Animateur : Yves Nombre de participants : 15 animateur compris ( 9 F, 6 H) Météo : Brumeux au départ ensoleillé par la suite. Distance : 21 km Dénivelé : 670 m Durée : 6H30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 90 pour 2 véhicules et 78 pour 2 autres soit: 336 km Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : St-Jean-des-Ollieres, Chavarot, les Coutades, Chelles, le Theil, Romagnat, l’Ardialleix, Chalus, la Moutonnerie, les Paroisses, les Poyets, la Cruche, la Plagne, la Garde, Pic de la Garde, St-Jean.
Regroupement ce matin à St-Jean-des-Ollieres où se dressent de magnifiques villas cossues. Ces villas appartenaient à deux catégories d’habitants au 18° S : les marchants ambulants qui sillonnaient la France pour vendre de la lingerie et de la dentelle, et les faux mendiants munis de faux papiers qui profitaient de la générosité de leurs concitoyens pour s’enrichir, on les surnommait « les Piqueurs ». Explication donnée nous quittons la place de l’église en direction de Chavarot. Dans l’enceinte du Centre d’Ailleurs, ancienne colonie de vacances transformée en gîte trônent deux espèces d’arbres californiens déclarés remarquables le 18 septembre 2022 : deux séquoias géants, plantés vers 1900, à la circonférence imposante de 12.5 m et 8.85 m et d’une hauteur de 33 m, et un calo cèdre de 30 m de haut et 5.41 m de circonférence, un des plus gros de France.
Notre chemin prend la direction du nord face à Estandeuil, petite pensée collective à notre ami Jean Louis. En fond le château de Mauzun, sur notre gauche la tour du château de la Rochette, sur notre droite en contre bas les toitures de St Dier affleurent le paysage.
Au lieu-dit Romagnat, étonnement pour Monique ! cap à l’est pour repérer les anciennes mines de l’Ardialleix que nous ne verrons pas, sans doute remplacées par des bâtiments agricoles. Direction sud vers La Vie, où après avoir écouté un concert multi voix d’un troupeau de salers, nous prenons notre pause déjeuner. A l’heure où à Clermont c’est l’apocalypse, ce que nous apprendrons ce soir, nous dénichons un coin ensoleillé à l’orée d’un bois, sous un ciel bleu azur sans aucun nuage, incroyable ! Passé les Granges, la montée le long de la cascade de la Cruche nous inspire. Chose faite malgré une sente un peu inexistante par endroit. Avant la Plagne le passage du ruisseau de la Combe est sportif, plus de sente.
Après cet effort nous retrouvons un chemin correct qui nous mène à la Garde et à son Pic, exemple du volcanisme ancien du Livradois, surmonté d’une statue de Marie en Argile depuis 1955. De là soixante pour cent du paysage départemental s’offre à notre regard repérable grâce à la table d’orientation en place. A nos pieds les couleurs chatoyantes de l’automne s’apparentent à un tableau de maitre.
Le vent se lève un peu, nous quittons le Pic pour retourner aux voitures en passant par le lavoir emblématique du village. Sur l’ancienne mairie une plaque collector amuse le groupe.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 12 animateur compris (7F-5H) Météo : Vent et grande douceur Distance : 25 km Dénivelée : 760 m Durée : 7h30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto 2 voitures de Clermont 50 km et 1 voiture du Crest 30 km soit : 130 km Préparation et rédaction : 2H00
Itinéraire : Lac d’Aydat – W vers D5- nord Fontclairant -VVF ville de Paris – sommet puy de la Rodde – la Garandie – nord Montcharlet – GR4 – Saulzet le Froid – Sud PC 1044 – sommet puy de Monténard – Zanières – Pindin – La Croix Grande – Pierre-Longue – Est vers intersection avec GR 30 – nord vers lac d’Aydat – retour parking par est du lac
Un vent assez soutenu nous attendait à la sortie des voitures. Il n’a pas cessé de souffler de la journée dans une ambiance très douce pour la saison. Nous partons en direction de Fontclairant pour aller à la découverte de l’ancien VVF de la ville de Paris sur la pente est du puy de la Rodde. Un petit hors-piste à partir du nord du puy nous amène sur une sente orientée S/SW que nous quittons à proximité du domaine en bifurquant sur un large chemin d’exploitation. Tout le site a été racheté par un de mes amis qui veut rénover les bâtiments et les chalets pour en faire un lieu de villégiature et un centre d’activités de pleine nature. Il y a du potentiel mais de gros travaux à accomplir avant de pouvoir accueillir des touristes. Petite photo devant le bâtiment d’accueil et nous voilà repartis vers la Garandie.
Nous quittons rapidement la route qui descend pour prendre une sente qui contourne le puy par le sud. A une intersection, un sentier part au nord et nous conduit au sommet du puy de la Rodde à 1131m. Une première pour tous les randonneurs du jour. Nous rejoignons notre intersection et la Garandie après un petit hors-piste qui nous fait gagner un peu de temps. Objectif Saulzet pour la pause méridienne. Plutôt que de prendre le GR à la Garandie, je coupe pour parvenir au nord de Montcharlet, petite butte basaltique (à vérifier !). Nous atteignons un beau chemin d’exploitation que je prends à tort pour le GR. Je m’en rends compte peu après et nous devons couper en direction de la Veyre qui coule en contrebas du pré que nous contournons en longeant ses haies. Nous rejoignons le GR4 au niveau de la bifurcation vers la narse d’Espinasse et son puy de l’Enfer. Nous ne visitons pas aujourd’hui la tourbière formée dans l’ancien cratère-maar classé en zone protégée où l’on peut encore voir des ligulaires de Sibérie. Nous y reviendrons un de ces dimanches …. A l’entrée de Saulzet le Froid, je me mets en quête d’un hangar agricole sous lequel nous pourrions déjeuner, comme la semaine dernière vers St Sandoux… Rien de propice donc nous essayons classiquement du côté de l’église, sans grand succès. Le groupe s’éparpille en se protégeant au mieux du vent qui continue de souffler. La petite montée au sud après la traversée du Labadeau à la sortie de Saulzet réchauffe le groupe. En haut de la côte, nous avons de beaux points de vue au nord sur Saulzet et tous les puys jusqu’au puy de Dôme.
Encore un petit effort pour parvenir au sommet du puy de Monténard et c’en sera presque fini pour les montées ce dimanche. Du sommet (une première pour moi au grand étonnement de certains randonneurs) nous aurions une vue grandiose à l’ouest si le ciel était moins agité. Après Zanières, nous entrons dans le dernier tiers de la rando. Nous bénéficions sur ce tronçon d’un somptueux arc en ciel qui enjambe tout le sud de la chaîne des Puys en direction de Ceyrat.
Le point de vue vers le nord nous montre toute l’étendue de la cheire d’Aydat. Occasion pour ré-expliquer la formation du lac par la coulée de lave des puys de la Vache et Lassolas qui a fait barrage à la Veyre qui ne ressortira de sous cette coulée que quelques douze km plus loin, en aval de Saint Saturnin. Avant de bifurquer au nord vers le lac, nous passons à proximité de la Pierrre-Longue plus grand menhir/pierre levée du Puy de Dôme.
Yves m’apprend que des Atlassiens auraient participé à son relevage… Nous rejoignons rapidement le lac qui paraît bien agité par le vent.
Nous croisons de nombreux marcheurs tout au long de la remontée vers nos voitures garées près de l’accrobranche. Belle randonnée d’automne qui a montré aux deux dames en découverte un bon échantillon des façons de marcher à Atlas.
Animateur : Fabien Nombre de participants : 20 animateur compris (10 F,10 H) Météo : Couvert, venté hors de l’abri des bois. Quelques petites gouttes l’après-midi Distance : 22,5 kms Dénivelé : 780 m Durée : 7h15 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 1 voiture de Clermont pour 20 km et 1 du Crest pour 34 km soit 54 km . Cinq voitures sur place (non comptabilisées). Animateur + 1 participante venus à pied au point de départ. Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Royat, Gravenoire, Boisséjour, Est de Champeaux Haut, Berzet, St Genès Champanelle, Chatrat, Manson, Charade, Rocher du Salut.
C’est une randonnée aux portes de Clermont Fd qui était proposée ce jour. Départ de Royat. En cette journée, nous cheminerons beaucoup en plein cœur de la Faille de la Limagne. Le paysage qui s’offre à nous au point de départ est l’occasion parfaite pour l’animateur d’expliquer la formation de cette Faille. Les explications écoutées, le groupe s’élance et cela commence par une bonne montée qui nous amène au pied du Puy de Gravenoire. Après une petite descente, nous voilà arrivés à la sortie de Boisséjour et nous pénétrons au coeur de la Faille de la Limagne, faille longue de 32 km qui s’étend d’Enval jusqu’à Ceyrat et vielle de 35 millions d’années. A cet endroit, la Faille est très boisée, en forte pente avec d’énormes rochers témoins de ce chaos géologique. Toute la 2ème partie de la matinée sera d’ailleurs consacrée à chercher et trouver de nombreux rochers, bien repérés et bien valorisés par l’association CeyRando : Rocher de Gargantua, Rocher de Bourgailloux, Rocher du Bénitier, Rochers de Champeaux, Rocher de la Croze, Rocher du Diable , Rocher du Géant. Ces deux derniers impressionnent par leur empillement de boules et de blocs granitiques appelé Tor.
Nous reprenons ensuite un rythme plus rapide et après avoir traversé la route menant de Ceyrat à Berzet, nous croisons un groupe équipé de tronçonneuse, pioche et autres outils. Ce sont des membres de l’association CeyRando qui viennent juste de couper des troncs d’arbres qui obstruaient le chemin suite à la tempête du week end précédent. Effectivement, quelques centaines de mètres plus loin, nous découvrirons des troncs d’arbres d’un fort beau diamètre découpés. Quelques dizaines de minutes plus tôt, le groupe aurait été obligé de faire un hors piste non annoncé ! Nous surplombons l’agglomération Clermontoise et profitons de jolis points de vue.
Nous sortons des bois et atteignons Berzet. Le vent se fait bien sentir sur le plateau. Le lavoir de Berzet constituera un bel abri pour manger. Le groupe a repris des forces et le pas s’accélere. Nous voià rapidement à St Genès Champanelle puis Chatrat. Les 1eres gouttes arrivent et tout le monde s’abrite dans l’abri bus pour mettre les protections de pluie et les sursacs. Mais le temps de faire cela, la pluie s’est déjà arrêtée ! La fin de la balade nous mènera sans encombres à Manson puis Charade. Un dernier arrêt au Rocher du Salut, découverte pour certains, nous permet de profiter d’un dernier joli point de vue.
CeyRando si tu nous lis, merci à toi pour la mise en valeur et les panneaux explicatifs des différentes curiosités ainsi que la création et l’entretien de nombreux chemins !!
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (4F-3H) Météo : Pluie le matin – Éclaircies l’après-midi – Doux Distance : 25 km Dénivelée : 800 m Durée : 7h20 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto 34 km pour 1 véhicule – 2 voitures sur place Préparation et rédaction : 2H
Itinéraire : Tallende – Saint-Amant-Tallende – Saint-Saturnin – Sazeirat – W puy de Peyronère – W Saint-Sandoux – W puy de Saint-Sandoux – vers la Crouzille et Chabreras – D28 PC 645 – entrée de Chaynat – GR 30 vers Ludesse – Ludesse – Pressat – sommet puy de Saint-Sandoux – Saint-Sandoux – Château de Travers – vers La Rodde – PC 491 vers Saint-Amant – retour Tallende par la rive droite de la Monne.
Peu de volontaires pour cette sortie dominicale et pourtant… Les cieux ont finalement été cléments avec nous. De la pluie le matin seulement et presque grand beau l’après-midi. Des conditions idéales pour découvrir ces beaux villages du pays de Saint-Saturnin, de Tallende à Ludesse. De l’église de Tallende, notre point de départ, nous parvenons vite à Saint-Amant-Tallende. Une belle vue au-delà de la Veyre sur la Montagne de la Serre me donne l’occasion d’en expliquer le pourquoi et le comment : le phénomène de l’inversion de relief que l’on retrouve à l’est des grands plateaux du Puy de Dôme et du Cantal. Saint-Amant regorge de vestiges de son long passé moyenâgeux. Des remparts, un pont, deux châteaux et de nombreuses maisons fortes. A partir de l’église paroissiale, j’ai tracé le petit quadrilatère qui va nous les faire apercevoir. Le château de la Barge qui forme un carré parfait avec 4 échauguettes bien visibles. Nous nous arrêtons devant le beau portail Renaissance. Je cherche à retrouver sur son tympan la célèbre locution latine « Verba volant, scripta menent » (je ne traduis pas et ferai une petite interro orale lors d’une prochaine rando). La recherche est infructueuse… Un peu plus loin nous nos arrêtons devant la porte du château de Murol, longtemps propriété des grands seigneurs auvergnats, les Latour (d’Auvergne). Il a été complètement remanié au XIXème siècle mais il conserve une fière allure en surplomb du vallon de la Monne.
Il est propriété depuis 1918 de la famille Giscard… Après une courte descente, nous arrivons sur le pont gothique construit au 13ème siècle. Belle construction à 4 arches en arc brisé associées à ses 4 piles. Nous ne traversons pas encore la Monne… Nous revenons sur nos pas pour partir à l’ouest vers St Saturnin. Nous cherchons à éviter la rue et longeons sur 100 m un chemin en contrebas le long de la rivière. Un escalier bienvenu nous laisse penser que nous allons bientôt aboutir sur… eh bien non nous ne débouchons pas sur la rue mais sur une entrée de propriété privée. Il nous faut redescendre ce bel escalier abandonné qui menait autrefois aux jardins en bord de rivière. Comme il n’y a pas de cheminement possible et direct le long de la Monne, nous suivons la route jusqu’à St Saturnin. D’emblée, c’est le clocher de cette église qui s’impose. De forme octogonale, ses baies géminées lui donnent beaucoup d’élégance. Au soleil, les tons blonds de l’arkose de ses pierres seraient ressortis mais le gris mouillé du ciel ne s’y prête pas… L’église est fermée et nous la contournons par l’est par son chevet à deux étages. Nous arrivons rapidement au château des Latour construit au tournant du treizième siècle. Grand château féodal remanié au XVème siècle, il échappa de peu aux destructions commandées par Richelieu.
La Révolution le laissa intacte. Demeure de Catherine de Médicis, le château vit passer Marguerite de Valois, la Reine Margot, durant son long exil auvergnat. Nous descendons vers la Monne par le chemin des lavandières. Le pont qui enjambe la rivière est barré par deux grands arbres abattus par la tempête de la nuit…
Le passage n’est pas très facile car les deux parapets se confondent avec l’écorce des arbres. Un pantalon n’y résistera pas 😊. Après cette séquence émotion, nous reprenons notre route vers le puy de Peyronère et Saint-Sandoux que nous tangentons à l’ouest. Le but est de rejoindre Cheynat pour le repas. Les cheminements ne sont pas toujours évidents et une intersection manquée nous oblige à un petit hors-piste. Nous suivons alors longuement la sente qui contourne à flanc le puy de Saint-Sandoux. Bien dégagée au début, le sentier se révèle plus encombrée de ronces dans sa seconde partie. Son orientation semblant nous éloigner de la cible, je reprends mon cap en contournant deux, trois parcelles agricoles. Profitant de nos derniers points hauts, je repère à l’entrée de Chaynat un grand hangar agricole qui nous mettra à l’abri pendant la pause. En effet, le vent se lève à nouveau et la pluie n’est jamais très loin. Finalement, nous finirons le repas dehors sous un soleil réconfortant. Un large chemin d’exploitation qui passe derrière l’installation nous mène rapidement à Ludesse qui a perdu me dit Michel sa Fête de la Pomme puisque de nombreux pommiers ont été arrachés par manque de rentabilité. Le village offre moins d’attrait que les bourgs du matin. Nous le quittons rapidement par une route qui nous mène à Pressat, petit hameau en balcon sur la pente est du puy de Saint-Sandoux. La montée est sèche mais pas finie quand nous arrivons aux premières maisons… un chemin continue à monter à l’ouest vers le sommet du puy. Presque au bout de nos peines, nous avons encore une cinquantaine de mètres à monter pour gagner l’emplacement du petit étang sommital qui est aujourd’hui comme durant une grande partie de l’année à sec. Il ne constitue pas le point haut du puy qui se situe à quelques dizaines de mètres, au sud de notre position. Le groupe prend la pause …
Redescendus vers le site d’envol des parapentes, nous avons une vue superbe à l’est sur tout le sud de la Limagne : de Veyre-Monton jusqu’à Pardines en passant par Corent, Parent et Montpeyroux.
Le plus dur de la rando est fait et Tallende ne parait plus très loin. Petite illusion car nous avons encore deux heures de marche devant nous. Il nous faut d’abord redescendre par la route et un petit sentier pentu à Saint-Sandoux, puis passer à proximité du château de Travers (propriété vigneronne qui vend du vin) photo 6 et enfin contourner à l’est le puy de Peyronère.
Une fois parvenus dans les vergers entre Tallende et Saint-Amant, les amateurs de noix ne se font pas prier : il y en a de nombreuses tombées au sol et très charnues de surcroit. Le long chemin en rive droite de la Monne nous ramène finalement à l’entrée de la cité. Encore quelques pas et nous voilà revenus à notre point de départ.
Animateur : Michel J. Terrain : souple et humide Météo : température de saison. Grosse averse de pluie froide au 15 kilomètres qui a duré une quinzaine de minutes. Quelques moments ensoleillés en début d’activité. Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : néant Kilométrage : 1 voiture, en co-voiturage au départ de Clermont (2 personnes) et 4 voitures sur place avec une moyenne de 35 km (aller et retour) soit 175 km
Nombre de participants : 5 animateur compris (1F, 4H) Distance : 22,58 km ; moyenne 6,9 km/h, dénivelée 486 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 3h17 (de marche) et 3h25 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheyre de Bruvaleix, les Goulots, bois Latia, Sud Puy des Marais, le Pradet, Ouest et Nord du Puy de la Baneyre, Est des villages de Lambertèche et de Grelière, Sud du Puy de Verrières, Ouest du Puy de Thiolet, Les Cheyres, Nord et Est du Puy de Paugnat, les Cheyre de Bruvaleix, parking.
Remarque : aucun nouveau à cette sortie prévue et annoncée sur le site à l’onglet « actualités » comme une marche sportive de découverte avec une distance courte de 17 kilomètres et une allure maximum de 6,5 km/h. Elle s’est donc déroulée avec des habitués à un rythme habituel dans la bonne humeur.
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