Dim 02/08/2020 Haute Loire Les gorges de l’Allier

Animateur : Yves
Nombre de participants :  13 animateur compris ( 9 F, 4 H)
Météo : Gris et couvert le matin, éclaircies l’après midi, beau soleil en fin de journée. 
Distance : 25 Km 
Dénivelé : 780 Mètres
Durée :7 H 30 mn pauses comprises
Classement Atlas : Facile

 

ITINERAIRE : Villeneuve d’Allier, Rougéac, La Rochette, Condros, Auzat, Blassac, Les Blanches, Le Colombier, Lavoûte Chilhac, Les Plognes, Le Chambon, Les Rives, Escombelle, Les Hommer, Chazieux, Terraye, St. Marcel, St. Ilpize, Villeneuve.

Le temps est gris, la journée ne s’annonce pas sous de bons auspices en quittant Villeneuve d’Allier ce matin, pourtant appelé le petit Nice d’Auvergne dû à ses 2200 heures de soleil par an. Nous attaquons d’emblée la montée vers le château de La Rochette, magnifiquement restauré et bien entretenu. Légère descente sur Condros, où un autochtone bien du cru nous accueille avec un  » Alors ça marche « , rires des participants. Passage du ruisseau d’Arcon et remontée dans le bois de la Crouzette avant de déboucher sur un coteau Sud, Sud-Est où la vigne était reine avant le phylloxéra. Sur notre droite des ceps gaillards nous présentent leurs grappes déjà bien charnues, vigne travaillée par un chantier de réinsertion. 

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Nous sommes à Auzat, nous nous rapprochons de l’Allier, mais à la sortie du bourg, nous sommes obligés de nous élever un peu car la rivière longe une barre rocheuse à cet endroit. Nous arrivons au village de Blassac, implanté sur une coulée basaltique issue du Pié Rouge, volcan voisin. L’église St. Roch nous dévoilera ses peintures murales réalisées au cours des siècles. Passage sur les contreforts du Pié Rouge, sur le chemin les morceaux de pouzzolane rouge brique confirment le nom donné à ce Pié.

Nous commençons à apercevoir les toitures et le Prieuré Clunisien de Lavoûte Chilhac ceinturé par l’Allier. Malgré un ciel un peu gris la température fut agréable pour cette première moitié de parcours. Le temps se couvre, les nuages deviennent menaçants. Après avoir traversé l’Allier sur le pont en pierre à deux fois deux arches du 15°S classé aux monuments historiques, nous décidons de pique-niquer à proximité de l’eau mais proche des habitations au cas où. Face à nous les maisons hautes voire très hautes, bâties ainsi à cause des crues, les trois ou quatre premiers niveaux étant susceptibles d’être inondés. Nous ne pouvions repartir sans avoir pénétré dans l’enceinte de ce prieuré construit en 1025 et avoir observé les imposants vitraux de l’abbatiale.

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Nous repartons rive droite au plus près de la rivière, car sur cette rive les barres rocheuses sont moins présentes. Tout au long de la descente nous serons accompagnés par des canoéistes aux cris parfois stridents lors de passage de zones plus rapides ou tourmentées. Les belles éclaircies de l’après midi laisseront la place à un soleil mirifique en fin de journée. Arrivés au Chambon nous gagnerons la berge et ses galets lisses et arrondis. Passé la barre des Rives sur le PR et un petit hors piste à l’Escombelle nous regagnons la berge jusqu’à Chazieux où, de nouveau, nous abandonnerons notre fil rouge du jour pour rejoindre, en hors piste encore et en zig zag entre de petites barres, le cimetière et le château de St.Ilpize. Château et chapelle du 11°S occupé pendant plus de 150 ans par les Dauphins d’Auvergne. Flânerie dans ce petit village aux maisons brillamment rénovées avant de retraverser l’Allier sur le pont suspendu de 1879, un des plus anciens d’Auvergne, pour retrouver notre point de départ.

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Jeu 30/07/2020 Haute Loire Fix St Geneys

Animateur : Yves
Nombre de participants :  9 animateur compris ( 5 F, 4 H)
Météo : Ensoleillé, très chaud et orageux en fin de journée.
Distance : 25 Km 
Dénivelé : 750 Mètres
Durée : 7H 50mn pauses comprises
Classement Atlas : Facile

ITINERAIRE : Fix Saint Geneys, Vernassal, Razonnet, Moulis, Serres, le Pinet, Mont Bar, Allègre, Chadudias, Fix St Geneys

Départ de : Fix St Geneys, frontière géographique entre Auvergne et Velay. La température est déjà élevée, plein Est dans les bois pour gagner Vernassal. Compte tenu de la journée annoncée, plus de la moitié du parcours serait protégée par la foret. Slalom entre les sucs de Montiel, Gesnest, Moulis. De Moulis à Serre, le chemin mériterait un entretien car il se perd au milieu de grandes herbes un peu jaunâtres en ce moment.
Serres, nous sommes à découvert, la chaleur commence à nous plomber. A proximité du château de Courbière, sur une petite butte, un joli pré avec de l’ombre nous tend les bras, une légère brise nous caresse le visage : endroit idéal pour la pause méridienne. 

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Le Mont Bar est devant nous, nous aurions dû le gravir avant de manger mais il fallait prendre des forces. Les 250m de dénivelé seront parcourus en grande partie à l’ombre, heureusement. Nous sommes en haut de ce volcan Strombolien qui se caractérise par une tourbière en son cratère, phénomène unique en Europe. Jusqu’en 1821, le cratère était occupé par un lac mais les habitants, suite à différentes malédictions, ont creusé des drains pour assécher le lac. J’avais eu connaissance que sur le point haut, existait une tour construite en 1903 qui servait à élever l’axe optique d’un théodolite, appareil permettant de mesurer les angles, utilisé par les services cartographiques des Armées pour réaliser les cartes d’état major. Aucune indication ne nous informe sur l’existence de cette tour, ni sur les cartes, ni sur le terrain. Nous ne voulions pas redescendre sans l’avoir découverte, c’est ce que nous avons fait : un peu de flair et de hors piste nous ont amené à son pied. Nous continuons sur le versant Nord où la vue, à l’horizon est remarquable, de Pierre sur Haute au Mont Mézenc.

Descente sur Allègre, le robinet d’eau froide de l’office de Tourisme a été le bienvenu pour refaire le plein. Montée au Château bâti entre 1393 et 1435, ravagé par le feu en 1698, vendu en 1756, dépecé par les habitants du village et raviné par les intempéries. Le mur qui reliait 2 demi tours s’est écroulé en laissant un vide tel un portail géant dénommé la Potence.  Avec la petite tour de la salle des Gardes, ils représentent aujourd’hui les seuls vestiges encore visibles du château. Dans le village, des tours restaurées soulignent l’existence de l’enceinte, les nombreuses échoppes fermées depuis quelques années montrent qu’en son temps, l’activité commerciale devait être florissante et animée.

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Le ciel commence à s’assombrir. Il nous reste 8km, nous activons le pas. Passage à proximité de la carrière de Ringue, en pleine activité où nous apercevrons les orgues basaltiques d’un cratère volcanique qui, malheureusement finiront par disparaitre sous la pression des engins. Le tonnerre et les éclairs sont au dessus de nous, à droite et à gauche. Le grondement, la lourdeur et la moiteur de l’air nous accompagneront jusqu’à l’arrivée. Le pas se fait encore plus pressant. Un bon GR, tout en montée par contre, nous conduira aux voitures. Arrivés à Fix, on voit que l’orage est passé, le sol est bien mouillé, derrière nous il nous semble qu’il pleut sur Allègre. Nous aurons, par un gymkhana , esquivé les différentes averses, nous n’avons pas pris une goutte. Les participants me diront que le parcours avait été « réfléchi et bien tracé !!! »
Nous aurions apprécié un bon rafraichissement mais le bar était fermé. Nous nous sommes donc rabattus sur le magasin de salaisons réputé, pour rapporter saucissons, jambons et autres charcuterie.

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Dim 26/07/2020 Cantal Entre Claux et Impradine

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 5 animateur compris (3F, 2H)
Météo : Bouché le matin sur les crêtes et ensoleillé l’après-midi.
Distance : 25,65 km(mon GPS)
Dénivelé : 1085 m (mon GPS)
Durée : 8h10 pauses comprises
Classement Atlas : moyenne
Kilométrage auto : transport en covoiturage avec 1 voiture de Clermont pour 240 km

Itinéraire: Dienne, croix du Gendarme, sentier des Quirous vers Cheylade, intersection GR 4 , puy de Niermont, col de Serre, cascade de l’Impradine, la Courbatière, la Chapelle, Drils, sommet de l’Embec, Dienne

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C’est un tout petit groupe – dommage – d’Atlassiens qui est allé visité ce petit morceau du Coeur Cantal à partir de Dienne ce dimanche. Le départ nous met déjà en appétit -au sens propre- puisque sur la place de l’église où nous sommes garés se trouve une toute neuve boulangerie de village (elle existe depuis un an) qui fait du vrai bon pain (de campagne ou seigle ou un pain au raisin noix) : elle est seulement ouverte 4 jours par semaine mais c’est un vrai plus car avant c’était Murat ou Cheylade pour le pain. Bref, les pains achetés mis au « chaud » dans la voiture, nous avons dès le départ grimpé vers le plateau du Limon qu’on a atteint vers la fameuse croix du Gendarme (en fait pas un Gendarme mais plutôt un Gens d’arme: pauvre soldat mort de froid au début du 17ème siècle) bien usée par le temps, le vent, la pluie et la neige. Le plafond assez bas nous masque les crêtes et sommet qu’un temps clair nous aurait permis d’apercevoir. Le temps est propice à l’explication sur l’utilité des Cairous qu’on aborde à la jonction avec le chemin du même nom. En effet depuis trois siècles au moins le chemin sur le plateau de Dienne à Cheylade est cairnée pour éviter aux gens qui arpentaient le secteur de se perdre dans le brouillard ou blizzard. Les pierres levées de 40 à 50 cm sont espacés de 20 m environ … Les Cairous / cairns que l’on voit aujourd’hui ont été restaurés par une association locale il y a une vingtaine d’années, ce ne sont pas les pierres d’autrefois qui ont dû maintes et maintes fois faire l’objet de travaux de sauvegarde.

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Notre direction est plutôt le puy de Niermont au bout du plateau donc nous devons quitter le chemin et obliquer à l’ouest en suivant le GR4 jusqu’au puy. Nous sommes vraiment entre vallée du Claux au nord et vallée de l’Impradine au sud. En chemin nous faisons la connaissance d’un couple sympathique d’éleveurs en goguette sur leur quad qui revenait vers Drils après avoir inspecté leur troupeau… Ils me voit essayer d’identifier les sommets qu’on aperçoit vers le sud. L’homme me teste et me montre une crête au SO: j’hésite un peu et lui répond « puy de Seycheuse ».. Ouf ! Il me dit « Bien ». Du coup on passe à autre chose et ils nous ont donné des infos sur le foncier local. Le prix de l’hectare par exemple a bien progressé dans les quarantes dernières années : de 150 euros il serait aujourd’hui monté à 10000 euros. Ca m’a paru beaucoup  mais je le crois…

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Les estives que nous parcourons depuis l’arrivée sur le Limon appartiendraient ainsi à des investisseurs aveyronnais qui aurait acheté près de 500 hectares sur le plateau ! Très volubiles, on les retrouvera, toujours sur leur quad, en fin d’après-midi à Drils. Marche très agréable dans la douceur et un soleil souvent caché. Le puy de Niermont en arrivant par l’est est une formalité : la pente douce nous amène après quelques kilomètres à 1620 m. Le vent est au rendez-vous et il nous oblige à nous abriter sous le puy coté sud, coté pierriers, pour le repas. La vue plonge sur la vallée de l’Impradine et les quelques hameaux qui la peuplent. On a le temps de lire le paysage et d’imaginer de futures belles randos dans le secteur (en septembre si la météo s’y prête).

La digestion est facilitée par le terrain: nous descendons vers le col de Serre et ses quelques touristes. Nous regagnons vite la tranquilité du fond de vallée vers une belle petite cascade sur l’Impradine, sous le col. Nous suivons le ruisseau très en eau jusqu’à la Courbatière. L’occasion de parcourir des prés très verts et fleuris. A la Courbatière, nous refaisons le plein d’eau à la fontaine du hameau on en profite pour admirer une très belle et grande maison cantalous aux volets bleu; deux fois centenaire. Au vue des grandes pierres parfaitement taillées et assemblées, on sait qu’elle sera là dans deux siècles ! De jolies petites routes nous amènent à Drils où nous prenons le goûter avant le dernier coup de cul qui doit nous ramener sur le plateau du Limon. Il faut s’arracher en fin de rando pour sortir les derniers 400 m du jour. A allure réduite la dénivelée est avalée et nous coupons à travers l’estive pour gagner l’Embec qui surplombe Dienne. C’est un petit puy, un peu en forme de mesa qui est utilisé comme site d’envol par les parapentistes. Je cherche les pentes les moins abruptes pour entamer la descente vers Dienne. Après moultes zigs et zags nous regagnons le chemin emprunté à l’aller le matin et nous arrivons rapidement au village à la hauteur du beau cimetière fleuri, tout en hauteur. Une fin de belle rando apporte toujours un peu de nostalgie de la journée passée au grand air dans ces paysages toujours enthousiasmant. A bientôt, Cantal !

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Dim 19/07/2020 Dômes Bois du Girardet

Animateur : Sébastien
Nombre de participants : 11 animateur compris (6F, 5H)
Météo : Ensoleillé et chaud
Distance : 20 km
Dénivelée : 750 m
Durée : 6h30 pauses comprises
Classement Atlas : Facile

Itinéraire : Bois du Girardet, Puy de Jumes, Col de la Nugère, Puy de Tressous, Puy de Louchadière, passage entre les puys de Clermont et de la Coquille, Bois du Girardet

 Un petit secteur des Dômes, situé entre le Puy des Gouttes et le Puy de la Nugère, n’avait pas encore été arpenté par les Atlassiens depuis le déconfinement… C’est à présent chose faite. Cette sortie, qui nous a permis de bénéficier de la fraîcheur du sous-bois, a été bien apprécié en cette mi-juillet déjà chaude.

Le tour du cratère du Puy de Jumes nous a permis d’apprécier de nombreuses sur la chaîne des Puys et le Sancy au loin, avant que le triple sommet du Puy de Tressous ne nous accueille pour une pause déjeuner bien méritée. L’après-midi s’est amorcée avec la montée en lacets vers le sommet du Puy de Louchadière, assez facile à appréhender par ce côté, avec une pente beaucoup moins raide que celle de l’égueulement. Lors de la descente, nous sommes de toute évidence passés à proximité des vestiges du crash aérien de 1967, sans retrouver toutefois l’endroit exact du drame. L’après-midi s’est poursuivie par un tranquille cheminement dans les bois, jusqu’aux voitures.

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Jeu 16/07/2020 Haute Loire St Ilpize

Animateur : Georges 
Nombre de participants : 13 ( 7 F et 6 H ) 
Distance : 21 km 
Dénivelé : 550 m
Météo : couvert le matin et quelques rayons de soleil l’après-midi, température  agréable pour la randonnée. 
Durée : 7 h 30 pauses comprises 
Classement Atlas : facile  

ITINERAIRE Départ de St Ilpize, Cissac Channat, Le Croizet, Belmont, Chilhac, Le Chambon, Les Rives, Chazieux et retour à St Ilpize.  

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  C’est toujours un grand plaisir de retourner dans le haut Allier et cette Haute-Loire avec toutes ses merveilles. St Ilpize, point de départ avec la montée au château perché sur un promontoire rocheux dont il ne reste plus que des remparts, une tour et la chapelle. Les dauphins d’Auvergne y ont séjourné pendant 150 ans. Le GR 270  ( de Brioude, il remonte toute la vallée de l’Allier jusqu’en Lozère ) nous a conduits jusqu’au village de Cissac. Après avoir passé plusieurs petites vallées, nous rejoignons la vallée de l’Allier et le village de Chilhac. Ancien village fortifié du 14 siècle, dont subsistent encore les remparts et trois tours. Il est perché sur un promontoire rocheux, soixante mètres au dessus de l’Allier. En contrebas du village, de magnifiques orgues d’une régularité surprenante semblent coiffées d’ un énorme chapeau de basalte. Ce volcan appelé aussi piè est issu de la chaine du Devès, sa datation est approximative de 12 à 2 millions d’années. Sur la place de l’église se trouve un musée de paléontologie. Dans les années 70 à 90, Christian Guth, un paléontologue découvre des restes fossiles datant de deux millions d’années (une défense de mammouth, un crâne de mastodonte, des os de rhinocéros, de tigres à dents de sabres, de grands cerfs)  

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 Après avoir pris le pique-nique près de l’église, direction le village du Chambon où nous retrouvons l’Allier, que nous suivons rive droite, sur un chemin en balcon. De Chazieux, c’est au bord de la rivière que nous atteignons St Ilpize, une petite halte pour quelques bains de pieds. La journée se termine à Vieille-Brioude pour un petit pot et quelques gourmandises (merci à Sophie). Merci à tous et à bientôt.   

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Dim 12/07/2020 Forez Autour du col du Béal

Animateur : Thierry

Nombre de participants : 8 animateur compris (5F, 3H)

Météo : soleil et température agréable- frais et venté sur les crêtes le matin

Distance : 26 km (mon GPS)

Dénivelé : 900 m (mon GPS)

Durée : 7h20 pauses comprises

Classement Atlas : Moyenne

Itinéraire: col du Béal, col de la Chamboite, descente vers le Sagnasson, les Traverses, les Côtes, D6, le Supt, Chante-Bécasse, l’Olme, c, proximité de Pré Chétif, Laparent, Chanoland, les Rochettes, en HP plein nord vers chemin d’exploitation à proximité Chénelette, le Cheix, PC 1172, HP plein sud vers Loges de la Lite, bois des Deux Boules, GR 3 jusqu’au col du Béal

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Départ venté et dans la fraicheur au Col du Béal. Parking encore désert avec quelque VTTistes, électriques à 99%. Direction plein sud vers Pierre sur Haute par la crête avec une vue à l’ouest allant de Tournoël jusqu’au Plomb du Cantal et plus au sud encore. Sacrée vigie ! Nous bifurquerons Est-Nord Est avant d’arriver à Pierre sur Haute ce qui nous évitera le paysage un peu pollué par les antennes et les télésièges. Une route militaire joint le col du Béal au centre d’écoutes de l’Armée. Rien de particulier à signaler dans la descente vers le Supt sur des chemins forestiers puis des petites routes desservant de belles longères bien restaurées. Certainement les maisons de campagne des habitants des villes de la plaine du Forez (prononcer Foré). Nous apercevons au loin perchée sur un gros rocher une vierge. Ce sera finalement l’objectif qu’on se donnera pour notre fin de matinée. Nous y arrivons par un sentier fraîchement tracé dans la pinède au milieu des myrtilliers. Ce sentier nous amène au pied du Roc de l’Olme. C’est un site d’escalade avec près de 35 voies pas trop difficiles, maxi 5C, donc site d’initiation très sympathique. Quelques grimpeurs sont à l’oeuvre. Nous déjeunons un peu à l’écart pour ne pas les déconcentrer. Le département a installé une petite via ferrata qui coupe les voies. Elle ouvrait ce dimanche 12… Mais personne dessus.

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Après la pause nous montons dans le bois pour parvenir au sommet du Roc surmonté de sa Vierge du Roc de l’Olme. Petite photo souvenir faite par le membre d’un groupe de VTTistes pique niquant au sommet. La suite du chemin est agréable sur de beaux chemins d’exploitation mi-forêt, mi paysage ouvert avec le passage à proximité de fermes sinon à l’abandon tout au moins peu habitées. Auprès de l’une d’elle, perchée sur une crête donnant sur la vallée de Jeansagnières que nous avions remontée lors d’une rando précédente autour du col de la Loge cet automne, nous avons trouvé une belle fontaine à la belle eau courante qui nous a bien rafraichi. Ces fermes d’altitude servaient à la fabrication de la fourme de Montbrison : les femmes et les enfants s’occupaient des bêtes montées à l’estive de mai à octobre et de la fabrication du fromage pendant que les hommes restés en bas dans la plaine moissonnaient et fauchaient l’herbe pour l’hiver. Toute cette vie rurale a disparu dans l’immédiat après-guerre, comme chez nous ! 

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La suite de la rando a été un peu plus chaotique car les sentes tracées sur la carte étaient difficiles à retrouver dans cet épais bois de Bozonnan. Nous étions dans les soupcons de HP annoncés sur le répondeur ! Descente dans le bois jusqu’au chemin d’exploitation qui nous ramenait plein ouest vers le Cheix puis à nouveau plein sud en HP pour remonter sur le plateau à proximité des Loges de la Lite que nous avions vues également dans la rando cet automne. C’était l’occasion de se désaltérer avec les myrtilles bienvenues que nous foulions « le plus délicatement » possible. Le reste de la rando n’était plus qu’une formalité avec l’emprunt du GR3 jusqu’au Béal… Le parking désert le matin débordait de véhicules de toutes sortes et c’est une « foule » de promeneurs du dimanche qui nous « accueillait » : elle nous dissuadait même d’aller boire le petit coup de l’amitié de l’auberge du col. Dommage ! Mais pas de regret : nous partions une fois de plus avec de belles images de cette belle moyenne montagne dans les yeux.

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Jeu 09/07/2020 Cézallier Compains

Animateur : Yves
Nombre de participants :  17 animateur compris (9F, 8H)
Météo : Beau et chaud
Distance : 22 Km 
Dénivelé : 800 Mètres
Durée : 7H00  mn pauses comprises
Classement Atlas : Facile

 

ITINERAIRE :Compains, Chapelle Saint Gorgon, Chaumiane, Puy de la Vaisse, Cureyre, Le Grand Joran, Brion, Compains.

Retour sur le Cézallier et ses grands espaces en ce jeudi accompagné par un temps magnifique, ciel azuréen, température supportable avec parfois une légère brise bien appréciée.

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Le Cézallier ne serait plus le Cézallier :

  •  sans son lot de clôtures à enjamber ou à franchir en rampant.
  • ses immenses estives où résident les troupeaux en transhumance. Salers, Abondances, Montbéliardes, Aubrac, et autres redonnent couleur et vie à ces pâturages abondamment fleuris.
  • ses petits passages de tourbières relativement sèches actuellement.
  • cette vue à 360 degrés du Puy de Dôme au Cantal en passant par le Sancy ou le Forez.


En chemin :

  • nous découvrirons la petite chapelle ronde Saint Gorgon, construite à l’emplacement d’une source à l’eau bienfaisante utilisée par nos ancêtres.
  •  nous apprécierons la montée au Puy de la Vaisse, la pause pique nique à mi pente sur l’autre versant, la redescente et la jonction jusqu’au Lac de Cureyre à proximité du Col de la Chaumoune ; le tout en hors piste bien évidemment.
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Le dernier des soupçons de hors piste nous permettra d’approcher la Pierre Saraillade, pierre incisée d’une croix qui bornait un chemin pour se rendre à Brion par la montagne de Joran. Visite de la butte de Brion et son histoire. Retour plus soft par le GR30 jusqu’à Compains.

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Dim 05/07/2020 Sancy Autour du plateau du Guéry

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 12 animateur compris (7F, 5H)
Météo : soleil et température agréable
Distance : 25 km(mon GPS)
Dénivelé : 803 m (mon GPS)
Durée : 8h06 pauses comprises
Classement Atlas : Facile 

Itinéraire : La Chabanne Haute, Lacoux, La Graille, la Malvialle, puy Loup, Banne d’Ordanche, bois de la Paillèrere, l’Estomble, le Trador, La Chabanne

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Départ à l’ouest du Guéry, vers Laqueuille pour remonter une partie de la vallée de la Fontsalade jusqu’au pied du plateau à la Malvialle. Un petit échauffement donc dans ces belles et tranquilles zone d’élevage qui produisent la délicieuse fourme de Rochefort… jusqu’au monastère orthodoxe bien debout lui, pas comme son voisin, le beau bâtiment agricole avec sa grande charpente en vaisseau qui menace ruine après l’incendie d’il y a quelques années. L’obstacle de la journée était juste devant nous: remonter jusqu’à la Roche Malvialle, 220 m plus haut. Il n’y avait qu’à prendre le ruisseau de la Malvialle en main courante et le tour était joué même si la pente et le HP était sévère. Mais en 45 minutes, la mission était accomplie. Un petit A/R après le déjeuner vers le Rocher qu’on escaladait et qui nous donnait une vue à 360° sur la région, de la chaîne des Puys jusqu’au Cézallier…

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Le chemin jusqu’au bas de la Banne nous donnait maintes fois l’occasion de nous enthousiasmer pour les paysages si bien connus mais toujours redécouverts surtout avec la belle lumière du début d’après-midi. En bas de la Banne, arrêt près de la reconstitution d’un tras, habitat temporaire des estives, antérieur à la construction des burons et dont il ne reste aujourd’hui dans les paysages que des alignements de trous semblables à de petits cratères d’explosion. Le notre avait un beau toit de chaume assez récent… Voir le blog d’AuvergneAttitude qui est l’association qui gère ce projet… Il est plein d’informations. De là, le retour vers Chabanne s amorçait. On quittait les chemins et les promeneurs pour retrouver la quiétude du joli bois de la Paillère que j’empruntai pour nous éviter le chemin prévu qui suivait le PR du coin. Bien nous en a pris car le cheminement à l’ombre des pins nous évitait la chaleur du sentier… Arrivés à proximité du Trador, un hélicoptère de la Sécurité Civile semblait être en exercice au-dessus du bois qui entoure la cascade… En fait, non, c’était bien un sauvetage avec récupération d’un blessé via filin qui était en cours: une personne s’était cassée la jambe dans le chemin de descente vers la cascade, chemin rocailleux que nous allions emprunter quelques minutes plus tard. Un petit détour nous permettait de découvrir cette belle cascade du Trador dont la télévision avait parlé la veille (Isabelle dixit). 

La fin de la rando était un peu moins emballant sur de longs chemins d’exploitation rectilignes et goudronnés de frais… Peu importe, l’essentiel était ailleurs et bien à l’abri, déjà dans nos souvenirs. 

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Jeu 02/07/2020 Sancy Charreire

Animateur : Georges 
Nombre de participants : 15 ( 6 f et 9 h ) 
Distance : 22 km
Dénivelé : 400 m 
Durée : 7 h  pauses comprises 
Classement Atlas : facile 
Météo : Nuages et soleil, pas de pluie, température agréable.  

ITINERAIRE : Départ de Chareire, GR 30 jusqu’a Tinaire, Vallon, La Vergne, PC 1025, Gines, cascade du gouffre de Pierrot, ST Donat,  Brassiere, Puy de Cheylat, le Mas, Vigier, hors piste jusqu’a Rimat, Bois de la Masse, PC 1205, Ménial, La Morangie, retour sur le GR 30, Chareire.    

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  Petite fraîcheur au départ de Chareire, quelques rayons de soleil nous ont vite fait oublier ce petit 12°. Après avoir suivi le GR 30 jusqu’au lieu-dit Tinaire près de Picherande, direction le ruisseau de la Tarantaine et sa cascade du gouffre de Pierrot. Avec les pluies des jours précédents, elle avait un bon débit. En amont de la cascade, à la confluence du ruisseau du Taraffet et de la Tarantaine, elle change de nom, pour devenir la Trentaine.    

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 Nous avons pris le pique-nique à ST Donat, sur la place du village. Depuis peu, une statue de faucheur à pied trône en face de l’église, c’est une oeuvre de Thierry Courtadon. L’après-midi, direction la réserve naturelle de Chastreix. Suite à la disparition d’un PR, le soupçon de hors piste a disparu pour laisser place à beaucoup de prairies, de bois, de fougères, de zones humides ( pour nettoyer les chaussures ), mais toujours dans la bonne humeur. Après le village de Rimat, un chemin nous a guidés jusqu’à Chareire en retrouvant le GR 30 à la Morangie. Un petit pot au gîte du Taraffet a cloturé la journée. Merci et bonnes vacances à tous.

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Dim 28/06/2020 Sud de la chaîne des puys St Saturnin

Animateur : Yves
Nombre de participants : 12  animateur compris ( 10 F, 2 H)
Météo : Ensoleillé avec quelques passages nuageux
Distance : 21 Km 
Dénivelé : 700 Mètres
Durée : 6 H 45 mn pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto :  40 Km pour  2 véhicules et 11 Km pour 1 autre
Temps de préparation :  2 H 30
 

ITINERAIRE : Saint Saturnin, PC 588, Randol, Conquaire, Cournols, Pont de Riberolles, La Pommette, Oppidum de Liozon, PC 517, Puy de Peyronère, Saint Saturnin.

Au départ de Saint Saturnin, sous le soleil, cette rando nous a permis d’évoluer, de part et d’autre, d’une partie des gorges de la Monne. Petite montée à L’Abbaye et au village de Randol que certains participants ne connaissaient pas. Nous poursuivons cette montée jusqu’à Cournols où, sur notre chemin, nous trouverons les premiers cerisiers sauvages, bien fournis en fruits. Ceux ci jalonneront notre parcours jusqu’à l’arrivée, et permettront au plus gourmands d’entre nous de picorer, ces magnifiques cerises rouges, sur une bonne partie du trajet.

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Pique-nique à proximité du dolmen de Cournols. Le temps se fait menaçant, les nuages gris nous encerclent presque. Descente un peu scabreuse au pont de Riberolles pour traverser la Monne et changer de versant, quelques pans de murs nous rappellent qu’un hameau a existé à cet endroit. Après la Pommette, nous partons plein Est pour passer par les vestiges archéologiques de l’oppidum de Liozon. Un peu de tâtonnement et nous retrouvons le sentier en direction de Saint Sandoux, les nuages gris ont disparu, la journée est sauvée.

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Pour finir, le dénivelé de 60 m annoncé pour passer le Puy de Peyronère, a été supérieur suite à l’inexistence de chemins figurants sur la carte. Nous quittons les derniers cerisiers et retraversons la Monne à l’entrée de Saint Saturnin. Rafraîchissement général à la fontaine devant le Château Royal, construit au 13°S par la Famille de la Tour d’Auvergne. Ce château ayant appartenu à deux grandes Reines de l’Histoire de France, issues de cette famille, Catherine de Médicis épouse d’Henri II et sa fille Marguerite de Valois épouse d’Henri IV bien connue dans notre département sous le petit nom de Reine Margot.
Belle journée avec un temps malgré tout agréable, une température convenable, et surtout pas de pluie.

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