Nombre de participants : 5 animateur compris (3F, 2H) Météo : soleil et ciel bleu avec un léger voile de nuages élevés annonçant le mauvais temps. Température douce.
Classement : moyen du fait de la distance parcourue et la durée de navigation Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 2 heures
Matériel mis à disposition par l’association : 3 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 2 de marque Dag, modèle Miwok et Ysak, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant).
équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres)
équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles et 1 de secours)
pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Pique-nique dans la vallée de Chalamont
Organisation générale : Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule : 100 km Niveau d’eau : le plan d’eau était bien rempli et proche de son maximum. Conditions de navigation : très bonne. Kilométrage parcouru : 23 km et 04h12 de navigation à la moyenne de 5,6 km/h environ.
Voyage dans une forêt d’arbres morts
Ayant reporté pour des raisons de météo, le séjour n°8, j’ai proposé aux inscrits de participer à la journée à une sortie au plan d’eau de Fades-Besserve. Après avoir récupéré Santiago venant du Mont-Dore à la sortie de Pontgibaud, nous sommes rapidement sur place. Après avoir déchargé les bateaux et tout le matériel, nous prenons place chacun dans un bateau, confiant l’Ysak équipé seulement d’une dérive à Gwladys pour lui permettre de connaître de nouvelles sensations. Sur les 5 kayaks, 3 sont équipés de gouvernail et 2 d’une dérive. Deux pilotages très différents. L’objectif est de parcourir à partir de la plage de la Chazotte, le plan d’eau jusqu’au barrage puis de découvrir la petite vallée du Chalamont qui nous a fait naviguer dans une forêt ennoyée encombrée d’arbres morts mais encore debout. Nous avons profité de cette belle journée avec une température presque estivale pour mettre en pratique la technique du radeau…
Nombre de participants : 17animatrice comprise (10F, 7H) Météo : beau temps ensoleillé, quelques passages nuageux et fortes rafales de vent le matin. Distance : 21 km Dénivelé : 940 m Durée : 7 h 30 Classement Atlas : moyen Kilométrage auto : 176 km pour 2 voitures de Clermont Fd, 144 km pour 2 voitures du Crest, soit au total 640 km. Préparation et rédaction : 3 h 00
ITINÉRAIRE : Auriac-l’Église, Nord Est de Serre, Alagnon, Escrousset, la Bastide, Roche de St Roman, Foulières, Laurie, La Crose, Auriac l’Église.
Ce tracé préparé depuis plusieurs mois attendait les beaux jours pour être réalisé afin de pouvoir profiter au maximum des belles ressources naturelles que possède cette région. Le village d’Auriac-l’Église est situé à l’est du Cézallier, dans la vallée de la Sianne. Mais pour commencer nous montons sur le plateau direction sud ouest. Le vent souffle fort et on comprend mieux pourquoi de larges murs de pierres certainement ramassées dans les terrains alentours (rien ne se perd !) les bordent.
Mur de pierres
En contrebas on distingue sur l’herbe bien verte d’un pré 3 chevreuils qui broutent tranquillement. Ça commence bien !
Peu après la jonction avec la D355, nous bifurquons à droite sur un chemin qui descend vers le bois de Gironde. Après quelques mètres parcourus, il s’arrête et une petite partie de hors piste commence. Le terrain est en pente puisque nous descendons vers la Sianne mais sans grosses difficultés. Le chemin retrouvé nous amène rapidement à la rivière et à un charmant pont qui permet de la traverser.
Pont sur la Sianne
Pendant la montée sur Escrousset nous apercevons la Tour de Colombine, tour seigneuriale carrée datant de la fin du 12ème ou début du 13ème siècle qui domine la vallée.
Tour de la Colombine
Mais elle n’est pas sur le parcours. Notre objectif est la Roche de St Roman située au nord est de la Bastide, hameau qui surplombe le ruisseau de Vaurèze. Encore une descente et une nouvelle montée qui se font facilement car les sentiers ont un bon profil. Puis de larges chemins amènent au pied de la Roche de St Roman. Un panneau alerte sur la dangerosité de l’accès au sommet. Mais une chaîne et une échelle scellée dans le rocher facilitent l’escalade. Le point de vue est magnifique et nous y prenons le pique nique tout en surveillant au loin dans un pré le déplacement d’un nouveau chevreuil.
Roche St Romain
Pour la descente, l’aide et les conseils de Pierre, Georges et Yves rassurent les plus hésitants. La majorité du dénivelé est fait, nous sommes maintenant sur le plateau. De larges espaces pas encore occupés sauf par un ramasseur de mousserons.
A Laurie, petit détour pour visiter l’église du XIIème siècle.
Eglise de Laurie
Puis c’est la descente sur la Crose avec un nouveau petit bout de hors piste avant la D9 sur laquelle se promène une salamandre.
Nouvelle traversée de la Sianne.
La Sianne
Avant d’arriver à Auriac où nous visitons l’église St Nicolas construite au12ème siècle mais modifiée de nombreuses fois avec notamment au 15ème l’ajout d’une tour-escalier ronde accolée au clocher. Un rafraîchissement pris à Massiac termine cette belle journée. Merci à tous et à bientôt sur de nouveaux chemins.
Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Chaque semaine les informations sur l’activité sont enregistrées sur le répondeur dédié 0473257706. le lundi pour le lundi soir et le mardi soir et le vendredi pour le samedi matin.
En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18 h 30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h.
Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement ou au Parc de Montjuzet, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres.
Statistiques du 1 marsau 30 avril2023.
Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi : 6 Mardi : 7 Nombre de séances annulées : 1 Types de séances Fractionné : 4 (lundi) 3 (mardi) Foncier : 2 ( lundi) 4 (mardi)
Nombre de participants Lundi : 68 dont 41 femmes et 27 hommes Mardi : 53 dont 21 femmes et 32 hommes Total : 121 dont 62femmes et 59 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J,
Les samedis Nombre de samedis :5 Nombre de séances annulées : 2 Allure Modérée : 5 Soutenue : 2
Nombre de participants : 38 dont 19 femmes et 19 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J, Sébastien
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 8 animateur compris (6F, 2H) Météo : Ensoleillé, quelques passages nuageux, températures douces Distance : 24 km Dénivelé : 800 m Durée :7 H 30 pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 80 x 2, soit 160 km Préparation et rédaction : 1 H
ITINERAIRE : Saint-Nectaire, Grottes de Châteauneuf, Menhir de Freydefont, Croix du Pendu, Saignes, Mareuges, Puy de Monténard, Zanières, Monne, Fontmarcel, contournement est de la Pinarde, Lambre, Saint-Nectaire
Nous démarrons notre parcours par une belle montée en direction des grottes de Châteauneuf. De là nous attend une belle vue sur la vallée de la Couze Chambon et notamment le château de Murol, toujours fièrement dressé au sommet de son promontoire basaltique. Nos pas vont alors nous faire remonter le temps de l’époque médiévale jusqu’au Néolithique, avec un passage devant le dolmen de la Pineyre, puis le menhir de Freydefont. Le premier ressemble plus à un tumulus qu’à un dolmen, la terre ne laissant dépasser quasiment que la pierre sommitale. Le mobilier de sa chambre funéraire a malheureusement disparu à une époque indéterminée. Quant au second, il s’agit d’une pierre d’1,65 m de hauteur, probablement érigée à cet endroit dans un but mystique. Une fois passés les abords du Bois de Mareuge, nous entamons l’ascension du Puy de Monténard, seule grosse difficulté de la journée, au sommet de laquelle nous faisons la pause déjeuner. Le reste du parcours nous conduira à travers le vallon de la Monne que nous franchissons entre Monne et Fontmarcel, avant de reprendre de la hauteur et de profiter de belles échappées en direction des Puy d’Olloix, de Saint-Sandoux et de Gourdon.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 8 animateur compris (2 F,6 H) Météo : doux et sans pluie sur les deux jours
Jour 1 :
Distance : 20 km (GPS)
Dénivelée : 1400 m (GPS)
Durée : 7h30 pauses comprises
Classement Atlas : Difficile
Itinéraire : lycée Chamalières- Villars – Le Cheix – golf d’Orcines – péage – col de Ceyssat – sommet du PdD – sentier des Chèvres – petit Suchet – Grand Suchet – Chabanne Vieille – sommet du puy de Côme par le versant Est dans la hêtraie
Jour 2 :
Distance : 25 km (GPS)
Dénivelée : 560 m (GPS)
Durée : 9h pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Itinéraire : Puy de Come – Sous le Cliersiou – Pariou par chemin Nord – Traversin – Creux de la Berthe – Col de Ceyssat – GR4 – D942 – D767a – Montrodeix – La Font de l’Arbre – Fontanas – Chemin des Crêtes – côte du Bey – Lycée Chamalières
Kilométrage auto : 0 km : toutes les voitures au point de départ
Préparation et rédaction : 2H00
Week-end de rando sur deux jours pour préparer le séjour du GR10 en juin avec longueur et dénivelée en autonomie.
Parcours classique le jour 1 au départ de Chamalières avec le puy de Dôme en sommet et la montée finale au puy de Côme. Notre « mathématicien » a calculé que la pente empruntée dans la hêtraie était de 40 %. Belle journée dans des terrains que l’on connait par cœur mais qui nous ravissent toujours. L’occasion de se déplacer avec des sacs bien chargés et avec près de 4 litres d’eau pour certains. Peu de monde sur les chemins et un bivouac rapidement installé en fin de journée. Après le repas, présentation du parcours avec les 4 cartes nécessaires de Banyuls à Planes et échanges autour de l’alimentation (qualité / quantité) et de l’eau dans les PO.
Après une belle nuit douce et réparatrice retour sans problème vers Chamalières avec une bonne pause méridienne sur les pentes au-dessus du Creux de la Berthe.
Animatrice: Liliane Nombre de participants : 21, animateur compris (8 F, 13 H) Météo : températures agréables. Nuages et soleil. Pas de pluie pourtant annoncée. Terrain : chemins sur terrain sec. Distance : 21 kms Dénivelé : 750 m Durée : 6 h 45 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 90 X 2 et 122 X 3 soit 546 kms. 2 voitures de 5 personnes, 1 voiture de 4 personnes, 2 voitures de 3 personnes. Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Lac Pavin, Rioubes bas, Les Martelles, Puy de Chambourguet, descente sur Super Besse, PC 1296, PC 1278, Chapelle de Vassivière, chemin de croix, tour du puy Merle par PC 1244-1238-1207, PC 1228, Puy de Montchal par PC1258-1297, descente sur le lac Pavin par PC 1328 et 1303, tour du lac.
Aujourd’hui notre randonnée de ce jeudi démarre près du lac Pavin pour quatre objectifs : le Puy de Chambourguet, la chapelle Notre Dame de Vassivière, le Puy de Montchal et le lac Pavin.
Par la petite sente que nous prenons peu après Les Martelles nous entamons doucement la montée direction le Puy de Chambourguet. Tout le long, la vue superbe sur le lac Pavin, le puy de Montchal et sur le massif du Cantal nous accompagne.
Lac Pavin et Puy de Montchal
La partie finale de l’ascension du puy est bien plus raide jusqu’au sommet (1521). Mais notre effort est récompensé par la vue panoramique saisissante sur la chaîne des puys et, à nos pieds, Super Besse et le lac des Hermines.
Vu du Puy de Chambourguet
Nous reprenons notre chemin par une descente jusqu’à la station pour notre deuxième objectif la chapelle Notre Dame de Vassivière. Et c’est sur ce site remarquable que nous sortons notre panier du sac. Tous les ingrédients sont réunis pour une très agréable pause déjeuner : décor, panorama, soleil et ambiance amicale !
Notre circuit se poursuit par la descente du chemin de croix, puis par le tour du puy Merle, direction le Puy de Montchal. La petite sente prévue pour son ascension sur son versant sud est encombrée de ronces au départ. Mais un peu de hors-piste improvisé et un peu sportif nous permet de retrouver la sente un peu plus haut. Parvenus au sommet, une vue magnifique nous accueille : le Chambourguet (qui surplombe la station), le puy de La Perdrix, le puy de Paillaret, Vassivière, le puy Merle. Nous pouvons ainsi visualiser tout le chemin parcouru depuis le matin : très intéressant et impressionnant !.
Vue du Puy de Montchal
Notre périple se termine par le tour du lac Pavin avec quelques arrêts photos pour profiter de ce fascinant lac de cratère lové au milieu des arbres.
Encore une très agréable journée sportive partagée qui se clôture amicalement par une dégustation de pâté (fait maison) offerte par Jean-Louis (merci à lui). Merci à vous et à très vite pour une autre destination.
Animateur : Michel J Nombre de participants : 9 ( 5 femmes et 4 hommes ).
Le mot de l’animateur : cette rivière reste surprenante. L’ayant parcourue à maintes reprises, la descente est chaque fois différente. Le débit d’eau modifie complètement l’aspect du lit. Une année, on passe à droite, l’année suivante, la difficulté se passe à gauche, les bancs de sable ont disparu ou changent de place. A chaque fois, c’est comme une nouvelle rivière ! Même la faune se plaît à nous dérouter, on l’attend là, et cette année, elle est plus dense en aval ou en amont de tel point repéré les saisons précédentes. Et que dire des visiteurs ailés, toujours plus nombreux pour le bonheur des « pagayeurs ». A souligner, les deux oiseaux un peu plus rare rencontrés, le balbuzard à deux reprises et la dizaine d’ œdicnème. Devant l’intérêt des participants, j’ai constitué à partir de données trouvées sur internet ou dans ma bibliographie une liste des oiseaux les plus vus avec quelques détails permettant de les identifier facilement. Cette rivière est d’une beauté et d’une richesse extraordinaire, dommage que les hommes n’en prennent pas assez soin ! Je tiens une nouvelle fois à remercier, Daniel, Luc, adhérents, et Anne-Marie qui nous ont apporté leur soutien pour la dépose et la récupération des participants. Sans eux pas de séjour linéaire possible !
Météo : les prévisions incertaines au moment du départ se sont révélées changeantes au fil des jours. Ce qui a été constant c’est la fraîcheur. Les quelques rayons de soleil, les deux derniers jours ont été fortement appréciés. Le vent a été orienté au Sud au départ virant au Nord-Ouest puis à l’Ouest au cours des quatre jours. Quelques rafales sur la fin ont ralenti notre progression par moment. La pluie nous a accompagné le samedi après-midi, s’interrompant le temps de la mise en place du bivouac. Les autres jours, quelques gouttes le dimanche dans un ciel très nuageux.
Niveau d’eau : contrairement à l’an passé, nous avons bénéficié d’un volume d’eau plus important. Pour mémoire, j’ai relevé les débits suivants : samedi 22 avril, Vichy St Yorre à 12h00 : 64 m³/s dimanche 23 avril, Châtel-de-Neuve à 11h55 : 79,2 m³/s lundi 24 avril, Moulins à 10h00 : 83,8 m³/s mardi 25 avril, valeur de la station la plus proche de notre point d’arrivée Cuffy (Pont du Guétin) à 14h00 : 83,2 m3/s
Classement : facile mais cela reste de l’aventure avec des paramètres imprévus qui nécessitent une forte adaptabilité, une écoute, un équipement sérieux et de la bonne humeur. Conditions de navigation : bonne avec une rivière qui a utilisé toute la largeur de son lit à partir de Moulins. Kilométrage parcouru : 120,6 approximativement Les données ont été fournies par une montre GPS de marque Garmin. Heures de navigation sur le séjour :14 h 50 Vitesse moyenne de progression sur les 4 jours : 8,40 km/h (environ)
Matériel mis à disposition par l’association : – 3 canoës canadien de marque Venture modèle prospector 17 – 1 canoë canadien Nova Craft prospector 17 – 1 canoë canadien Old Town camper – équipement complémentaire pour les canoës (4 pompes, 4 écopes, éponges, 5 cordes de 15 mètres, des mousquetons, 3 chariots) – pour les bagages, chaque participant avait à sa disposition un container de 60 litres et par bateau, un autre de 30 litres et un sac étanche de marque Zulupack pour 4 bateaux – pour le couchage individuel ou en couple 2 tentes Hardwear Montain, 1 tente Coleman Cobra, 1 tente Décathlon 900T (trois participants avaient leurs tentes personnelles) – 7 tapis de sol complémentaires Space Blanket (orange) – équipement pour les participants (9 gilets d’aide à la flottabilité, 9 pagaies et 2 de secours) – pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « canoë ».
Eau : chaque participant avait à sa disposition une bonbonne de 5 litres d’eau. Nourriture : prévue au départ par chaque participant et disposée dans les containers mis à disposition Accident : néant
Temps de préparation : 20 heures (découpage des journées de l’itinéraire, montage de la remorque, rassemblement et vérification du matériel, achat des bonbonnes d’eau, informations aux participants par mail et téléphone, compte rendu etc…)
Organisation générale : Transport: à l’aide de deux véhicules en co-voiturage, Anne-Marie (Citroën Berlingo) et Michel J (Renault kangoo) tractant la remorque nous sous sommes rendus au barrage de Vichy, lieu de la mise à l’eau. Le déplacement s’est fait en 1heure environ. Anne-Marie, Luc et Daniel sont venus le 25 récupérer le véhicule Kangoo et la remorque pour les acheminer à l’arrivée. Au retour, Daniel accompagnant Luc pour reprendre son véhicule resté en dépôt. Un grand merci à ces deux adhérents bénévoles et Anne-Marie qui ont permis par leur disponibilité que ce séjour se fasse. Kilométrage effectué par les véhicules : 482 km (Anne-Marie) ; 349 km (Daniel) ; 24 km (Luc) ; 326 km (Michel) soit un total de 1181 km. Hébergement : Les bivouacs en milieu naturel ont toujours été confortables dans un environnement exceptionnel.
Itinéraire : les faits marquants J1. La mise à l’eau s’est faite après le Pont Barrage de Vichy après un court « charriotage » le long de la rivière artificielle. A remarquer, l’amélioration à son extrémité du chemin conduisant à la rivière. Les bateaux chargés, les conseils et consignes rappelés, c’est le départ.. La passe rive gauche étant barrée par un arbre, il faut techniquement commencer par remonter à contre courant avant de gagner la partie centrale du cours d’eau et reprendre le fil de l’eau. Cette première étape franchie, la rivière va nous transporter petit à petit loin de l’agitation de la ville. La Boire des Carrès, espaces naturels sensibles, est laissée sur notre gauche puis c’est le double pont ferroviaire et routier qui est franchi. Une longue ligne droite nous amène à la grosse difficulté du jour, le barrage palplanche de Billy que l’on situe avant de le voir grâce à la forteresse féodale perchée sur le point haut, rive droite. Un repérage s’impose et la décision de le franchir par une petite ouverture rive gauche à la corde semble raisonnable compte tenu du débit. Le pont routier franchi, reste à trouver le meilleur endroit pour passer l’enrochement face à la cimenterie. La pluie redouble en ce début d’après-midi et après quelques kilomètres, je prends la décision d‘écourter la journée et d’installer le bivouac à l’occasion d’une éclaircie. La distance parcourue a été courte, à peine une vingtaine de kilomètres, nous nous rattraperons demain !
Chargement des canoës
Passage du barrage de palplanche
Coucher de soleil du samedi soir
J2. La veille, certains ont préféré dîner dans leurs tentes, d’autres sont sortis sous une bruine pour manger rapidement avant de retrouver le duvet douillet. Une superbe éclaircie a permis à certains de ressortir de leur tanière pour photographier un magnifique couché de soleil. Le ronflement permanent venant de la cimenterie située à plusieurs kilomètres pourtant a bercé le sommeil. Le ciel au réveil est encore très chargé mais la pression n’est pas mauvaise 1010 hPa. Tout le monde est prêt pour un départ annoncé à 10h00. La vitesse de nos embarcations est bonne et sans forcer nous dépassons les 8 km/h. De jolis méandres, une faune omniprésente, quelques visiteurs surpris par notre passage, un chevreuil, un pic noir, cherchant à nettoyer un arbre moribond égaient la journée. Le Pont de Chazeuil passé, c’est bientôt le pont ferroviaire St Loup qui marque l’entrée de la réserve naturelle du Val d’Allier. A la sortie du virage suivant, sur la gauche, c’est la confluence avec la Sioule. Le plus important des affluents de l’Allier, long de 150 kilomètres, il prend sa source à proximité du lac de Servières, au nord du Puy d’Augère, entre le village de Vernines et le lac. Sans vouloir systématiquement, relater toute la faune rencontrée (liste transmise aux participants) je signale pour être rare, la rencontre à faible altitude d’un Balbuzard remontant le cours d’eau à la recherche de son mets préféré, un poisson. Les plus attentifs pourront de nouveau revoir ce bel oiseau, jour 3. Bien située pour les navigateurs, la chapelle Saint-Laurent de style roman du XIème siècle, rive gauche construite sur une butte signale que l’on approche de Châtel-de-Neuvre. Le pont routier franchi, nous nous installons sur l’espace pique nique à proximité. De longs méandres succèdent à des courbes plus serrées, l’érosion par la force de l’eau est bien présente et des effondrements récents visibles. Un pylône de ligne à haute tension au socle renforcé se rapproche dangereusement année après année du bord de la rivière. De nombreux amoncellements de branches et d’arbres occupent une partie du lit. Nous passons sous le nouveau pont qui enjambe l’Allier et où passent la nouvelle voie autoroutière A79 et deux lignes à haute tension plus loin, nous sortons de la réserve et installons le bivouac rive gauche sur une petite île à l’abri du vent. La navigation a duré 5h00 ponctuée de nombreuses pauses pour une distance couverte d ‘un peu plus de 43 kilomètres.
Photo du bivouac prise le dimanche matin à 06h40
J3. Après un bon petit déjeuner pris sous un ciel chargé et dans une fraîcheur constante, les consignes sont données pour passer la difficulté de la journée, le pont de Régemortes construit à partir de l’année 1750 et qui porte le nom de son constructeur. Infranchissable, nous le passerons rive gauche, côté passe à poissons. Avant je demande de faire attention à l’ancien pont de chemin de fer, transformé maintenant en passerelle pour les piétons et les cyclistes où subsiste en aval des pieux en fer. Nous prenons pied sur les nouvelles installations touristiques de la ville de Moulins avec emplacement pour l’été d’une zone de baignade. Par contre, pas d’amélioration pour le passage des canoës, il faut les faire dériver sous la première arche à la corde et toute l’équipe se relaie pour passer les containers et autres bagages et pour hisser les bateaux au-dessus d’un enrochement. Une fois les canoës sur le chariot, rechargés, il faut faire quelques centaines de mètres pour regagner la rivière sous les cris des sternes Pierregarin et Naine qui nichent sur l’îlot juste en face. Le nouveau pont franchi, nous quittons par le bras rive gauche, la ville de Moulins et petit à petit les bruits urbains s’estompent. Bientôt de nombreuses cigognes (déjà rencontrées J2) se montrent dans le ciel ou posées sur les berges à la recherche de petits vertébrés de toutes sortes, poissons, amphibiens, reptiles et mammifères. Une succession de zones, avant et après l’espace naturel sensible des Coqueteaux, avec des nids imposants pouvant pesés entre 70 et 100 kg font le bonheur des voyageurs. On peut compter jusqu’à 8, 9 nids sur un chêne immense. Ce sont de sacrés bâtisseurs ! Une multitude d’oiseaux sont visibles et accompagnent ces grands échassiers. Peu après le pont de Villeneuve-sur-Allier, nous entrons sur le département de la Nièvre et chaque nouveau virage fait apparaître de nouveaux résidents, une colonie d’hirondelles de rivage virevoltant, sortant et entrant de leurs cavités, trous horizontaux creusés dans les berges sableuses. Une pause rive gauche nous permet de remarquer des traces au sol où les griffes des pattes antérieures sont bien marquées. Elles conduisent de la rivière à une boire encombrée de branchages et à proximité un jeune arbre de 20 cm de diamètre environ, coupée. Avons nous découvert la cachette d’un castor ? A hauteur de Port Barreau sur une île abritée du vent, rive droite, par de jeunes peupliers, nous installons le bivouac. Nous avons parcouru un peu plus de 30 kilomètres en 3h30 aidés par une belle masse d’eau à 8,7 km/h. La nuit s’annonce belle.
Empreinte de castor ?
Beau travail !
J4. Hier soir, nous avons pu enfin dîner tranquillement dans un atmosphère moins humide permettant d’échanger sur de nombreux sujets et notamment, le bonheur de savourer et de partager cet instant dans cette nature où la rivière trace sa route sans contrainte. Avec ce beau niveau d’eau, il faut rester vigilant et j’encourage les participants pour affiner leur technique à se rapprocher des rives, à frôler la végétation, à passer sous les branches basses des arbres afin d’affiner et de maîtriser au mieux leur embarcation. Après avoir passé à la confluence, rive droite, du ruisseau de Beaumont et rive gauche du ruisseau de Beauregard, le pont du Veurdre se présente. Gros village avec sa maison de la batellerie où le groupe d’Atlas à vélo rando avait fait halte pour un pique nique la saison dernière lors du voyage Clermont-Ferrand, le Mont-Saint-Michel. Nous restons rive gauche tant que cela est possible afin d’éviter le vent d’Ouest sensible par moment. Les rencontres avec la faune continue et après le pont routier de Mornay-sur-Allier à hauteur de Mars-sur-Allier, de nouveaux nids de cigognes nous invitent à une pause et à écouter le craquètement, moyen de communiquer entre les adultes au moment de se remplacer sur le nid ou d’apporter de la nourriture. A cette période la ponte est réalisée, de 3 à 5 œufs qui donneront après 35 à 40 jours d’incubation, des cigogneaux. Les deux parents se relaient pour couver. Une dernière pause sur un îlot, quelques confidences échangées et c’est l’arrivée avec une vue magnifique sur Apremont et son château. Fin du voyage. Déchargement des bateaux, un peu de nettoyage et de rangement, chargement sur la remorque des 5 bateaux et tous ensemble avec l’équipe de récupération, nous prenons le pot de fin de séjour. A bientôt pour une nouvelle aventure !
Apremont vue de la rivière
Pot de fin de séjour
Pendant le trajet, nous avons collecté un gros sac de déchets plastique et verre qui seront triés et déposés dans les containers ad-hoc à Clermont.
Animateur : Fabien Nombre de participants : 6 (4F, 2H) animateur compris Météo : Couvert, fort vent, rafales sur les sommets. Terrain : Gras Distance : 24,5 km Dénivelé : 750 m Durée : 6 h 30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 34 km pour 1 voiture de Clermont soit 34 km et 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3 h 00
ITINERAIRE : Laschamp, Beaune le Chaud, Col entre Puys de Mercœur et Lassolas, Puy de Lassolas, Puy de la Vache, Cheires Hautes, Puy de Vichatel, château de Montlosier, PC1043, PC 1084
Depuis Laschamp, point de départ de notre balade du jour, nous empruntons un large chemin qui nous mène à Beaune le Chaud. Tout le long de ce chemin, le Puy de Dôme veille sur nous.
Depuis Beaune le chaud, direction le col entre les Puys de Mercœur et Lassolas. Le groupe affronte les premiers dénivelés de la journée pour atteindre ce col. Ce col atteint, nous prenons plein sud où une belle montée dans la pouzzolane nous amène au sommet du Puy de Lassolas.
Au sommet, le vent est fort et souffle par rafales, réduisant le temps d’observation.
Redescente du Puy de Lassolas pour remonter immédiatement et atteindre le sommet de son jumeau, le Puy de la Vache. Le lieu se prête parfaitement à quelques explications géologiques. Nous parlons donc de cratère égueulé, de lacs de barrages (en observant les lacs d’Aydat et de la Cassière), des différentes teintes de pouzzolane, etc. Nous prenons aussi le temps d’observer le panorama à 360 degrés.
Après être redescendu du Puy de la Vache, direction le dernier sommet de la journée, le Puy de Vichatel. Sur ce parcours, une grotte, la grotte de Ribbe Haute est pointée sur la carte. Nous nous amusons donc à la chercher. Nous ne la trouverons pas mais sa recherche nous aura permis de bien jardiner dans les Cheires Hautes et de faire du hors-piste non prévu mais apprécié de tous. Une fois revenu sur le bon chemin, nous cheminons jusqu‘au sommet du Puy de Vichatel, lieu de notre casse-croute. Le vent est fort au sommet et nous nous abritons dans la partie boisée du sommet. Une fois rassasiée, nous ne nous éternisons pas car, même à l’abri, le vent se fait bien sentir et nous redescendons. La 2éme partie de notre balade consistera à rejoindre tranquillement notre point de départ. Nous passons devant l’étang de Montlosier puis le château du même nom. C’est le moment d’évoquer le Comte de Montlosier et toute son œuvre dans ce secteur (défrichement, reboisement, restauration de sol), à l’origine de l’apparence actuelle du lieu. Le retour au point de départ s’effectue sans encombres mais à bon train sur les larges chemins constitués par le GR.
Animatrice : Christelle Nombre de participants : 12 animatrice comprise (9F, 3H) Météo : J1 ciel gris avec des éclaircies, quelques petites averses J 2 temps dégagé le matin, couvert ensuite, quelques gouttes
Terrain : J1 Souple, quelques passages boueux Parcours J1 22.6 km, 805 D+ 630 D- 7 h 40 déplacement pauses incluses J2 23.5 km , 610 D+ 775 D- 7 h 20 pauses incluses Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 310 km x 3 véhicules Préparation et rédaction : 20 h 00
ITINERAIRES : J1 Départ Solignac sous Roche, GR 3 jusqu’à la côte d’Agnès, ruines d’Artias, Tarrier, Roche en Régnier, le Pichet, Chambeyron, St Pierre du champ. J2 Lou Gourmand, Villeneuve, Vacheresse, Uffarges, les Chaffoix, aller retour coulée de Bourianne, PC 925, La Faye, les Vignaux, Chalencon, Montager, Boubas, Solignac.
RECIT : Une fois de plus voilà les atlassiens regroupés au musée Quillot, heureux de se retrouver pour une nouvelle échappée ! Départ à 7 heures des 3 voitures, l’autoroute jusqu’à Issoire, puis de belles départementales qui nous permettent d’emblée de profiter de panoramas étendus sur les Puys, le Sancy et les vallons du Livradois. Arrivée 2 heures après environ à Solignac sous Roche accueillis par un ciel noir et une averse qui nous font craindre le pire pour le reste de la journée ! Nous entamons donc le parcours en tenue de pluie.
L’horizon n’est pas bouché pour autant et nous permet d’apprécier la belle vue sur les sucs du Meygal, le Mont Mezenc, les Monts d’Ardèche et bien d’autres. Malgré le ciel gris, les quelques rayons de lumière et le vert intense des prés nous offrent un joli tableau qui donne une belle sensation d’immensité que nous savourerons tout le week-end !
Le paysage forestier est bien agréable aussi, alternance de hêtraies sapinières et de groupes de grands pins sylvestres qui rappellent la grande dominance du terrain granitique. Sur cette première journée mention spéciale pour le sentier qui longe le ruisseau Lavaux (en contrebas du village de Lingoustre)
ainsi que le bois de Boursier où nous ferons un peu de hors-piste imprévu du fait de la disparition de certains sentiers pourtant annoncés sur la carte. Plaisir des yeux et révision de botanique également car la flore printanière est bien présente : anémone Sylvie, ficaire, populage des marais (famille des renoncules), coucou (ou primevère officinale), hellébore fétide, le célèbre pissenlit appelée aussi « salade de taupe » !….les jonquilles sont rares nous n’en verrons que dans quelques prés au cours du trajet. Coté patrimoine bâti, les ruines d’Artias, vestiges d’un château construit vers l’an 1000 (un des plus anciens du Velay).
Il ne reste vraiment pas grand-chose de l’édifice mais l’éperon rocheux sur lequel il a été construit offre une superbe vue sur la vallée et la jeune Loire qui vient de passer à Retournac.
Le site est très bien entretenu par l’association des Amis d’Artias qui propose aussi une petite exposition d’outils anciens, bravo à eux ! Quelques gradins et bancs sont les bienvenus pour le pique-nique. Nous repartons vers le Suc de Chaumont et le Mont Miaune, sommets emblématiques du secteur que nous n’avons pas le temps d’explorer. Sur notre chemin une carrière où l’on exploite la phonolite, cette roche sonnante que nous avions déjà trouvé sur d’autres sucs altiligériens. Puis nous trouvons un autre beau site, le village de Roche en Régnier et son donjon, seul vestige d’un château du 13ème siècle. Depuis la butte castrale encore un très beau panorama sur la vallée et les sucs. Roche était une commune prospère abritant une des plus importantes baronnies du Velay, on y trouve de belles demeures en pierre superbement rénovées et entretenues !
Ce qui est d’ailleurs le cas de la plupart des habitations croisées tout au long de notre parcours. Une fois de plus chapeau bas à toute cette région pour la préservation de son patrimoine ! Pour cette fin de première journée, nous reprenons un peu de hauteur pour approcher des 1000 mètres d’altitude et rejoindre Saint Pierre du Champ et l’auberge du Campos d’où l’on profite encore d’un immense panorama verdoyant !
En chemin vers le gîte…
Panorama depuis l’auberge.
Soirée, repas et nuit extrêmement agréables dans un lieu que tout le monde va garder en mémoire ! Grande gentillesse de nos hôtes, délicieuse nourriture, propreté et jolie décoration, tout y était ! On recommande vivement !
Ancien chemin réouvert pour accéder à la coulée
Après une nuit au calme et un copieux petit déjeuner nous voici reparti sous un ciel plutôt dégagé. Premier objectif du jour : la coulée de Bourianne (912 m alt).
Il y a 6 millions d’année, une coulée a parcouru plus de 5 kilomètres. Lors du refroidissement du magma, le tout s’est craquelé et par un phénomène physique complexe a abouti à la création de nombreux prismes. Pour finir, des soulèvements ont projeté ces colonnes formant cette longue coulée de blocs rocheux longue de 800 mètres de long sur 100 mètres de large. Je n’ai pas prévu sa traversée car l’ensemble est vraiment très chaotique et demanderait trop de temps ! Surprenant paysage avec en prime une belle vue étendue sur la campagne environnante ! Ce site mérite le détour ainsi que le joli village de Saint Julien d’Ance situé en contrebas (que je n’avais pas prévu faute de temps). Dans la partie haute, à hauteur des Chaffoix, un beau chemin bordé de jolis blocs a été réouvert, nous l’avons trouvé bien charmant ! Puis c’est reparti pour rejoindre le château de Chalencon 250 mètres plus bas. Une jolie descente avec de beaux points de vue sur le château et la vallée de l’Ance. Cette petite rivière prend sa source dans les monts du Forez. Classée Natura 2000, elle est bien appréciée des pêcheurs. Après cette belle descente dans la forêt, nous abordons le village médiéval de Chalencon (un autochtone nous a précisé que l’on prononçait « Chalenquon »). Petit hameau constitué de superbes maisons de pierre regroupées autour d’une vieille forteresse médiévale (visites possibles en juillet août) et d’une chapelle romane .Un site superbe autogéré par ses habitants depuis les années 80 dans une démarche de développement durable. Lieu de résidence d’un auteur régional Gilles Calamand et d’un sculpteur Paul Guillet. Nous passons devant la maison de ce dernier en allant au château, derrière les vitres de la pièce de vie nous apercevons une quantité impressionnante de sculptures …surprenant ! le site est également régulièrement le cadre de divers tournages.(très récemment celui de Louise Violet film d’époque dans lequel on retrouvera Alexandra Lamy). Autre point de visite incontournable, le superbe Pont du Diable que nous rejoignons dare-dare avant de pique-niquer car le temps se gâte ! On y accède par une petite coursière dallée (très casse-figure lorsque le sol est mouillé !!).En superbe état, il surplombe l’Ance qui passe 15 mètres en dessous et présente 2 beaux arches en plein cintre. La légende raconte que sa construction n’aboutissant pas, le diable aurait proposé ses services au seigneur de l’époque en lui réclamant en échange l’âme de la première personne qui traverserait. Bien pris qui croyait prendre, alors que le Seigneur, se sacrifiant, s’apprêtait à traverser il fût doublé par un chien qui se trouva donc être la fameuse première âme !
Nous nous serions bien attardés mais une petite averse nous a rattrapé dès la fin du pique-nique et du coup nous avons repris le chemin du retour rapidement ! nous empruntons de belles sentes dans une jolie hêtraie accompagnés de notre mascotte du jour, un petit chien qui ne nous lâchera pas jusqu’aux voitures (Nous avons d’ailleurs fini par appeler sa propriétaire) !
Sente le long du ravin du jugement
Nous passons un dernier hameau où nous admirons encore les belles bâtisses rénovées et échangeons une fois de plus avec un habitant ! Bravo la Haute-Loire pour l’accueil !! Tout au long du parcours plusieurs personnes ont gentiment échangé avec nous ! Arrivée à Solignac à 16 h, ravis de toutes ces belles découvertes, bien détendus par ces 48 heures de sport et convivialité et contents d’avoir échappé à la mauvaise météo annoncée ! Nous terminons de façon joviale avec une halte dans un bar de Craponne sur Arzon où l’on se souviendra du patron et son chapeau à la Frida Oum Papa ! Encore merci à tous !
Nombre de participants : dimanche 16 avril 2023 : 4 animateur compris (2 F, 2H). jeudi 20 avril 2023 : 5 animateur compris (2F, 3H)
Météo : dimanche ciel voilé avec un vent du nord ; jeudi ciel plus lumineux et température en hausse, vent du nord faible. Classement : facile
Matériel mis à disposition par l’association : – 3 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 1 de marque Dag, modèle Miwok, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant). Le jeudi 20 avril, un nouveau kayak a été mis à disposition de marque Dag modèle Ysak. – équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres) – équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles et 1 de secours) – pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Organisation générale : Transport: à l’aide d’un véhicule en co-voiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule pour les deux sorties : 200 km
Niveaux d’eau : le plan d’eau était rempli correctement. Conditions de navigation : très bonne.
Kilométrage parcouru : le dimanche 16 km 600 et le jeudi 21 km 600 pour une durée de navigation respectivement de 4 h 20 et 4 h 50, données fournies par une montre de marque Garmin.
En remontant le Sioulet…
La but de ces deux journées étaient de faire découvrir cette activité mise en place depuis 2015 et de constituer un groupe maîtrisant la pratique et intéressé, dans un premier temps par la découverte sur plusieurs jours de grands plans d’eau intérieurs. Avec l’arrivée du cinquième bateau, il est possible de faire une voiture complète et d’organiser des séjours en autonomie à moindre coût.
L’adaptation et la recherche de la glisse n’ont pas posé de problème aux acteurs, la performance viendra petit à petit avec l’amélioration du coup de pagaie. Journée à renouveler afin d’augmenter le nombre de pratiquants. Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 4 heures
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