Animateur : Georges Nombre de participants :15 ( 11F et 4H ) Distance : 19 km Dénivelé : 500 m Météo : soleil le matin et nuageux l’après-midi Durée : 5 h 30 Kilométrage voitures : 120 km pour 2 voitures et 80 pour 2 autres soit 400 km Classement Atlas : facile Préparation et CR : 2 h
ITINERAIRE
Départ de Vernet la Varenne, le Vernadet, GRP de pays des rives de l’Allier aux portes du Livradois, Champagnat le Jeune, Pégut, la Bessiere, le Mas, Esbelin, Paulet, retour à Vernet la Varenne. C’est au Vernet la Varenne que nous débutons notre rando aujourd’hui. Charmant petit village qui a la particularité de posséder des filons d’améthyste dont l’exploitation a été interrompue en 1974. Depuis 2009, un jeune couple a repris l’exploitation de façon artisanale et en grande partie manuelle. Direction le sud, après la sortie du village nous empruntons le GRP des rives de l’Allier aux portes du Livradois. Nous traversons une forêt dont une partie a été déboisée, de magnifiques parterres de digitales s’offrent à nous.
Après un passage par Champagnat le Jeune, nous arrivons dans la vallée de Pégut, nous traversons le ruisseau pour arriver au petit village du même nom, il semble abandonné, les maisons sont en ruines. Nous espérons trouver l’entrée de la mine ! pas de trace. Après le pique-nique pris dans le camping de Bellevue ouvert mais pas de vacanciers et encore moins de personnel, nous nous dirigeons vers le château de la Reynerie invisible à travers la forêt.
Un petit détour au village du Mas pour voir le château de Chéry mais nous n’apercevons qu’une tour.
Animatrice : Christelle Nombre personnes : 15 P 8H 7 F Météo : Ciel Bien ensoleillé, plus couvert et atmosphère lourde l’après midi Terrain : plutôt sec, quelques grosses flaques Distance : 21 km Dénivelé : 660 D+ Durée : 7 h10 Classement : Facile Kilométrage auto : 250 km X 2 ; 280 km X 1 soit 780 km Préparation et rédaction : 2 heures
ITINERAIRE : Arzenc d’Apcher, Courbepeyre, le Mazel, Saint Juéry, direction nord PC 944, PC 1019, Bec de l’aigle, sentier des Espagnols, usine hydroélectrique du Vergne, les Pleignes, Arzenc.
Au programme de ce jeudi une escapade un peu lointaine…destination la Lozère ! Ce secteur mérite vraiment qu’on fasse de temps en temps quelques kilomètres supplémentaires !
Les étapes phares de cette journée :
Départ d’Arzenc d’Apcher : Au sud du barrage de Grandval, ce petit hameau est perdu au bout d’une route de campagne. Il est perché au sommet des falaises dominant les gorges du Bès. On y trouve les ruines d’une haute tour isolée, partie d’un château qui s’est effondré il y a fort longtemps ainsi qu’une jolie église et quelques belles bâtisses en granit. Beau panorama sur les gorges.
Saint Juéry : commune de 700 âmes, on y retrouve le Bès qui serpente plutôt tranquillement entre les belles maisons typiques du coin. La charmante petite chapelle Notre Dame genre « maison de poupée » dite « chapelletto » veille sur le reste du village du haut de son avancée surplombant la rivière. Plus loin, nous sommes surpris par la belle architecture originale de l’église Saint Maurice : absence de chapelles rayonnantes et d’un transept saillant et surtout un plafond entièrement décoré de lambris en chêne reliant la nef au chœur dans une même continuité du sol au plafond ! Etonnant !
Il est relativement tôt mais les bords du Bès, le joli pont l’enjambant et les rives bien accueillantes nous invitent à profiter d’une agréable pause pique-nique !
Sortis de Saint Juéry nous cheminons à travers prés avant d’entamer une bonne descente vers le Bès et ses gorges, vedettes de cette journée. Comme l’on dit certains on ne s’attend pas à trouver des falaises aussi hautes ! et notre paisible rivière vue à Saint Juéry devient ici tumultueuse et serpente à grand bruit entre d’énormes blocs.
Nous tentons d’approcher le plus possible de l’eau mais le niveau est encore haut augmenté par les fortes pluies des derniers jours et nous ressortons donc des profondeurs des gorges pour rejoindre le sentier en balcon qui permet de savourer ce grandiose paysage ! Il faut être vigilant, bien regarder où l’on pose les pieds car la sente est étroite et peu protégée du vide par moments. On y trouve d’ailleurs plusieurs spots d’escalade. Un énorme bloc nous tend les bras, quelques-uns d’entre nous grimpent au sommet, la vue est splendide !
On peut également voir des entrées d’anciennes mines d’uranium.
Ce sentier est appelé « sentier des Espagnols » car à la fin de la première guerre mondiale, les prisonniers de guerre creusèrent la conduite d’eau souterraine qui amène les eaux du Bès du barrage de Valiette à l’aplomb de la petite centrale du Vergne à côté de laquelle nous passons.
Une bonne grimpette nous ramène sur le haut du joli plateau encore bien fleuri
et c’est le retour vers les voitures avec encore de belles vues sur les falaises et la tour d’Arzenc. Arrivés à Arzenc, le départ se fait précipitamment car nous sommes vite « bousculés » par une grosse averse ! Merci à tous et bon début d’été !
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 3 animateur compris (2F, 1H) Distance totale 79 km Dénivelée totale : 2550 m + Classement Atlas : Moyen Préparation et rédaction : 8 heures
Jour 1 : Arconsat – Les Sagnes (La Tuilière) 22 km, 900 m +, 750 m -, 7h30 pauses comprises. Météo : Nuageux, températures fraîches Nous partons tambour battant à l’assaut du Rocher du Coq, une montée qui nous offre de belles échappées sur la vallée de l’Auzon. De coq, nous n’en verrons point, mais c’est un très beau chevreuil qui s’enfuit à notre arrivée à l’approche du sommet. Notre cheminement se poursuit dans un très agréable sous-bois. Les Bois Noirs ne sont pas toujours sombres, qu’on se le dise ! Le soleil nous fait ici de très beaux clins d’œil à travers les frondaisons des arbres. Nous passons un peu plus loin devant la Pierre des trois Messieurs, un gros rocher indiqué comme curiosité touristique mais qui nous laisse assez dubitatifs… Nous ne saurons en outre jamais l’origine de son nom. Continuant notre route en direction de Chambodut, nous faisons parcours commun pendant deux kilomètres avec une randonnée organisée que nous quitterons en entrant dans le Bois de Borjat. Une belle montée hors piste nous attend ici pour nous mener sur une petite crête entièrement recouverte par la forêt. C’est légèrement en contrebas que nous trouverons un endroit idéal pour établir notre premier bivouac.
Jour 2 : Les Sagnes – Pont Renaud (La Chabanne) 23 km, 400 m +, -800 m -, 8h30 pauses comprises. Météo : Ensoleillé avec quelques passages nuageux, températures douces La matinée s’annonce ensoleillée et c’est avec bonne humeur que nous reprenons notre chemin. Nous sommes cette fois dans le Bois Vague et malheureusement pour nous, cette dénomination s’avérera prémonitoire car notre cheminement ne se déroulera pas sans encombres. Plusieurs chemins indiqués comme libres d’accès s’avéreront en réalité privatisés par plusieurs propriétaires. Et quand par chance, nous en croisons un sympathique qui ne verrait pas d’inconvénient à nous laisser passer sur ses terres, il nous indique que son voisin pourrait ne pas être aussi accommodant si nous venions à passer la barrière de sa parcelle de terrain. Bref, après avoir jardiné un moment entre clôtures et barrières, nous nous résignons à rebrousser chemin jusqu’à la Pierre Rolland afin de contourner la zone pour nous rendre à notre objectif qu’était le Rocher de Rochefort, si proche et pourtant si loin… Nous serons finalement récompensés par un repas avec vue sur la vallée de Roanne. Le reste de la journée sera plus calme et le parcours beaucoup plus roulant. Nous progressons à travers la forêt avec un entrain qui compense largement notre faux-rythme de la matinée, et déjà nous arrivons au Rez de Bonnière, petite proéminence dominant le vallon du Sapey. C’est au confluent de ce ruisseau et du Galant que nous poserons nos tentes pour cette deuxième nuit.
Jour 3 : Pont Renaud – Leydy (Lavoine) 20 km, 850 m +, 400 m -, 7h00 pauses comprises. Météo : Ensoleillé, se couvrant en soirée, quelques gouttes de pluie après avoir monté le bivouac, températures douces En ce troisième jour, nous montons sur la crête reliant le Grand Roc au Roc de Gabelous. Quel que soit l’endroit où nous portons le regard, la vue est magnifique tout au long de notre progression et même les éoliennes installées ici ne parviennent pas à gâcher le paysage. Notre progression est volontairement ralentie mais nos yeux nous en savent gré. Entre la vallée du Sichon à l’ouest et la vallée de la Besbre à l’est, nos pas finissent par nous porter au Rocher Saint-Vincent qui, bien que ne dominant pas totalement la région du haut de ses 926 mètres, nous offre néanmoins un beau coup d’œil sur le village de Lavoine et sa vallée. Nous profitons du site un long moment avant d’entamer notre descente. Les pentes du Puy de Montoncel se profilent devant nous. Nous ne nous y frotterons que le lendemain, mais cela nous donne une idée des dernières difficultés du séjour avant une bonne nuit de sommeil dans le vallon de la Besbre.
Vierge rocher St Vincent
Au sommet du rocher St Vincent
Jour 4 : Leydy – Arconsat. 14 km, 400 m +, 600 m -, 5h00 pauses comprises. Météo : Brumeux le matin, se découvrant peu à peu tout au long de la journée, températures fraîches le matin, douces à midi La journée démarre directement par l’ascension du Puy de Montoncel. Nous choisissons toutefois l’option douce, en passant par le Plan du Fumouzert et le Col des Planchettes. Le sommet est aujourd’hui déboisé, ce qui permet d’apprécier un vaste panorama, malheureusement occulté par une brume matinale persistante lors de notre arrivée. Nous parvenons néanmoins à distinguer les reliefs les plus proches. Le temps de saluer deux courageux trailers, et nous voilà repartis pour une longue descente à travers bois et forêts le long de la Grande Goutte. Nous retrouvons le Rocher du Coq qui n’a pas bougé depuis le premier jour et nous parvenons en début d’après-midi à Arconsat, ravis de notre week-end prolongé.
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 12 animateur compris (5F, 7H) Météo : pluie, vent, températures fraiches Distance : 13 km Dénivelé : 400 m Durée :4 H 30 pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 60 x 3, soit 180 km (Santiago nous a rejoints sur place.) Préparation et rédaction : 1 H
ITINERAIRE : Lac Servières, Puy de Combe Perret, passage à l’est du plateau de l’Aiguiller, Puy de la Védrine, Bois de Pessade, retour par GR 441
Je pensais profiter des premiers jours de mai pour déambuler dans les prés du Sancy. Nous aurons finalement passé le plus clair du temps à chercher un parcours qui nous protégerait le mieux des intempéries. Après avoir grimpé le Puy de Combe Perret à l’abri des bois, nous avons tenté une courte incursion à découvert sur les flancs du plateau de l’Aiguiller avant de nous remettre à l’abri du Bois de Pessade, rappelé à l’ordre par la pluie et le vent. Le cheminement forestier autour de Pessade nous offrit l’occasion d’arpenter quelques jolis chemins mais nous avons tout de même pris la décision d’écourter le parcours afin de nous remettre au chaud dans les voitures, alors que la pluie ne cessait pas.
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 8 animateur compris (6F, 2H) Météo : Ensoleillé, quelques passages nuageux, températures douces Distance : 24 km Dénivelé : 800 m Durée :7 H 30 pauses comprises Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 80 x 2, soit 160 km Préparation et rédaction : 1 H
ITINERAIRE : Saint-Nectaire, Grottes de Châteauneuf, Menhir de Freydefont, Croix du Pendu, Saignes, Mareuges, Puy de Monténard, Zanières, Monne, Fontmarcel, contournement est de la Pinarde, Lambre, Saint-Nectaire
Nous démarrons notre parcours par une belle montée en direction des grottes de Châteauneuf. De là nous attend une belle vue sur la vallée de la Couze Chambon et notamment le château de Murol, toujours fièrement dressé au sommet de son promontoire basaltique. Nos pas vont alors nous faire remonter le temps de l’époque médiévale jusqu’au Néolithique, avec un passage devant le dolmen de la Pineyre, puis le menhir de Freydefont. Le premier ressemble plus à un tumulus qu’à un dolmen, la terre ne laissant dépasser quasiment que la pierre sommitale. Le mobilier de sa chambre funéraire a malheureusement disparu à une époque indéterminée. Quant au second, il s’agit d’une pierre d’1,65 m de hauteur, probablement érigée à cet endroit dans un but mystique. Une fois passés les abords du Bois de Mareuge, nous entamons l’ascension du Puy de Monténard, seule grosse difficulté de la journée, au sommet de laquelle nous faisons la pause déjeuner. Le reste du parcours nous conduira à travers le vallon de la Monne que nous franchissons entre Monne et Fontmarcel, avant de reprendre de la hauteur et de profiter de belles échappées en direction des Puy d’Olloix, de Saint-Sandoux et de Gourdon.
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