Animateur : Yves Nombre de participants : 19 animateur compris (11F, 8H) Météo : Ensoleillé Distance : 23 km Dénivelé : 700 m Durée : 7 H pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : (90 X 2 et 105 X 2 soit 390 km) Préparation et rédaction : 2 H
ITINERAIRE : Courpière les Taillades, Roddias, Le Mégain, Le Bertrix, Loumas, Berlet, Aubusson-d-Auvergne, Les Gâts, Chateauneuf, La Sauvet, Les Quatres Vents, Puissauve, Les Taillades.
But de la journée : se rendre au plan d’eau d’Aubusson-d’Auvergne, à partir du camping de Courpière. Après l’avoir traversé au Salet, nous longeons en rive gauche le Couzon. Ce ruisseau alimente la retenue d’Aubusson, se jette dans la Dore après avoir rempli différentes pièces d’eau que nous observons au passage.
Passé Roddias le hors-piste est nécessaire car le chemin se perd dans les bois, mais pas de problème on aime ça à Atlas. Nous ne pourrons voir, le domaine de Pugnat et sa chapelle en plein champ, que de l’arrière car le propriétaire a condamné l’accès. Dommage ce petit bâtiment avec ses tours devait être intéressant. Il faut modifier le parcours.
Les traversées de Le Mégain, Le Bertrix, Loumas, et Berlet nous conduiront au pied de la retenue du plan d’eau d’Aubusson. Ce lac de 28 ha créé en 1990 par 12 communes a pris place dans cette petite vallée. Ces prairies humides, traversées par un maigre ruisseau, n’étaient pas d’un grand rapport. L’aménagement des berges et bois environnants fait que certains oiseaux migrateurs passent ou séjournent aujourd’hui.
Nous remontons le long du lac, en découvrant les panneaux qui nous renseignent sur la flore, les oiseaux et les poissons, jusqu’à l’extrémité, où nous prendrons notre pause de mi-journée dans un environnement agréable au bord de l’eau.
Après la traversée du village, le contournement de l’église, nous remontons par un sentier très rocailleux aux Gâts, point culminant du jour, 535 m.
La descente se fait tranquillement, d’abord en balcon avec une dernière vue sur le lac, les Dômes et le Sancy à l’horizon, puis un peu plus rapide de Puissauve aux voitures le tout accompagné par un soleil radieux.
Animateur : Yves Nombre de participants : animateur compris 10 (7F, x3H) Météo : Ensoleillé avec quelques passages nuageux Distance : 19.5 km Dénivelé : 800 m Durée : 6 H 50 mn pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : (13 X 1 et 42 X 1 soit 55 km) Préparation et rédaction : 1 H 30 mn
ITINERAIRE : Mirefleurs, Puy de St Romain, St Maurice, Benaud, Laps, Busséol, Puy de St André, Mirefleurs.
Partis du bas de Mirefleurs, nous ferons notre première halte à la table d’orientation, point haut à l’est du village. Premier repère des collines environnantes. Poursuite par le ravin de Jally, soupçon de hors-piste à flanc du ravin de Saute Mouche, pour accéder au sentier qui grimpe au Puy de St Romain, et éviter de remonter sur le chemin venant de Busséol. Le sentier a été raviné par l’orage de cette nuit, mais le terrain n’est pas trop glissant. La montée se fait tranquillement, le dernier petit raidillon pour accéder au sommet n’est pas un problème, contrairement à ma crainte. Le 360° est bien net, le soleil est de la partie, et la petite brise aussi. L’application Peak Finder conforte nos dires, car la table d’orientation est un peu minimaliste, mais faite par des enfants.
Descente sur St Maurice quelques mètres plus bas, où l’on apprécie l’habitat et la douceur de la température. Pique-nique à la fontaine Margot et direction Est. Les beaux chemins de l’après-midi nous permettront de rattraper le temps perdu ce matin. Au lieudit les Moines nous apercevons le château des Quayres de 1483 implanté sur un domaine de 50 ha, exploitation agricole dans les années 30 et Maison d’Enfants à caractère social aujourd’hui. Ses terrasses et ses bassins du 18°S, que l’on devine, sont classés aux monuments historiques depuis 1932.
Passé Benaud et Laps, nous remontons Nord-Ouest, sous une forte chaleur, entre le Puy de Cléophy et de Montmol jusqu’à Busséol. Belle vue sur le château, avant d’emprunter le flanc Ouest du Puy de St André jusqu’à la Crête du Crochet, les nuages commencent à arriver, retour sur Mirefleurs. Nous contournons le château de Chalendrat, résidence du compositeur Onslow et nous découvrons, pour la plupart d’entre nous, le discret château de Mirefleurs blotti au centre du village. Un bel escalier nous conduira au point de départ sans une goutte.
Nous apprécierons, sur les bancs du parc de jeux pour enfants, une excellente tarte aux pommes faite et offerte par Pierre avec les pommes de son verger. Merci à lui
Animateur : Georges Nombre de participants : 17 ( 10 F et 7 H ) Météo : Grand soleil toute la journée sans chaleur excessive Terrain : humide par endroit Distance : 16 km environ Dénivelé : 700 m Durée : 7 h 30 pause comprise Classement Atlas : moyenne Kilométrage auto : 170 km pour 2 voitures et 140 pour 2 autres soit 620 km
ITINERAIRE : Départ du pont des Moines, GR 4 sur 1,5 km environ, Tranchades de Laquairie, petite route, pc 1015, voie ferrée, Vezol, D147, D 678, Peyrelaigue, Laquairie, retour au pont des Moines
Pour cette première rando de l’Automne, direction le Cantal, le pont des Moines notre point de départ. En Aout 2019 j’avais animé une rando avec en fin de journée la visite des tranchades de Laquairie, malheureusement nous n’avions pu en visiter qu’une partie, c’est donc un retour aux Tranchades. C’est un site unique en France. Il y a 5 millions d’années, suite à une éruption volcanique, une coulée de lave a comblé une vallée au sol argileux et instable. Lors de la dernière glaciation , il y a onze mille ans environ, l’énorme pression exercée sur la lave l’a fracturée et a provoqué ces énormes tranchées. Nous voici à l’entrée des Tranchades, une petite sente nous conduit dans les entrailles de la terre, les falaises de lave semblent s’élever et se rapprocher de nous. Ambiance étrange, mystérieuse, voire stressante, un décor digne d’Indiana Jones. Des éboulis recouverts de mousse et des arbres tombés du haut de la falaise nous freinent dans notre progression. Quelques arrêts photos et nous voici à la sortie, une sente (sur la carte ) doit nous conduire sur une petite route à environ 1 km, mais sur le terrain pas de sente. Et c’est dans un chaos de roches, d’arbres morts et d’une végétation dense que nous atteignons la route avec un certain soulagement et une grande joie d’avoir traversé ces magnifiques Tranchades. C’est l’heure du pique-nique que nous prenons sur l’ancienne voie ferrée, pas de train à l’horizon, Après avoir mangé, petit cours de géologie pour expliquer la formation de ces Tranchades, direction le village de Vezol et du lieu dit de Montesclide. Un chemin nous permet de quitter la route mais très vite, il disparait.
Retour sur la route, avec un talus à franchir. Nous atteignons le village de Laquairie par une petite route en forte pente, après le village, un chemin nous guide jusqu’aux voitures. Une halte à l’auberge du lac pour un petit rafraîchissement bien mérité. Merci et bravo à tous d’avoir bravé ces difficultés et toujours dans la bonne humeur.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 10, animatrice comprise (4F, 6H) Météo : ciel nuageux le matin, puis dégagé et ensoleillé Distance : 20 km (openrunner) Dénivelé : 700 m (openrunner) Durée du déplacement : 6h40 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 1 voiture de Clermont Fd ( qui est passée au Crest pour récupérer des passagers) soit 90km et 1 voiture du Crest soit 60 km au total 150 km Préparation et rédaction : 2 h30
ITINERAIRE : Saurier, Plateau de La Chaux, Creste, St Diery Bas, St Diery Haut, Cotteuges, Bessolle, Pradelle, contournement du Puy de Cluzel par le nord, Renlaigue, Saurier (cartes 2532E et 2533O).
Saurier garde de nombreux témoignages de son passé, que nous découvrirons pour certains en fin de randonnée mais nous commençons par son célèbre pont médiéval datant du 15è siècle que nous empruntons pour traverser la Couze Pavin. Installé sur 3 arches, il possède sur l’une d’entre elle un oratoire dédié à la Vierge et des «refuges» qui étaient bien utiles pour se croiser aux utilisateurs d’autrefois.
Larges chemins et traversées de pâtures pour les relier nous amènent d’abord sur le plateau de la Chaux, puis au bout de celui-ci à Creste perché sur un promontoire volcanique. Nous montons vers l’éperon rocheux qui domine le village et sur lequel subsistent quelques pans de murs d’un ancien château pour arriver à la chapelle. De là, nous dominons la vallée de la Couze Pavin, faisons face au pic de Brionnet, apercevons dans le lointain, le château de Murol.
A la sortie du village, plusieurs parkings laissent supposer qu’il y a certains jours affluence sur les sites de vol à voile situés à proximité. A Saint Diery Bas, une œuvre composée à partir de bouteilles plastiques nous rappelle s’il en était besoin que nous sommes sur le territoire de la source de Renlaigue rebaptisée Saint Diery lorsqu’elle fut rachetée par le groupe Danone. Le pique nique pris à côté de l’église de Saint Diery Haut sous un ciel un peu plus menaçant, nous redescendons en direction de Cotteuges. De là, nous suivons le long de la Couze, entre des murets en pierre sèches appelées « cheirilles » construits pour aménager des parcelles cultivables, un chemin jusqu’au pont de la Chèvre. Construit probablement à la fin du 15è siècle, il était l’unique lieu de passage pour les habitants de Bessolle voulant se rendre directement à Saint Diery. Il tient certainement son nom des chevriers (éleveurs de chèvres) du hameau, nombreux dans les années 1800. Le soleil est revenu lorsque nous commençons la montée vers Bessolle et une petite pause boisson est la bienvenue avant de prendre à l’entrée du village la direction du pic de Cluzel. Grosse descente sur un chemin raviné pour atteindre Pradelle. Le contournement du Pic de Cluzel s’effectue sur un chemin en courbe de niveau et comme tout au long de la journée il y a dégustation de mûres. Délicieuses ! Après un court passage hors piste, assez confortable, dans le bois, nous retrouvons le GRP (lui aussi bien raviné par endroits) qui redescend sur Renlaigue. Il ne reste plus qu’à rentrer sur Saurier avec un détour vers les sources salées situées rive gauche de la Couze Pavin. Pour beaucoup c’est une découverte malgré de nombreux passages à Saurier. Ces sources forment un réseau à l’origine de la présence de plantes protégées (Glaux maritime, Pucinelle à épis distants et Spergulaire marginée) qui se développent sur les croûtes de calcaire en de petites surfaces et qu’on trouve d’ordinaire au bord de la mer. Nous ne les verrons pas !
A Saurier, nous repassons le pont médiéval, empruntons les petites ruelles pour découvrir la maison du Louvetier (16e siècle) aux symboles de louveterie gravés sur le tympan de la porte d’entrée : loup, lièvre, fleur de lys, cheval. C’était sans doute la demeure d’un lieutenant louvetier, chargé par le roi de contrôler la faune sauvage, d’organiser les battues au loup et le passage des courriers à cheval.
Sortie par la porte de ville à mâchicoulis subsistant des anciennes fortifications et c’est l’arrivée aux voitures. Le ciel est à nouveau bien chargé. Juste le temps de changer de chaussures, de monter dans les voitures et une grosse averse orageuse s’abat !
Remarques : encore une fois une météo plus clémente que celle prévue par les différents sites météo.
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 6 animateur compris (4F, 2H) Météo : Ensoleillé, températures douces à chaudes Distance : 25 km Dénivelé : 800 m Durée :7 H 30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 50 x 1, + 40 x 1 soit 90 km
ITINERAIRE : Plauzat, Saint-Georges, Puy de Saint-Sandoux, Ludesse, Prat Blanc, Gourdon, Montaigut-le-Blanc, Saint-Julien, Chaux d’Aubary, Menhir de Sauciat, Plauzat
Dès le départ, à la sortie de Plauzat, le massif Puy de Saint-Sandoux s’offre à nos regards. Nous commençons à effleurer timidement ses premières pentes par un savant contournement nord-est avant de nous lancer dans le dur, jusqu’à l’aire de lancement des parapentistes… malheureusement absents en ce dimanche matin. La vue est magnifique, embrassant tout l’espace entre Dômes et Forez, avec les puys bordant l’Allier au premier plan. Sur le versant sud, nous prenons plaisir à découvrir le village de Ludesse qui conserve de nombreuses traces de son riche passé médiéval, mais ce n’est encore rien en comparaison de ce qui nous attend quelques kilomètres plus loin. En effet, après avoir traversé les prés situés entre le Puy d’Aoust et le Puy de Gourdon, nous régalant de nombreuses mûres au passage, nous profitons de la fraîcheur offerte par le bois bordant les ruisseaux de Fasteyroux et de la Rodde pour arriver finalement au magnifique village de Montaigut-le-Blanc. Un magnifique château médiéval, construit sur un éperon granitique surplombant la vallée, domine le village construit à flanc de rocher. En le quittant par l’est, nous passons sous une impressionnant porte d’enceinte qui semble aujourd’hui encore jalousement garder l’entrée du bourg. Une fois descendus dans la vallée de la Couze Chambon, nous passons devant les anciennes caves de Saint-Julien, dont l’entrée est grande ouverte sur de petites cavernes malheureusement vidées depuis longtemps de leur contenu liquide. Et c’est en pensant à tout cet excellent breuvage qui s’y trouvait naguère que nous reprenons notre route en direction du menhir de Sauciat. Ce mégalithe d’une hauteur de 3,40 mètres garde une origine mystérieuse. La légende voudrait qu’il ait été érigé par des fées, mais les esprits plus rationnels semblent douter de cette version… Nous n’en saurons guère plus et entamons donc l’ultime partie de notre parcours, non sans disserter encore sur les constructions mégalithiques les plus célèbres d’Europe.
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 15, animateur compris (7F, 8H) Météo : couvert avec quelques gouttes de pluie le matin et l’après-midi. Température douce. Terrain : souple Distance : 25 km (gps) Dénivelé : 730 m (montre altimétrique) Durée du déplacement : 8h42 (montre chrono) Durée de la randonnée : 7h35 environ Classement Atlas : moyenne compte tenu du parcours aventure sur 5 kilomètres environ le matin. Kilométrage auto : (40 x 2) + (45 x 1) = 125km
Partant de Chapdes-Beaufort, l’idée était d’aller à la découverte du ruisseau de Mazière, de le suivre jusqu’à sa confluence avec la Sioule. Après 2 petits kilomètres de chemin, nous avons quitté le confort pour progresser lentement dans un terrain en pente où la végétation était très dense par endroit. Le bord du ruisseau à l’ eau claire et abondante atteint, le cheminement s’est fait tantôt rive droite tantôt rive gauche traversant à gué au fil de la descente.
Parfois de petites falaises ou de jolis rochers nous laissaient passer après une exploration en aval. Quelques adhérents ont été mis à contribution soit pour aider à la traversée soit pour aller repérer les passages. Belle ambiance dans ce moment d’aventure. Les quelques gouttes échappées des nuages n’atteignaient pas les randonneurs, happées au passage par un couvert végétal dense en attente d’humidité. De nombreux ponts au bois vermoulu ayant eu sans doute un usage il y a fort longtemps, nous ont également permis de franchir le ruisseau qui au fur et à mesure de la descente ressemblait de plus en plus à une charmante rivière. Le moulin de Mazière était déjà loin derrière nous quant l’heure du pique-nique est arrivée, proposé rive gauche sur une zone un peu moins humide où la lumière grisâtre du jour arrivait à passer. Après avoir enjambé un chemin goudronné menant à Trimoulet, la progression devint plus facile par une voie sans obstacle qui nous a amenés à la jonction avec la Sioule. Une matinée pour faire seulement un peu plus de 5 kilomètres.
La cadence Atlas sur le GR4 se remit en place et Trimoulet à 704 m d’altitude fut rapidement atteint puis Les Barras. Pour éviter de redescendre vers la Sioule, tracé normal de l’itinéraire grande randonnée, nous sommes restés sur une courbe de niveau nous obligeant à une nouvelle partie de hors piste avec le franchissement d’une clôture tout en souplesse et élégance. Enfin Barbecot puis Villelongue sur un large chemin d’exploitation. La Gravière ne sera jamais atteinte, l’animateur s’étant endormi voyageant confortablement en suivant les marques « blanche et rouge » et n’ayant pas remarqué la modification du tracé du GR4. Arrivé à St Ours (non prévu au programme) réveil brutal ! Il faut repenser le reste de l’itinéraire pour rester sur une distance linéaire acceptable. Petit retour en arrière puis contournement par l’ouest du mouvement de terrain dénommé Trimonté. Montcognol puis passage dans une pâture avant de rentrer par le Sud à Chapdes..
Remarques : journée passée dans la bonne humeur et distribution comme d’habitude de quelques douceurs en cours de rando et lors du pique-nique.
Animatrice : Christelle Carte : IGN 2730 O ET 2731 0 Nombre de personnes : 13 Animatrice incluse (3H,10F) Météo : Grand bleu le matin, plus nuageux l’après-midi avec une atmosphère lourde. Terrain : Sec, sablonneux et très raviné, quelques grosses flaques vers la Muratte. Distance : 21 km Dénivelé : 800 m Durée : 7h30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 102 km pour 3 véhicules et 1 sur place
ITINERAIRE : Départ Chapelat, intersection les Phants, GR3 , la côte, Pierre Giniche, sommet du Puy de Montoncel par Plan de la Côte et plan des Chartuires, La Lizolle, barrage de la Muratte, Duzelier, Pont Chalet, Redevis, les 3 Lindes, Fauvelles, Moulin Jalonne, Chapelat.
Belle et chaude journée pour cet itinéraire qui nous a fait cheminer dans le massif des Bois noirs où l’ombre des grands arbres (résineux en majorité) nous a protégé de l’atmosphère lourde. Bienvenue aussi car une longue montée nous attend pour rejoindre le point culminant de l’Allier (presque 600 mètres de dénivelé depuis le parking).
Nous prenons le temps de faire une halte pour étudier un chaos rocheux assez conséquent appelé la Pierre Giniche ( ou Geniche sur certaines cartes).Son histoire est singulière car il fût découvert en 1977 par un certain Pierre FROBERT qui s’était vu indiqué le lieu lors d’un rêve nocturne. Atteint d’un cancer, suite à sa visite il présente une rémission complète et devient passionné de ses sites rocheux.Le journal la Montagne l’a évoqué plus d’une fois.La pierre Giniche a la réputation d’avoir un fort et bénéfique magnétisme équivalent à celui de la cathédrale de Chartres. En plus d’être intriguant et mystérieux cet amas de roches mérite le détour car il est beau et imposant.
Une fois les « batteries rechargées » auprès de la Pierre, nous reprenons notre effort pour rejoindre le sommet du Puy de Montoncel et découvrir le « nouveau panorama »offert !
En effet, ce plus haut sommet du massif des Bois noirs (1287 m) a été déboisé en 2019 avec l’accord des propriétaires des 25 parcelles ce qui a permis de retrouver une très belle vue sur la chaîne des Puys, les monts Dore et le massif du Mont Blanc (que nous ne verrons pas aujourd’hui !).Nous profitons sur place d’une pause pique-nique sous le soleil agrémentée d’une légère brise rafraichissante.
La longue descente sera un peu exigeante et demande de l’attention car les sentiers sont très érodés et émaillés de petits cailloux instables ou de blocs plus conséquents qui déclenchent facilement quelques dérapages pas toujours contrôlés …cela est dû au socle granitique très présent dans ce secteur et dont l’érosion est vraiment très marquée, excellent entrainement à la marche en plus haute montagne ! Vigilance sollicitée aussi car dans ces massifs forestiers la carte ne correspond pas toujours à la réalité et impose quelques petites adaptations !
Autre ambiance avec un passage aux barrage et lac de la Muratte , beau miroir boisé .. le site doit être magnifique en automne ! site essentiel car il alimente pour grande partie la ville de Thiers et suscite parfois des inquiétudes en périodes de sécheresse notamment lors de l’épisode d’alerte renforcée en octobre 2018 .
D’autres jolis panoramas et de belles bâtisses en granit notamment au hameau de Redevis
Fin de parcours gourmand en picorant les mûres qui nous tendent les bras !
Animateur : Fabien Nombre de participants : 12 (07 F, 05 H) animateur compris Météo : Brouillard pendant la 1ère heure puis beau temps et joli soleil ensuite Terrain : Sec Distance : 22,5 km Dénivelé : 800 m Durée : 7 h20 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 80 x 1 et 110 x 2 soit 300 km
ITINERAIRE : Lac Pavin – La Laspeix – Baraque de Vassivière – ND de Vassivière – Col de la Geneste – Contournement Ouest puis Nord du Puy de Paillaret – Col du Couhay – Plaine des Moutons – Puy de Chambourguet – Les Martelles – Le Gelat
Lac Pavin
C’est sous le brouillard que débuta la balade de ce jour. Mais ce brouillard a eu l’avantage de donner une superbe ambiance baignée d’Ecosse au Lac Pavin, point de départ de notre balade. Il ne manquait plus qu’un monstre n’en sorte. Au fur et à mesure que nous faisions le tour du Lac, nous avons pu constater au nombre important d’arbres couchés que la neige de cet hiver avait fait du mal et certains ont pu se remémorer une balade raquette de cet hiver où il avait fallu jouer de tous ces arbres tombés.
Puis ce fut le moment de monter au point sublime qui, compte tenu du brouillard toujours présent, ne justifiait pas son nom en ce jour. Nous poursuivions la balade à travers bois jusqu’à la baraque de Vassivière via le GR 4 pour, ensuite, monter jusqu’à la Chapelle Notre Dame de Vassivière en empruntant le Chemin de Croix.
Chapelle Notre Dame de Vassivière
Cette chapelle a la particularité, en été, d’accueillir la vierge noire de Notre Dame de Vassivière qui se trouve le reste de l’année en l’église Saint André de Besse. Elle est montée, chaque année, le 2 juillet (fête de la Visitation) et redescendu le dimanche qui suit la Saint Matthieu (21 septembre). C’est la Dévalade qui donne lieu à des festivités. Cet arrêt à la chapelle fut aussi l’occasion pour certains de faire le plein d’eau à la Chapeloune en contrebas qui abrite une source qui aurait des vertus de guérison des malvoyants.
Après ce petit arrêt, c’était reparti direction le Col de la Geneste par un bon chemin qui constitue la piste de liaison entre Super Besse et Chareire une fois la neige venue.
A partir du col de la Geneste, c’était la grosse montée du jour qui s’annonçait. Montée qui nous mènera jusqu’au col du Couhay en longeant le Puy de Paillaret d’abord par l’ouest puis par le nord, tout en traversant des troupeaux de vaches et de chevaux et en profitant des superbes paysages du Massif du Sancy qui s’étendait tout autour de nous.
Un fois le col atteint, redescente en direction de la Plaine des Moutons. Cette partie s’avérera moins intéressante car sur de larges chemins qui constituent des pistes du domaine skiable de Super Besse. Chemins, qui plus est, fort fréquentés aussi bien par des marcheurs que des VTTistes de descente en cette belle journée de fin de vacances.
Nous arriverons ensuite au pied du Puy de Chambourguet dont l’ascension était au programme afin de profiter de la superbe vue en son sommet mais aussi en cette période d’Horizons Sancy, de visiter l’œuvre Exofaune. L’explication de l’artiste (association entre satellite déchu et oiseau chanteur) n’a pas convaincu tout le monde.
Exofaune
Après cette visite, il était temps de rejoindre notre point de départ par un joli sentier tracé entre les champs. Un dernier arrêt sera effectué devant un troupeau de vaches. Arrêt durant lequel les participants s’amuseront à comparer les cornes de vaches et prendront le temps de déchiffrer les inscriptions présentes sur leurs cloches.
Merci à tous pour votre bonne humeur et toutes les petites gourmandises partagées ainsi qu’à Didier pour ses photos qui illustrent ce compte rendu.
Animateur : Fabien Nombre de participants : 08 (04F, 04H) animateur compris Météo : Très couvert avec brouillard au-dessus de 1 100 m, très légère bruine par moment Terrain : Sec Distance : 23 km Dénivelé : 850 m Durée : 7 h20 pauses comprises Classement Atlas : Annoncée facile. Reclassée moyenne compte tenu de la partie nocturne et du hors-piste en dénivelé pour atteindre le sommet du Grand Sault Kilométrage auto : rendez-vous sur place
ITINERAIRE : Parking panoramique des Dômes – Col de Ceyssat – Le Traversin – Petit et Grand Suchet – Chabanne Vieille – Bac de Ceyssat – Bac de Montmeyre – Petit et Grand Sault – Col de Ceyssat – Creux de la Berthe
Le but de la balade du jour était d’aller voir le lever de soleil depuis un sommet de la Chaîne des Puys (Puy de Cliersou ou Grand Suchet).
Huit courageux s’étaient levés très tôt et dès 04h30, nous partions du parking du Panoramique des Dômes. Tout un parcours nocturne à travers bois (via les bois de Rochetoux, le col de Ceyssat et la Vialle) nous a amenés au pied du Traversin et là, le groupe a commencé à avoir des doutes sur le lever de soleil compte tenu du brouillard se dévoilant à la sortie des bois. Arrivés au pied du Petit Suchet après avoir franchi le Traversin sous le brouillard, une légère trouée dans ce brouillard nous a permis d’apercevoir les lumières clermontoises. Mais cette trouée s’avèrera de courte durée et c’est dans le brouillard que le jour se lèvera et donc sans aucune vue du lever de soleil attendu aussi bien depuis le Petit que le Grand Suchet. Tout cela ne nous empêchera pas de prendre notre petit déjeuner sur les pentes du Grand Suchet.
Une fois rassasié, le groupe continuera sa balade en rejoignant Chabane Vieille via un petit sentier bien raviné entre Grand Suchet et Cliersou. Puis cap sur le Bac de Ceyssat et le Bac de Montmeyre où la stèle du Maquis des Ardents nous a rappelé l’histoire de ce lieu.
Puis ce fut l’heure du hors-piste de la journée qui nous mena au petit Sault puis au grand Sault après une belle montée. Après être redescendu de ce sommet, retour au col de Ceyssat. Il était temps de retourner aux voitures. Les chemins connus autour du Puy de Dôme devant fréquentés à cette heure, j’avais opté pour un retour par le chemin bien moins connu rejoignant le Creux de la Berthe (où eu lieu une dégustation imprévu de myrtilles !) puis le chemin à flanc est du Puy de Dôme où la descente prononcée fut maitrisée par le groupe.
Animateur : Georges Nombre de participants : 11 animateur compris Météo : nuageux le matin et ensoleillé l’après-midi Terrain : sec Distance : 23 km Dénivelé : 800 m Durée : 7h30 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 80 km x 2 pour 1 voiture et 110 x 2 pour 1 autre soit 380 km
. ITINERAIRE : Départ de la Pierre Plantée, Peyrussette, Peyrusse, Croncette, D 16, Arlet, sud de Soulhac, Bois de Combenayre, Aubazat, retour à la Pierre plantée.
Chapelle de Peyrusse
Départ de l’Auberge des trois vallées à la Pierre Plantée, c’est précisément ces vallées que nous allons suivre au cours de la journée. La vallée de l’Allier, premier objectif que nous suivons jusqu’au charmant village de Peyrussette, face à l’Allier et aux falaises volcaniques du Blot. C’est ici que j’ai passé toute mon enfance. Nous quittons la vallée de l’Allier pour nous diriger plein sud vers la vallée du ruisseau de Peyrusse ( ou la Ramade ). Un petit détour pour visiter la petite chapelle de Peyrusse avec ses fresques dans le coeur du 13° siècle, ancienne commune aujourd’hui rattachée à Aubazat. Nous suivons le ruisseau jusqu’au lieu-dit Croncette et quittons la vallée pour prendre de la hauteur et basculer vers le village d’Arlet. Plus petite commune du département en nombre d’habitants ( 28 ). Un petit arrêt à l’observatoire du gros gibier qui permet de voir et d’entendre les animaux à la période du rut sur la forêt en face. Après le village, nous traversons la Cronce où une sente raide et technique nous permet de remonter sur le plateau. A mi- parcours, une halte pique-nique est la bienvenue.
Peintures dans l’église d’Aubazat
Après le plateau, nous retrouvons la forêt en direction d’Aubazat pour une dernière visite, l’église possède une mise au tombeau avec des personnages grandeur nature en bois polychrome, elle date du 15° siècle. Un petit rafraîchissement à l’auberge est le bienvenu. Merci à tous, bonne fin de vacances.
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