Animateur : Michel D. Nombre de participants : 9 : 4F et 5H Météo : Grand froid le matin, couvert température négative , redoux l’après midi avec humidité puis neige. Grosses bourrasques de vent d ‘ouest sur les parties découvertes. Distance : 15 km 800 Dénivelé : 400m + et – Qualité de neige : Croûtée le matin et souple sous le couvent de la forêt d’épicéas Durée : 5h30 Classement : Facile Kilométrage Auto : 2voitures de Clermont 120 x 2 =240km et du Crest 85 x 1 = 85km Total =325 km
Itinéraire : Escarot , forêt de la Banny, ouest de Cocudoux, forêt de Cisternes, PC 1184, la Plaine, lac de Chambedaze, forêt de Fontlonges, PC1213, traversée de la grande forêt direction Montcineyre, grande plaine au sud du lac de Montcineyre, passage au dessus de la grande plage sud du lac, PC1206, puy Ferrand, sous Jansenet, Est du Cocudoux, retour au bois de la Banny et retour Escarot.
Départ du parking sans raquettes car la neige est dure et nous porte très bien, nous chaussons les raquettes à l’entrée du bois de la Banny que nous traversons dans une épaisseur de neige conséquente et souple. Après la forêt de la Banny nous entrons dans la forêt de Cisternes , nous la traversons du nord au sud jusqu’à Sagnes , plaine puis direction lac de Chambedaze caché dans un épais brouillard. Nous rentrons dans le bois de Fontlonges pour la pause de midi, puis grande traversée du bois en direction du lac Moncineyre qui est entièrement gelé. Montée au puy Ferrand et direction Est du Cocudoux. Puis de là on replonge dans le bois de la Banny à l’abri du fort vent d’ouest, après la traversée nous nous laissons descendre sur notre point de départ.
Animateur : Yves Nombre de participants : 17 animateur compris ( 9F, 8H) Météo : Doux et couvert le matin, chaud et ensoleillé l’après midi. Distance : 13 Km Dénivelé : 650 Mètres Durée : 6 H15 mn pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 128 Km pour 2 véhicules et 125 pour 2 autres soit 506 km Temps de préparation : 2 h30
ITINERAIRE :La Stèle, ancienne station de Chambourguet, Montaigut, PC 1476, Puy de Chabane, vallon de la Jarrige, Puy de Chambourguet, La Stèle.
La neige est encore bien présente en bas de la station de la Stèle ce matin, on verra plus tard que sur les crêtes il en est autrement. Départ Sud Est dans le bois, sous une température très douce, on constate effectivement l’inversion des températures qui règne en ce moment car il faisait plus froid à la Bourboule lors de notre passage. Direction le bas de l’ancienne station de Chambourguet où la progression se fait sans problème la neige est là, à partir de là le gymkhana commence entre plaques de neige, sol moussu , feuillu et plusieurs petites rases bien en eau, nous conservons notre cap en direction de la passerelle qui enjambe le ruisseau de la Jarrige. Nous retrouvons des sentes enneigées pour atteindre la zone découverte de Montaigut.
Là le spectacle est surprenant, le vent et le soleil ont transformé l’étendue blanche des jours précédents en un patchwork de neige, terre, rochers, et végétation. Nous slalomons d’une plaque de neige à l’autre en contournant la station de Chastreix par le Nord jusqu’au PC 1476. Mon but était de passer par la crête du puy de Chabane, la Tour Carrée et retour. Nous décidons de quitter les raquettes tout en restant vigilants car la neige présente une couche de glace, relativement glissante, suite aux bruines verglaçantes des derniers jours. Il faut mettre les pieds le plus possible sur les bruyères, où la stabilité est rassurante, quitte à briser ces lustres de cristal de glace avec toutes leurs pampilles. Le décor est féerique.
La montée sur la crête puis sa longueur se font sans difficulté malgré une brise très fraiche. Petite photo de groupe et c’est la redescente qui sera un peu plus sportive. Tous les participants écouteront les conseils et les respecteront. J’abandonne le passage à la Tour Carrée car à cet endroit les crampons sont indispensables.
Le soleil a fait son apparition et nous le conserverons jusqu’à l’arrivée. Nous rechaussons les raquettes et descendons par le vallon du ruisseau de la Jarrige encore bien fourni en neige, mais toujours glacé dans sa partie supérieure. Les consignes sont mises en pratique, la descente se fait prudemment, personne n’a posé les fesses au sol et tout le monde est content de trouver de la neige molle et plus agréable un peu plus bas. Le retour se fait par la montagne de Chambourguet, nous passons par son sommet et retournons au parking en louvoyant dans la forêt où la neige est de nouveau présente en abondance. Les participants un peu anxieux en milieu de journée ont apprécié cette rando atypique qui a compensé le manque de neige.
Animateur Michel J. Nombre de participants : 07 animateur compris (3F, 4H) Météo : couvert avec une légère humidité ambiante une partie de la matinée. La masse d’air s’est progressivement asséchée dans la seconde partie de journée. Ciel bleu pour finir. Enneigement : limite par plaques au-dessous de 1200 m. Encore suffisant et de bonne qualité sur Vaisse et bois du Pinet et forêt de Banny à l’Ouest du Cocudoux. Distance : 13,830 km (montre GPS) Dénivelé : 530 m (montre altimétrique) Durée : 6 h 30 (pauses comprises) Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 1 voiture de Clermont Fd (120 km) et 1 voiture du Crest ( 94 km) soit 214 km en co-voiturage. Matériel mis à disposition : une paire de raquettes Préparation et rédaction : 3 h 30
Observations : parcours réalisé en pleine nature dans des conditions météorologiques qui se sont avérées bonnes pour la saison. Pour rappel, samedi lors de l’enregistrement du message, les prévisions étaient annoncées assez mauvaises avec des précipitations pluvieuses et neigeuses. L’enneigement, bizarrement à altitude égale par rapport par exemple au puy de Montchal, était encore bon avec une qualité de neige acceptable pour un parcours en raquette sur une grande partie de l’itinéraire.
Quelques oiseaux ont été remarqués, 1 héron et 2 canards, un couple de milans royaux, l’ensemble le long du ruisseau de Groleix à la recherche de nourriture. Un lièvre levé à la descente du Puy de la Vaisse. Des indices d’animaux découverts sous forme d’excréments : au sud de la forêt de Bany, fumées de cerf, légèrement plus loin après le lac de Chambedaze, laissées de sanglier, moquettes de chevreuil et quelques crottes de lièvre par ci par là…
ITINÉRAIRE : Petit parking sur la D978 à la latitude de la ferme du lac Chauvet (située à l’Ouest du ruisseau de la Clamouze). Forêt du lieu dit Pinet, direction Sud-Est en direction de la Montagne de Chambedaze, Puy de la Vaisse, direction Nord, bois de Fontlonge, Ouest du Cocudoux, D978.
Pas le temps de se mettre en jambe, la belle hêtraie du Pinet, pentue, nous oblige pour soulager les mollets à mettre les cales à nos raquettes. Le brouillard dépose sur les lunettes de fines gouttelettes d’eau. Beau début de journée pour l’orientation. On jongle entre le cap à suivre et les zones les plus propices à un déplacement en raquettes.
Les nombreuses narses ont conservé une belle épaisseur de neige, les pessières un peu moins. L’un des objectifs de la journée est d’atteindre le sommet de la Montagne de Chambedaze à 1216 m. Il nous faudra en l’absence d’une hauteur de neige suffisante faire des exercices d’étirement pour franchir quelques clôtures, nombreuses dans le décor local. C’est une première pour Atlas que ce sommet souvent évité lors de traversées Nord Sud du Cantal au Sancy en hivernale car un peu excentré par rapport à l’axe habituel suivi.
Un vent d’Est sensible sur cette partie un peu découverte nous invite à nous mettre à l’abri pour le pique nique dans la belle hêtraie du versant Ouest du Puy de la Vaisse.
Le sommet à 1358 m est gagné en zigzaguant en appréciant le calme et la beauté des arbres majestueux qui nous entourent. Le second objectif atteint, il nous reste à peaufiner les techniques de la descente dans une neige épaisse et agréable à fouler.
Le retour s’amorce vers le Nord dans un premier temps en jouant avec les parties enneigées de la forêt des Fontlonges. Nord-Ouest pour passer au Sud du Cocudoux. Nous dédaignons le sommet que certains ont gravi le jeudi précédent. Le soleil étant bien présent maintenant sous un ciel où le bleu domine, je propose pour parachever cette journée quelques techniques de navigation pour retrouver les voitures. Après quelques explications sur l’erreur volontaire dont Isabelle se souvient et le maintien d’un cap, la boussole est confiée à Daniel pour cette longue traversée de la pessière. A l’aide de l’application Iphigénie Isabelle a pu constater la réalité du cheminement suivi.
Merci à toutes et tous de votre bonne humeur et pour les douceurs distribuées. Photographes du jour, Régine, Laurent.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 16 animatrice comprise (10F, 6H) Météo : grand ciel bleu, température douce Distance : 11,500 km (Gps) Dénivelé : 400 m (montre altimétrique) Qualité de neige : légèrement croûtée le matin, un peu plus molle sous le soleil de l’après-midi Matériel mis à disposition : 2 paires de raquettes Durée du déplacement : 5 h 00 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (122 km x 2), 2 voitures du Crest ( 86 x 2) soit 416 km et 1 voiture sur place. Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : Escarot, forêt de La Bany, Cocudoux, Puy Ferrand, les Fontlonges, lac de Montcineyre, Jansenet, lisière forêt des Fraux, Escarot.
Dès le parking l’enneigement est suffisant et nous pouvons chausser immédiatement pour partir à la conquête des grands espaces. La journée s’annonce sous de meilleurs augures que ceux que laissaient présager les paysages peu enneigés aperçus des voitures. Légèrement croûtée, la neige porte bien et nous gagnons rapidement le bois de la Bany. Alors que nous naviguons entre les arbres, nous apercevons sur un chemin, un attelage de chiens de traîneaux. Sensation de grand nord …..mais il passe trop vite, pas le temps de photographier !
Après une progression sur un terrain relativement plat, nous commençons les choses sérieuses en approchant du Cocudoux. La montée au sommet (1342 m) est courte mais raide. Mais quelles récompenses avec une vue magnifique sur les monts du Cantal, du Sancy bien sûr et la dégustation d’une pâte de coing venant d’Andalousie offerte par Monique.
Grâce à la qualité de la neige la descente droit dans la pente s’effectue sans difficulté. On remonte un peu et nouveau point de vue depuis le Puy Ferrand (1303 m). Petit détour plein sud par les Fontlonges avant de gagner le lac de Montcineyre où quelques petits glaçons flottent à la surface.
Le pique nique pris tranquillement sous une douce température, la distribution de gourmandises effectuées (merci à Corinne et Georges) nous remettons les raquettes en ordre de marche. Direction le Jansenet et sa hêtraie où il faut enlever à nouveau quelques couches de vêtements car ça remonte et il fait chaud ! D’ailleurs, 2 renards pour certains, 2 chevreuils pour d’autres, aperçus très rapidement, profitent eux aussi de cette belle journée pour jouer dans la neige.
La traversée des parties humides en direction du bois de Fraux se passe sans bain de pieds. Déception toutefois en y arrivant car que je pensais pouvoir le traverser. Mais l’enneigement y est vraiment médiocre, voire inexistant. Nous continuons en longeant la lisière et après avoir contourné quelques zones humides c’est le retour aux voitures et la fin de cette belle journée de plein air.
Merci à Laurent et Christian pour les photographies prises au cours de la randonnée.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 13 animateur compris (8F, 5H) Météo : grand soleil toute la journée, température douce en altitude au soleil dès 10h30 passé – pas de vent Enneigement : médiocre jusqu’à 1300 m , neige plus dense et résistante sous la raquette au-dessus – une toute petite couche de poudreuse suite aux petites chutes du milieu de semaine Distance : 15 km (montre GPS) Dénivelé : 750 m (montre GPS) Durée : 7h Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 2 voitures (dont une restera au Crest) de Clermont-FD (120 km) et 2 voitures du Crest ( 90 x2) soit 300 km en co-voiturage.<
Itinéraire: Départ du beau hameau de Courbanges en direction de la montagne de la Plate avec pour objectif de mi-parcours de parvenir sous le puy de la Perdrix et finalement de revenir par la montagne de Costapin, le puy de Serveix et la forêt de Courbanges. Itinéraire à vue donc.
Nous partons du parking du gîte qui s’est enrichi depuis mon dernier passage de sorte de hutte-tonneaux pour hébergement des amateurs de calme et de beaux horizons. Vu le manque de neige, nous chaussons 400 m après et nous coupons à travers les pâtures pour parvenir au buron de la Plate puis sud-ouest pour arriver à proximité du premier relief de la journée. Plutôt que de continuer dans la même direction, parallèlement à la vallée de Chaudefour, nous allons au sud-est chercher le long épaulement NW qui nous mène sous les premiers rochers du volcan. Les deniers mètres de l’ascension sont pentus et les gens encore trop habillés transpirent…. Depuis le buron, je suis en tee-shirt et je m’en porte bien.
La pause au sommet de la Montagne est la bienvenue. Nous prenons la direction du puy de Chamgourdeix par une belle descente dans une neige qui commence à bien porter. J’aurai aimé manger sous le puy de la Perdrix mais il reste près de 250 m de D+ et nous décidons de manger à l’abri d’un repli de terrain, en plein soleil, sans le petit courant d’air qui nous aurait gâché le plaisir un peu plus bas. A l’amorce de la reprise, une colonne de randonneurs s’approche en provenance de la crête. Plus vêtus tu peux pas ! Ils sont guidés par un guide de moyenne montagne du Mont-Dore. Il m’apprend que ce sont des Parisiens en villégiature à SuperBesse qui doivent repartir à Paris en fin d’après-midi même. Ils resteront longtemps sur place à nous observer grimper jusqu’au niveau de l’arrivée des télécabines. Nous nous posons après une rude montée digestive. Nous observons le départ des skieurs pas très nombreux de l’autre coté de la barrière. Quelqu’un me fait remarquer qu’ils ont tous la mine sombre… C’est vrai à bien les observer !
Nous avons fait la dénivelée du jour, il ne reste plus qu’à descendre en prenant notre temps dans une neige ma foi « raquettable » jusqu’à l’orée ouest de la forêt de Courbanges. Nous coupons la plaine des Moutons pour prendre la direction du puy de Serveix que j’ai identifié au loin qui n’en finira plus de se rapprocher. Nous laissons finalement la montagne de Costapin à 300 m au sud mais nous passons sur la montagne de Sausse. Le relief du secteur est particulièrement difficile à lire. Le résultat des épisodes volcaniques et surtout des glaciations qui ont modelé le paysage. Passés le ruisseau de Malvoissière, je décide finalement d’obliquer vers la forêt alors que le puy de Serveix promis n’était qu’à 300-400 m… Sans nous en apercevoir l’après-midi était déjà bien entamé et comme j’envisageais de traverser la forêt de Courbanges, il y avait encore de la route. Yves nous signale au loin un renard qui reste longtemps sur place ne nous sentant pas encore… A l’orée de la forêt à 100 m d’un buron, je vérifie qu’à cet endroit et autant que je puisse en juger le bois n’est pas très, très praticable… Dommage, cela nous aurait changé du type de cheminement pratiqué depuis le matin. Nous contournons la forêt pour rejoindre Courbanges 7 heures après notre départ.
Animateur : Georges Nombre de participants : 12 animateur compris ( 4 f et 8 h ) Distance : 10 km Dénivelé : 500 m Météo : petite chute de neige au départ, vent sur les plateaux et un peu de brouillard toute la journée. Durée : 5h30 ( pause comprise ) Classement Atlas : facile Kilométrage voitures : 124km pour 2 voitures et 94 pour une autre
ITINERAIRE Col de la Geneste, ruisseau de Chareire, Buron de Meynialou, chemin forestier en direction de la fontaine salée, la Montagne Haute, pc 1591, ouest du Paillaret, retour au col de la Geneste.
Départ du col de la Geneste où nous avons pu garer nos voitures facilement. Un petite chute de neige nous accompagne jusqu’au ruisseau de Chareire, que nous traversons sans difficulté pour remonter sur le plateau entre les ruisseaux de la Trantaine et de Chareire. La neige est croutée en surface avec une petite couche de poudreuse, nous nous dirigeons en direction du Buron de Meynialou. Nous entamons la descente dans un bois de hêtres, avec une neige poudreuse et agréable pour rejoindre le chemin forestier en direction de la fontaine salée. Le passage technique d’un talus ralentit notre progression, certains choisissent la descente sur les fesses, d’autres avec l’aide des arbustes. Un dernier passage dans le bois pour le pique-nique.
Direction le GR 30 entre le puy Gros et le Paillaret, nous retrouvons un vent de nord ouest et le brouillard avec une visibilité réduite. Le passage de petits vallons est délicat, de petites plaques à vent et crevasses nous ralentissent ( quelques chutes sans gravité ). C’est une journée blanche. Après le passage au départ des téléskis du Ferrand sud et du col de Couhay ,nous entamons la descente à l’ouest du puy de Paillaret, une dernière difficulté ( le passage d’un pierrier) et c’est avec le soleil que nous retrouvons les voitures. Merci à tous et rdv pour une prochaine rando.
Animateur : Christelle Nombre de participants : 12 animateur compris ( 7 F 5 H) Météo : Grand bleu, pas de vent , température plutôt douce Qualité de neige : dominance de neige croûtée , quelques portions plus « souples » Distance : 12.5 km Dénivelé : 450 m D+ Durée : 6h10 pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : ex : 74 km pour 1 véhicule et 72 pour le 2ème Matériel mis à disposition : 1 paire de raquettes et 1 de bâtons
ITINERAIRE : Parking du lac de Guéry, D80 sur 100 mètres puis sente forestière, montée sur le plateau SE de la Roche Malvialle, contournement du Puy Loup par le SO, direction Nord, direction Ouest, bois de Pretio, col de St Laurent, Puy Gros, GR 30 puis traversée du bois proche de la ferme de Guéry, cascade, nord du lac, retour parking
Départ du parking du Guéry où nous sommes étonnés de trouver une multitude de voitures…nous n’allons pas être seuls car nous apprenons que se déroule le trail hivernal du Sancy et plus de 300 compétiteurs vont régulièrement apparaître dans notre champ visuel !!
Après un démarrage un peu frisquet, nous allons vite nous réchauffer en remontant en hors-piste une pente assez marquée qui nous permet de rejoindre le plateau encore bien enneigé et inondé de soleil où nous trouvons un magnifique panorama sur la chaîne des Puys et les monts Dore !
Nous évitons le sommet du Puy Gros envahi de coureurs et traversons en direction du Puy de Vivanson pour ensuite couper brièvement au travers du bois de Pretio.
Sous l’œil de l’imposante Banne d’Ordanche nous rejoignons le col de St Laurent et faisons halte non loin de là pour une pause pique-nique bien agréable agrémentée de quelques gourmandises apportées par Yves et Luc, merci à eux.
Puis direction le Puy Gros où nous attend une bonne grimpette d’une centaine de mètres. Le rythme est parfois très cahotique car la couche de neige croûtée qui semble assez épaisse s’écroule sous nos pas sans prévenir obligeant à fournir un effort supplémentaire pour sortir le pied des trous formés !! récompense, la vue est toujours aussi belle et depuis le départ on ne se lasse pas d’admirer les formes et volutes que le vent a dessiné dans la poudreuse donnant l’impression d’une omelette norvégienne géante !!
La descente est un peu plus délicate car il y a quelques marches à passer et le mode raquettes complique un peu les choses ! la corde installée pour les coureurs nous facilitera le passage.
Puis nous rejoignons le GR 30, contournons le Chantauzet pour aborder une petite traversée boisée de la forêt domaniale de Guéry avant de retrouver le ciel bleu intense. Un petit saut en équipe pour traverser le ruisseau des Mortes et aller observer la belle cascade du même nom partiellement noyée sous la glace .Puis un dernier détour pour aller immortaliser la vue sur le superbe lac du Guéry , la lumière qui décline offre une splendide vue sur le plus haut lac glaciaire du département. La glace formée à sa surface ne semble pas bien épaisse et nous observons avec un peu d’inquiétude des parents en pleine séance glissade avec leurs jeunes enfants ! la réputée pêche au trou ou pêche blanche de début mars (évènement unique en France) est en attente de validation car il faut au moins 22 cm de glace pour qu’elle ait lieu (entre manque de glace et COVID elle n’a pas eu lieu depuis 2018)
Puis retour aux voitures, rechargés à bloc après cette journée dynamique et lumineuse !!
Animateur Michel J. Nombre de participants : 13 animateur compris (5F, 8H) Météo : ciel bleu, vent Est le matin entre 40 et 50 km/h, température douce en altitude au soleil l’après-midi. Enneigement : bon sur l’ensemble du parcours, neige froide poudreuse en sous-bois et sur le versant Nord et croûtée sur le plateau… Distance : 13 km (montre GPS) Dénivelé : 470 m (montre altimétrique) Durée : 6 h 50 (pauses comprises) Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 1 voiture de Clermont Fd (130 km) et 2 voitures du parking de covoiturage Crest ( 130 x2) soit un total de 390 km. Matériel mis à disposition : une paire de raquettes Préparation et rédaction : 2 h 30
ITINERAIRE : parcours réalisé en pleine nature dans des conditions météorologiques et d’enneigement bonnes. Le départ s’est fait à la Stèle du parking le plus au Sud puis le cheminement Sud-Est à travers bois nous a fait gravir dans une belle neige le Puy de Chambourguet à 1373 d’altitude.
Le creux du ruisseau de Jarrige atteint, j’ai changé de cap et modifié le tracé que j’avais indiqué au départ de la randonnée compte tenu du vent sensible Est pour gagner la vaste pessière située au Sud de la Montagne de Bozat après avoir traversé le bassin versant du ruisseau du Pont de Vendeix. Le bois de la Reine atteint, il était l’heure du pique-nique tiré du sac à dos, pris dans une belle clairière sous un soleil radieux avec une neige de carte postale.
Le contournement par le Nord de la Montagne de Bozat s’est déroulé dans une succession de montées et de descentes dans un cadre magnifique.
Une neige froide et inviolée nous a permis dans de bonnes conditions de sécurité de franchir en devers quelques passages entre les rochers sur des pentes à fort pourcentage.
Quelques techniques ont été abordées pour franchir avec le plus d’aisance possible les obstacles tant à la montée qu’à la descente. Traversée du plateau puis retour vers le point de départ avec plusieurs pauses pour admirer et nommer les différents sommets qui nous entouraient sur 360° et chercher le nom des très lointains bombements qui se montraient vers l’Ouest et le Nord-Ouest aux confins de la Corrèze, Creuse et haute Vienne.
Animateur. Michel Debord Lieu de départ : Beaune le froid parking de l’ancien foyer de ski de fond à10h
Allure soutenue sur sol enneigé sans raquettes Météo : très couvert, chutes de neiges, températures négatives, fortes rafales de vent à partir de 1250m (masque de ski obligatoire) Terrain : sol enneigé sur tout le parcours avec congères vers 1300m Nombre de participants : 5 : 3F et 2H Distance : 19 km. Dénivelé 800m Classé. Moyenne vu les conditions météorologiques Durée rando : 7h Durée du parcours : 6h45 Kilométrage Auto. 30 x 2 = 60 km pour 1 voiture Pas de photos à cause des conditions météorologiques
Itinéraire. Beaune le froid, Croix de Barat. PC 1091, Bois de Coujat .PC 1104. Savecroux. PC 1191 par la piste forestière, Route forestière, PC 1207. Jusque-là tout va bien. Traversée de la D996. Puis grand pré sous la ferme de Diane, on aperçoit un deuxième renard. Passage sous le puy Pouge. Les rafales de vent assez conséquentes nous frappent de face. Il est midi et dans ce secteur, point d’abri pour le repas. Nous visons une langue boisée vers la ruine du buron Rochezat. Comme annoncé au départ le repas sera un des plus rapide pris dans les mauvaises conditions, 5 mn pas une de plus, debout et dos au vent ( belle ambiance hivernale) que les participants ont appréciée.
Redémarrage car le froid nous transit. Rapidement réchauffés car la montée est soutenue pour rejoindre l’ancienne piste des diligences qui montaient au col de la Croix Morand. Là je pose la question : voulez vous monter au col ou prendre un plan B? réponse unanime : le col. Montée très exposée aux bourrasques jusqu’à l’auberge du col, petite pause à l’abri puis redémarrage pour le puy de la Croix de Morand. On fonce dans le brouillard très épais mais nous avons le vent dans le dos . Arrivés aux rochers de Sautet nous descendons sur un petit épaulement pour éviter le gros amas de neige avec ses risques… Remontée au captage d’eau des sources de la Monne. Là et dans les bois beaucoup de neige accumulée par le vent. Nous redescendons par la piste forestière au buron de Leyrenoux. Descente droit sur les étangs du Frédet puis la piste jusqu’à Beaune. Arrivée 17h.
Lieu : Chaîne des Puys secteur Volvic Terrain : humide, glissant par endroit mais praticable Météo : température positive, couvert s’éclaircissant légèrement avec quelques gouttes au cours de l’exercice Temps de préparation et de rédaction : 2h00 Mise à disposition : 2 paires de bâtons de 1,15 m et 1,20 m Kilométrage : 5 voitures, 2 voitures en co-voiturage au départ de Clermont et 3 voitures sur place avec une moyenne de 35 km (aller et retour) soit 175 km Animateur : Michel J. Nombre de participants : 9 animateur compris (3F, 6H)
Distance : 20 km 630 ; moyenne 6,8 km/h (montre gps), dénivelée 285 m (montre altimétrique), 309 m (montre gps). Durée : 3h01 (de marche) et 3h20 (déplacement et pauses compris). Itinéraire : départ chemin sur D16, cheyres-de-Bruvaleix, contournement du puy de Paugnat par l’Est, Sud du Suc de Beaunit, Nord du puy de Verrières, Est de Grelière, Ouest du puy La Baneyre, Puy des Marais, Nord puy Desmaret, Les Goulots, stationnement…
Observations : échauffement habituel. Deux pauses d’un total de 19 minutes ont permis d’absorber, eau, quelques fruits secs et autres encas tirés du sac à dos. Déplacement comme d’habitude dans la bonne humeur avec un groupe relativement à l’aise sur cette itinéraire roulant.
Remarques : quelques absents de dernière minute avec toutefois un groupe bien étoffé pour une reprise. Nous avons accueilli Quentin après un échange téléphonique en amont qui présente un profil intéressant et semble motivé pour rejoindre le groupe et l’association sur de la muti-activité.
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