Jeu 25/04/2024 Rando Combrailles – St-Priest-des-Champs

Animateur : Liliane
Nombre de participants : 16 animateur compris (11F, 5 H)
Météo : températures fraîches. Nuageux toute la journée avec quelques rayons de soleil en milieu de journée. Petite averse dans l’après-midi.
Terrain : chemins sur terrain sec. Passages boueux et grosses flaques d’eau par endroit.
Distance : 23,5  kms   
Dénivelé : 420 m
Durée : 6 h 40 pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 100 X 3 soit 300 kms, 1 voiture sur place.
Préparation et rédaction :  3 h

Itinéraire : St-Priest-Des-Champs, Visignol, Le Moulin de l’Etang Grand, Couronnet, Bargheon, PC 690, allée-retour Laussedat, Le Prat, Le Bost par PC 675, Etang de Cheix, PC 712-708, La Brousse, La Sauvolle, Jouhet, PC 673, Sous le Bois, La George, Pont de Fourche, Vernadel par PR, PC 659-663, St-Priest-des-champs.

C’est au cœur des Combrailles, du hameau de St-Priest-Des-Champs, que nous démarrons notre randonnée de ce jeudi. Notre objectif : le temple bouddhiste de Biollet.

Les chemins dégagés nous permettent de découvrir ce coin dépaysant des Combrailles, ses paysages verdoyants et au loin plus vallonnés. En chemin nous ne manquons pas d’aller jusqu’à Laussedat où se trouve un monastère et un centre de retraites spirituelles pour les femmes. Un stoupa est érigé à l’entrée. Les couleurs arborant l’édifice représentent : le blanc pour l’air, le bleu pour l’espace, le rouge pour le feu, le jaune pour la terre et le vert pour l’eau.

Stoupa de Laussedat

Trois kilomètres plus loin nous arrivons au remarquable monastère bouddhiste dit de Biollet. Le temple se dresse face à une vue imprenable sur la chaîne des Puys. Son architecture et la décoration sont essentiellement inspirées de l’art sacré tibétain.

Temple Bouddhiste de Biollet

En contrebas du temple, le parc abrite une bambouseraie pleine de charme qui invite à la contemplation. C’est dans ce lieu de plénitude et reposant que nous nous installons pour déjeuner.

La bambouseraie

Avant de quitter ce site insolite nous prenons le temps, après nous être déchaussés, d’admirer l’intérieur fascinant du Temple, puis d’aller découvrir le Stoupa un peu plus loin sur le domaine. Nous prenons connaissance avec intérêt de ce qu’il symbolise. Nous repartons en direction de l’Etang de Cheix que nous longeons tout en appréciant ce bel endroit paisible.

Etang de Cheix

Puis sur notre retour nous traversons quelques beaux petits hameaux qui témoignent de l’authenticité de la vie rurale de ce coin d’Auvergne.

Cette randonnée sur fond un peu spirituel a été une belle découverte pour beaucoup du groupe. Alors à très vite pour d’autres destinations à partager.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Dim 21/04/2024 Rando Combrailles – Herment

Animatrice :  Christelle
Nombre de participants : 11 P  (7 F 4 H)
Météo : Ciel couvert, température fraîche, quelques portions sous un  vent du Nord sensible
Terrain :  Quelques passages boueux
Distance :  22 km 
Dénivelée :   340 D+   
Durée : 6H45 pauses incluses
Classement :  Facile
Kilométrage auto : 96 x 1 ET 114 x 1 soit 210 km
Préparation et rédaction : 3 h

Itinéraire :  Herment, PC  789, les Granges, bois des Granges, rocher des 3 tourtes, Pont de Gaumard, PC 720, PC 691, confluence ruisseau de Perchade et Petit Sioulet, PC 691, chez Monneron, chez Guyonnet,  AR chez Callou, AR ruisseau de la Faudèche, Terre noire, St Lazare, Barailles, Herment.

Pour ce dimanche automnal..Oups  printanier … ! nous voici dans les Combrailles. Son nom viendrait du gaulois « comboro » qui signifie probablement « rencontre de vallées ». Cet immense territoire est effectivement à la confluence de nombreuses vallées (Tardes, Voueize, Cher, Sioule, Sioulet, Bouble….).

Départ d’Herment où une petite brise bien froide me pousse à vite démarrer notre parcours ! Nous prenons le temps de découvrir d’un peu plus près le village qui mérite le détour. Installé sur une butte basaltique on peut, par beau temps,  profiter d’un large panorama sur les Monts Dore, ceux du Limousin, le  Plomb du Cantal…Nous découvrons également  l’église  collégiale du 12ème ,

Collégiale d’Herment

un énorme tilleul de Sully planté en 1601 ! 

Tilleul de 1601 (célébration naissance de Louis 13)

ainsi que la jolie promenade des Murs qui suit le tracé des anciens remparts.

De retour en pleine nature, découverte d’une autre curiosité, le rocher des Trois Tourtes,

Rocher des trois Tourtes

un empilement de 3 gros blocs, ancien autel druidique partiellement détruit.  On est censé trouver une cavité dans lequel on peut déplacer une pierre qui produirait un « son de cloche », plusieurs d’entre nous ont décortiqué le site sans trouver le trou en question !

Nous reprenons notre parcours dans de jolis bois puis la découverte du pays d’Herment se transforme en pays d’égarement !!

A la recherche d’un chemin …

A plusieurs reprises la carte ne correspond vraiment pas à la réalité ou les chemins sont barrés. Tentant de trouver une solution de repli, nous nous retrouvons à la confluence de 3 ruisseaux grossis par la météo pluvieuse. Après concertation avec le groupe, j’abandonne l’idée de traverser et nous rebroussons chemin une fois de plus. On prend quand même le temps de regarder les fleurs notamment le caltha des marais ainsi que de beaux orchis.

Caltha des marais ou populage

Nous verrons aussi des lathrées clandestines, plantes parasites que l’on connait moins (merci Annick pour les explications !). Côté faune nous avons le plaisir de voir gambader plusieurs chevreuils ! Pendant la pause pique-nique, je potasse une nouvelle fin de parcours afin d’éviter un gros supplément de kilomètres dû à nos demi- tours et impasses ! 

Nous reprenons donc notre cheminement dans cette belle campagne vallonnée et rebelote ! A hauteur du hameau « chez Calloux » nous nous retrouvons de nouveau coincés devant un chemin fermé par une grosse barrière métallique ornée d’un panneau propriété privée !! C’est donc encore un retour en arrière. Je ne rentre pas de nouveau dans le détail mais sur les 5 derniers kilomètres nous ferons chou blanc encore plusieurs fois !!! J’ai rarement vu ça ! Certains ont dû croire que nous étions en train de tourner un remix du « petit poucet « !! mais non je n’ai pas réussi à les perdre et c’est dans la bonne humeur que le groupe retrouve les voitures et de bonnes gourmandises ! Merci à tous pour votre présence et votre patience après cette rando « jeu de piste » !!

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Séjour 5. Du19 au 21 avril 2024 Bivouac au Causse Méjean

Animateur : Michel D.
Nombre de participants : 7 animateur compris (3F, 4H)
Classement Atlas :  Moyen
Météo :  fraiche les trois jours, vent du Nord sur les Causses, relativement chaud dans les vallées.
Kilométrage autos :  448 km
Terrains :  très sec sur pistes 8%, petites sentes 90%, et 2 % de route.
Hébergement :  2 nuits en autonomie en pleine nature.
Temps de préparation et rédaction : 10h

Les données kilométriques et altimétriques des journées sont le résultat de GPS Garmin.

Le ressenti de l’animateur : Le but recherché de ce séjour avec un parcours riche en observations de paysages, était de faire de l’autonomie sur trois jours avec les conditions météo, le port du sac d’environ 12 à 16 kg, et une bonne cohésion du groupe. La bonne condition physique de tous, et la bonne entente ont fait de ce séjour une réussite. Merci à tous de votre participation et à bientôt pour de nouvelles “AAA” “Aventures d’Atlas Autonomie”.

PARCOURS :

JOUR 1 vendredi  19 avril :

Déplacement : 7h 30   distance : 14 km     D+610m   D- 190 m

Le départ de ce séjour se fait depuis le joli petit village de Peyreleau (10h). A l’arrivée, un soleil froid mais radieux nous accueille et ne nous quittera pas durant les 3 jours.

Après la traversée de la Jonte et du Rozier, nous entamons la montée du Causse Méjean en passant par le rocher du Capluc accessible par échelles métalliques. Cette première journée nous fait passer par le Balcon du Vertige près du vase de Sèvres et du vase de Chine face au Causse Noir.

En signe de bienvenue, des vautours fauves réintroduits durant les années 80 et emblématiques du site planent au-dessus de nos têtes. Nous traversons le plateau en direction de la Fontaine du Teil où nous nous approvisionnons en eau pour le bivouac, le causse étant une région calcaire et sans eau de surface. 

1er bivouac vers le ravin d’Orignol arrivée à 17h30 montage du bivouac pour une soirée fraiche et une magnifique pleine lune.

JOUR 2  samedi  20  avril :

Déplacement :  8h30   distance : 21 km      D+780m   D-700m

Réveil dans le gazouillis des nombreux oiseaux.

Après une nuit fraîche, nous repartons (9h30) en direction des Arches de Saint-Pierre. Le causse regorge de grottes, cavités, avens et sculptures naturelles.

Arc de St Pierre

Les chemins sont variés et très beaux, mélanges de pierres, racines et aiguilles de pin et nous dirigent vers le Causse Noir. Au passage, nous visitons le Roc Saint-Gervais surplombant la vallée de la Jonte avec sa chapelle fermée et son vieux petit cimetière.

Prieuré de St Jean des Balmes

Dans la descente, nous croiserons un peu tard une famille montant avec la clef d’accès à la chapelle. Après avoir traversé la Jonte (16h) par une petite passerelle, nous entamons la grande montée vers le plateau du Causse Noir où nous passerons notre deuxième nuit près de Veyreau.

Bivouac à 18h vers le hameau le Villaret.

JOUR 3 dimanche 21 avril :

Déplacement :   7h30   distance : 19 km      D+450m   D-900m

La nuit sera froide (-3°) mais calme avec tous les participants rompus au bivouac et nous nous dirigerons (9h30) vers La Roujarie et son toit citerne que, hélas, nous ne trouverons pas puis vers l’ermitage Saint-Michel (14h/14h30) et ses échelles métalliques avec une superbe vue sur la vallée. Avant la dernière descente vers les voitures, nous longeons la corniche du Causse Noir qui surplombe la Jonte, aux innombrables points de vue qui font face au Balcon du Vertige. En cette période de l’année avec des températures clémentes durant la journée, seules quelques orchidées, genêts, anémones, aphyllanthes de Montpellier, deux beaux lézards verts, quatre chevreuils que nous avons fait détaler et d’agréables vols d’hirondelles auront agrémenté les sentiers.

Hermitage St Michel de Montorsier

Arrivée aux voitures à 17 h. Petite collation au Rosier puis retour sur Clermont. Arrivée vers 20h.

TOTAL de l’autonomie :   54 km   22h30 de déplacement     D+ 1790 m et D- 1790 m

Merci à Pierre pour sa participation à la rédaction.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Jeu 18/04/2024   Rando Combrailles – St Hilaire La Croix

Animateur : Georges
Nombre de participants : 16 ( 10 F et 6 H )
Météo : Pluie et neige le matin, petite accalmie en début d’après-midi
Terrain : gras et torrent dans les chemins en pente
Distance : 15 km
Dénivelée : 400 m
Durée : 4h 30
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto :  100km x1 et 65km x2  soit 230 km 2 voitures sur place
Préparation et CR: 2 h

Itinéraire : Départ de st Hilaire la Croix, descente sur la vallée de la Morge, Lavaure, La Tour Serviat, Moulin Josse, Barrage de la Sep, Combe de Lèbre, Retour à St Hilaire la Croix.

Météo annoncée pluvieuse aujourd’hui au départ de St Hilaire la Croix. Nous partons sous une petite pluie fine, la pluie s’est vite transformée en neige avec de gros flocons. Nous sommes vite transformés en bonhommes de neige, belle ambiance. La neige nous a accompagnée toute la matinée.


Direction la vallée de la Morge, avant la traversée du ruisseau, petite halte pour visiter les rochers Rufino.

Cet artiste a créé un parc où les sculptures taillées dans la roche représentent des figures humaines et animales. Nous ne nous attardons pas, direction Lavaure et La Tour Serviat où nous apercevons le château du même nom des 12e et 15e siècles. Nous quittons le village pour redescendre la vallée et traversons une deuxième fois la Morge jusqu’au moulins de Josse.
Nous quittons la vallée en direction du barrage de la Sep.

La retenue est à son maximum avec les pluies des dernières semaines. Une dernière petite difficulté et nous arrivons à St Hilaire la Croix ; il est 13h 15, nous n’avons pas pris notre pique-nique. Certains préfèrent manger sur place, d’autres aller chez eux au chaud.
Merci à tous d’avoir bravé ce temps hivernal.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Dim 14/04/2024 Rando Sancy Est – Col de la Feuille

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 6 animateur compris (2F-4H)
Météo : soleil et chaleur
Distance : 24,5 km  (GPS Laurence)
Dénivelée : 1437 m (GPS Laurence)
Durée : 8h pauses comprises
Classement Atlas : Difficile
Kilométrage auto 1 voiture – 80km
Préparation et rédaction : 3H0


Itinéraire : col de la Feuille, Verneuge, S/SE PC 1054, Bessole, Pradelle, Pic de Cluzel, Marcenat, Chananeille, Le Fayet, Ourcière, D978, Chastre, Lomprat, chemin des Croix, Col de la Feuille.

Il fait déjà chaud au col de la Feuille quand nous débutons cette rando du jour aux allures de montagnes russes comme le montre le profil ci-dessous.

Nous sommes au pays des Couzes Pavin et Valbeleix qui ont profondément entaillé le socle granitique et qui vont nous offrir de belles grimpettes une partie de la journée. Ça débute par une belle descente qui nous amène à Verneuge. C’est là que commence les ascensions du jour, sur une sente qui va nous faire prendre 350 m en 1,5 km. C’est un itinéraire de trail à la pente très soutenue qui ne laisse quasiment pas de répit jusqu’au plateau, à l’est de Trossagne. La montée s’est faite d’une traite mais le groupe en jambes continue le chemin sans s’arrêter, en profitant c’est vrai d’une belle descente qui nous fait perdre 400 m en un peu plus de 2 km. Montagnes russes, je vous disais 😊 Arrivés à Bessolle, petit hameau à l’organisation circulaire, nous continuons encore à descendre jusqu’au fond du vallon du ruisseau des Rives. Nous entrons alors dans le hameau de Pradelle qui semble vivant et habité : on entend des cris d’enfants… Une vieille femme range un immense tas de bois coupé. C’est une ancienne éleveuse à la retraite qui a cédé son troupeau de 30 laitières à son neveu qui produit du saint-nectaire et qui en vit bien nous apprend elle. Petite pause du groupe avant de remonter par un beau chemin jusqu’au pied du pic de Cluzel, notre  prochain objectif.

Ce sommet se découpe bien dans le paysage qu’on vienne de l’est, de Montaigut ou de l’ouest, de Besse. Malgré sa couverture boisée, le pointu est bien ce qui caractérise son sommet. Là encore, la pente est soutenue même si quelques zigzags soulagent un peu l’effort. La légère sente ne va pas au sommet et emmène les trailers au SE vers Courgoul. Nous finissons les 30 derniers mètres de dénivelée dans les ronces et les blocs de basalte. Au sommet, nous tenons à peine à 6 sur la pointe 😊Nous redescendons ce beau puy en hors-piste jusqu’au chemin de Pradelle que nous avions quitté avant la montée et qui va nous mener à Marcenat. Après encore une centaine de mètres de montée, nous parvenons enfin sur une crête plane puis bientôt descendante. Nous nous arrêtons manger juste avant la sortie des arbres et de leur couverture bienvenue par ce début d’après-midi étouffant. Vers Lagarde, le chemin de crête nous offre un beau belvédère sur le Signal du Luguet au sud, les éoliennes de Boslabert et le Mont Leiranoux au sud-est. La vallée de la Couze du Valbeleix est à nos pieds ; nous sommes pile dans l’axe du pic St Pierre que les glaciers du quaternaire n’ont pas pu lessiver …

Plus à l’est on devine la vallée de Sault qui va bientôt déboucher sur les gorges de Courgoul. Ces beaux points de vue nous offrent un peu de répit avant de reprendre la direction du plateau et de Chananeille qui semble pourtant tout proche. Mais c’est sans compter la grosse descente vers Marcenat 😊beau hameau encore bien habité lui aussi : que font les parents des familles qui peuplent ces petits bouts du monde ? Comme nous bifurquons avant d’atteindre Marcenat, nous ne verrons pas la belle chapelle du hameau. Nous remontons en effet vers le plateau en suivant la rive gauche du ruisseau des Rives que nous avions traversé dans la matinée à Pradelle. Une source à proximité de Chananeille nous offre un bon rafraichissement. Mais pas de quoi remplir les bouteilles vides de certains, pas confiants dans la pureté de l’eau… Pas grave, nous allons frapper à la porte de l’autochtone 😊. J’accompagne Santiago qui se fait remplir son récipient. Je vais frapper à la porte voisine et sans le savoir je « dérange » le vieux monsieur qui se prélassait devant sa télé qui diffusait en direct la course vélo de l’Amstel Gold Race… Il ne m’en veut pas et nous parlons deux minutes de la force de Van der Poel et de la future victoire de Pogadcar dans le Liège – Bastogne – Liège de dimanche prochain. Je repars muni d’une bouteille de Cristalline neuve offerte par ce chaleureux monsieur. Comme je l’avais annoncé aux collègues en début de rando, l’après-midi sera reposante en comparaison des efforts à déployer dans la matinée. Après avoir pris pied sur le plateau sur la D633, nous continuons sans difficulté notre route sans dénivelée jusqu’au Fayet. On touche presque le Sancy du doigt .

Le regard englobe le massif, du Pailleret jusqu’au col de la croix Morand. On ne s’en lasse pas ! Nous quittons vite le hameau du Fayet pour prendre la piste qui doit nous amener en direction d’Ourcière. Dans les pentes d’un vert éclatant d’un talweg, des vaches allaitantes sont confortablement allongées et jettent un œil discret à leur progéniture folâtrant autour d’elles. Un peu plus loin et rompant avec ce charme pastoral, une vieille décharge agricole apparait sur le bord du chemin surplombant un ravin aux pentes carbonisées qui abritent les multiples déchets polluant de l’activité d’élevage.

Habitués à ces fautes de goûts qu’on retrouve fréquemment dans nos territoires d’élevage, nous reprenons le chemin de la vallée. Bientôt le sentier pourtant bien marqué sur la carte disparait sur le terrain : le soupçon de hors-piste annoncé sur le répondeur se matérialise sur le terrain. Nous slalomons en descente entre ronces et genêts jusqu’à butter sur la sente qui nous mène à l’entrée d’Ourcière. Entre les arbres, on aperçoit Besse pas très loin. Ourcière, minuscule hameau traversé par la Couze Pavin est pourtant équipé d’une grande salle municipale (comme Lomprat sa juste voisine) : Michel nous apprend que c’est le rachat de l’électricité produit dans la petite centrale en amont du hameau par ex EDF qui permet ces investissements conséquents… A la sortie du hameau, nous sommes obligés d’emprunter la D978 qui relie Champeix à Besse sur 150 m : dangereux ! Peu après nous parvenons au hameau de Chastres. Nous passons à côté d’une maison très ancienne mais restaurée avec un pignon « à saut de moineaux ». Michel nous explique que cette sorte « d’escalier extérieur » qui encadre le pignon permettait aux couvreurs d’atteindre le toit pour y faire les réparations sur la couverture de chaume. Les marches de cet « escalier » sont en fait des lauzes … Un peu plus loin nous entamons la conversation avec une jeune femme qui nettoie les abords de sa belle ferme. Nous commençons à lui poser des questions sur l’activité agricole de la famille. Elle fait rapidement appel à son mari qui nous répond gentiment. Il élève près d’une soixantaine de vache allaitantes sur une superficie de prairie de 70 hectares. A la belle saison, il monte ses bêtes à l’estive sur une « montagne » près de Picherande. La femme ne s’occupe pas du tout d’élevage car elle travaille à Issoire. Originaire de Ceyrat, elle nous fait comprendre à demi-mots que l’intégration dans la collectivité rurale du secteur ne va pas de soi quand on est étrangère… Après ce long échange très instructif, nous rejoignons Lomprat pour notre dernier « coup de cul » de la journée : il faut bien remonter au col de la Feuille pour récupérer la voiture 😊 Nous empruntons un chemin de croix qui monte à la chapelle du pic Saint-Pierre. Au début du chemin nous tombons sur un curieux monument à la statuaire étrange qui a vu les siècles passer.

C’est un calvaire païen -Celte – qui a fait l’objet d’une récupération chrétienne au début de l’évangélisation du pays. Les personnages et les scènes ont été détournés pour imager les Evangiles du nouveau culte…. A mi- pente, nous laissons le chemin qui continue jusqu’à la chapelle pour emprunter une sente presqu’effacée qui nous mène directement au col et à la fin d’une belle randonnée exigeante parcourue dans un excellent état d’esprit.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Jeu 11/04/2024 Rando Cantal – La Chapelle-Laurent

Animateur : Yves
Nombre de participants : 20 animateur compris ( 9 F, 11 H)
Météo : journée ensoleillée avec fraicheur matinale
Distance : 26 km
Dénivelé : 900 m
Durée : 7h40
Classement Atlas : Moyenne
Kilométrage auto : 146 km pour 2 véhicules et 180 km pour  2 autres soit 652 km + 1 voiture sur place
Préparation et rédaction : 3h

ITINERAIRE : La Chapelle-Laurent, Loubarcet, Alleret, Saint-Poncy, Arches, Lignerolles, Pont le Boucharat, Pont de Catzara, Le Monteil, La Gare, Loudières basse, Loudeyrette, Le Pont Saint, La Picardie, La Chapelle Laurent

Malgré un soleil bien présent, petite fraicheur ce matin au départ de la Chapelle-Laurent, où le thermomètre ne dépasse pas les 5 degrés, aidé par une légère brise. Direction Ouest pour gagner l’ancien volcan de Loubarcet à la roche rouge que l’on retrouve sur les constructions voisines. Sur ce piton volcanique, où se trouvait une forteresse seigneuriale, il ne reste que la Chapelle Sainte Anne, fondée en 1215, encastrée aujourd’hui dans une grange, pourtant inscrite aux Monuments Historiques en 1994.

Chapelle Sainte Anne

Juste en face, une première table d’orientation avec une vue très nette sur le massif Cantalien immaculé.

Les Monts du Cantal enneigés

De l’autre coté du bourg, à quelques mètres, une 2° table face au Cézallier, Sancy et Dômes, nous permet de nous repérer dans l’espace. Avec les 2 tables, le 360° est garanti.


Grande descente sur le pittoresque village de Saint-Poncy, flanqué de sa belle église romane où coule l’Alagnonnette, ruisseau qui sera un peu notre fil rouge du jour. 
Passé Lignerolle, la portion de hors piste annoncée arrive. Nous délogeons 2 chevreuils qui détalent devant nous dans une partie légèrement boisée, et retrouvons le chemin voulu à la sortie d’une grande pâture. L’itinéraire qui traverse une variété de paysages à dominante agricole, redescend progressivement le long de la vallée de notre Allagnonnette, nous procurant un peu d’ombre et de fraicheur. 
Nous voici au vieux pont ouvragé de Catzara.

Pont de Catzara

Il nous faut remonter maintenant jusqu’à La Gare, lieu dit à maison unique, sur le tracé d’une ligne ferroviaire aujourd’hui disparue qui allait de Beaumont Loriat (Brioude) à Saint Flour. Cette ligne appartenait au PLM, mise en service en 1910 et abandonnée en 1938 lors de l’arrivée de la SNCF.

Encore petites descentes et remontées dans ce relief mouvementé où s’étalent de nombreux ruisseaux dans des vallées verdoyantes. Passé Loudières Basse, un troupeau accourt vers nous et se positionne pour la photo de famille. 


A Pont du Saint, nous apprenons sur la stèle commémorative, qu’à cet endroit Robert De Tourlande, fondateur de l’Abbaye de La Chaise Dieu serait né vers l’an 1001.

Stèle

La remontée n’est plus qu’une formalité pour rejoindre le départ. Dans l’ensemble, belle journée estivale malgré la fraicheur du matin.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Dim 7/04/2024 Rando Haut Livradois – Saint-Amant-Roche-Savine

Animateur : Yves
Nombre de participants : animateur compris 12(8 F, 4 H)
Météo : Ciel couvert toute la journée
Distance : 24 km
Dénivelé : 770 m
Durée : 7h20 pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 120km pour 3 véhicules soit : 360 km
Préparation et rédaction : 3h

ITINERAIRE : Col de Toutée, Gachon, Bartivel, Neuville, Le Moulin de Rouhade, Le Besset, La Mine, Saint Amant Roche Savine, Le Monestier, Fournier, La Farge, Le Bethonas, Le Verdier, Col de Toutée

Ciel d’un gris uniforme chargé de sable ce matin au Col de Toutée que le soleil a du mal à percer. Départ du Col entre les coupes à blanc et les parcelles encore boisées jusqu’à Gachon. A Bartivel nous traversons le ruisseau de Rouhade, au débit très important. Nous le longeons plus ou moins jusqu’au moulin éponyme, qui a perdu sa roue mais la rénovation de la bâtisse est réussie. A proximité, sur le bord du chemin, un joli pied de narcisses s’offre à nous.

Quelques mètres avant, en plein près, 2 chevreuils surpris nous ont montré leurs fesses blanches en s’éloignant rapidement. Traversée en 2 fois de la D996 pour rejoindre La Mine. Devant nous se trouvent les vestiges de l’ancienne mine de plomb argentifère, filon découvert en 1755 lors de la construction de la route Clermont-Ambert. En 1833, la Mine possédait de vastes galeries et occupait une vingtaine d’hommes. En 1875, à cause de la chute des cours du métal précieux, le site fut abandonné malgré qu’il dorme encore sous nos pieds. Le ruisseau, toujours le même, fournissait l’eau de lavage du minerai.

Passé le Moulin Neuf, première grosse montée en direction de Saint Amant Roche Savine où, André Chassaigne, député bien connu des Auvergnats en a été le maire pendant 27 ans. La porte fermée de l’église Saint Barthélémy nous a privés de la vue de ses peintures médiévales.

Eglise Saint Barthélémy

Après plusieurs petites bosses, nous plongeons sur le Monestier. Sur le chemin, nous apprenons ce qu’est une Haie sèche (structure écologique, économique et durable afin de valoriser les branches et créer un refuge pour la bio diversité animale et végétale).

Haie sèche

Au Monestier, nous grimpons au rocher de la vierge. Vierge de 3m de haut, installée ici depuis 1876.

Rocher de la Vierge

Légèrement en dessous une table d’orientation nous permet de repérer les différents villages de la vallée de la Dore depuis Ambert avec , en toile de fond, le célèbre Forez où la neige, présente encore il y a peu, a disparu.

Nous sommes à l’extrémité de notre boucle du jour, le retour se fait, tantôt en forêt, tantôt à découvert. A Bethonas, découverte d’une “Carte” dans une propriété. Ce petit édifice de pierre taillée est trompeur : il ne s’agit pas d’un simple puits mais d’une “carte”, un abri pour mettre et garder au frais le lait que l’on venait de récolter car le frigo n’existait pas. Une réserve d’eau au fond de la carte, alimentée par la fontaine, maintenait une température constante.

Carte

Ce lait de très bonne qualité donna naissance, principalement à la Fourme de Fournols, fromage à pate molle et croute lavé

Dernier hameau traversé avant de rejoindre les voitures, le Verdier. En 1896, 12 familles animées par une forte volonté d’éducation, engageaient la construction d’une école. En 1905, c’est une nouvelle école à classe unique qui s’ouvrit, accueillant les enfants du CP au certificat d’étude.
Certaines années, il y eut jusqu’à 46 élèves. Ouverte jusqu’en 1978, de grands esprits y débutèrent, tel Lucien Gachon historien géographe reconnu.
La douceur de cette journée nous aura fait oublier le manque de soleil qui n’a jamais traversé la couche nuageuse.

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Séjour 4. Raid pédestre linéaire sans assistance dans la Chaîne des Puys. Dimanche 07/04/2024

Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 7 animateur compris (2F, 5H)
Météo : température douce avec un ciel laiteux du à des poussières sableuses en altitude.
Classement : hors catégorie
Transport des participants : Renault Kangoo et Toyota Yaris
Assistance au transport : Régine et Mady
Kilométrage routier : 208 km (dépose du ravitaillement et récupération des participants)
Temps de préparation et rédaction des divers documents : 5 heures
Cartographie utilisée : cartes Ign Top 25, 2531 OT.
Matériel mis à disposition par l’association: trois paires de bâtons de marche nordique 1,10, 1,15 et 1,25m

Les grandes lignes de l’itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyres-de-Bruvaleix,
contournement par l’Est, le Nord et l’Ouest du Puy de Paugnat, Nord du Puy de Pradet, Ouest du Puy la Baneyre, GR441 puis Sud du Puy de Tressous, traversée de la D986, contournement Nord et Ouest du Puy de Louchadière, entre Puy de Clermont et Puy Chopines, GR 441 jusqu’au rond point de Vulcania, plein Sud jusqu’à Chabanne Vieille, entre Grand Suchet et les Puys de Côme puis Balmet, bac de Ceyssat, bac de Montmeyre, Ouest du Petit et Grand Sault, traversée de la D68, Nord et Ouest du Puy de Besace, la Fontaine du Loup, GR441A, traversée de la D52, traversée du parc d’Allagnat plein Sud puis Ouest, contournement du Puy de Barme par l’Est puis Sud, traversée de la D942, long chemin d’exploitation passant au Sud du Puy Pelat jusqu’à la jonction avec le GR441, GR4, contournement du Puy de Mercoeur par l’Ouest et le Sud, col à 1112m, Est du Puy de la Mey, traversée de la D5, jonction avec le GR4, GR30 et GR441, parking de covoiturage de la Cassière.

A Paris plus de 50 000 personnes se lancent sur la distance du marathon. En Auvergne 7 Atlassiens dans un anonymat souhaité traversent la Chaîne des Puys jouant avec le terrain sur un itinéraire déterminé.
Comme proposé lors du dernier entraînement sur 30 kilomètres du samedi 30 mars, nous avons pris une allure de sénateur, entre 6,1 et 6,2 km/h dès le début surveillant régulièrement nos montres afin de s’assurer de pouvoir tenir la distance.
Un bon état d’esprit a régné tout au long de la journée et les participants ont pu échanger dans la bonne humeur sur différents sujets.
Annoncé au départ, une pause de 5 minutes a été imposée au 10, 20, 30 et 40ème kilomètre. Avant le 30ème kilomètres nous avons pu remplir en eau nos contenants, Mady ayant déposé en un lieu précis 2 bonbonnes de 5 litres et quelques provisions, amandes grillées, abricots secs, dattes et une brioche aux pralines qui a été très appréciée. Les déchets ont été repris en fin d’après-midi avant la récupération des participants.
La dernière difficulté du parcours, le petit col entre les Puys de Mercoeur et de Lassolas a fait son petit effet sur les organismes. Dans la descente, Christian a été pris de crampes aux deux mollets. Après des étirements et massages, nous l’avons escorté jusqu’à la D5 où Mady est venu le chercher. Sage décision à quelques kilomètres de l’arrivée afin de ne pas aggraver une possible blessure.
La dernière ligne droite s’est faite à bonne allure. Le parcours de 42 km 680 a été réalisé en moins de 07h00 (06h53) à une allure moyenne de 6,2 km/h pour des dénivelées positive de 1045 m et négative de 702 m. Bravo à tous !


Merci à Régine et Mady pour la dépose, la récupération des participants et la prise des photos.

le groupe à l’arrivée en pleine forme !


-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Jeu 04/04/2024 Rando Sancy- Le Vernet Sainte Marguerite

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 18 animatrice comprise (11F, 7H)
Météo : ciel nuageux le matin, dégagé l’après-midi, température douce toute la journée avec vent du sud ouest.
Distance : 22,500 km
Dénivelé : 525 m
Durée déplacement : 6 h 10’
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 252 km pour 3 voitures de Clermont Fd, 54 km pour 1 voiture du Crest soit au total 306 km
Préparation et rédaction : 2 h 30

ITINÉRAIRE : Le Vernet Sainte Marguerite, Cluchat, sud de Lambre, Lenteuge, Saumoulin, la Garde, la Boueria, Moulin de Prades, la Serre de Fontmarcel, plateau de la Serre, le Vernet Sainte Marguerite.

Le Vernet Sainte Marguerite est connu pour sa source réputée miraculeuse pour soigner les problèmes digestifs et bien d’autres maladies. Mais notre parcours ne prévoit pas d’y passer. Garés à la sortie Est du village, nous nous dirigeons sous un ciel couvert vers Cluchat un des deux seuls hameaux que nous allons traverser au cours de cette randonnée. 

Au départ du Vernet

Pour le reste ce sera plateaux cultivés, vallons et vallées où coulent ruisseaux et rivière. Nous rencontrons et suivons d’abord le ruisseau du Vernet. Il coule au sud puis bifurque à l’est et prend alors le nom de ruisseau de Lambre.

Nous continuons sur le chemin qui le longe et profitons de beaux coins de campagne et de quelques curiosités. 

Une chèvre en mauvais état !

Arrivés à Lenteuge, nous remontons sur le plateau de Champille qui nous ouvre un bel horizon sur les sommets du massif du Sancy où restent quelques traces de neige.

Une légère descente, une remontée pour retrouver un plateau bien dégagé d’où nous apercevons derrière nous les monts du Sancy et devant nous la chaîne des Puys. Quels panoramas ! 

La Chaine des Puys

C’est d’ailleurs avec le Puy de Dôme face à nous que nous faisons la pause pique-nique.

Mini orgues

Nous repartons sur de larges chemins bordés de petites orgues mais avec quelques embûches, deux gros trous de plus de 30 cm de diamètre et de 50 cm de profondeur dont l’un en plein milieu du chemin. Danger en cas d’inattention !

Puis c’est la partie hors piste annoncée, qui va nous permettre de rejoindre la Monne qui coule en contrebas. Après une première partie de bois embroussaillée et avec de nombreux arbres couchés, la suite se fait plus facilement. Ce sera même l’occasion pour certains de trouver des morilles. Nous suivons la Monne jusqu’au moulin de Prades 

La Monne

puis remontons sur le plateau avec toujours, vue sur le Sancy avant de redescendre sur le Vernet où nous dégustons avant de repartir diverses et délicieuses gourmandises.

Merci aux pâtissières et à Jean Louis (absent physiquement mais présent par la pensée) pour ses pâtes de coings.

Pour cette randonnée entre 800 et 1000m d’altitude nous avons bénéficié d’une journée printanière, tant par la douceur de la température que par la végétation qui s’éveille, vert intense des prairies, fleurs parsemant les sous bois, arbustes qui commencent à fleurir. A ces altitudes, la végétation n’est pas aussi avancée que dans la plaine. Et puis une grande partie du parcours avec des vues superbes sur nos montagnes.

Le massif du Sancy

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

Jeu 04/04/2024. Via-Ferrata au Malzieu

Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 9 animateur compris (3F, 6H)
Météo : ciel couvert avec quelques passages de ciel bleu
Durée de l’activité : 4 h 15 en comptant la marche pour revenir à la voiture
Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (266 km) en co-voiturage soit un total de 532 km.
Matériel mis à disposition : tout l’équipement pour la pratique d’une via-ferrata
Préparation du matériel et rédaction : 3 h 00

La fenêtre météo est au rendez-vous pour cette première sortie de la saison au Malzieu. De nombreux adhérents semblent motivés en 2024 pour cette activité et nous avons du refuser 3 personnes inscrites au dernier moment. Bien équipé et entretenu, le parcours se compose d’une passerelle, 5 ponts de singe, 1 pont népalais et d’1 tyrolienne. Dénivelé : 60 mètres.
La journée a commencé par le passage au practice afin de découvrir pour les nouveaux et se rappeler pour les habitués les bons gestes à adopter pour une progression en toute sécurité. Nous avons suivi le parcours facile, le matin puis après un retour aux voitures pour déguster le pique-nique, nous sommes repartis, certains sur la difficile, d’autres faisant un mixte entre facile et difficile et deux adhérents refaisant la facile pour bien s’imprégner du parcours. En fin de matinée, chacun a souhaité s’essayer à la tyrolienne.

Bonne ambiance dans un climat d’entraide.
Le nombre de participants est évidemment restreint pour des raisons de convivialité, de sécurité et de transport.

Au cours de la matinée certains ont pu apercevoir un magnifique oiseau qui niche dans les rochers ou vieux murs, un Tichodrome échelette (à voir sur internet !)

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-