Catégorie : 12-Saison 2020

Animatrice : Mady
Nombre de participants : 22 animatrice comprise (11F, 11H)
Météo : soleil et température douce.
Distance : 23km
Dénivelé : 990m
Durée : 7h45 pauses comprises
Classement Atlas : moyen
Kilométrage auto : 102kms pour 3 voitures de Clermont Fd, 110 kms pour 2 voitures du Crest.

ITINERAIRE : Murat le Quaire, Le Pessy, traversée D 219, D609, Village de vacance, Nord de la Gacherie, GR30, Puy Gros, passage entre PC 1362 et 1366, plein nord, puis ouest, lac du Guery, Cascade du Guery, Ferme du Puy de May, Banne d’Ordanche, traversée D 609, Pré Cohadon, Murat le Quaire 

Belle journée de randonnée dans le Sancy ! Après un début de parcours en terrain boisé nous voici arrivés sur le plateau. Le ciel est dégagé, la température douce et sans vent ce qui nous permet de pique niquer au sommet du Puy Gros avec à droite, à gauche, devant, derrière, de magnifiques panoramas. En contrebas, le Mont Dore, en face de nous la chaîne du Sancy dont quelques pistes légèrement enneigées brillent au soleil, à l’est le Forez, au nord la chaîne des Puys et à l’ouest la Banne d’Ordanche que nous réservons pour l’après midi. Quelques traces de neige un peu glacées nécessitent un peu d’attention pour effectuer la descente côté est du Puy. Mais c’est finalement la boue qui fait faire une glissade à un participant ! Plus bas, le terrain est gorgé d’eau et nous sommes contents de profiter des passages avec caillebotis pour garder les chaussures sèches.

 Le lac du Guéry sans aucune trace de glace démontre bien que cet hiver le froid n’est pas au rendez vous. Un passage vers la cascade du ruisseau qui porterait le nom très particulier «Des Mortes de Guéry», et nous repartons en terrain découvert vers la ferme du Puy de May. Là petite pause et point d’histoire fait par Luc. Dans les années 30, on pratiquait à partir de la crête reliant le puy Loup à la Banne d’Ordanche, le vol à voile et ce lieu servait de base au « Centre National de Vol sans Moteur » .

C’est pour cela que l’on retrouve des restes de routes goudronnées pour y accéder. Cela explique aussi les ruines de bâtiments un peu étranges sur le côté.
Le centre fut fermé en 1942 par ordre de l’occupant allemand et ne fût pas ré ouvert à la fin de la guerre car il était trop souvent noyé dans les nuages ou avait un plafond trop bas, pour permettre des vols sécurisés ; de plus la mise en piste était laborieuse et éreintante avant de pouvoir décoller puisqu’il fallait hisser les planeurs 60 mètres au-dessus des hangars.

La « ferme » fut transformée en colonie de vacances dans les années 50 pour le Ministère de l’armée de l’air.

Nous atteignons ensuite le point le plus haut de la journée, la Banne d’Ordanche dont la silhouette élancée explique l’origine du nom de Banne qui veut dire corne en patois.Nous ne pourrons pas approcher de la table d’orientation, un groupe important d’enfants (peut être une classe de neige transformée en classe verte) découvre avec les explications d’un animateur les phénomènes géologiques du massif. Par contre derrière le Sancy nous apercevons les pointes blanches du Volcan Cantalien qui semble très proche.

Maintenant c’est la descente vers Murat le Quaire avec la découverte avant le bois de la Paillère, d’un Tra reconstitué par des passionnés de la nature. Cette forme d’habitat temporaire, très probablement des abris pastoraux liés à l’estive bovine, typiquement auvergnat, intrigue encore les archéologues.

Pour la fin du parcours, un gymkhana dans une tourbière, une clôture au franchissement difficile pour atteindre le plan d’eau du Pré Cohadon (Bernard, l’animatrice aurait dû t’écouter!!) , et un peu de route pour finir d’arriver dans le bourg.

Avant de reprendre la route, dégustation de gâteaux, cake et chocolats qui complétaient ceux déjà presque oubliés du pique nique. Merci à tous pour votre participation et votre bonne humeur.

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Animateur : Yves
Nombre de participants : 10  animateur compris ( 6 F, 4 H)
Météo : Nuageux couvert avec bruines intermittentes.
Distance : 24 Km 
Dénivelé : 800 Mètres
Durée : 6 H 40 mn pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto :   160 Km pour  1 véhicules et 190 pour 1 autre
Temps de préparation :  3 H
 

ITINERAIRE : St Poncy, Alleret, Loubarcet, PC 922, PC 956, La Chapelle Laurent, La Picardie, Loudeyrette, La Pèze, PC 1014, Suc de la Pèze, Chausse, PC 892, Le Boucharat, PC 935, PC836, Arches, St Poncy.

Traversée de l’ Allagnonnette par une jolie petite passerelle et nous quittons St Poncy en direction d’Alleret, temps bien couvert avec quelques gouttes. Passage dans le bois de Chalissard et traversée du ruisseau du même nom avant de gagner Loubarcet. Petit village perché à 1050 m d’où la vue à 360 s’apprécie aux 2 tables d’orientation  implantées en ce lieu. Malheureusement aujourd’hui l’horizon est bouché, dommage car ce point de vue était l’intérêt de la rando du jour. De là nous aurions pu apprécier les Monts du Cantal, le Cézallier, le Sancy, le Forez, le Devès, la Margeride, et bien d’autres lieux encore. Nous apercevrons la chapelle Ste Anne de 1215, encastrée dans une grange étable, autre curiosité locale.

Direction la Chapelle Laurent où la pluie devenant plus présente nous cherchons un petit coin abrité. Après accord de la propriétaire, nous nous installons sous un auvent pour le pique nique du jour. Repas rapide car la pluie redouble de vigueur. Nous nous rééquipons et abandonnons les lieux. Légère montée avant de redescendre sur La Picardie où nous croiserons la stèle de Robert de Turlande, fondateur de l’Abbaye de la Chaise Dieu, né dans cette vallée. Petite côte jusqu’à Loudeyrette avant d’entamer le hors piste prévu pour gagner le Suc de Lapèze où un magnifique arc en ciel s’étale devant nous, ce qui nous garantira le beau temps jusqu’à l’arrivée.

Succession de traversées de ruisseaux et de passages en forêts avant de rejoindre Saint Poncy.

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Animateur : Yves
Nombre de participants :  21 animateur compris  ( 11 F, 10 H)
Météo : Quelques gouttes au départ, couvert avec éclaircies l’après midi.
Distance : 25 Km 
Dénivelé : 700 Mètres
Durée : 7 H 40 mn pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto :  160 Km pour  3 véhicules et 200 Km pour 1 autre
Temps de préparation :  3 H 30
 

ITINERAIRE :La Rouleyre, Joursac, Tour de Mardogne, Rocher de Laval, Les Martines, Moissac, PC 844, Rochers de Cuzers, Bois du Cheylat, Cascade du Cheylat, La Choulou, Pont de la Choulou, Longe-Sagne, Traverges, Celles, PC 992, PC 986, Secourieux, Dolmen de Touls, PC 963, PC 967, PC 963, Séverac, Les Varennes, Le Pont du Vernet, La Rouleyre. 

Départ de La Rouleyre sous quelques gouttes, motivés pour gravir à froid, les 220 m qui nous permettrons d’atteindre la Tour de Mardogne. Traversée de Joursac où la petite église romane est ouverte et chauffée, étonnant ! Nous voici au pied de la Tour, reste d’un ancien château du 12°S incendié en 1720 qui a fini en ruines, aujourd’hui privée et grillagée, donc impossible de s’approcher, dommage ! Nous sommes au sud du Cézallier ce qui étonne certains participants. La vue sur Neussarges et la vallée de l’Allagnon, avec ses petits nuages blancs qui s’enlèvent ici ou là du fond de la vallée, est magnifique ce matin. A cet instant nous sommes à peut près certains d’avoir une belle journée. En face de nous trône le Rocher de Laval, bloc magmatique de 4,5 millions d’années. Afin de profiter au maximum de la vue nous longeons la crête, nous finissons par apercevoir la petite vallée étroite du ruisseau d’Allanche et la cascade de Cuze au loin. 

Nous quittons le plateau pour rejoindre Moissac, ancienne commune, d’abord créée comme prieuré de l’abbaye de Moissac en Tarn et Garonne, d’où son nom, commune déplacée en 1872 à Neussarges suite au développement de ce hameau en raison de l’infrastructure routière et ferroviaire. Appelée Neussargues Moissac depuis 1900, elle prend le nom de Neussargues en Pinatelle en 2016 en référence au Bois de la Pinatelle tout proche. Moissac petit village bien entretenu avec son église romane St Hilaire du 12°S dont l’intérieur est classé aux monuments historiques que nous ne verrons malheureusement pas car la porte est fermée. Un étrange escalier extérieur qui mène au clocher a poussé notre curiosité à le gravir. A la sortie du bourg des sarcophages taillés dans le tuf volcanique découvert au début du 20°S, datant du Moyen Age forment une plaisante nécropole.

Nous poursuivons notre chemin dans le bois de Cheylat pour atteindre la cascade du même nom, nous côtoyons au passage les abris préhistoriques sous roche de Cuzers, après plusieurs hésitations de parcours dans le bois, tant les sentiers sont nombreux,  nous arrivons à la cascade, il est 13H15 les estomacs réclament, l’ endroit est sublime, reposant avec ce bruit d’ eau qui nous berce et le soleil qui nous enveloppe.

Il ne faut pas trainer nous sommes à peine à la moitié de la randonnée, les différentes curiosités nous ont un peu retardés. Cet après-midi les chemins seront plus roulants et les arrêts moindres. Nous traversons l’Allagnon au pont de la Choulou pour remonter sur le plateau opposé. Arrêt à Celles pour apprécier l’ ancienne  Commanderie des Templiers de l’ordre de St Jean de Jérusalem, fondée vers 1293, vestige assez austère, accolée à une chapelle qui a servi pendant un temps d’église du village. Nous continuons à monter jusqu’à Secourieux pour aller voir la dernière curiosité de la journée le Dolmen de Touls. Quelques passages de barbelés, traversée de pâtures et nous voilà devant ce Dolmen du Néolithique, MH depuis 1986. De là belle vue sur la Planèze, Coltines et son aérodrome.

Petit passage hors piste sur le plateau avant de plonger de nouveau sur l’Allagnon, après avoir traversé deux lignes ferroviaires nous suivons la deuxième jusqu’au Pont du Vernet pour enjamber de nouveau la rivière, bien en eau malgré le manque de neige, pour retrouver nos voitures.

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ANIMATRICE : Christelle
NOMBRE PERSONNES :     20 personnes         13 F   7 H
METEO : Belles éclaircies le matin, bruine , vent et nuages l’après midi
TERRAIN : Humide
DISTANCE : 22 km                                              
DENIVELE : 655 m +   (OPENRUNNER)
DUREE :   6h50    pauses incluses
CLASSEMENT : Facile
KM AUTO : 158 km pour 2 voitures et 120 km pour 3 autres
PREPARATION ET REDACTION : 2 h

ITINERAIRE : Départ église de Mazoires vers NNE , chapelle Ste Pezade, Granges, remontée en HP du lit du ruisseau après Grand Prat, chemin  dans les bois puis sortie sur le plateau au NNO de Trioule, traversée vers le Sauvage impossible pour cause de  ronces et barbelés  donc retour à la sente forestière ( très peu entretenue) pour sortir au sud des ruines de Mercoeur, Trioule, passage au Nord de la Rochette, col du Chire Blanc, HP vers PC 1045, le Creux, Chastrix, PC 1036, col de la Pierre Plantée, D 126 , les Angles, Mazoires.

Sortie vivifiante et  dynamique  pour cette randonnée en pays coupé. Ces  zones  de délimitation entre plateaux et plaines  présentent  des successions de bassins d’effondrement et de défilés et engendrent une belle variété de paysages.

Première halte à la chapelle de Ste Pezade, « pas » en patois car la légende dit que Ste Florine, poursuivie par des assaillants,  aurait enjambé d’un seul pas la Couze d’Ardes qui se trouve en contrebas et laissé son empreinte sur une roche située au bord de l’eau !  

Nous y  profitons d’une belle vue sur le vallon du ruisseau de Vèze  avec sa petite cascade, ses affleurements de coulées volcaniques. Le site doit être magnifique à l’automne .En chemin, une belle cavité basaltique qui doit servir de lieu de bivouac. Après Granges, nous longeons la couze d’Ardes  bordée sur sa frange nord  par les beaux reliefs qui  emmènent vers le Cézallier.

Petite portion plus ludique qui nous réchauffe bien  avec la remontée du lit d’un ruisseau afin de rejoindre les sentes forestières montant au plateau du Sauvage. En haut barbelés et ronces m’obligent à revenir sur mes pas, rentrer de nouveau dans la forêt pour  déboucher sur  la butte portant les ruines du château de Mercoeur  où la pause pique nique se fera avec une belle vue allant jusqu’aux monts du Forez.

Nous allons voir de plus près le Doigt des ruines de Mercoeur appelé ainsi car le seul vestige du château est une partie d’une des tours de cette structure  défensive construite au XI ème siècle et détruite en 1567.

Au col du Chire Blanc nous quittons les chemins  pour une traversée  des beaux  plateaux où le vent commence à se réveiller  mais où nous profitons d’un grand panorama. Un peu de gymnastique avec  plusieurs passages de clôtures dans ce secteur où elles sont toujours nombreuses ! Notre traversée en hors-piste sera interrompue  par un groupe de chasseurs qui tire tous azimuts ! Je préfère rejoindre  le chemin ce qui nous impose un détour assez conséquent par rapport à l’itinéraire prévu.

Du coup au col de la Pierre Plantée, pour éviter un retour beaucoup  plus tardif, je décide de couper par la D126 ce qui nous permettra de passer à la carrière des Angles  où l’on peut admirer une belle coupe dans un ancien cône de scories.

Retour aux voitures et pour finir une très agréable pause boisson au café restaurant  du Bon Accueil d’Ardes sur Couze où nous sommes toujours aussi  bien reçus !

Merci aux nombreux adhérents présents pour cette  belle journée conviviale  au grand air !

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Animateur : Georges
Nombre de participants : 18 ( 11 H – 7 F )
Distance : 19 km 
Dénivelé : 800 m 
Durée : 6 h 30 (pause comprise) 
Météo : Nuageux toute la journée, température agréable 
Classement Atlas : facile 
Kilométrage voitures : 100 pour 2 voitures et 80 pour 2 autres 
Préparation et CR : 2 H 

ITINERAIRE : Départ de Domaize, Le Rouchat, pc 485, Le Moulin Neuf, Fontbertasse, Le Clos, Moulin de Dore, Sauviat, La Gardette, Le Breuil, Le pêcher, Cublas, traversée de la Dore, Les Graves, La Bouchie, Puissochet, La Recoule, retour à Domaize.   

 Départ de Domaize pour cette rando, avec comme fil conducteur la Vallée de la Dore toute proche, une première traversée au niveau du moulin de Dore et le barrage de Sauviat sur le ruisseau de Miodet. Ce barrage a été construit de 1901 à 1903 pour alimenter en électricité la ville de Thiers, aujourd’hui, il est toujours en activité. Direction le village de Sauviat, perché sur un éperon rocheux, avec une belle vue sur la vallée et le barrage. Après avoir traversé plusieurs villages en amont de la Dore, rive droite, nous avons traversé à nouveau la Dore. Une sente devait nous permettre d’atteindre le plateau en suivant le ruisseau de la Grave en balcon, le passage devenant de plus en plus encombré, nous avons du faire demi-tour et raccourcir la rando de quelques kilomètres pour le retour à Domaize. Merci à tous et tout particulièrement à Daniel qui nous a régalés avec ses gâteaux et son pot d’anniversaire. A bientôt sur d’autres chemins.   

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Animateur : Sébastien
Nombre de participants : 20, animateur compris (11 F, 9 H)
Météo : Couvert, brouillard et vent sur les sommets, température fraîche
Distance : 22 km ;
Dénivelée : 800 mètres +
Durée : 7 h 00 mn
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 40 km pour 5 véhicules utilisés
Temps de préparation : 30 mn

ITINERAIRE : Orcines, golf des Volcans, Puy de Côme, Puy Balmet, Puy Fillu, Petit Suchet, Traversin, Puy de Plantas, Orcines.

 Très bel itinéraire auquel il n’aura manqué que la vue depuis le sommet du Puy de Côme, bouchée par le brouillard. Une ambiance très particulière nous attendait sur les hauteurs aux sols couverts d’une très fine couche de neige givrée. La randonnée s’est terminée par un passage sur le Puy de Plantas, peu élevé mais très impressionnant avec son calvaire constitué de trois croix massives de granite.

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Animateur : Georges 
Nombre de participants : 21 ( 11 F – 10 H ) 
Distance : 22 kms 
Dénivelé : 950 ms 
Durée : 7h45 ( pause comprise ) 
Kilométrage voitures : 34 pour 3 voitures et 65 pour 2 autres 
Météo : Frais au départ, ensuite grand soleil toute la journée 
Classement Atlas : moyenne 
Préparation et CR : 2 h 

ITINERAIRE :Départ du Cratère, pc 799, 825, 838, les Bruyères, pc1015, puy de Jume, descente en hp du pc 1119 au pc 981, pc 1009, montée hp du puy de Louchadière plein ouest, descente côté nord jusqu’à la D 943, puy de Tressous, puy de l’Espinasse par l’ancienne  carrière, puy de la Gouly, pc 849, traversée les Fayes jusqu’au col de la Nugère, descente côté est, retour au Cratère.    

 Objectif ambitieux pour cette rando de début d’année : ascension de six puys dans les Dômes au départ de Volvic. La météo nous a bien aidés avec un soleil généreux toute la journée, juste une petite fraîcheur au départ. Première difficulté, le puy de Jume, une sente côté sud est, nous a permis d’atteindre le sommet. C’est en hors piste que nous avons rejoint le bas du puy de Louchadière côté est, direction la carcasse d’un petit avion qui se trouve à une centaine de mètres sous le sommet. Ce 19 juin 1967, le pilote doit ramener  l’avion à Brive, la visibilité est mauvaise, il ne prend pas assez d’altitude et percute le volcan.Après quelques dizaines de mètres d’ascension, nous arrivons au sommet du Louchadière. Sa dernière éruption date de 38000 ans. Depuis son cratère égueulè, la lave s’est déversée jusqu’à Pontgibaud où elle a partiellement barré la Sioule. Le puy de Côme a terminé le travail 22000 après. Dans la descente, nous  apercevons les trois puys suivants : le puy de Tressous avec ses trois sommets, le puy d’Espinasse que nous avons atteint par une ancienne carrière et, pour finir, le puy de la Gouly, très pentu.Il ne reste plus que le puy de la Nugère, que nous avons abordé côté sud. Après un passage par le Cratère, retour aux voitures.  

   Merci à tous pour votre engagement et votre bonne humeur malgré les difficultés du jour, merci également à Jean-Michel qui nous a régalés avec son gâteau au chocolat.

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ANIMATRICE :   Christelle
NOMBRE PERSONNES :  18 personnes      14 F  4 H
METEO :   Quelques brumes et froid le matin , soleil et  relative douceur ensuite
TERRAIN :   Quelques passages gras  ou gelés
DISTANCE :   21 km                                 
DENIVELE :  630 m
DUREE : 7 h pauses incluses
CLASSEMENT : Facile
KM AUTO :  225 km pour  3 voitures, 196 km pour 1 voiture
PREPARATION ET REDACTION :   2 heures

ITINERAIRE : Départ pont du viaduc de Garabit, direction sud par le GRP, Chambaron, Valadour, traversée dela Truyère, Chaliers, direction Nord, Lachamp, la Baraque, traversée à gué du ruisseau de la Roche, HP à hauteur des Través jusqu’aux étangs où l’on reprend le GR4, pont sur l’autoroute, Signalauze, Beauregard, retour voitures.

Conditions idéales pour cette journée dans le Cantal même si la froidure matinale nous a saisi à la sortie des voitures !!  garés au pied du viaduc de Garabit nous avons quand même pris le temps d’admirer  ce géant de métal  rouge – 564 mètres de long , 122 m de hauteur- construit  par le célèbre Gustave Eiffel et inauguré en 1888.

Puis nous entamons  un joli cheminement au travers de la campagne blanchie par le givre pour rejoindre la Truyère, ses belles falaises escarpées et la traverser  par la surprenante passerelle de Valadour installée en 1960. Elle permet de rejoindre le joli village de Chaliers, perché sur son éperon rocheux. Du haut du village on profite de la pause pique-nique et d’une belle vue sur la Truyère et les monts du Cantal enneigés .

Chaliers et le château de Corbières  fûrent  le théatre d’un long siège pendant la guerre de 100 ans et c’est le célèbre Duguesclin qui vînt les délivrer… mais en paya lourdement les conséquences car il meurt quelques jours  après y avoir consommé de l’eau qui lui donna une dysenterie incurable. Comme l’expliquait Pierre, le retour du corps vers sa terre natale bretonne sera épique et unique en son genre ( vous pouvez trouver les détails sur internet) !!

Vient ensuite pour nous l’heure non pas de boire mais de faire trempette ! le ruisseau de la Roche étant bien alimenté nous devons déchausser pour profiter d’une  très vivifiante traversée !  l’eau devait être à 6 degrés environ… excellent pour stimuler  la circulation !!!

On se réchauffe vite et on repart pour une portion hors-piste imprévue car le GRP a été déplacé et le chemin finît par se perdre dans les bois, pas de soucis pour les dynamiques atlassiens et nous retrouverons vite le parcours officiel qui nous ramène vers le viaduc que  plusieurs personnes n’avaient jamais vu d’aussi près !

Tout étant fermé, cette sympathique journée se termine sans pause boisson mais nous repartons revigorés et de beaux souvenirs en tête !! Merci à tous pour votre  participation ainsi que pour les gourmandises !

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Animatrice : Mady
Nombre de participants : 28 animatrice comprise (14F, 14H)
Météo : ciel bleu avec quelques nuages toute la journée, température douce
Distance : 21km
Dénivelé : 550m
Durée : 6h45 pauses comprises
Classement Atlas : facile
Kilométrage auto : 80kms pour 4 voitures de Clermont Fd, 86 kms pour 2 voitures du Crest.

ITINERAIRE : Gelles, contournement par l’est puis le sud de la Roche, le Montel, sommet du puy de Boucaud, Banson, Monges, Hyvon, Vareilles, Say, Cascade de Say, Gelles.

Pour ce premier jeudi de l’année 2020, beaucoup d’ingrédients étaient réunis pour passer une bonne journée : du temps clair et des températures très douces, le vent n’étant sensible que sur la place de l’église à Gelles, une rencontre avec la faune, 2 chevreuils nous ayant fait le plaisir de se positionner sur notre parcours, un paysage vallonné avec des points de vue remarquables une grande partie de la journée sur la chaîne des Puys et le Massif du Sancy sur lequel nous pu constater l’absence de neige, des points naturels tels le Puy de Boucaud avec une recherche infructueuse de la borne géodésique peut être cachée sous les multiples tas de branches et la cascade de Say bien en eau, ou patrimoniaux intéressants.

La commune de Gelles dispose de deux églises : l’église Saint-Georges dans le bourg, répertoriée dès 1165 et l’église Saint-Jean, du village de Monges, reconstruite entre 1840 et 1905 et succédant à une première église, datant de 1246 qui s’effondra en 1746. Le village de Monges dont le nom proviendrait d’un terme médieval signifiant religieuses a abrité un prieuré dépendant de l’abbaye de Port-Dieu en Corrèze (village de Port Dieu noyé lors de la mise en eau du barrage de Bort) ainsi qu’une école congréganiste des Soeurs du Coeur de l’Enfant Jésus, fermé en 1902. Aujourd’hui, l’église est un site intéressant pour ses vitraux et ses statues dont celle de saint Jean-Baptiste, ainsi que les statues de saint Abdon et saint Sennen, princes perses martyrisés en 250. Moins lumineuse, mais plus rustique l’église St Georges dégage une belle atmosphère.

Sans oublier, le hors piste non prévu mais rendu obligatoire par la disparition de chemins et le petit coup de folie de Jean Louis transformé en « monsieur Cetelem ». Tous ces bons moments complétés par les dégustations de pâtisserie ou confiseries bien appréciées, merci à toutes et tous.

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ANIMATEUR : Thierry
NOMBRE PERSONNES : 17 personnes animateur inclus  7F, 10H
METEO : Soleil et fraicheur
TERRAIN : Neige glacée au-dessus de 1400 m
DISTANCE : 24,7 km    DENIVELE :  1117 m (mon GPS)
DUREE :      8 heures
CLASSEMENT :     Difficile
KM AUTO : 106 km pour 2 voitures et 86 km pour 3 voitures (du Crest)
PREPARATION ET REDACTION ;     2h

ITINERAIRE : Chambon des Neiges- Vallée de Chaudefour, sentier de l’Audiouze vers les crêtes, en HP : plateau de la Durbize, col et Roc de Cuzeau, Col de la Croix St Robert – croix est du PC 1445 – remontée Nord vers Surains en suivant les courbes entre 1100 et 1200 puis  Surains, Intérioux, Bressouleille, vers Champsiaux, côte de Rouère, D996  à Chambon sur Lac, PR vers les Angles-La Caire, La Guièze, Croisement D636 puis retour point de départ par le sud 

 Temps idéal ce dimanche pour aller retrouver notre cher Sancy dans son coté Nord au départ de l’ancienne station de ski de Chambon des Neiges.

Echauffement matinal en suivant le joli chemin qui contourne le puy Jumel par l’est. Après être restés dans le vestibule de la vallée de Chaudefour pour admirer une fois de plus ce « petit miracle » auvergnat, nous avons pris la direction des crêtes par ce beau chemin qui fait des zig et des zag  dans une belle hétraie jusqu’à l’entrée du plateau (PC 1429).  Là le décor devient plus montagnard avec de belles pentes blanches de neige glacées. Le cheminement sur les pentes exigeantes menant au puy des Crebasses étant impossible sans équipement – raquette avec bon couteau ou crampons), j’ai décidé de couper le plateau de la Durbise en profitant des îlots de bruyère non recouverts et des pentes plus faibles pour remonter vers le col de Cuzeau. De là, nous avons pu observer un groupe de 7 chamois quittant,  à notre approche. leur abri rocheux sous le Cuzeau. Après être parvenus sans problème au sommet du Roc, toujours en jonglant pour assurer notre adhérence, nous somme redescendus tout schuss dans la bruyère en direction du col. Non sans quelques remords de fouler cette végétation qui s’était parée de merveilleux diamants de glace (voir photo). Après une pause pique-nique au soleil et confortable, dans la bruyère, nous avons amorcé la partie un peu difficile de la rando en remontant au nord vers Surains en suivant le bas des pentes est du massif Adventif. Cheminement dans des zones très humides avec de nombreux plis de terrain orientés W/E, des passages boisés, en coupant de nombreux ruisseau dont le plus important est la couze de Surains. Les randonneurs garderont un bon souvenir de cette progression un peu exigeante mais très « divertissante ». En suivant mon azimut N/NE, nous avons finalement regagné un point un poil plus élevé qui nous remettait sur des pentes recouvertes de genêts permettant une progression plus facile. La suite était beaucoup plus simple dès que nous avons retrouvé un chemin d’exploitation un peu avant Surains: Antérioux, Bréssouleille (« Beausoleil ?)  dont on a admiré l’implantation en balcon plein  sud.

Plus avant, du haut de la côte de Rouère, on ne pouvait que constater qu’il y avait encore du chemin et un peu de dénivelé pour regagner notre point de départ : on devinait au loin les nouveaux chalets construits au dessus des Monneaux ! Mais c’est dans la bonne humeur et une température qui baissait à vue d’oeil que nous sommes d’abord redescendus sur Chambon avant de remonter vers les Angles et la Guièze. A l’arrivée, un petit – 5° nous attendait dans une quasi obscurité. Et une petite fatigue, légitime après une journée pleine d’effort et d’air vivifiant. Seul petit regret: ne pas avoir pu gagner le col des Crebasses comme prévu initialement en raison de la glace (verre à demi vide) mais aussi un bon exemple d’adaptation du groupe aux difficultés du terrain (verre à moitié plein). 

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