Animatrice : Christelle Nombre de participants : 21 P ( 15 F, 6 H ) Météo : Grand bleu, quelques passages sous la brise du nord Terrain : Quelques passages boueux Distance : 20,5 km Dénivelé : 530 D + Durée : 6h10 pauses incluses Classement : Facile Kilométrage auto : 60 km X 2 et 50 km X 1 et 2 sur place soit 170 km Préparation et rédaction : 2h
ITINERAIRE : Chapdes-Beaufort, Moulin Chabanne, les Barras, Pranal, Chalusset, Baspeyras, Montfermy, PC 568, PC 728, Chapdes-Beaufort
Pour ce premier dimanche de mars, nous rejoignons les Combrailles avec un départ de Chapdes-Beaufort. Départ du cimetière et après quelques minutes de marche, à l’entrée d’un chemin bien marqué, proche du stade une dame sort de chez elle et nous informe que ce passage n’est pas accessible. Du coup retour au centre et à une autre voie où, cette fois nous pouvons poursuivre !
Cette commune étant située à 800 m d’altitude, on profite assez rapidement d’une belle vue sur le massif du Sancy et le viaduc de la Sioule qu’emprunte l’A89 (990 m de long et 135 m en hauteur maxi). Après un cheminement entre verdure et petits hameaux, on attaque ensuite réellement la descente vers la Sioule, sur de larges sentiers où il faut néanmoins se méfier de quelques pierres qui roulent. On traverse une forêt dominée par les chênes dont la nudité hivernale laisse bien passer la belle lumière de cette journée ensoleillée. Arrivés au bord de la Sioule, je propose un rafraichissant, bain de pieds, mais je n’ai pas eu de succès !!
Nous traversons donc la rivière par une belle passerelle avant d’enchainer plusieurs bonnes montées. La traversée du Pacher de Regnat nous offre un large panorama sur la chaîne des Puys.
Il se fait déjà un peu tard mais je propose d’avancer jusqu’à Montfermy pour profiter d’un joli cadre de pique-nique en bord de Sioule. Après cette agréable halte, nous prenons le temps d’aller admirer les fresques murales du 14ème siècle de l’église Saint Léger. Puis nous nous dirigeons vers la petite cascade située à l’extérieur du bourg dans un des méandres de la rivière qui suit un parcours bien tortueux dans le secteur.
En regardant la carte on visualise bien tous ces méandres et l’on se rend compte que le passage de la chute d’eau (aménagé par des moines pour le fonctionnement d’un moulin) a permis de former une boucle complète ! Et voici venu le temps du retour ! Montfermy se trouvant à 560 m, il va bien falloir aiguiser un peu les mollets pour rejoindre Chapdes ! les Atlassiens du jour viendront rapidement à bout de cette grimpette où quelques gourmandises nous attendent ! merci aux fournisseurs de douceurs et merci aux 20 randonneurs du jour pour leur dynamique présence !
Animateur : Georges Nombre de participants : 24 ( 13 F et 11 H ) Météo : Nuageux une partie de la journée avec du brouillard sur les sommets. Terrain : humide et glissant par endroit Distance : 18 km Dénivelé : 500 m Durée : 5h pause comprise Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 80 km x 2 et 110 km x 3 Soit 490 km Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : Départ de Vichel, pic de Montcelet, st Gervazy, Madriat, la Querade, la Chausse, Couzances, Collanges et retour à Vichel.
Retour aux pays des Couzes avec un départ du village de Vichel niché au pied du pic Montcelet. Direction le sommet que nous atteignons rapidement, malheureusement dans le brouillard. La tour d’un ancien château se dresse fièrement au sommet,
elle a été restaurée dans les années 90. L’horizon étant bouché, nous entamons la descente sur st Gervazy. Le château du 13 e siècle est au cœur du village,
il est la propriété de la commune et possède un musée de jouets cheval. L’église possède une vierge noire classée aux monuments historiques, volée en juin 1983, elle a été retrouvée 18 ans plus tard dans un catalogue de vente en Espagne. Elle a retrouvé son église en mai 2005 sous bonne protection.
Nous partons en direction de Madriat, après avoir traversé la couze d’Ardes, c’est sur le parking de la mairie que nous prenons le pique-nique, un petit rayon de soleil et puis s’en va. Direction une ancienne carrière de terre rouge toute proche,
elle est constituée d’argile et d’ oxyde de fer qui lui donnent cette couleur rouge. De larges chemins agricoles nous guident jusqu’au village de Collanges et son château que nous apercevons à la sortie du village. Une dernière petite difficulté et nous retrouvons les voitures.
Animatrice : CHRISTELLE Nombre de participants : 16, 10 F 6 H Météo : De belles éclaircies, plus nuageux en milieu de parcours Terrain : Quelques passages bien boueux Distance : 21 km Dénivelé : + 620 m Durée : 6h30 Classement : Facile Kilométrage auto : 75 km X 3 soit 225 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Rochefort montagne, Largillier, PC 960, Le Barry, Lacoux, Cascade de la Graille, la Graille, Boyer, La Plane, PC 1083, Chez Chocol, Le Deveix, Roche Branlante, PC 1047, Rochefort Montagne
Départ à proximité du centre de secours de Rochefort avec la fraicheur mais le ciel bleu est là. Nous prenons d’emblée de l’altitude ce qui nous réchauffe rapidement ! Arrivés sur le premier plateau nous profitons d’une jolie vue sur les vallons de Fontsalade et de la Graille. En arrière-plan, les belles roches Tuilière et Sanadoire nous accompagnerons une bonne partie de la rando. On devine au fond le Puy de Vivanson. En chemin pour la cascade, nous traversons une belle hêtraie embellie par de larges tapis de perce-neige !! J’opte pour le passage en surplomb de la cascade car le passage en hors-piste en bas le long du ruisseau est un peu délicat sur sol boueux !
Ce sera pour une autre fois ! le lieu est toujours aussi joli et doit être bien agréable pour un pique-nique estival !
A la Graille, petit hameau aux belles bâtisses en pierre, nous devons faire un détour car la sente menant au PC 1002 n’existe plus ! Un dernier regard face au tandem Tuilière Sanadoire avant de leur tourner le dos pour emprunter un joli sentier en balcon avant de replonger sur le vallon de Fontsalade ( à proximité de Chez Chocol -PC 1003 à 968- , une jolie petite sente dont les entrées sont barricadées par des fagots mais ça passe bien quand même )
On remonte de nouveau, passage à la ferme du Deveix, 3 chiens présents qui sont restés plutôt tranquilles ! retour sur les hauteurs avec un très large et beau panorama avec en plus un clin d’œil du Puy de Dôme et ses copains !
Passage à l’imposante Pierre Branlante,
ce beau bloc de 5 mètres sur 7 dégagé par l’érosion. Certains se sont amusés à tenter de calculer le poids qui a été estimé à 200 tonnes ! On a bien essayé de la faire bouger mais pas moyen !! Nous avons pris le temps pour une agréable pause de quelques minutes afin de profiter du soleil et du beau panorama ! Nous continuons à en profiter sur la dernière portion de ce sympathique parcours. Clôture de la journée avec une petite halte désaltérante au pied du Puy de Dôme. Merci à tous pour votre présence !
Animateurs : Michel J. et Sébastien Nombre de participants : 6 dont 1 femme et 5 hommes. Météo: pluie fine par averses le samedi, nuages et soleil le dimanche. De larges éclaircies avec un net rafraîchissement le lundi. Nuit de dimanche avec gelée. Classement : facile (samedi et lundi) et moyen le dimanche Transport : Renault Kangoo, Peugeot 3008 et Renault scenic Assistance au transport : Mady, Brigitte et Yves Kilométrage routier : 674 km (dépose et récupération) Temps de préparation du matériel et rédaction des divers documents : 10 heures Cartographie utilisée : cartes Ign bleue et Top 25, 2435 OT, 2535 O, 2534 OT, 2432 ET. Matériel mis à disposition par l’association : une tente tipi Helsport, une tente North face modèle Westwind, deux sursacs goretex et un filtre à eau.
Faune et indices rencontrés : les animaux sauvages n’ont été visibles qu’une seule fois (3 biches) à la lisière de la forêt de Boissonnière. Par contre, nous avons pu observer de nombreuses traces et indices notamment des crottes (moquette) de chevreuil, (laissées) de sangliers, (fumées) de grands cervidés.
Fumées de grands cervidés.
Mot de l’animateur. Nous accueillons sur ce raid, trois adhérents n’ayant jamais participé à ce genre d’aventure avec Atlas. Adeptes habituellement de randonnées sur plusieurs jours mais en suivant des balisages, ils ont été emballés par notre pratique et ont approfondi leurs connaissances par les apports donnés sur les techniques de navigation à l’aide de la carte et la boussole. A cette époque de l’année, les grands espaces s’offrent sans limite, sans gêne pour les troupeaux. L’ambiance fut excellente même dans l’humidité du samedi et la fatigue de la longue journée du dimanche. En autonomie l’adaptation est le maître mot…. Ne sachant si je pourrais être au départ ni finir cette traversée suite à une douleur récurrente à l’épaule droite, j’ai demandé à Sébastien de coanimer ce séjour, animateur titulaire et breveté au sein de l’association. Notre collaboration a été parfaite en tout point et a bien profité au groupe. De nombreuses micro animations ont ponctué cette traversée aussi bien sur la faune, les espaces naturelles, la météo, le matériel de randonnée ou la cartographie.
Quelques chiffres : données fournies par une montre Garmin. Dénivelées positives totales : 1826 m ; négatives : 1844 m, kilométrage : 57 km 950, temps de déplacement : 20 h 50 (pauses incluses).
Relation des journées : Déposés vers 08 h 30 au col d’Entremont, samedi par Mady et Yves, c’est sous une pluie fine et un vent sensible que l’on débute notre périple. Sans assistance, l’autonomie oblige au port d’un sac lourd avec tout le nécessaire, vêtements, nourriture et matériel de couchage pour couvrir nos besoins pendant trois séjours. L’hiver même si les prévisions météo n’annoncent pas des froids importants, il faut être en capacité de se protéger des intempéries et du vent qui peut faire descendre rapidement la température. Cette période est une excellente école pour voir rapidement si l’indispensable est dans le sac à dos ! Pendant ces trois jours, nous cheminerons au 2/3 en hors piste et profiterons de ces grands espaces d’estives occupés à la belle saison par vaches et chevaux. Le début du parcours nous fait louvoyer entre des anciennes carrières et des zones humides dans un paysage tourmenté. La végétation réapparaît au Frau de Collanges entre pessière et forêt mixte. Nous laissons le lac de Sauvages à l’Ouest puis celui du Pêcher et prenons un axe Nord pour traverser l’imposant bois de la Pinatelle qui s’anime dès le mois d’août au moment du brame où les grands cervidés prennent possession des lieux dans des joutes bruyantes. Même si les fumées parsèment le terrain, la forêt est silencieuse et seules quelques chants d’oiseaux se font entendre entre deux coups de vent. Un peu d’observation pour trouver un passage nous permettant de traverser le ruisseau gonflé de Cézérat coulant dans un vallon serré. La remontée se fait sur un chemin à l’abandon dans une végétation de buissons noirs. Autour les pacages sont de mauvaises qualité et délaissés. Arrivés sur un mini plateau occupé par quelques prairies artificielles dédiées à la production de foin envahies par des monticules, œuvres de rats taupiers, il nous faut traverser la D9 pour gagner le lieu-dit Laneyrat puis le ruisseau éponyme situé en contrebas où nous ravitaillons en eau à l’aide d’un filtre MSR. Le bois de Roche Grande et son sommet à 1151 m occupé par un chaos basaltique se dessine, c’est notre zone du bivouac à la latitude d’Allanche située vers l’Est. La pluie a cessé déjà depuis quelques heures et le ciel montre un aspect laiteux ce qui va nous permettre de monter les tentes en ce début d’après-midi tranquillement au sein d’une clairière. Cette étape d’un peu plus de 19 kilomètres a été rapidement avalée sur un terrain assez facile d’accès et des bois traversés aisément. Quelques gouttes, un léger refroidissement lancent l’heure du repas du soir. Même si les jours ont bien rallongé, chacun n’a qu’une hâte, c’est de se mettre au chaud dans son duvet.
La journée du dimanche s’annonce dès le réveil plus lumineuse. La nuit a été calme et le chant des oiseaux met tout le monde de bonne humeur. La mise en route prévue entre 09 h 00 et 09 h 30 s’effectue sans problème chacun s’organisant à son rythme. Nous sortons rapidement plein Nord du bois, passons le vélorail, puis traversons le ruisseau de Landeyrat bien en eau avant d’atteindre le lieu-dit Romaniargues. Au hameau, je montre la présence d’un énorme nid de rapace, repéré lors d’un précédent passage, il y a quelques saisons où à cette période un Milan royal consolidait déjà son nid par l’apport de nouveaux branchages. A la sortie des quelques maisons à hauteur des solides et imposants bâtiments de la ferme de Piquemeule, nous rejoignons le Tour des Vaches Rouges qui par des chemins confortables, nous amènera jusqu’à Pradiers, lieu connu des anciens de l’association car point de ravitaillement de la longue distance de l’époque, la traversée du Cézallier sur la journée. Plein Nord, sur un chemin d’exploitation entre Montagne de Pradiers sur notre droite et Montagne des Courbières sur notre gauche, nous gagnons le pied de la Montagne des Huides dont le sommet est côté à 1449 m, deuxième plus haut point du Cézallier.
Sur la Montagne des Huides… En arrière plan la Montagne des Pradiers
Le prochain objectif se distingue facilement avec ce temps clair, le point le plus haut à 1476 m d’altitude, le Mont Chamaroux qui sera atteint après le passage du ruisseau des Coins et la traversée de la D724 qui mène de Boutaresse à Marcenat. Du Mont, un paysage sur 360° se montre à nos yeux du Cantal au Sancy. Quiétude et tranquillité à chaque fois renouvelées…on ne se lasse pas de ressentir un moment de paix intérieure loin de tout et des contingences habituelles !
La Godivelle d’en bas
Il nous reste dans cette longue journée encore quelques kilomètres à parcourir et l’heure avance. La montagne du Chamaroux puis le lac d’En Bas de la Godivelle sont atteints. Je modifie notre point d’arrivée qui se situait à proximité de la Montagne de Las Tiolas car le paysage a subi une importante modification, une partie de la forêt a été rayée de la carte. Nous gagnons la Coualle Basse où coule un vigoureux ruisseau né dans la tourbière de la Plaine Jacquot, toute proche. Les tentes sont installées rapidement car le soleil décline, masqué par quelques nuages gris. Une froideur s’installe rapidement ce qui pousse après le repas expédié, les participants à se mettre au chaud. Le vent a tourné et souffle au lever du jour de l’Ouest, les tentes portent une pellicule de glace. La routine du matin accomplie, petit déjeuner, pliage et chargement des sacs, nous prenons sur quelques centaines de mètres le GR30 à travers une forêt qui s’éveille. Notre direction change brutalement en suivant la séparation entre une forêt d’épicéas et de mélèzes pour gagner le Teston du Joran. Nous surplombons sur notre droite le lac à proximité de Cureyre pour traverser la forêt de la Montagne de la Veisseyre jouant avec les petits reliefs et les zones humides pour atteindre le col routier de la Chaumoune. Les estives ont, là aussi, été également travaillées par les engins agricoles et des pacages faits de trous et de bosses ont été aplanis pour permettre des surfaces plus grandes destinées au foin. Pour les randonneurs la progression est plus aisée et les zones humides reléguées sur les fonds. (photo)
Vers le col de la Chaumoune…en arrière plan le Sancy et ses traces de neige.
En grimpant la Montagne du Ronzier pour atteindre la dernière grosse difficulté du séjour, le Puy de la Vaisse à 1358m, il suffit de se retourner un instant… c’est la magie d’un itinéraire en linéaire, pour voir que le massif du Cantal est déjà bien loin. Après la descente dans la magnifique hêtraie, nous cherchons refuge dans la pessière pour nous protéger du vent qui se renforce et amène une grande fraîcheur. Les Fontlonges sont dépassés et nous contournons par l’Est cette grande cuvette qui draine les eaux d’écoulements puis c’est la montée au sommet du Puy Ferrand où nous prenons le temps d’une longue pause à l’abri des genévriers. La neige a déserté cette mini-plaine, terrain de jeu des skieurs de fond il y a quelques années. Passons au Nord du Cocudoux et pénétrons dans la forêt de la Bany où les musheurs ont pris leur quartier d’hiver, les traîneaux ayant été remplacés par des karts à roue pour promener les touristes. La fin de notre séjour est proche, nous passons par une petite dépression à peine visible sur les cartes au 1/25000 ème pour admirer une jolie cascade, sans nom, alimentée par un ruisseau approvisionné par l’humidité de la forêt de la Bany et qui doit plus ou moins disparaître à la saison sèche. Nous sommes au point de rencontre, le parking de l’Escarot qui marque la fin de cette nouvelle aventure. Merci à tous d’avoir participer avec bonne humeur et entrain à ce séjour.
Remarques : merci aux bénévoles, Brigitte, Mady et Yves qui ont participé à la réussite de ce séjour en transportant et ramenant sur Clermont, les participants.
Animateur : Yves Nombre de participants : 24 animateur compris ( 15 F, 9 H) Météo : journée ensoleillée Distance : 24 km Dénivelé : 650 m Durée : 7H40 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 110 km pour 2 véhicules et 106 km pour 3 autres soit : 538 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Sauvagnat, PC702, PC701, Chez Guyonnet, La Faudèche, Chez Denis, Herment, Les Granges, Rocher des 3 Tourtes, PC737, Puy de la Sagne, Pierre Fade, Chez Geille, Pont de Singlet, Les Brousses, Puy Saint Gulmier.
Après un jeudi dans les Combrailles humides, nous voici ce matin toujours dans les Combrailles, plus sèches et plus vallonnées avec un beau soleil déjà présent. Départ de Sauvagnat d’où l’on aperçoit Herment sur sa butte basaltique, notre premier point de mire. Jusqu’à l’Etendard, les chemins sont beaux et secs. Le chemin prévu pour rejoindre Herment, plus emprunté depuis longtemps, a disparu sous la végétation. Nous contournons le problème par le bois des Gannoux pour arriver Chez Denis, où Josette, voulant faire coucou à sa nièce trouve porte close. Nous voici à Herment, ancien village fortifié où une promenade arborée suit les anciens murs. Au passage, nous apprécions le Tilleul de Sully, arbre remarquable planté en 1601.Puis nous entrons dans le bourg pour visiter : – la Collégiale Notre Dame du 12°S de transition roman gothique unique en Auvergne et ses différents trésors classés (fonds baptismaux, Vierge de Pitié en bas relief, peinture de la porte occidentale), – la Maison Tardieu, hôtel particulier du 15°S avec sa tour et son parc, – la fontaine médiévale du 14°S, seul point d’eau du village avant la construction d’un disgracieux château d’eau qui défigure le paysage, – la chapelle Notre Dame Bonne Nouvelle sur la rue qui nous conduit à la sortie du bourg.
Visites terminées, direction plein nord par Les Granges et son bois pour découvrir le Rocher des 3 Tourtes, 3 blocs superposés de forme pyramidale en avant d’un autel druidique au beau milieu de résineux.
Rochers des 3 Tourtes
Endroit idéal pour le pique-nique, ruisseau de la Perchade à nos pieds et surtout un soleil très présent digne d’une journée printanière.
Nous reprenons notre parcours par une agréable déambulation dans le Bois de Mialler, très aéré qui laisse entrer le soleil. A partir du Puy de la Sagne, nous descendons sur le Sioulet, pour remonter légèrement au Dolmen de Pierre Fade (ou Pierre des Fées), seul édifice mégalithique du département avec tumulus.
Dolmen de Pierre Fade
Chez Geille, lieu dit voisin, un jardinier insiste pour la photo de groupe. Sculpture magnifiquement réalisée, tête en tôle chaudronnée et martelée, corps et membres en fer à béton soudé.
Redescente en aventure sur le Pont de Singlet et remontée sur les Brousses, hameau dominé par le Puy Saint Gulmier, imposant plateau volcanique. Dernier dénivelé du jour et quel dénivelé : après le bois de Ty, la pente par endroits est à 19%. Au pied de l’église ornée d’un clocher terrasse rare en Auvergne, une table nous renseigne sur la vue à 180° des Dômes au Plateau des Millevaches. Simple formalité pour regagner nos voitures stationnées au Stade du PSG (Puy Saint Gulmier : raccourci facile !) Journée extraordinaire avec une extrême douceur et un soleil omni présent.
Animateur : Michel J. Terrain : dur et craquant par endroit sous l‘effet de la gelée. Météo : température allant de -4°C au départ à 08° à l’arrivée Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : 2 paires de bâtons de marche nordique en 1,25 et 1 en 1,10. Kilométrage : 3 voitures en covoiturage au départ de Clermont, 6 voitures sur place soit un total général de 335 km Nombre de participants : 13 animateur compris (4F, 9H) Distance : 30,06 km ; moyenne 6,3 km/h soit 9’33’’au km ; dénivelée 597 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 4 h 46’ 35’’ (de marche) et 4 h 56 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheires de Bruvaleix, tour par l’Est et le Nord du Puy de Paugnat, Nord et Ouest du Puy La Baneyre, Ouest du Puy de Lespinasse, Ouest du Puy de Tressous, D 941, Est le Bouchet, Sud puis Est du Puy de Louchadière, D941, Chazeron, col de la Nugère, Ouest Puy de la Nugère,les Goulots, sentier du docteur Moity, parking.
Après 20 kilomètres….
Observations : ce second entraînement pour préparer le raid pédestre du 23 mars s’est déroulé dans de bonnes conditions. L’objectif annoncé au moment du départ de 6 km/h a été légèrement dépassé. Le groupe en bonne forme a tenu une allure supérieure sans forcer. L’itinéraire tracé avait un profil peu accidenté se rapprochant de l’itinéraire prévu le 23 mars.
L’équipement recommandé a été rappelé dans les messages en amont de l’activité : chaussures de trail, jogging, un collant plus ou moins chaud en fonction de la météo, vêtement respirant pour le haut, petit sac à dos avec ravitaillement, eau, des bâtons (de type marche nordique) pouvant être prêtés …
Après 30 kilomètres….l’ombre du 13ème en bas à gauche !
Remarque : parcours dans un environnement agréable passant dans de belles hêtraies avec une météo convenant bien pour ce genre d’exercice. L’ambiance a été bonne et les participants étaient heureux de partager ce moment.
Animateur : Michel J. Nombre de participants animateur compris : 21 (14F, 7H) Météo : ciel bas nuageux quelques averses de pluie fine, température douce pour la saison 08°C. Terrain : gras et glissant Distance : 23,580 km (montre gps) Dénivelé : 329 m (montre gps) Durée du déplacement : 7 h 15 environ Durée de la randonnée : 6 h 10 environ Classement Atlas : facile Kilométrage auto : (120 x 3) + (160 x 2) = 1040 km Préparation et rédaction : 3 h 00
Itinéraire : Fréteix, étang de Vergne-Labouesse, la Vergnette, Aubarre, Chauvence, forêt de Roche, les Bolles, , les Dejets, la Croix de Roche, étang de Chancelade, Troissagnes, Fréteix.
Le ciel bas n’a pas découragé les 21 inscrits pour affronter cette zone des Combrailles. Paysage agraire resté très bocager où les haies sont bien présentes et entretenues, ce territoire parsemé d’étangs plus ou moins grands, est voué à l’élevage en grande partie sur un sol granitique. Déjà proposé un dimanche sans neige le 25 février 2023 sous un beau ciel bleu mais par une température polaire, je souhaitais revenir sur cette partie des Combrailles, espace géographique un peu abandonné des clermontois. J’ai apporté quelques modifications à l’itinéraire de 2023, allant plus au Sud et faisant malgré l’humidité ambiante un long cheminement le long de l’étang de Chancelade. Le point de départ reste Fréteix et je relate après une présentation globale de la journée la particularité de ce lieu déjà écrit dans mon précédent rapport. Fréteix, lieu-dit avec une chapelle du XVII ème siècle dédié à Saint Jean-Baptiste. L’histoire de ces quelques maisons sort de l’ordinaire….Au XIV siècle, l’épouse du seigneur du Montel-de-Gelat, Mgr Gaspard de Daillon du Lude, frôle la mort, son cheval s’étant emballé. Des villageois ayant maîtrisé la bête, l’époux de cette gente dame va octroyer aux habitants de Fréteix de nombreux avantages, ils deviennent « francs » et de « franche condition », les habitants des autres villages ayant le statut de serf. Et dans les autres avantages, ils sont exemptés de tout droit sur les vins et de la « corvée de vinade ». Ce qui fait que ce modeste regroupement de maisons qui a compté à son apogée jusqu’à 243 habitants comptait deux cabarets au XVIII ème siècle ! Après l’étang de la Vergne-Labouesse, nous passons successivement quelques maisons à la Vergnette et à Aubarre par des chemins d’exploitation que les roues des tracteurs ont quelque peu marqués. Nous gagnons un point surplombant au Sud, le ruisseau qui s’écoule de l’étang longé précédemment où un château dominait jadis, château du XVe siècle de Villosanges situé au lieu-dit Chauvence démantelé à la révolution. Le but de cette pause est le Monument Historique en pierre de Volvic qui était dans la propriété du seigneur et qui présente un ensemble très travaillé avec des pinacles, des niches occupées par des statuettes. Sur la Croix, d’un côté un Christ et de l’autre une Piéta, en dessous on distingue l’écu de la famille Rochebriant, seigneurie très ancienne. Pour compléter les informations et marquer l’importance du lieu, Saint Amable serait né en 397 dans le premier château et deviendra curé de Riom au Ve siècle.
Après un petit retour en arrière sous les aboiements des chiens de ferme, nous prenons Nord-Ouest à travers la forêt de Roche puis Est. Les Bolles passé, nous perdons le chemin au ruisseau « la Barge ». Une belle averse arrive et dans ce contexte fort humide avec un groupe aussi important, je propose de revenir sur nos pas et de prendre le premier chemin sur notre droite pour gagner les Dejets où une grange ouverte nous permet de nous abriter pour le pique-nique. Un 22 ème participants nous accompagne, il est dynamique de couleur noire, moucheté de blanc, il a quatre pattes et se propose de nous servir de guide, nous devançant, revenant sur ses pas pour s’assurer que l’on suit le bon chemin…Il fera la randonnée avec nous jusqu’à Freteix. Avant de repartir en voiture, nous préviendrons le propriétaire qui, pas inquiet, nous précise qu’il reviendra seul à la maison…
On attend la chute !
L’étang de Chancelade se dessine à travers une végétation composée de chênes, de bouleaux, de saules encore défeuillés. Nous longeons cette belle masse d’eau de 132 hectares où la luminosité filtrée par les nuages fait penser à l’atmosphère de la Mare au diable décrite par George Sand. Nous parcourrons un bon 1/3 tiers des berges de l’étang ponctué de panneaux indicatifs nommant poissons et volatiles vivant sur et sous ses eaux. On a pu voir un groupe de cormorans continental et quelques hérons blancs.
Après le Suquet des Ballets, une vieille passerelle nous invite à poursuivre mais le terrain de l’autre côté est occupé par une masse liquide ou seuls quelques saules sortent la tête de l’eau. Avec les quantités de pluie des derniers jours, nous avons eu de la chance d’être arrivé jusque là ! Il nous faut rebrousser chemin afin de traverser une pâture où nous pataugeons un peu. Après avoir retrouvé un bon chemin d’exploitation, nous passons sur le Sud des Troissagnes et n’avons plus qu’à rejoindre notre point de départ. Merci pour la distribution de spécialités et café pendant la pause de midi et comme d’habitude à l’arrivée. Heureusement que nous avons laissé quelques calories au cours de cette journée qui fut somme toute pas si mal à vivre…
Remarque : groupe volontaire malgré un terrain glissant et un peu humide…
Animateur : Pierre Nombre de participants : 10 animateur compris (7 femmes, 3 hommes) Météo : ensoleillé le matin et nuageux l’après-midi Distance : 22,5 km Dénivelé : 860 m Durée : 7h00 pauses comprises Classement Atlas : Moyen Kilométrage auto : 2 voitures de Quillot (2x100km), 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Chambon sur Lac, Le Moulin de Chambon, Les Angles, Couze Surains, Surains, Intérioux, Bressouleille, buron de la montagne de Pouly, buron de Leyrenoux, Beaune-le-Froid, Croix de Barbat, Château de Varennes
Le départ fixé au pied du cimetière de Chambon-sur-lac présage une calme journée d’hiver avec des températures assez fraîches mais sans vent ni précipitations.
Le démarrage se fait par la traversée de Chambon-sur-lac. Cette petite ville s’est construite sur une zone marécageuse et de fait l’église du XIIe siècle s’enfonce de plusieurs centimètres par siècle. Aujourd’hui, son pavé initial se trouve à 1,80 m en contrebas de l’entrée. Elle est fermée et une affiche nous informe qu’elle est ouverte de 11H00 à 16H30. Malheureusement et malgré notre retour avant l’heure dite, nous trouverons porte close et ne pourrons la visiter.
Nous longeons sur quelques mètres la couze de Surains puis nous montons pour une bonne mise en jambes le chemin goudronné des Angles à Chambon. A Pré-Naud, le chemin commence à être recouvert de quelques centimètres de neige mais les températures sont clémentes et déjà il faut tomber des couches, le soleil est de la partie ce matin. La traversée de la couze de Surains se fait par une solide passerelle installée par le Conseil Général et nous continuons jusqu’à Bressouleille où le chemin bien exposé ne sera plus enneigé.
La majeure partie de la montée va se faire le matin jusqu’au buron de la montagne de Pouly. Il nous reste encore à gravir la montagne de Mangelet mais il est midi et l’exposition au sud est agréable. Le groupe a bien marché et il est temps de se reposer.
Buron de la Montagne de Pouly
Après avoir franchi la crête, nous redescendons en hors-piste sur le côté nord nettement plus enneigé. Malgré tout, la neige est fraîche et nous retient bien dans la descente dans une belle épaisseur.
Nous continuons vers l’ouest afin de passer entre les ruisseaux du Frédet et de la Monne et à côté du buron de Leyrenoux ; la neige se fait rapidement rare et le chemin boueux et glissant. D’ailleurs Emmanuelle nous gratifiera d’une gamelle que je n’aurai hélas pas le temps d’immortaliser.
Sur le chemin du retour nous faisons un crochet par la motte castrale de Varennes (merci Michel!). Ce genre de château dont il ne reste aujourd’hui que des vestiges car abandonné depuis le 16e siècle, est né à la fin du moyen âge. Sa vocation défensive est toujours présente mais il appartient désormais à un seigneur. En contrehaut de ce site se trouve une autre motte dont la fonction défensive semble plus évidente car constituée uniquement d’un mur haut et circulaire d’un diamètre d’une vingtaine de mètres que l’on peut admirer depuis un mirador de 3m installé à proximité.
Il nous reste encore une dernière montée assez raide avant de rejoindre les voitures et d’effectuer une petite visite de la chapelle du cimetière avec ses sculptures de sirènes, griffons, aigles aux ailes déployées et de cette étrange scène de la circoncision d’Abraham.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 20 animatrice comprise (12F, 8H) Météo : ciel couvert se dégageant dès la fin de matinée pour de belles éclaircies ensoleillées. Distance : 18,64 km Dénivelé : 800 m Durée déplacement : 6h30 Classement Atlas : facile Voitures : 94 km x 2 voitures de Clermont Fd soit 188 km, 60 km pour 2 voitures du Crest soit 120 km total = 308 km. Préparation et rédaction : 3h
ITINÉRAIRE : Cotteuge, le Cheix, Lomprat, Pic de St Pierre, sud ouest de Verneuge, Bessolle, Pradelle, contournement partiel par le nord du pic de Cluzel, Cotteuge.
Ce jeudi, retour à Cotteuge pour les atlassiens et atlassiennes, lieu de départ ou de passage fort prisé par les animateurs de l’association. Plusieurs raisons pour cet engouement, la situation du village au bord de la Couze Pavin avec aux alentours plusieurs pics ou plateaux où de nombreux chemins offrent une multitude de possibilités de parcours et de dénivelés, des curiosités naturelles et bâties agréables à retrouver ou à découvrir, ce qui sera le cas pour plusieurs personnes du groupe.
Calvaire païen
Après quelques informations sur le parcours de la journée et sur la commune de St-Diery (source Renlaigue commercialisée sous le nom de St-Diery, abri du Cheix site préhistorique où fut découverte la sépulture en excellent état d’une jeune femme, désignée comme la « jeune fille du Cheix » squelette fossile maintenant exposé au musée Bargoin), il est temps de prendre le départ. Tout d’abord un aller-retour jusqu’à la « cheminée des fées » ou « demoiselle coiffée », phénomène naturel résultant de l’érosion du sol argileux autour d’un énorme bloc de lave resté suspendu, avant de partir en direction du pic de St Pierre qui domine la vallée et qui sera le point culminant de la randonnée. Depuis les chemins qui nous mènent au Cheix, les grottes de Jonas, site troglodytique, sont bien visibles. Je n’ai pas prévu de m’en approcher car elles sont fermées actuellement et une autre curiosité présente sur la carte a retenu mon attention, un dolmen près du lieu-dit le lac. Mais je renonce à y aller (aller et retour) après qu’un habitant du Cheix m’indique qu’il n’est plus accessible, terrain privé fermé… La randonnée sera un peu raccourcie mais nous arriverons plus tôt au pic de St-Pierre où je prévois de pique-niquer. Le bruit de la Couze Pavin qui coule en parallèle nous accompagne jusqu’à Lomprat. Petite pause au calvaire païen et à la croix St Verny de Lomprat avant la montée au col de la Feuille, puis au sommet du pic. Le ciel est bien dégagé, d’un côté vue sur le massif du Sancy, de l’autre le pic de Brionnet.
Le massif du Sancy enneigé
Assis au soleil sur les murets qui entourent la chapelle construite entre le IX et Xème siècle nous apprécions les provisions amenées et surtout les gourmandises distribuées et le traditionnel café de Didier.
L’après midi, du col de la Feuille jusqu’à Bessolle, un parcours vallonné, avec des vues sur Cotteuge tout en bas, Saint-Diery en face, puis la descente sur Pradelle où le temps semble s’être arrêté.
Le pic de Cluzel se dresse face à nous mais son contournement partiel par une montée régulière, est vite avalé. Le GRP rejoint, nous croisons un Vttiste qui sur ce chemin pentu et rocheux doit pousser et porter son vélo. Venu de la région parisienne il souhaitait refaire en hiver et avec de la neige, qu’il a trouvée nous a-t-il dit, un parcours de plusieurs jours déjà fait en automne. Il pense bivouaquer très rapidement car la journée a été fatigante. Pour nous aussi c’est la fin du parcours que l’on termine sur les cheirilles, le long de la couze Pavin retrouvée, en admirant au passage la source ferrugineuse de Lyns et le Pont de la Chèvre, vieux pont romain.
Source de Lyns
Une nouvelle distribution de friandises clôture cette belle et douce journée ensoleillée. Merci à tous et à bientôt sur de nouveaux chemins.
* Cheirilles : chemins bordés de pierres issues de l’épierrement des champs dans le passé par les agriculteurs
*photos de la cheminée des fées, dela chapelle du pic St-Pierre, du pont de la chèvre à voir sur les comptes-rendus des randonnées faites précédemment.
Animateur : Yves Nombre de participants : 11 animateur compris ( 5 F, 6 H) Météo : brouillard au départ, soleil ensuite, température douce Distance : 23.5 km Dénivelé : 780 m Durée : 6H30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 80 km pour 3 véhicules soit : 240 km Préparation et rédaction : 3 H
ITINERAIRE : Saint Dier d’Auvergne, Boissonnelle, Pontlatout, Peyraud, PC452, Le Rochadet, Domaize, Le Fraisse, Gaudon; Le Bost, Ceilloux, Champsolier, L’Epinat, Lafarge, Laire, les Loyes, St Dier.
Brouillard ce matin au départ de St Dier. Passé le ruisseau des Ribes, laissant à notre droite le château fort de Boissonnelle, nous commençons le dénivelé positif sur un agréable chemin herbeux à peine dégelé.
Château de Boissonnelle
A Pontlatout, notre passage déclenche les aboiements intempestifs d’une horde de chiens de chasse. Nous voici maintenant à Peyraud, hameau connu pour son élevage équins, d’étalons reproducteurs sélectionnés avec soin, pour garantir un pedigree et des qualités génétiques irréprochables. Direction nord pour plonger dans le vallon du Miodet, que nous longeons sur quelques centaines de mètres avant de remonter sur Le Rochadet. Le soleil a fini par percer la couche brumeuse et c’est sous une atmosphère printanière que nous gagnons Domaize. Petite halte sur la place, où fut tourné en 1995 plusieurs scènes du film « Le Garçu » de Maurice Pialat avec Gérard Depardieu et face à ce beau château renaissance privé dans un grand parc en plein réaménagement. L’endroit sous la halle aurait été agréable pour le pique-nique mais il est un peu tôt, nous décidons de continuer jusqu’à Gaudon où un ancien grand domaine avec un château aménagé en chambre d’hôtes de prestige attire notre curiosité. Sur le bord d’un talus, dos au château et face au massif du Sancy, baignés par le soleil, nous prenons notre repas. Repas fini, les 150 mètres positif, qui mènent à Le Bost en pleine digestion, sont un calvaire. Nous sommes au point le plus haut de la journée, promis il n’y aura plus que quelques bosses à passer. La descente sur Ceilloux ramène les sourires. A la sortie de Champsolier un gentil cheval content des caresses reçues démonte la clôture dans une ruade de joie. Celle-ci sera réparée et consolidée par plusieurs participants et notre canasson sera en sécurité. Les quatre à cinq kilomètres restant se font dans un environnement dégagé avec une vue du Forez au Sancy en passant par les Bois Noirs et la Montagne Bourbonnaise sous une parfaite luminosité en ce milieu d’après-midi.
Vue sur le Sancy
Nous apprécions au passage, dans les divers hameaux traversés, les demeures admirablement restaurées, la caractéristique du Livradois. Journée prévue ensoleillée avec une température de printemps, promesse tenue.
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