Animateur : Fabien Nombre de participants : 6 (3F,3H) animateur compris Météo : Beau temps ensoleillé, léger vent bien agréable Distance : 23,5km Dénivelé : 700 m Durée : 7h10 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 180 km pour 1 voiture de Chateaugay et 120 km pour une voiture du Crest soit 300 km Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : Chareire, La Morangie, Fontaine Salée, Montagne Haute, Ouest du Puy de Paillaret, Col de la Geneste, Les Ages, Bois de Gayme, Picherande, Tinaire, Espinoux, la Bouérie
A nouveau la découverte d’un Horizons Sancy pour la randonnée du jour. Cette fois, c’était celle située au Pré Escudor. Il fallait donc trouver un circuit autour de ce lieu et un très bel endroit de notre région s’y prêtait parfaitement : la Fontaine Salée.
Nous partons à travers les bois en cheminant sur de larges pistes qui constituent, l’hiver venu, les pistes de ski de fond du domaine nordique de Picherande-Chareire. A partir de la Morangie, les chemins deviennent des sentiers plus escarpés longeant un cours d’eau qui se jette un peu plus bas dans la Trentraine. Après avoir cheminés plusieurs kilomètres dans les bois, nous en sortons et là, un magnifique paysage s’offre à nous : c’est la vallée de la Fontaine Salée. Nous en profitons pour faire une pause pour se rafraîchir, lire les panneaux explicatifs qui nous apprennent l’histoire de cette vallée mais aussi la raison de ce nom de Fontaine Salée. Nous prenons le temps d’observer ce joli paysage et de nommer tous ces Monts devant nos yeux. Nous prenons d’autant plus notre temps que pour certains, cet endroit est une découverte.
Fontaine Salée
Mais, il faut bien continuer notre cheminement et nous voilà repartis. Nous faisons le gros du dénivelé du jour qui nous mène jusqu’à la Montagne Haute en traversant nombre de troupeaux.
Nous longeons ensuite le Puy de Pailleret par l’ouest. Son large pierrier constituera une salle à manger de choix, le choix de siège est illimité ! La vue, entre lac Chauvet, Monts du Cantal, Massif du Sancy est superbe.
Une fois rassasiés, nous repartons pour une belle descente qui nous amène au col de la Geneste. De là, nous rejoignons le Pré Escudor et découvrons l’œuvre Horizons Sancy. Celle-ci, nommée l’Orgue aux abeilles, évoque, selon le panneau explicatif de l’artiste, les alvéoles des ruches des abeilles.
La suite de notre cheminement nous mène dans les bois de Gayme puis à Picherande d’où nous rejoignons Chareire en empruntant le GR 30. A Chareire, nous profitons d’être garés en face du gite d’étapes pour aller boire un coup rafraichissant après cette randonnée.
Animateur : Fabien Nombre de participants : 7 (5F,2H) animateur compris Météo : Couvert, quelques rares apparitions du soleil l’après midi Distance : 20km Dénivelé : 820m Durée : 7h pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 138 km pour 2 voitures soit 276 km Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : Saillant, Les Granges, Puy d’Eraigne, St Nectaire, Puy de Chateauneuf, Dolmen de la Pineyre, St Nectaire, Farges
La balade du jour avait été annoncée du côté de Picherande. Le trajet en voiture jusqu’à Besse s’est fait au sec. Puis, dans la montée de Super Besse, les premières gouttes de pluie apparaissent. On passe le col de la Geneste sous le brouillard et sous une pluie qui est beaucoup plus forte. Arrivés à Chareire qui était censé être le point de départ de la balade, nous attendons quelques minutes que la pluie se calme. Je mets ce temps à profit pour imaginer une solution de repli. Le but de la balade était de faire un Horizon Sancy. Ayant étudié le différent positionnement des œuvres lors de la préparation de la balade, je décide, si la pluie ne faiblit pas, de nous rabattre sur celle la plus bas en altitude, en l’occurrence celle située à Saillant. La pluie ne faiblissant pas, je propose ce plan B au groupe. A peine ai-je fini ma proposition qu’elle est déjà acceptée à l’unanimité !!
Nous voilà donc repartis pour Saillant. N’ayant rien tracé dans le secteur, je réfléchis durant le trajet aux différentes choses à voir dans le secteur : Puy d’Eraigne, St Nectaire, les grottes de Châteauneuf et bien entendu l’œuvre Horizons Sancy…
Arrivés à Saillant, nous voyons tout de suite l’œuvre Horizons Sancy puisqu’elle est située à côté du parking de départ. Il n’est que 10 heures mais elle est déjà très fréquentée, surement dû à sa proximité du parking.
Œuvre horizons Sancy
L’œuvre s’appelle “Ruine”. A la lecture du panneau explicatif, on apprend que l’artiste a utilisé “des matériaux plastiques pour souligner la dégradation de l’environnement par l’homme”. Cela laisse le groupe bien dubitatif…
Nous partons ensuite plein ouest le long de la Couze Chambon, et atteignons rapidement le village des Granges d’où nous contournons un peu le Puy d’Eraigne afin d’atteindre le chemin montant à son sommet. Nous progressons tranquillement sur un large chemin qui nous permet de belles vues sur la Massif du Sancy encore en partie dans la brume, ce qui nous conforte d’avoir changé les plans. Cette progression tranquille est l’occasion d’identifier les différents sommets du Sancy. Le chemin d’ascension au sommet du Puy trouvé, nous l’empruntons. Il monte fortement sur les derniers mètres mais nous atteignons ce sommet, peu souvent parcouru par Atlas et donc une première pour certains. J’avais prévu de redescendre par le même chemin, le seul sur la carte. Mais un autre chemin est présent sur le terrain. Il part plein est. C’est la direction à suivre. La balade du jour étant un peu “à l’instinct” nous décidons de l’emprunter et nous verrons où il nous mène. Nous rejoignons un large chemin. C’est l’occasion de faire participer le groupe pour nous situer sur la carte et ainsi continuer la balade dans la bonne direction.
Nous arrivons à St Nectaire où règne un bruit de moteur inhabituel ; bruit et croisement de 4*4 qui nous accompagneront d’ailleurs une bonne partie de l’après-midi. Après recherches, il y avait ce week-end à St Nectaire Landrauvergne 2023, le plus grand rassemblement Land Rover de France, dixit l’organisateur.
Nous arrivons quelques minutes trop tard à St Nectaire. Le marché qui a eu lieu le matin autour de l’Eglise remballe et nous ne pouvons malheureusement pas acheter de bons produits locaux pour notre casse-croûte. Par contre, la porte de l’Eglise, souvent fermée, est grande ouverte et nous en profitons pour la visiter. C’est une première pour certains qui ressortent ravis de cette visite imprévue.
Après s’être restaurés à la sortie de Saint Nectaire, direction les grottes de Châteauneuf et le Puy du même nom. Nous montons tranquillement en observant la jolie vue sur St Nectaire.
Depuis les grottes, la vue est tout aussi jolie, sur le Sancy notamment qui est maintenant dégagé.
Direction ensuite vers une autre curiosité dans le coin : le dolmen de la Pineyre.
Je pensais le faire en aller-retour, compte tenu que sur la carte, le chemin s’arrêtait au dolmen. Mais là encore, un chemin est présent sur le terrain et vu qu’il part plein est dans la direction voulu, comme au Puy d’Eraigne, nous décidons de partir à l’aventure ! Mais au fur et à mesure de la progression, je vois que nous allons en direction de St Nectaire et effectivement une reprise d’azimut me confirme que nous avons changé de cap. Qu’à cela ne tienne, nous sommes aujourd’hui à l’aventure et nous continuons notre progression qui nous ramène effectivement à St Nectaire où, vu l’heure qui avance, je décide de rejoindre notre point de départ en allant d’abord plein est jusqu’à Farges puis plein sud jusqu’à Saillant.
Un peu de stress pour l’animateur de devoir animer sans tracé. Mais tout cela s’est finalement fait tranquillement, en consultant très régulièrement la carte. Le groupe a beaucoup participé et a eu l’air d’apprécier cette randonnée “au feeling” constamment adaptée au fur et à mesure de la progression et des différentes choses à voir dans le secteur. Merci à tous pour votre participation.
Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Chaque semaine les informations sur l’activité sont enregistrées sur le répondeur dédié 0473257706. le lundi pour le lundi soir et le mardi soir et le vendredi pour le samedi matin.
En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18 h 30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h.
Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement ou au Parc de Montjuzet, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres. Statistiques du 1 mai au 30 juin2023.
Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi : 6 Mardi : 9 Nombre de séances annulées : 0
Nombre de participants Lundi : 67 dont 41 femmes et 26 hommes Mardi : 56 dont 27 femmes et 29 hommes Total : 123 dont 68femmes et 55 hommes Animateurs : Mady, Christian, Michel J,
Les samedis Nombre de samedis : 6 Nombre de séances annulées : 1
Allure Modérée : 6 Soutenue : 0
Nombre de participants : 33 dont 18 femmes et 15 hommes Animateurs : Mady, Christian, Sébastien
Animateur : Georges Nombre de participants :15 ( 11F et 4H ) Distance : 19 km Dénivelé : 500 m Météo : soleil le matin et nuageux l’après-midi Durée : 5 h 30 Kilométrage voitures : 120 km pour 2 voitures et 80 pour 2 autres soit 400 km Classement Atlas : facile Préparation et CR : 2 h
ITINERAIRE
Départ de Vernet la Varenne, le Vernadet, GRP de pays des rives de l’Allier aux portes du Livradois, Champagnat le Jeune, Pégut, la Bessiere, le Mas, Esbelin, Paulet, retour à Vernet la Varenne. C’est au Vernet la Varenne que nous débutons notre rando aujourd’hui. Charmant petit village qui a la particularité de posséder des filons d’améthyste dont l’exploitation a été interrompue en 1974. Depuis 2009, un jeune couple a repris l’exploitation de façon artisanale et en grande partie manuelle. Direction le sud, après la sortie du village nous empruntons le GRP des rives de l’Allier aux portes du Livradois. Nous traversons une forêt dont une partie a été déboisée, de magnifiques parterres de digitales s’offrent à nous.
Après un passage par Champagnat le Jeune, nous arrivons dans la vallée de Pégut, nous traversons le ruisseau pour arriver au petit village du même nom, il semble abandonné, les maisons sont en ruines. Nous espérons trouver l’entrée de la mine ! pas de trace. Après le pique-nique pris dans le camping de Bellevue ouvert mais pas de vacanciers et encore moins de personnel, nous nous dirigeons vers le château de la Reynerie invisible à travers la forêt.
Un petit détour au village du Mas pour voir le château de Chéry mais nous n’apercevons qu’une tour.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 5 animateur compris (2F, 3H) Météo : Soleil radieux Distance : 25,4 km (montre altimétrique de Pascal) Dénivelée : 1330 m (montre altimétrique de Pascal) Durée : 9h10 pauses comprises Classement Atlas : Difficile Kilométrage auto : 254 km pour une voiture de Montferrand Préparation et rédaction : 2 H
Itinéraire : Récusset- les Sipières – GR400 – le Violental – hors GR : sommet du puy Violent – toute la crête SE puis E jusqu’à brèche d’Enfloquet – Roc des Ombres – Roc d’Hozières – sous Roche Taillade – GR400 vers col de Redondet – Puy Chavaroche – retour vers Roc des Ombres – N/NW à travers Impramau – Bois d’Impramau – W par GR400 vers intersection avec sentier de découverte puis NW en HP jusqu’à Récusset.
J’ai modifié le parcours de la rando à partir du Puy Violent pour rester sur les crêtes jusqu’au Roc d’Hozières. Mon tracé initial me faisait suivre le GR 400 jusqu’aux Bois Noir et au-delà vers le col de Redondet. Mais l’envie du groupe et la belle météo m’ont fait modifier mon itinéraire. Va donc pour les crêtes et au-delà du col de Redondet vers Chavaroche. Le groupe est prévenu que cela va allonger la rando et augmenter la dénivelée. Les chiffres à l’arrivé seront là pour le prouver et modifieront le classement en Difficile. Les participants du jour ne s’en sont pas plaints si je me fie à l’expression de leur satisfaction en fin de rando à 18h45.
Dés le départ, le chemin s’élève au SE pour nous faire sortir du cirque glaciaire de Récusset qui dessine une petite vallée parallèle à la grande vallée du Falgoux juste au-dessus, plus au nord. Nous traversons quelques ruisseaux et des estives avant de retrouver la piste du GR 400 qui nous mène à la belle demeure des Sipières. La piste continue sans dénivelée jusqu’à proximité du Violental et du buron du même nom parfaitement rénové par une association locale,
Buron de Violental
coopérative de la transhumance comme elle se plait à le communiquer tout au long du sentier d’interprétation que nous avons suivi jusqu’au GR. La COPTASA organise ainsi la montée à l’estive de près de 4000 bovins. Créée dans les années 60 par un groupe d’éleveurs, la coopérative est constituée de deux unités pastorales (sur le Cézallier et l’unité de Récusset) et elle a contribué au maintien de nombreuses exploitations. A l’occasion d’une pause au buron, nous nous extasions devant la technique utilisée pour le mode de fixation des lauzes sur la charpente : les lauzes sont fixées par de longs clous…
Le GR s’élève rapidement au Sud puis à l’Est vers le pied du puy Violent. Nous ne nous faisons pas prier pour gravir les 80 m qui nous mènent au sommet.
Sommet du Puy Violent
Nous sommes sur un point haut emblématique de l’histoire des Mesures et du Système Métrique créé sous la Révolution Française par un groupe de savants (des astronomes) animé par Lavoisier. Deux d’entre-eux, Delambre et Méchain sont chargés de mesurer la longueur de l’arc terrestre sur le méridien passant par Dunkerque et Barcelone et accessoirement par le puy Violent comme il passe également par Meymac en Corrèze pour parler des lieux qui nous sont les plus proches. A partir de la méthode de la triangulation (relevé d’angles à partir de points hauts) ils arriveront à calculer cette longueur qui servira à établir l’unité universelle de la longueur, le mètre. Unité qui n’existait pas sous l’Ancien Régime et que tous les pays du monde ont adoptée depuis (à l’exception du Libéria, du Myanmar et des États-Unis). Une belle vidéo de 50 minutes vous raconte cette formidable épopée scientifique et humaine : https://www.dailymotion.com/video/x4xhjek . La méthode pour parvenir à établir la longueur du « mètre-étalon » changera 4 fois dans l’histoire. Dans les années 80 et avec les apports de la physique quantique, la définition du mètre découle de la longueur du trajet parcouru par la lumière, dans le vide, pendant une durée de 1/299 792 458 seconde.
Après la descente du puy Violent, le chemin de crête se propose naturellement à nous… Pendant le repas pris un peu plus haut, je propose de suivre les crêtes plutôt que d’emprunter le GR et les pistes qui traversent les Bois Noirs à nos pieds. Pour ma part, je vais découvrir et escalader les sommets bien connus du Volcan Cantalien : roc des Ombres, roc d’Hozières, Roche Taillade. Avant ces ascensions, il reste à passer la brèche d’Enfloquet par une petite désescalade de 6-7 m environ.
Brèche d’Enfloquet
Rapidement nous retrouvons le fil de la crête pour monter au sommet du roc des Ombres qui nous donne un magnifique point de vue sur la grande estive d’Impramau et au-delà sur la vallée et le cirque du Falgoux.
Vue au sud vers le Roc d’Hozières et Roche-Taillade
Prochaine étape après une courte descente, c’est le Roc d’Hozières que Pascal, Jacques et moi entamons au NW en hors piste pendant qu’Anne et Martine y accèdent par les sentiers ad hoc plus au sud. Nous nous retrouvons juste pour gravir les 20 m restants. Pause au sommet pour jouir du 360°. Vallée de la Frau à l’W, vallée de Falgoux au NW, on a la vue sur deux des vallées rayonnantes du Volcan. Puisque l’appétit vient en mangeant, le puy Chavaroche que j’identifie facilement ne parait plus très loin (en fait 4,3 km) et il ferait une bonne conclusion à notre périple plutôt que le col du Redondet comme prévu initialement. Nous suivons donc la sente qui passe sous Roche-Taillade jusqu’au col et ensuite jusqu’au puy de Chavaroche. De là c’est tout l’est et le sud du Volcan qui se dévoilent.
Puy de Chavaroche
Du puy de la Tourte au Plomb en passant par le puy Mary, le Peyre-Arse, le col de Cabre, le puy de Bataillouse et les Griou / Griounou. La vallée de Mandailles est à nos pieds. Nous voyons la longue file de voitures garées le long de la route qui monte au Pas de Peyrol. Les marches du puy Mary doivent chauffer 😊. On est seul au monde à cet instant ! Mais le temps file vite et il nous faut revenir vers le roc des Ombres par le même chemin qu’à l’aller soient 8,6 km parcourus en un peu plus de 2 heures. Nous voyons le Roc d’Hozières sous un autre angle : c’est un immense monolithe qui plonge dans le cirque du Falgoux et qui offre à notre vue ses parois longues et rebondies. Du Roc des Ombres, une longue piste en partie effacée traverse au Nord toute l’estive d’Impramau où broute un troupeau de plus de 100 bovins. Que des mères avec leur petit. Nous rejoignons tout au bout le GR 400 qui part en direction du puy Violent. Nous le quittons assez vite, à tort, ce qui nous oblige à un long hors-piste au NW à travers des prairies d’herbes hautes et souvent très humides.
Récusset est finalement atteint après un dernier franchissement de clôture. L’auberge toute proche est un vrai réconfort après ces plus de 9 h de rando. Le soleil aura été ardent toute la journée mais la légère brise soufflant sur les crêtes l’aura rendu supportable. Merci à Pascal pour ses belles photos.
Animateur : Michel J. Terrain : souple, agréable Météo : ciel bleu, température douce plus chaude vers la fin du parcours Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : une paire de bâtons de 1,10 m Kilométrage : 2 voitures en co-voiturage au départ de Clermont (2 + 2 personnes), 3 voitures sur place soit un total général de 175 km
Nombre de participants : 7 animateur compris (1F, 6H) Distance : 23 km ; moyenne 6,7 km/h, dénivelée 312 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 3 h 23 (de marche) et 3 h 41 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking des camping-cars de Paugnat, Sud du Puy de Verrières, chemin à l’Est de Grelière et de Lambertèche, GR441 jusqu’à l’entrée de Le Bouchet, Ouest du Puy de Louchadière, Bois des Fayes, Bois Latia, Nord Puy Desmaret, Ouest Puy de Paugnat. Observations : l’objectif de la sortie à 6,6 km/h a été atteint par un groupe homogène et très dynamique. Remarques : le départ sur place à 07 h 00, nous a permis de profiter de la fraicheur sur une bonne partie de l’itinéraire.
Animateur : Liliane Nombre de participants : 12, animateur compris ( 6 F, 6 H) Météo : températures agréables. Nuageux avec quelques rayons de soleil le matin. Pluie en tout début d’après-midi. Terrain : Premier chemin sur terrain sec. Sentes empruntées peu dégagées (herbes et ronces humides) Distance : 21 kms Dénivelé : 760 m Durée : 6 h 45 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 88 X 1 et 120 X 2 soit 328 kms. 2 voitures de 3 personnes, 1 voiture de 4 personnes, 2 voitures sur place. Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Châteauneuf les Bains, Grandval par PC 451, le Mas, le Prat par PC 695 et 707, le Bouchet par PC 706, Murat, Barrage de Queuille, le Bas de Lacot, PC 417, Pont de Chambon, point de départ par le château, la chapelle et la passerelle.
Aller admirer le méandre de Queuille d’un autre point de vue que du Belvédère de Queuille : c’est le but de notre randonnée du jour.
Nous partons donc de Châteauneuf les Bains avec mon petit groupe très motivé. Tant mieux parce que dès le départ nous entamons une belle montée de 250 m de dénivelé. Bonne mise en jambe ! Nous continuons notre progression par un chemin tout d’abord dégagé, qui nous laisse découvrir le paysage de ce magnifique coin des Combrailles traversé par la Sioule. Nous le quittons pour une belle sente en sous-bois sûrement peu empruntée, car assez encombrée de hautes herbes et de ronces. Nous descendons jusqu’au bout de la presqu’île de Murat enlacée pas le méandre de Queuille. Magnifique !
Nous rebroussons chemin pour bifurquer à droite sur une sente en balcon, direction le barrage de Queuille. En chemin de nombreux points de vue sur la Sioule et son méandre s’offrent à nous.
Nous profitons d’ailleurs d’un endroit très agréable sur des rochers pour notre pause déjeuner. Avec vue superbe : un délice pour les yeux !
Mais la pluie nous invite rapidement à reprendre notre périple. Cela n’atteint pas notre bonne humeur et nous repartons d’un pas rapide pour braver la pluie et les hautes herbes mouillées. La pluie cesse enfin et nous laisse mieux apprécier ce beau sentier qui longe la Sioule. Arrivés à Châteauneuf les Bains et avant de regagner nos voitures, stop au château et à la chapelle St Valentin.
Chapelle Saint Valentin
Nous clôturons cette belle journée partagée avec un délicieux gâteau et le verre de l’amitié.
Animateur : Yves Nombre de participants : 10 animateur compris ( 4 F, 6 H) Météo : Ensoleillé et orageux Distance : 20 km Dénivelé : 800 m Durée : 8 H 10 Classement Atlas : Moyenne en raison de passage de pierriers Kilométrage auto : 80 km pour 2 véhicules soit : 160 km Préparation, rédaction, et reconnaissance : 4 H
ITINERAIRE : St Jean des Ollières, le Theil, la Cruche, la Plagne, la Garde, Pic de la Garde, Le Mas du Bost, Coudeloup, PC705, PC652, Les Chattes, St Jean.
Randonnée d’entrainement pour les participants au séjour de Belledonne, Départ de St Jean des Ollières, avec trois gouttes pendant la traversée du bourg. Direction la cascade de la Cruche où coule un filet d’eau. Premier obstacle, nous l’escaladons sur la droite en enjambant rochers et arbres couchés, les pierres sont très glissantes car humides par endroits et recouvertes de mousse. Tout le monde est attentif et se retrouve au sommet sans un pied dans l’eau, bravo ! Le parcours se continue par une sente tortueuse en sous bois jusqu’à la Plagne, où un beau sentier nous mènera à la Garde. Nous arrivons côté haut du Pic de la Garde, dominé par une vierge d’un blanc immaculé baignée par le soleil. Une table d’orientation de 1955 très bien conservée et très détaillée nous aide à nous repérer.
Vierge du Pic de la Garde
Deuxième épreuve, descente et remontée du rocher et du pierrier. Certains restent dubitatifs, mais tous me suivent avec plus ou moins d’appréhension.
Sommet Pic de la Garde
Rocher passé ! au pierrier maintenant. Cahin-caha la descente se fait tranquillement avec prudence. les consignes ont été respectées, bâtons dans le sac, vigilance avec les pierres qui basculent. Ouf ! on est tous en bas.
Pierrier Pic de la Garde
Petite pause boisson, il commence à faire très chaud. Tout le monde regarde là haut, il faut remonter maintenant. La montée sera plus aisée, on peut s’aider avec ses mains, la vision du vide disparait. Chacun à son rythme rejoint la vierge, les plus rapides ont pris les photos. Après l’effort le réconfort, pause pique-nique à l’ombre. Remis de nos efforts, assouvis et désaltérés nous descendons par une petite sente dans le bois. De beaux chemins, et une petite route nous mènent au Mas du Bost sous une chaleur accablante et orageuse à la fois. A partir de là on traverse à nouveau la forêt sur des chemins humides, caillouteux, et herbeux pour arriver à notre troisième défi de la journée le Courdeloup. Petite traversée entre végétation luxuriante et roches moussues avant d’atteindre le pied de cette étendue d’orgues basaltiques brisées.
LeCourdeloup
La pente est plus raide que ce matin, les premiers s’élancent les autres suivent avec plus ou moins d’aisance et de facilité, on cherche l’ombre la chaleur est accablante.
Sommet atteint, c’est un paysage lunaire, gris et chaotique qui s’étale à nos pieds.
Il est 16 heures le petit café de Didier est le bienvenu. Quelques mètres et nous trouvons la sente qui bascule de l’autre côté. Les premiers grondements de tonnerre se font entendre et le ciel se noircit. Au pied nous retrouvons de grands chemins, le pas s’accélère, tous ont repéré le clocher de St jean. Tantôt noir à droite, noir à gauche, noir derrière, le tout dans un roulement incessant. Les vaches ont senti l’orage elles se blottissent sous les arbres. Il passera tout proche mais nous resterons secs. Une fois arrivés nous aurons même le temps de savourer et d’apprécier le fameux gâteau à la crème de marron de Liliane, merci Liliane.
Animatrice : Christelle Nombre personnes : 15 P 8H 7 F Météo : Ciel Bien ensoleillé, plus couvert et atmosphère lourde l’après midi Terrain : plutôt sec, quelques grosses flaques Distance : 21 km Dénivelé : 660 D+ Durée : 7 h10 Classement : Facile Kilométrage auto : 250 km X 2 ; 280 km X 1 soit 780 km Préparation et rédaction : 2 heures
ITINERAIRE : Arzenc d’Apcher, Courbepeyre, le Mazel, Saint Juéry, direction nord PC 944, PC 1019, Bec de l’aigle, sentier des Espagnols, usine hydroélectrique du Vergne, les Pleignes, Arzenc.
Au programme de ce jeudi une escapade un peu lointaine…destination la Lozère ! Ce secteur mérite vraiment qu’on fasse de temps en temps quelques kilomètres supplémentaires !
Les étapes phares de cette journée :
Départ d’Arzenc d’Apcher : Au sud du barrage de Grandval, ce petit hameau est perdu au bout d’une route de campagne. Il est perché au sommet des falaises dominant les gorges du Bès. On y trouve les ruines d’une haute tour isolée, partie d’un château qui s’est effondré il y a fort longtemps ainsi qu’une jolie église et quelques belles bâtisses en granit. Beau panorama sur les gorges.
Panorama sur les falaises du Bès
Saint Juéry : commune de 700 âmes, on y retrouve le Bès qui serpente plutôt tranquillement entre les belles maisons typiques du coin. La charmante petite chapelle Notre Dame genre « maison de poupée » dite « chapelletto » veille sur le reste du village du haut de son avancée surplombant la rivière. Plus loin, nous sommes surpris par la belle architecture originale de l’église Saint Maurice : absence de chapelles rayonnantes et d’un transept saillant et surtout un plafond entièrement décoré de lambris en chêne reliant la nef au chœur dans une même continuité du sol au plafond ! Etonnant !
église de Saint Juery
Il est relativement tôt mais les bords du Bès, le joli pont l’enjambant et les rives bien accueillantes nous invitent à profiter d’une agréable pause pique-nique !
Pique nique au bord du Bès
Sortis de Saint Juéry nous cheminons à travers prés avant d’entamer une bonne descente vers le Bès et ses gorges, vedettes de cette journée. Comme l’on dit certains on ne s’attend pas à trouver des falaises aussi hautes ! et notre paisible rivière vue à Saint Juéry devient ici tumultueuse et serpente à grand bruit entre d’énormes blocs.
Les gorges à hauteur du Bec de l’Aigle
Nous tentons d’approcher le plus possible de l’eau mais le niveau est encore haut augmenté par les fortes pluies des derniers jours et nous ressortons donc des profondeurs des gorges pour rejoindre le sentier en balcon qui permet de savourer ce grandiose paysage ! Il faut être vigilant, bien regarder où l’on pose les pieds car la sente est étroite et peu protégée du vide par moments. On y trouve d’ailleurs plusieurs spots d’escalade. Un énorme bloc nous tend les bras, quelques-uns d’entre nous grimpent au sommet, la vue est splendide !
Le grand rocher et sa terrasse (accessible avec câbles et échelons)
On peut également voir des entrées d’anciennes mines d’uranium.
Entrée des mines
Ce sentier est appelé « sentier des Espagnols » car à la fin de la première guerre mondiale, les prisonniers de guerre creusèrent la conduite d’eau souterraine qui amène les eaux du Bès du barrage de Valiette à l’aplomb de la petite centrale du Vergne à côté de laquelle nous passons.
Une bonne grimpette nous ramène sur le haut du joli plateau encore bien fleuri
Flore estivale
et c’est le retour vers les voitures avec encore de belles vues sur les falaises et la tour d’Arzenc. Arrivés à Arzenc, le départ se fait précipitamment car nous sommes vite « bousculés » par une grosse averse ! Merci à tous et bon début d’été !
Nombre de participants : 5 animateur compris (2F, 3H) Météo : ciel bleu, température douce, légère brise en début d’après-midi Durée : 4 h 00 (deux parcours) en comptant le déplacement à pied pour revenir à la voiture Kilométrage auto : 1 voiture de Clermont Fd (270 km) en co-voiturage. Matériel mis à disposition : tout l’équipement pour la pratique d’une via-ferrata Préparation du matériel et rédaction : 2 h 00
En arrière plan, la Truyère et le Malzieu
La météo joue un rôle primordial pour l’activité et aujourd’hui les conditions sont réunies pour faire une belle sortie. Le groupe est homogène et seul un petit nouveau qui va vite se familiariser et maitriser le parcours sur rocher. Il est vrai que son activité professionnelle passée lui demandait une grande sécurité perchée à plusieurs dizaines de mètres du sol.
Bonne progression d’ensemble ce qui a permis de faire lors du premier passage à trois participants, l’intégralité de la difficile, les deux autres shuntant les surplombs. Au cours du deuxième parcours après le pique-nique, nous avons mis de côté la zone des surplombs. Marie Thè affaiblie par un gros rhume n’a pas pas participé au deuxième parcours, préférant aller visiter le vieux Malzieu.
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