Animateur : Michel D. Nombre de participants : 8 animateur compris (5F, 3H) Distance : 25 km Dénivelé : 1600m de D+ Météo : Partiellement nuageux, vent d’ouest, qq gouttes vers midi Durée : 8h45 pauses comprises Classement Atlas : Difficile Kilométrage auto : 90 km pour 2 voitures soit : 180 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Lomprat – Pic St Pierre – col de la Feuille – Verneuge – PC1054 – Bessole – Pradelle – Col des Sangliers – Pic de Cluzel – pailhats de Courgoul – Courgoul – gorges de Courgoul – vieux pont – la Tourette – pont de la Valette – Marcenat – Chananeille – plateau de la Jarrige – antennes téléphoniques – Chevalière – Lomprat.
Nous sommes partis à 9h10, droit dans le pentu pour notre parcours de cinq sommets. Le premier, le Pic Saint Pierre, nous redescendons sur Verneuge pour attaquer la montée la plus longue du parcours avec de bons pourcentages. Descente sur Bessole et Pradelle pour aller à notre 3eme sommet le Pic de Cluzel avec encore de sérieux pourcentages. Descente aux pailhats de Courgoul et pique-nique à Courgoul.
Vers les pailhats
Descente aux pailhats
Pailhats de Cougoul
Nous reprenons notre périple dans les gorges de Courgoul. Passage au vieux pont sur la Couze du Valbeleix, puis remontée à la Tourette où le dénivelé commence a ce faire sentir. Accueil d’aboiement de chiens à la Valette pour attaquer notre dernière montée de la journée avec un passage à l’agréable hameau de Marcenat. A Chananeille et sa cloche des tourmentes.
Cloche des tourmentes
Nous arrivons à notre point culminant de la journée le plateau de la Jarrige 1146m avec un panorama de toute beauté à 360°, le Sancy ,les Dômes , le Forez le Cézallier. A partir de là nous prenons notre dernière grande descente sur Lomprat.
Passage aux antennes téléphoniques de Chevalière, une dernière piste forestière et nous voilà à notre point de départ.
Animateur : Michel J. Terrain : souple et humide, de grosses flaques d’eau par endroits Météo : température douce avec un soleil ardent sur fond de ciel bleu Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : 1 paire de bâtons de 1,15 m. Déplacement routier : 2 voitures, en co-voiturage au départ de Clermont (2 personnes) avec un kilométrage moyen de 40 (aller et retour) et 2 voitures sur place avec un kilométrage moyen de 45 soit un total de 170 km
Nombre de participants :7 animateur compris (2F, 5H) Distance : 25,75 km ; moyenne 6,8 km/h, dénivelée 396 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 3 h 28 (de marche) et 3 h 41 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ du parking des camping-cars de Paugnat, zone appelée les Cheyres, Sud du Suc de Beaunit, Nord du Puy de Verrières, Est de Grelière et Lambertèche, GR 441, Ouest du Puy de Lespinnasse, Sud du Puy de Tressous, passage de la D 941, Ouest et Sud du Louchadière, Bois de Mauzac, GR 441, col de la Nugère, Ouest du Puy de la Nugère, Puy des Littes, Bois Latia, contournement par l’Est et le Nord du Puy de Paugnat, parking.
Nous accueillons pour la première fois avec Atlas sur cette distance Carole, adepte régulière de la marche nordique qui a trouvé rapidement sa place dans le groupe et semble avoir apprécié l’activité. J’avais choisi un itinéraire très ensoleillé pour le début de matinée afin de profiter au maximum des bienfaits de l’astre solaire retrouvé. Roulant, il nous a permis de maintenir les deux premières heures un rythme à 7 km/h, sans être gênés par les quelques grosses flaques inhabituelles sur le parcours facilement contournables. Les hêtraies traversées présentent une ramée de toute beauté, abondante et d’un vert printanier. Quelques feuilles et jeunes branches au sol montrent qu’un orage de grêle est passé par là dans les jours précédents. Pour une fois dans ce secteur habituellement sans présence humaine, nous avons doublé quelques randonneurs qui participaient à une marche organisée par le village de Pulvérières. Tout au long de cette longue boucle, une bonne ambiance a régné, je dirai comme d’habitude. Merci à tous de votre présence !
Animateur : Georges Nombre de participants : 21 (10 F et 11 H) Distance : 18 km Dénivelée : 480 m Météo : 2 petites averses en journée, température agréable. Durée : 6 h pause comprise Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 64 km pour 2 voitures et 30 km pour 3 voitures soit 218 km Préparation et rédaction : 2 h
ITINERAIRE : Départ de Champeix, pc 510, Chapelle d’Anciat, Neschers, Chadeleuf, Chidrac, pc 609, Retour à Champeix.
Aujourd’hui, nous partons de Champeix charmant village sur la Couze Chambon. Une petite sente très pentue nous permet de prendre de la hauteur, heureusement elle est courte.
Une petite route nous guide jusqu’à la chapelle d’Anciat, un aller-retour et nous voici au- dessus du village de Neschers. Nous empruntons une sente pour rejoindre la Couze Chambon et le village ; la Couze a un gros débit, résultat des fortes pluies de ces derniers jours. Nous traversons la rivière sur un pont romain
avec 2 arches, sa largeur permet seulement le passage des piétons. Après la traversée du village, une petite averse nous oblige à mettre les tenues de pluie, elle sera de courte durée.
Prochain village Chadeleuf, ancien village vignerons, à sa sortie nous découvrons le château de la Ronziere d’origine médiévale, aujourd’hui c’est un centre équestre.
Nous traversons une zone agricole avec de grandes surfaces cultivées principalement de céréales, nous pensions passer par la ferme de Montaron, une belle allée herbacée et bien entretenue nous tendait les bras. En arrivant près du domaine un jeune homme nous a gentiment demandé de faire demi-tour. Nous quittons le plateau pour descendre sur Chidrac dans la vallée de la Couze Pavin, c’est l’heure du pique-nique que nous prenons sur la place de l’église. Après avoir repris des forces, nous remontons sur le plateau, Champeix est en vue.
Contrairement à la prévision de la météo, très peu de pluie, agréable journée.
Merci à Liliane R. pour son délicieux gâteau pris sur une terrasse au soleil. A bientôt sur de nouveaux chemins.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (3F – 4H) Météo : soleil le matin plus couvert l’après-midi avec deux petites averses orageuses et quelques coups de tonnerr Distance : 26,5 km Dénivelée : 860 m Durée : 7h35 pauses comprises Classement Atlas : moyenne Kilométrage auto : 2 voitures soit : 100km Préparation et rédaction : 3H00
Itinéraire : Eglise de Saint-Sauves – le Pont de Saint Sauves – D922 – Chateauneuf – Croix de St Roch – bois de Liournat – Centrale électrique de la Bourboule – SW La Bourboule – Fohet – W bois de la Bonsière – HP SW vers Col de la Sœur- W jusqu’au PC 1046 – Nord jusqu’à Mazet – les Chomettes Hautes – Huistiaux – Méjanesse – la Grange neuve – Est la Pailloncy – les Renardières – Saint-Sauves
Un beau soleil nous attend au cœur de Saint-Sauves beau bourg animé en ce dimanche matin. Les maisons aux couleurs rouge et blanche témoignent de la pierre utilisée pour leur construction : parmi les plus anciennes roches d’Auvergne, ces grès et schistes datent d’environ 260 millions d’années. Le premier objectif est la butte de Châteauneuf qu’on aperçoit au loin. Avant cela, nous devons descendre vers la Dordogne bien en eau à cet endroit. Nous continuons vers le Pont de Saint-Sauves et son vide-greniers organisé ce dimanche. Rapidement, nous parvenons au pied de la butte de Chateauneuf et son chemin de croix. La sente est assez rude mais là-haut le panorama à 360° vaut la peine. En face au SE on voit les falaises du bois de Liournat.
Falaise de bois de Liournat
Ce site d’escalade abrite les voies les plus difficiles d’Auvergne : Docteur éthique 8c+/9a et Docteur Païsmakeur 9a. Hélas il est aujourd’hui fermé pour des raisons de sécurité et pour la protection de la nidification des oiseaux. Dommage, le site abritait près de 50 voies sur un beau granit à réglettes…. Nous redescendons par le même chemin et commençons à suivre la Dordogne par de beaux chemins forestiers. La rivière est bien large en ce mois de mai si pluvieux. Nous parvenons bientôt au barrage de la Bourboule.
Barrage de la Bouboule
C’est un barrage de type Poids ; sa caractéristique ? Il s’appuie uniquement sur le sol à la différence d’un barrage Voute par exemple qui s’appuie sur les parois rocheuses des deux rives et qui y reporte toute la pression. Il est haut de 19,5 m et long de 60 m. Sa mise en service remonte à la fin du 19ème siècle, 1897. Le volume de la retenue est de 380 milles m3. Le chemin continue pour tangenter La Bourboule au SW. On a une assez belle vue sur le puy Gros… et sur la fin de la caldeira du Mont Dore. La fin de la matinée est consacrée à remonter vers Charlannes par de toujours beaux chemins forestiers surplombés de belle coulée de lave sur lesquelles surfent plein de petits ruisseaux.
Après le repas, nous arrivons sur le plateau et nous laissons Charlannes et son bois sur notre gauche. J’ai prévu de suivre la forêt sur 2 km encore mais sur notre droite s’ouvrent d’immenses pâturages bien tentants.
On entame donc une petite séance hors-piste en prenant comme repère la pointe du bois qui entoure le col de la Sœur au SW. Bien sûr le terrain n’est pas rectiligne et abrite des plis et replis assez humides dans le fond… Normal les estives sont traversées par de nombreux ruisseaux qui coulent tous vers l’W/NW. Après un peu d’effort et un contournement au très large d’un grand troupeau de vaches, nous rejoignons le chemin juste à l’entrée du bois. Comme dans tout le secteur du col, les coupes ont été importantes et le chemin défoncé par les engins forestiers est bien boueux. Une fois la route du col traversée, nous continuons plein W au sud du puy de Lachaud. Le chemin, un PR, traverse sur 200 m une prairie de fauche. Sympa de la part de l’éleveur de laisser le passage. Les bois qui apparaissent encore sur les cartes ne sont plus que des souvenirs. Des plantations apparaissent de proche en proche mais ne recouvrent pas la totalité des zones défrichées. Parvenus au PC 1046, nous changeons de direction pour revenir au N/NW vers Méjanesse. La progression se fait toujours sur de larges chemins d’exploitation abimés par les engins, jusqu’à la bifurcation plein W vers La Chaleille. Le PR bifurque mais nous, nous continuons plein nord sur un sentier abandonné qui traverse une zone humide. Comme toujours, il faut jongler avec les obstacles végétaux tout en suivant sa direction. Il ne faut pas craindre de se mouiller les pieds pour être efficace. C’est le dernier effort de cette rando. Enfin, à proximité de la ferme du Mazet le chemin débouche sur un chemin praticable et peu après sur une petite route qui nous mène à Méjanesse. Le temps qui s’est bien couvert depuis le repas nous fait don de quelques petites averses orageuses. Rien à voir avec les trombes qui tombent plus au sud sur la Tour d’Auvergne : nous devinons au loin le rideau de pluie ! Bâchage / débâchage sont le lot de ces randos qui jouent avec la pluie. A Méjanesse, nous franchissons la grande départementale qui mène à Bort par un petit boviduc bien tapissé 😊. L’orage semble maintenant bien se préciser. Je décide donc d’écourter la boucle qui passait plus au nord par Massanges. Nous rejoignons l’itinéraire prévu à hauteur de la Pailloncy. Le chemin redescend doucement vers la Dordogne. Après avoir traversé le pont sur la rivière, la fin est proche. Dernier petit hic, Saint Sauves est sur un plateau 100 m plus haut. Chacun finira donc à son rythme cette petite rando sympathique.
Animateur : Yves Nombre de participants : animateur compris ( 12 F, 8 H) Météo : ensoleillé toute la journée Distance : 23,5 km Dénivelé : 420 m Durée : 6 h 30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 44 km pour 2 véhicules et 66 km pour 2 autres soit : 220 km Préparation et rédaction : 2 H 30
ITINERAIRE : Luzillat, La Barbine, Butte de Montgacon, Les Coutans, le Grand Puy, Puy de Villard, Puy de Montfroid, Puy de Vendègre, PC313, PC305,Les Quatre Chemins,PC284, PC277, les Graviers, la Métairie Basse, Luzillat.
Après avoir scruté différentes sources météo en cette période très incertaine, j’ai enfin trouvé une zone qui devrait être épargnée par les averses. Nous partons donc de Luzillat, sur les bords de l’Allier en Limagne, où quelques petits puys proches nous apporteront un peu de dénivelé.
La proximité de l’Allier favorise une activité agricole relativement importante que nous découvrons dès le départ. Les premiers rayons de soleil chassent l’humidité du sol semblable à une nappe de fumée qui s’élève gentiment.
A La Barbine, un lavoir, un pigeonnier et un four à pain agrémentent le village. Direction la Butte de Montgacon, son nom est tiré de la Colonie Gasconne venue s’établir en ce lieu vers 582. Au sommet de la butte, une des buttes féodale les plus importantes du département, nous apprécions le joli panorama sur la Chaîne des Puys, le Livradois Forez et la plaine de la Limagne. Un patchwork de couleur fait ressortir le paysage agricole de ce territoire. Surplombant la butte, la statue, haute de quatre mètres de Notre Dame des Moissons, se dresse depuis 1953 sur les lieux de l’ancien château féodal.
Notre-Dame des moissons
Au pied de la butte, un petit panneau nous révèle le nom des premières boîtes aux lettres publiques en fonte. De couleur bleue à l’époque, créée par la fonderie Delachanal, équipée d’un système de roue tournantes pour indiquer le jour, l’heure de levée et la dernière effectuée, elles portent le nom de “Mougeotte” du nom de famille du sous secrétaire d’état aux Poste et Télégraphes Léon Mougeot, qui remplaça en 1899 les boîtes en bois. La couleur a changé, mais celle-ci est toujours utilisée de nos jours.
Notre parcours nous conduit maintenant vers le premier puy du jour, le Grand Puy. Après avoir récupéré un peu de boue sous les chaussures, un chemin très herbeux et bien fleuri nous permet le nettoyage.
Après une descente et une remontée légère, nous enchainons par le Puy de Villard avec son château d’eau imposant. Dans le redescente un coin agréable, bien ensoleillé, nous tend les bras pour le pique-nique. Passage par le Puy de Montfroid avant de gagner le Puy de Vendrègre quatrième et dernier du jour.
Nous voilà de nouveau dans la plaine pour nous diriger à proximité de l’Allier que nous longerons jusqu’au lieu du départ. Ce parcours champêtre nous aura permis de découvrir de nombreux éléments du patrimoine ainsi que de magnifiques panoramas malgré une faible altitude. Le choix du secteur a été judicieux car aucune goutte n’est venue perturber cette belle journée.
Animatrice : CHRISTELLE Nombre de participants : 12 P. animatrice incluse 9 F 3 H Météo : J1 : Temps estival, chaleur et ciel bleu J2 : Quelques gouttes le matin avec une averse un peu plus soutenue en fin de matinée puis nuageux le reste de la journée Terrain : J1 et J2 nombreux passages gras et de belles flaques d’eau Distance : J1 22 Km J2 19 Km Dénivelée : J1 280 M J2 590 M Durée : J1 6 H J2 6 H pauses incluses Classement : Facile Kilométrage auto : 338 km X 3 soit 1014 km Préparation et rédaction : 8 h
ITINERAIRE :
J1/ Saint Pardoux la Croisille, Mensac, le Teil, PC 555, Leix, Vigné, Chauzeix, Coudert, Artiges, étang de la Prade, château de Sédières, étang Neuf, Clergoux, D978, Lachaud, Mas Bichier, la Valette, moulin des Gouttes, Saint Pardoux
J2/ Chaumeil, la Rebière Faure, Roubeyge, le Champ de Roubey, Lachaud, Beyssac, étang de Ganezande, Chauzeix, PC 744, PC 745, Suc au May, PC 904, Puy Genoux, PC 721 , D121, Chaumeil
Pour ce week-end printanier, direction la Corrèze : Secteur plutôt méconnu par plusieurs d’entre nous mais qui recèle de jolis atouts !
Samedi, après un trajet d’à peine 2 heures, nous voici à Saint Pardoux la Croisille où d’emblée on sent que l’on a changé de « culture » avec notamment un patrimoine bâti largement dominé par le granit. Tout au long de notre cheminement, nous allons admirer maisons et édifices bien rénovés et entretenus !
Jolie maison en granit
Parcours plutôt tranquille, peu de dénivelée. Nous alternons entre sentes boisées, chemins et petites routes encadrées d’une végétation en pleine explosion où le vert clair des jeunes feuilles et le jaune des genêts apportent vraiment une magnifique touche de lumière !
Le royaume vert
Superbes également ces épais tapis de mousse que nous avons trouvé dans les forêts de résineux.
Comme à mon habitude ces derniers temps (!!) quelques surprises sur le terrain avec notamment des chemins inexistants, une sente fermée mais ouf, le propriétaire présent au moment de notre passage nous a autorisé à passer (sinon nous étions partis pour un bon détour !!). Du coup nous avons pu accéder à la ferme de Leix, très jolie et paisible chambre d’hôtes appartenant à sa fille qui fabrique entre autres du chocolat ! Dommage, pas le temps de faire pause gourmande, le timing est serré !
Halte pique-nique au bord d’un des beaux étangs du domaine du château de Sédières : conditions idéales avec le soleil et un magnifique paysage bucolique avant d’aller voir de plus près le superbe édifice en granit de type Renaissance italienne.
Château de Sédières
Propriété du conseil général depuis 1965, le site est ainsi sorti de l’abandon dans lequel il était après avoir abrité un orphelinat agricole pendant 60 ans. De nombreuses manifestations et visites y sont organisées à la belle saison, à voir absolument !
Puis passage à Clergoux où l’on trouve, comme souvent ici, une église dotée d’un clocher à peignes (ou clocher-mur) ainsi qu’un surprenant crucifix sans Christ !
Le Christ a disparu !!
Nous terminons d’un bon pas sans passer par le barrage et l’agréable et grand lac de la Valette (long de 8 km) car l’heure tourne et je préfère donner priorité aux cascades de Gimel qui ferment à 18 h. Site à ne pas louper ! Les gorges de la Montane sont le cadre de ces 3 grandes chutes d’eau ( 38, 45 et 60 mètres de haut) particulièrement impressionnantes avec l’importante pluviométrie du moment !
Cascades de Gimel
Le village médiéval qui les surplombe est très beau aussi quoique un peu délicat d’accès en voiture !! il faut bien choisir le bon côté pour éviter les ruelles étroites et pentues !!
Nous reprenons les voitures pour rejoindre le camping du Bois de Calais et ses 2 agréables petits chalets nichés dans la verdure qui nous attendent pour la nuit. Fin de soirée au beau village de Corrèze avec un bon dîner dans une ambiance bon enfant agrémenté de quelques chansonnettes !! On ne pouvait pas partir sans entonner le célèbre tube du groupe « 3 cafés gourmands » qui m’a inspiré le titre donné à ce week-end corrézien !!
Dimanche, direction Chaumeil et le massif des Monédières : ambiance beaucoup moins lumineuse et moins chaude que la veille car dès le départ quelques gouttes se font sentir. Pour se réchauffer, quelques pas de bourrée ! En effet nous sommes dans le fief de Jean Ségurel, célèbre accordéoniste ! Pays du vélo également où eut lieu pendant des années le Bol d’Or des Monédières.
Encore quelques jolies maisons,
Beau domaine dans le massif des Monédières
un petit passage imprévu en hors-piste pour cause de sentier inexistant pour ne pas déroger à la règle du moment !!
Chemin disparu!!
puis d’un bon pas, nous poursuivons notre progression dans ce terroir de landes à bruyères et myrtilliers (25 tonnes de fruits rouges par an), prairies humides mais où la forêt a largement repris le dessus du fait du grand recul du pastoralisme. (jusqu’au début du 20ème siècle, les landes occupaient 95% du territoire). Une partie du parcours est donc bien forestière même si l’on traverse de grandes zones déshabillées par des coupes à blanc et où les troupeaux semblent revenir. Un patou s’est d’ailleurs fait entendre ! Heureusement, il n’était pas sur la portion de prairie que nous avons traversée ! Après une bonne grimpette dans la mousse
Grimpette dans la mousse
et un passage de barbelés un peu physique, nous rejoignons le point culminant du jour, le Suc au May (908 m). Coup de chance, brouillard et pluie présents une demi-heure avant se sont éloignés nous laissant profiter d’un joli panorama et d’un pique-nique relativement sec !!
Le Suc au May
Autour de nous, d’autres sommets comme le Puy de la Monédière. On voit aussi les vallées de la Vèzère et de la Corrèze, il y a de quoi arpenter !! Dans le secteur on trouve le GR 46 (Tours-Toulouse) et la Voie de Rocamadour (variante de Saint Jacques).
Puis c’est la descente, encadrés par les immenses sapins « façon coton-tiges »
Dernière descente
et un retour aux voitures où nous attend un bon gâteau ! Merci Bénédicte ! La météo se maintient au sec, nous faisons un petit détour par le joli site du Mont Bessou offrant habituellement un chouette panorama. Malheureusement le temps a complètement changé, la pluie tombe drue et l’horizon est totalement bouché ! Nous repartons quand même avec le souvenir d’une belle région où il y a encore pleins d’autres choses à voir !
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 4 animateur compris (3F, 1H) Météo : soleil et ciel bleu avec quelques cirrus. Vent du Nord sensible. Température douce. Classement : facile Matériel mis à disposition par l’association : – 4 kayaks de mer ; 2 Bélouga 1 de marque Plasmor dont l’un mis à disposition par l’animateur, 1 de marque Dag, modèle Miwok, 1 Fury de marque Kayman (bateau de l’encadrant). – équipement complémentaire pour les kayaks (jupes d’étanchéité, éponges, 1 cordelette de 10 mètres) – équipement pour les participants (gilets d’aide à la flottabilité, pagaies doubles) – Pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « kayak»
Organisation générale : Transport: à l’aide d’un véhicule en covoiturage Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque. Kilométrage général effectué par le véhicule : 110 km Niveau d’eau : le plan d’eau était au maximum.
Conditions de navigation : très bonnes.
Kilométrage parcouru : 15,38 km et 02h57 de navigation à la moyenne de 5,2 km/h environ pour un déplacement horaire de 4h22
En ce mois de mai, trois journées étaient proposées, une seule a pu être réalisée par manque de motivation de la part des adhérents et peut-être aussi à cause d’une météo peu propice aux activités sur l’eau. L’association peut mettre à disposition des bateaux de grande qualité, faciles à prendre en main et agréables à piloter. Sur les 5 kayaks, 3 sont équipés de gouvernail et 2 d’une dérive. Quatre bateaux sont très stables et permettent à des néophytes d’avoir rapidement de bonnes sensations après un apprentissage très court. L’objectif de ces sorties à la journée est de permettre d’étoffer le groupe des pratiquants en accueillant des nouveaux ou nouvelles, comme Marie qui a pris beaucoup de plaisir à découvrir cette activité qui peut être pratiquée quel que soit l’âge et la condition physique. Le ciel bleu et le soleil étant bien présent, nous sommes partis de la plage de la Chazotte et l’idée, compte tenu du niveau d’eau, était de remonter au maximum vers le Sud-Ouest en direction de la rivière Sioulet, évitant le vent sensible venant du Nord, Nord-Ouest.
Cela fait au moins une dizaine d’années que l’on n’a pas connu un niveau d’eau aussi important et l’on peut passer le long des berges entre les troncs des chênes baignant dans l’eau. Sauvages, les rives sont occupées par quelques pêcheurs qui ont eu toutes les peines pour trouver un emplacement au sec pour poser leurs tentes. Nous naviguons dans un silence reposant troublé par quelques cris de milans noirs ou de hérons appréciant peu d’être dérangés. La remontée se fait tranquillement et après quelques erreurs techniques sans conséquences notre nouvelle arrivante maîtrise et améliore son coup de pagaie.
Le plan d’eau se rétrécit petit à petit et la remontée du Sioulet peut se faire, malgré un courant qui augmente progressivement, jusqu’au pont de Miremont lieu que nous avons pu atteindre, il y a très longtemps au cours d’une sortie canoë. Mais c’est une première en kayak ! Un arrêt à la sortie du rétrécissement de la rivière pour la pause du pique-nique entourés par de magnifiques genêts en fleurs. Mais la journée n’est pas finie, nous suivons la rive droite puis au niveau de l’ancienne colonie de vacances de la ville de Clermont, la rive gauche de la retenue de 384 hectares pour gagner le pont du Bouchet et la plage éponyme. Le vent du Nord est sensible et quelques rafales grossissent les vaguelettes du lac qui jouent avec les bateaux. Le retour avec le vent dans le dos ou de trois-quart arrière permet de filer à belle allure. Débarquement directement sur le parking submergé par l’eau. A bientôt pour de nouvelles aventures !
Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte rendu : 2 heures
Animateur : Fabien Nombre de participants : 9 animateur compris (5 femmes, 4 hommes) Météo : Couvert. Quelques apparitions du soleil. Temps sec tout le long de la rando Distance : 25 km pour une partie du groupe – 30,4 km pour l’autre partie Dénivelé : 780 m pour une partie du groupe – 1 050 pour l’autre partie Durée : 8h pauses comprises -10h Kilométrage auto : Toutes les voitures sur place Classement Atlas : Facile pour une partie du groupe – Difficile pour l’autre partie Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire (Colombier – Villars) – Orcines – Chemin des Gouris – Col de Ceyssat – Bac de Montmeyre – Bac de Ceyssat – Contournement du Puy de Côme – Puy Fraisse – Contournement Pariou – Golf – Orcines (Villars – Colombier)
La sortie longue distance prévue ce jour ayant été annulée, j’ai proposé deux points de départ afin de proposer à la fois la balade classique du dimanche mais aussi une balade avec un peu plus de kilomètres et de dénivelé pour compenser cette annulation. C’est donc à 4 que nous partons du Colombier à Chamalières et empruntons la Voie Romaine, dont nous reparlerons plus tard dans la balade, qui nous mène à Villars puis Orcines où nous retrouvons le reste du groupe. Le groupe constitué, dès le départ, les techniques de navigation et la lecture de carte sont révisées et l’animateur propose un azimut et une distance. Le groupe trouve le point à atteindre. Il s’agit du calvaire d’Orcines que nous rejoignons. De là, nouvel exercice, nouvelle distance, nouvel azimut. Le groupe trouve à nouveau le point : le Puy Plantas qui n’est pas très observable car très peu de dénivelé et noyé dans la végétation. Troisième exercice identique et 3ème réussite pour le groupe qui trouve le Puy de Couleyras. Il est un peu éloigné et nous nous y rendons en suivant la carte. Comme souvent, un chemin direct, tracé sur la carte et encore PR il n’y a pas si longtemps, n’est plus accessible. Bon exercice pour le groupe qui doit trouver un autre cheminement. Nous continuons notre trajet direction le col de Ceyssat. A l’ancien péage, la vue sur le Puy de Dôme est toujours aussi jolie.
Arrivés au col de Ceyssat, c’est l’occasion pour l’animateur de parler de l’importance de cet endroit et de toute l’activité qui y existait à l’époque Gallo-Romaine et d’évoquer aussi d’un lieu lié à cet endroit : le Temple de Mercure. La station météo du sommet du Puy de Dôme est aussi évoquée car c’est son édification qui a permis la découverte de ce Temple en 1872. Ce moment culturel passé, direction le bac de Montmeyre. Un peu avant l’arrivée au point d’atterrissage ouest des parapentes, Patrice nous montre des vestiges de cette époque Gallo-Romaine. De ce point d’atterrissage, nous avons une vue du Puy de dôme moins connue.
Direction ensuite le bac de Ceyssat, qui sera le lieu de notre pique-nique. Nous contournons le Puy de Côme où l’ail des ours est très présent et sujet de conversation.
Ce contournement est aussi l’occasion de voir quelques vestiges d’une époque ancienne.
Tout autour du Puy de Côme, de nombreux chemins sont barricadés avec de jolis panneaux “Chemin fermé” et des extraits d’arrêtés obligeant l’animateur à adapter son parcours. Un joli cheminement dans la forêt nous amène jusqu’au pied du Puy de Fraisse. C’est l’occasion de refaire de l’orientation. Direction pleine est. Pierre et Corinne nous conduisent avec succès au sommet. Pour la redescente, l’animateur propose d’utiliser la technique de l’erreur volontaire. Là aussi, mission parfaitement accomplie. L’ascension et la redescente de ce Puy, tout en hors-piste, ont été appréciées. Des chemins plus confortables rejoints, c’est d’un pas rapide que nous contournons le Puy de Pariou pour rejoindre le golf d’Orcines puis notre point de départ. A Orcines, c’est, depuis le matin, le vide grenier et le marché aux fleurs. Une buvette est là pour l’occasion. Ce sera le lieu du pot de fin de randonnée.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 6 animatrice comprise (4F, 2H) Météo : bruine en début de matinée, puis ciel couvert sans pluie et s’éclaircissant en début d’après midi, averse en fin de randonnée, vent en rafales. Distance : 21,400 km Dénivelé : 450 m Durée déplacement : 5 h 15’ Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 63 km pour 1 voiture de Clermont Fd, 30 km pour 1 voiture du Crest soit au total 93 km Préparation et rédaction : 2 h 30
ITINÉRAIRE : Col de la Ventouse, Puy de Vichatel, sud de la maison du Parc, PC993, bois de la Madeleine, Récoleine, Nébouzat, Pélat, PC1043, PC980, Cheires Hautes, Col de la Ventouse.
Seulement cinq courageux ont répondu présents ce jeudi. Ils ont envie de prendre l’air, me disent-ils. C’est bien protégés contre les intempéries annoncées, que nous prenons le départ. Le vent souffle au col mais une fois dans les bois, on ne le sent plus. Toutefois la proposition de monter au sommet du Puy de Vichatel n’est pas retenue, trop de vent, visibilité nulle ! Un peu avant la Maison du Parc les conséquences des pluies des derniers jours sont visibles. Une zone identifiée comme humide sur la carte mais habituellement asséchée, est actuellement transformée en un véritable petit lac.
Chemin inondé
Et il faut passer sur le bord du chemin pour éviter les grosses flaques qui se sont formées.
Un nouveau lac !
Nous progressons dans une atmosphère très humide mais sans véritable pluie. La protection des arbres est efficace et il faut même enlever quelques couches à l’entrée du bois de la Madeleine. La faune pensant certainement que le temps n’est pas favorable à la promenade des humains, en profite pour sortir. Un gros lièvre détale devant nous, puis au pied du Pourcharet c’est un renard, peu craintif et un tantinet cabotin qui se laisse prendre en photo avant de s’élancer en direction des bois sur la pente du puy.
Depuis la table d’orientation située à côté de la chapelle de Récoleine, la lecture de paysage est impossible mais on devine à travers le brouillard les contreforts du massif du Sancy recouverts d’une fine pellicule blanche.
Après le pique nique pris à Nébouzat, pour la plupart à l’abri de l’avancée du toit de la Mairie pour se protéger du vent, nous remontons vers la Chapelle et la Croix de la Croze dont le socle comporte de nombreuses gravures de personnages humains et d’animaux.
La Croix de la Croze
Le retour vers notre point de départ s’amorce. Nous contournons le Pourcharet, passons devant les puys de Lassolas et de la Vache sous un ciel qui s’éclaircit un peu avec de timides tentatives du soleil pour se montrer. La température est agréable, nous quittons donc les vêtements nous protégeant de l’humidité. Mais la pluie a décidé d’avoir le dernier mot et finit la randonnée avec nous ! Qu’importe, l’ensemble de la journée a été agréable avec des paysages bien verts et des promesses de muguet à venir.
Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Chaque semaine les informations sur l’activité sont enregistrées sur le répondeur dédié 0473257706. le lundi pour le lundi soir et le mardi soir et le vendredi pour le samedi matin. En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18h30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h. En cette fin de second trimestre, les participants avec l’entraînement régulier ont énormément progressé et la moyenne est de 6,7 km/h. Belle progression depuis la nouvelle saison, début septembre. Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres.
Ces trois derniers mois, la fréquentation est en forte progression avec des adhérents très motivés.
Statistiques du 01 février au 30 avril 2024
Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi :12 Mardi : 13 Nombre de séances annulées : 0
Types de séances Fractionné : 6 (lundi) 6 (mardi) Foncier : 6 (lundi) 7 (mardi) Nombre de participants Lundi : 239 dont 143 femmes et 96 hommes Mardi : 192 dont 106 femmes et 86hommes Total : 431 dont 249 femmes et 182 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J,
Les samedis Nombre de samedis :11 Nombre de séances annulées : 2 (1 manque de participants, 1 conditions météo) Allure Modérée : 11 Soutenue : 5 Nombre de participants : 106 dont 56 femmes et 50 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J, Sébastien
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