne en granit positionnée sur le bord et dénommée «Borne Nampeau». Personne n’a la réponse et même les recherches ultérieures ne me permettent pas d’en préciser la signification.
Au col, le ciel est à nouveau bien sombre et laisse échapper quelques gouttes. Mais l’averse est de très courte durée et la descente sur Foncrépon s’effectue au sec. On traverse le village aux belles maisons de pierre pour emprunter le chemin de l’abbaye (pour information l’abbaye du Bouschet où nous ne passerons pas), et au niveau du ruisseau de la Palle, remontons sur Yronde. Le ciel toujours très chargé sur la chaîne des puys laisse supposer que le temps y a été beaucoup moins clément que sur notre parcours. Merci à tous de votre présence et des distributions de gâteaux et friandises après le pique nique et à l’arrivée.
Animateur : Yves Nombre de participants :12 animateur compris (9 F, 3 H) Météo : Ciel dégagé, température douce, légère brise sur les hauteurs Distance : 22 km Dénivelé : 700 m Durée : 7h15 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 40 km pour 2 véhicules et un véhicule sur place Préparation et rédaction : 2h30
ITINERAIRE : Parking du Crest, Monton, Veyre, Soulasse, Corent, Les Martres de Veyre, Le Cendre, Orcet, Retour Parking.
Une fois n’est pas coutume, et problème de carburant aidant, ce matin nous partons du parking de covoiturage du Crest. Plusieurs objectifs pour cette journée, le premier d’un blanc immaculé se distingue à peine devant nous, déjà enveloppé par un beau soleil matinal, car il n’est que 8h30. Nous avons reculé nos montres d’une heure cette nuit, mais les astres n’ont pas varié la leur. Nous nous dirigeons donc vers le Puy de Monton, célèbre par sa vierge. Passé l’autoroute, petite information sur les mégalithes découverts lors de l’élargissement de celle-ci. Alignement d’une trentaine de menhirs de 1m à 1.60 m de haut sur 150 m de long, un des plus important du centre de la France. Malheureusement afin de ne pas retarder les travaux, ils ont été retirés et transportés en lieu sûr, aucun panneau ne confirme les fouilles, dommage ! La pente s’accélère rapidement pour arriver au pied du puy, constitué de blocs de basalte consolidés par du tuf lors d’une phase éruptive des Monts Dore. Creusé dans la falaise un site troglodyte, composé d’une soixantaine de cavités renforcées par des murs de soutènement, fut occupé de la fin du Moyen Age jusqu’au début du 20°siècle. Suite à des éboulements l’accès est interdit actuellement. Nous l’apercevrons lors du passage en bordure du village.
Petit bout de hors-piste en pleine pente pour atteindre le sommet surmonté de cette impressionnante Vierge à l’enfant de 14 m de haut posée sur une petite chapelle servant de piédestal. L’ensemble mesurant 21 m pour un poids de 220 tonnes. Sa hauteur en fait la quatrième plus haute de France, sculptée par Aristide Belloc dans des blocs de pierre de Beaucaire de 1864 à 1869. Depuis son inauguration en 1869 a lieu, chaque année fin août, un pèlerinage. Le canon Prussien à ses pieds surprend un peu, mais une plaque nous explique sa raison d’être. Il souffle une légère brise. mais la douceur est bien là. La vue à 360°, malgré notre faible altitude 585 m est très lumineuse à l’horizon, la table d’orientation également à 360° nous aide à identifier les éléments caractéristiques du panorama.
Rencontre fortuite avec une association, qui dresse des chiens pour la recherche de personnes, en opération d’entrainement ce matin sur le puy et dans le village en contre bas. A la sortie du village, interrogation à l’approche d’un étrange animal fait de bois et de paille, tout le monde donne sa version, pour certains un lama (!!!), pour d’autres, un escargot et pour tous c’est bien un hôtel à insectes.
Direction la réserve naturelle du Puy de Marmant que nous traversons avant d’arriver à Veyre. Nous sommes au sud de Clermont-Fd où beaucoup de villages ont connu une activité viticole importante avant l’arrivée du phylloxéra, cela a permis au département d’être à cette époque le 3e département viticole de France. Une cave coopérative « La Cave St Verny », seule du département, est encore présente à Veyre.
Nous traversons la Veyre, ruisseau qui a donné son nom au village, et nous voilà partis à l’assaut du plateau de Corent. La montée est assez pentue jusqu’à Soulasse et un petit coup de rein nous permet d’arriver sur ce grand plateau. De nombreuses reconstitutions, au regard des fouilles effectuées, nous confirment qu’ici au néolithique l’oppidum était la capitale des Arvernes. Nous nous approchons au bord de la falaise pour découvrir les méandres de l’Allier et nous entamons la descente sur Corent. Village connu pour son vin rosé, de cépage gamay, répertorié Côtes d’Auvergne AOC.
Dégringolade des Côtes Blanches avec l’Allier en toile de fond. Nous traversons l’extrémité sud-est des Martres de Veyre, pour nous approcher de l’Allier, où nous prenons dans un petit coin champêtre, presque les pieds dans l’eau, notre pause méridienne sous un soleil étincellent bercé par un léger clapotis. Pique-nique fini, nous repartons en longeant la rivière sur quelques mètres, pour découvrir une des nombreuses sources minérales naturelles qui se situent sur la commune : « La Font de Bleix », légèrement gazeuse, non ferrugineuse au débit peu important mais régulier. Elle sort à mi falaise, à quelques mètres au-dessus du niveau de l’Allier, plus ou moins cachée, entourée de mousse pétrifiée, dont le trop plein s’épanche dans la rivière.
Nous remontons plusieurs petites marches en bois et terre pour nous éloigner un peu du bord de l’eau. Nous longeons encore quelque peu la rivière, avant de la quitter définitivement, pour traverser Les Martres de Veyre en direction des Hauts de Chamblade au pied du Puy de Tobize. Le chemin grimpe fortement pour arriver au Puy de la Pierre. Entre ce dernier et le Puy de la Chèvre nous sommes entourés de vignes remarquablement entretenues et de vergers un peu délaissés. Nous poursuivons nos montagnes russes par le Puy de Marmant, deuxième de la journée, mais sur la commune du Cendre celui-là, utilisé comme pente école de parapente. Etonnant d’avoir deux puys au nom identique à 4 km l’un de l’autre ! Après une descente escarpée, cap sud-ouest en pente douce vers Orcet pour rencontrer l’Auzon, ruisseau paisible, et le remonter partiellement. Contournement de l’étang des Pèdes où plusieurs pécheurs taquinent le poisson. Avant de repasser sous l’autoroute, nous marchons à proximité du Domaine du Val d’Auzon réputé pour son cabaret « Le Garden Palace » et traversons le golf de 18 trous sans prétention, animé par des golfeurs qui s’adonnent à leur passion. La buse métallique passée, il nous reste un dernier effort pour grimper à la Garde d’où l’on domine le parking, on se laisse glisser tranquillement et nous voici aux voitures. Malgré que ces différents puys ne soient pas très hauts, nous aurons quand même effectué 700 m de dénivelé positif tout en restant dans la partie basse de la métropole, le tout agrémenté de curiosités variées.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 6 animateur compris (2F-4H) Météo : trop chaud ! Distance : 21,5 Km Dénivelée : 460m Durée : 3h12 (3h25 pauses comprises) Moyenne : 6,7 km/h (sans les pauses)
Itinéraire : Col de la Moréno (près de l’auberge), sous la source de l’Enfer, La Boue, PC 978, vers Antérioux, PC 925, PC 946, GR441B, est de Nébouzat, Récoleine, le Pradat (l’était pas là ) chemin parallèle à D2089 jusqu’à hauteur de Randanne, W puys de Montchal, NW jusqu’au puy de la Vache, sud puy de Lassolas par GR4 puis vers Laschamps par GR441, clairière vers Mercoeur,…, ouest puy Pelat, sud-ouest puy de Montchar (Vasset), grand chemin d’exploitation vers D942 puis nord-ouest pour couper D942 au PC 972, contournement puy de Barme par l’Ouest, retour col par la grande trouée avec ligne électrique.
Sortie dynamique sur un parcours roulant en empruntant de beaux chemins d’exploitation et des sentes forestières en partie effacées. Allure régulière avec les deux pauses syndicales de 5 minutes augmentées de deux mini pauses pour boire. Terrains variés et une grosse chaleur heureusement adoucie par une petite brise bienvenue. Un petit groupe homogène et sympathique. Vitesse moyenne préconisée tenue… Une manière dynamique de lancer son week-end.
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 7. 2F. 5H . Météo : nuageux et très chaud 28″ Terrain : sec Distance :. 33km Dénivelé :. 680 m Durée : 2 H30 Classement : Facile Préparation : 1h
Itinéraire : ARTENIUM, romagnat,la roche blanche, le Crest, plateau de la serre, nadaillat, teix, rebond bas, haut de Ceyrat, ARTENIUM
Remarque: bonne reprise dynamique du groupe. Tout le monde en parfaite condition.
Animateur : Michel J. Nombre de participants animateur compris : 21 (14F, 7H) Météo : ciel se couvrant rapidement par des nuages d’altitude, température douce Terrain : souple Distance : 24 km (gps) Dénivelé : 640 m (montre altimétrique) Durée du déplacement : 6h40 (montre chrono) Durée de la randonnée : 5h10 environ Classement Atlas : facile Kilométrage auto : (80 x 3) + (40 x 2) = 320 km Préparation et rédaction : 3h00
Itinéraire : parking à droite à l’entrée de Zanières, à proximité de la D5, le Moulin de Saulzet, Saulzet-le-Froid, Pessade, contournement par l’Ouest et le Sud du Baladou, Bois de Maugue, Bois de Mareuge, Mareuge, sommet du Puy de Montenard, Zanières.
Un doux parfum de campagne nous enveloppe pour démarrer cette randonnée digne sur le plan météo d’une fin d’été. Quelques informations sur le parcours puis c’est le départ sous un ciel qui se tinte rapidement d’une blancheur laiteuse amenée par un léger vent de Sud-Ouest. Nous passons à proximité du Moulin de Saulzet qui à une époque un peu lointaine, sans doute, se servait de la force hydraulique du ruisseau du Labadeau mais pour quel usage ? Un peu en amont, juste au-dessus de la D74, un autre moulin, le Moulin de Souverand situé sur le même ruisseau entretient le mystère. Aucune explication trouvée ! Ce beau ruisseau ignoré se jette face au Montcharley dans la Veyre. Ayant retrouvé le GR4-et GR441, nous nous dirigeons paisiblement vers Saulzet-le-Froid, village d’un grand calme où même les chiens regardent passer les randonneurs en levant tout juste la tête. Quelques tracteurs à l’ouvrage et quelques 4×4 de chasseurs amènent un bruit mécanique.
Petite pause à la Croix Grande, toujours aussi belle taillée dans la pierre volcanique. Au loin, se dessine dopé par une humidité atmosphérique, le massif adventif du Sancy composé de quatre sommets principaux, le Puy de la Tache (1629m), le Puy de Monne (1692m), le Puy Barbier (1702m) et le Puy de l’Angle avec sa pointe si caractéristique (1738m).
Pessade traversé où un car de jeunes aventuriers vient d’arriver pour investir le « Chouette Parc », nous quittons les grands espaces de prairies artificielles pour gagner les estives où les gyrobroyeurs forestiers ont dégagé le terrain des grands genets à balais qui l’hiver venu, nous empêchaient de progresser sereinement en raquette à neige. Les chasseurs ont pris possession de ce vaste territoire de Pessade aux confins de la Monne. Quelques tuniques oranges postées à des points stratégiques accompagneront notre journée. Le bonjour est de rigueur et le contact jovial. Nous sommes jusqu’au col de Diane à découvert et même notre passage par la petite sente à gauche du bassin versant du Chevalard ne peut passer inaperçu.
Le bois de Pessade sur notre droite, nous contournons par l’Ouest puis par le Sud, sans le gravir afin de respecter la prévision de dénivelée annoncée pour la journée, le Puy de Baladou (alt.1455m). Une longue descente sur un chemin confortable s’amorce et se termine par la traversée de la Monne. Nous sommes au cœur du bassin versant de la Monne, merveilleux terrain de jeu lorsque l’hiver, la neige est au rendez-vous ! Le chemin pour traverser la rivière est devenu une large piste avec sur les pentes des coupes importantes d’arbres certains gisant, les troncs s’entremêlés. Le pique-nique d’un commun accord est pris en lisière de forêt avec la vue sur les Rochers de Sautet. Certains préféreront se mettre à couvert des épicéas pour échapper à la légère brise qui souffle du Sud. Nous laissons la vaste estive du buron du Leyrenoux sur notre droite et prenons plein Est, longeant le bois de Maugue et le bois de Mareuge à main gauche presque entièrement rasés récemment et replantés de mélèze. Au lieu appelé Le Creux, nous observons des chèvres Angora qui donne la fameuse laine mohair.
Les trois petits étangs alimentés par la Monne laissés sur notre gauche, nous traversons Mareuge en prenant plein Nord. Face à nous la dernière difficulté de la journée que l’on attaquera par le Sud en prenant un vieux chemin malheureusement interrompu par une clôture qui nécessitera de faire un peu de gymnastique. La montée est avalée et du haut de ses 1173m, le Puy de Montenard nous permet de découvrir une grande partie de l’itinéraire effectué et un panorama sur plus de 180° en direction du Sancy. Zanières au pied du puy est gagné rapidement avec le plaisir que procure une journée bien remplie. Merci pour votre bonne humeur et pour les douceurs distribuées à la fin du repas et à l’arrivée. A bientôt pour de nouvelles aventures !
Remarque : ambiance agréable sous une température d’une fin d’été…
Animateur : Fabien Nombre de participants : 16 (10F, 6H) animateur compris Météo : Couvert le matin, pluie l’après-midi. Vent fort Terrain : Humide. Joli tapis de feuille dans les sous-bois Distance : 18,5 km Dénivelé : 700 m Durée : 6h05 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 76 km pour 3 voitures de Clermont soit 228 km et 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : Col de Guéry, Puy Loup, Col de St Laurent, Chez Tamboine, Planoles, Légal, La Fougère, Pailloux, PC1366, Ouest lac de Guéry
Départ du Col de Guéry où le vent se fait déjà bien sentir. Après avoir vadrouillé dans la partie ouest de la forêt domaniale de Guéry, nous débouchons sur le plateau où le vent est bien présent. Malgré tout, nous prenons le temps d’observer les Roches Tulière et Sanadoire et le lac de Guéry.
Nous rattrapons ensuite l’ancienne route qui mène à la ferme du Puy May pour la quitter rapidement en direction du sommet du Puy Loup. Durant toute la montée, le vent se fait de plus en plus fort et les participants luttent contre celui-ci. La majorité de la randonnée se faisant sur le plateau, l’animateur commence à réfléchir à un plan B plus abrité. Arrivé au sommet du Puy Loup, toujours à cause du vent, la pause pour observer le panorama à 360 degrés est très courte et nous redescendons rapidement en direction du col de St Laurent. Lors de cette descente, nous pouvons observer la borne des 4 seigneurs. La borne actuelle, installée à l’automne 2005, remplace une plus ancienne qui marquait la limite entre les seigneuries de Perpezat, Laqueuille, Préchonet et Murat. Cette borne actuelle marque les limites entre les communes de Perpezat, Laqueuille, Murat le Quaire et le Mont Dore. A cet instant de la balade, le groupe Atlas Aventure était donc disséminé sur ces 4 communes !! A côté de cette borne, un stèle marquée « Albert Aujeas-15 juillet 1942 » intrigue le groupe. Pierre, après une recherche sur internet, nous explique qu’il s’agit d’un instructeur de planeur qui s’est tué en vol suite à une collision avec un élève.
Nous continuons la descente sur le Col de St Laurent. Le vent est toujours aussi fort et j’ai validé dans ma tête le plan B. Arrivés au col, je le propose donc au groupe qui acquiesce à l’unanimité. Au lieu de monter à la Banne d’Ordanche puis filer sur Murat le Quaire comme prévu, nous contournerons le Puy Gros pour se retrouver dans les bois. Nous voilà donc repartis en direction du Ténon en essayant de garder la courbe de niveau pour éviter une descente suivie d’une remontée.
Après avoir passé le Ténon, c’est là que nous pénétrons en sous-bois. Le sol est superbe avec son tapis de feuille morte mais nous demande de rester vigilant, ces feuilles mortes cachant pierres et trous.
Nous longeons le Puy Gros d’abord par l’ouest puis nous bifurquons à 90 degrés pour continuer ce contournement par le sud. C’est là que nous faisons la pause casse-croûte. Après s’être rassasiés, nous repartons sous les premières gouttes de pluie. Une ouverture dans les bois permet au groupe de voir le Puy Gros sous un angle méconnu de tous. C’est alors que, malgré sa présence sur la carte, le chemin s’arrête, nous obligeant à un hors-piste imprévu pour rejoindre Planoles où nous retrouvons un chemin qui nous mène à Légal puis Pailloux. De là, nous bifurquons plein nord pour entamer une belle montée à travers bois qui nous fait rejoindre le plateau du Guéry à l’est du Chantauzet. Après avoir traversé la partie sud de la forêt domaniale de Guéry, nous revoilà au pied du lac que nous longeons par l’ouest pour rejoindre notre point de départ, sous une pluie qui s’est intensifiée qui fait que nous finissons cette randonnée bien mouillée.
Animatrice : Liliane Nombre de participants : 17, animateur compris ( 11 F, 6 H) Météo : températures agréables. Nuageux mais nombreuses apparitions du soleil. Pas de pluie pourtant annoncée. Terrain : chemins sur terrain sec. En sous-bois très agréables tapissés de feuilles mortes. Distance : 18 kms Dénivelé : 790 m Durée : 6 h 15 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 65 X 1 et 35 X 3 soit 170 kms. 2 voitures de 4 personnes, 2 voitures de 3 personnes et 2 voitures sur place. Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Parking rond-point de Vulcania, tour des puys des Gouttes et Chopine côté ouest, PC 1018 et 946, ascension du Louchadière, descente HP côté Nord-Est, PC 1026, montée des puy Jumes et Coquilles, traversée du puy de Leyronne, ascension du puy Chopine, petit HP pour retrouver PR direction montée puy des Gouttes, descente par PR, retour au parking.
Ce jeudi nous allons dans nos puys pour savourer et profiter des belles couleurs de l’automne. Nous partons du parking vers le rond-point de Vulcania et nous engageons sur le chemin qui contourne les puys de Gouttes et Chopine, direction le Puy de Louchadière. Belle mise en jambe avant d’entamer l’ascension du Puy. Mais auparavant nous prenons le temps de contempler une œuvre en pierres de Volvic sculptée par Thierry Courtadon : un énorme « CHUT ! ».
La sente qui monte jusqu’au sommet du puy, camouflée sous un douillet tapis de feuilles mortes, est à peine visible. D’ailleurs sur la fin nous perdons sa trace et terminons-en hors-piste pour le retrouver au sommet. La descente se fait en hors-piste avec pour objectif de tomber pile sur l’épave d’un petit avion (qui s’est écrasé en 1967). Sa carcasse est toujours là ! Nous continuons notre descente dans un épais tapis de feuilles mortes aux couleurs automnales. Le sol est un peu glissant, nous devons donc rester vigilants mais c’est un régal ! Nous nous dirigeons ensuite vers le puy de Jumes. Arrivés à son sommet nous prenons le chemin de crête qui nous mène jusqu’au puy de la Coquille.
Tout le long le paysage est saisissant : vue sur le Louchadière d’abord, puis en direction de Coquille vue sur les puys de Chaumont, puy de Dôme, Chopine, Côme. Tous revêtus d’un manteau aux couleurs chaudes de saison.
Avant de redescendre nous nous installons à l’abris du vent pour notre pause déjeuner et profitons encore et encore de ce panorama magnifique. Puis nous traversons le Puy de Peyronne et entamons la montée du Chopine par un chemin peu fréquenté qui devient une sente très agréable dans la végétation. Ce chemin aboutit proche du sommet et il nous faut faire demi-tour pour reprendre notre itinéraire. Plus bas, dès que le terrain nous le permet, nous coupons en hors-piste pour rejoindre un chemin en contre-bas. La descente s’avère délicate au tout début mais le terrain devient très agréable à fouler sur le sol moelleux sous les arbres. Nous rejoignons le PR qui monte au puy des Gouttes par son cratère. Parvenus au sommet, nous prenons le temps de contempler et d’apprécier la vue panoramique sur le Puy de Dôme et tous les puys alentours (Lemptégy, Côme, Pariou, Les Goules, grand et petit Sarcoui…). On en prend plein les yeux ! Puis nous redescendons, jusqu’à nos voitures. Certains avaient prévu petits gâteaux et chocolats que nous savourons dans une ambiance amicale avant de nous qui quitter.
Encore une belle journée partagée ! Merci à vous et à très vite.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (4F-3H) Météo : douceur et soleil Distance : 25 km (GPS) Dénivelée : 810 m (GPS) Durée : 7h30 ClassementAtlas : Facile Kilométrage voitures : 2 voitures de Montferrand Préparation et CR : 2h
Itinéraire : Sarcenat, D90, D773, croix de Ternant, ouest côte Verse, D559, PC904 et 896, PC879 et D775, ouest du bois de Girardet, NW dans bois de Perol, HP plein ouest jusqu’au sommet du puy de Coquille, GR441, sud puy Chopine puis sommet puy des Gouttes, HP E-SE jusqu’au GR441, D559, S du creux Morel puis NE jq’au PC960, entre puys des Goules et Grand Sarcoui, en HP, NE jq’au PC964 et retour Sarcenat par le même chemin qu’à l’aller
Nous partons pour une journée ensoleillée et chaude d’un petit village proche de Clermont (pénurie d’essence oblige), Sarcenat. Direction la chaîne des Puys un peu plus haut sur le plateau.
Petit détour par la croix de Ternant que les villageois ont offerte à la vue de tous les Clermontois dans les années 1930. Le but du jeu est d’aller chercher par la forêt la pente est des puys de Jume et Coquille pour gagner Coquille. Dans les sentiers forestiers, nous croisons quelques dizaines de VTTistes, en majorité électrisés… Un peu d’azimut HP pour parvenir au pied de la pente avec une petite dénivelée de 250 m que nous absorbons tranquillement en profitant de la belle hêtraie.
Nous arrivons juste sur le puy de Coquille où nous prenons notre déjeuner au soleil. Pas de randonneur en vue : je m’attendais à une plus grosse affluence avec la météo du jour ! Nous reprenons la boucle en suivant le GR441. Depuis mon dernier passage, un long escalier a été installé.
Les travaux vont continuer avec l’installation de petites barrières de branches de noisetier entremêlées tout le long du chemin : il ne faut surtout pas en sortir…. comme sur le chemin des Muletiers. Nous suivons le GR441 jusqu’au croisement avec la montée au puy des Gouttes. Nous parvenons rapidement au sommet et nous profitons d’une belle vue sur le sud de la chaîne jusqu’au Sancy. Ne faisons pas les blasés, ce paysage est toujours remarquable et il ravit les plus novices…Pour rompre un peu la monotonie d’une descente par le chemin vers la route D559 qui mène à Chanat, je propose de descendre pleine pente vers l’est : les genêts à balais à travers lesquels nous disparaissons sont de valeureux combattants qui ne se laissent pas déborder facilement. Surtout aidés par leurs supplétifs vicieux et féroces, les ronces ! Une pause s’impose après ces 150 m de descente éprouvante. Nous retrouvons au bout de quelques minutes la pente assez sèche qui nous amène au col entre Sarcoui au nord et Goules au sud. Nous croisons des randonneurs-promeneurs du dimanche après-midi avant de reprendre un court HP qui nous ramène vers le bois de côte Verse et notre cheminement de l’aller que nous suivons jusqu’à Sarcenat. Oui, la boucle n’est pas fermée de façon élégante mais il y a peu de possibilités intéressantes dans le secteur pour regagner notre lieu de stationnement … Un bon chocolat suisse offert par Samanta, nouvelle adhérente, nous réconforte après l’effort. L’occasion de nous rappeler que nous sommes des citadins heureux d’avoir une telle offre de pleine nature à 10 minutes de chez nous.
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