Animateur : Fabien Nombre de participants : 17 (10 F, 07 H) animateur compris Météo : Ensoleillé sur le 1er et le dernier tiers du parcours. Plus couvert sur le 2ème tiers. Températures élevées pour la saison. Terrain : Gras en sous bois. Sec sur les plateaux Distance : 28 km Dénivelé : 940 m Durée : 8 h30 pauses comprises Classement Atlas : Moyenne Kilométrage auto : 76 x 2 et 50 x 2 soit 252 km
ITINERAIRE : Pessade, Puy de Védrine, Ouest Puy de Baladou, Ferme de la Tache, Cascades du Rossignolet et du Queureuilh, Prends toi Garde, Pailloux, cascade du Guéry, Col de Guéry, Col de l’Ouire, Puy de l’Aiguiller, Lac Servières.
La randonnée du jour aura été une randonnée « multi saison » : une température printanière, de jolies couleurs automnales et la vue sur des sommets du Sancy enneigés.
Départ de Pessade sous le soleil. Rapidement, la température clémente nous oblige à un arrêt pour retirer une couche de vêtement. C’est donc plus léger que nous cheminons sur le GR4 jusqu’au col de la Croix Morand ; cheminement qui nous permet une belle mise en jambe mais aussi de très jolies vues sur, entre autres, le Massif Adventif, le Puy Gros, la Banne d’Ordanche.
De ce col, nous bifurquons vers l’ouest et pénétrons dans un bois où nous accueille un épais tapis de feuille et qui nous amène à deux belles cascades Montdoriennes : la cascade du Rossignolet et la cascade du Queureuilh.
Après une petite pause photo de groupe, nous repartons pour le gros dénivelé du jour qui nous amènera jusqu’au sur le plateau du Guéry. C’est en presque fin de montée que nous effectuerons la pause déjeuner dans une vaste salle à manger avec une superbe vue sur le Massif du Sancy aux sommets enneigés.
Cascade de Queureuilh
Depuis le plateau du Guéry, nous redescendons sur le lac du même nom à travers la forêt domaniale du Guéry et profitons à nouveau d’une belle cascade. Après avoir longé la rive nord du lac de Guéry et atteint le col homonyme, nous remontons sur le col de l’Ouire avec une vue sur les roches Tulière et Sanadoire qui rappellera à certains participants du jour une récente balade.
Cascade du Rossignolet
Puis vient le temps de la dernière pause sur le Puy de l’Aiguiller où certains participants remarqueront que cet endroit, très souvent venté, était particulièrement calme en ce jour.
Nous rejoignons ensuite le Puy de Combe Perret. De là, j’avais prévu de descendre en hors piste plein nord à travers bois pour rejoindre le lac de Servières. Et, en fait, une très récente modification du GR 30 à cet endroit a fait que nous n’étions plus en hors piste mais sur le GR. Certains participants se sont demandés si cette modification avait un rapport avec le récent incident survenu à cet endroit. Après renseignement auprès d’un membre d’Atlas, baliseur, il s’avère que non, la modification ayant été décidée avant cet accident.
Nous voilà rendu au lac De Servières qui s’avérait être un joli miroir avec le soleil bas de cette fin de journée. La nuit approchant, c’est d’un pas rapide que nous rejoindrons notre point de départ.
Animateur : Sébastien Nombre de participants : 10 animateur compris (8F, 2H) Météo : Très nuageux, températures fraîches Distance : 24 km Dénivelé : 800 m Durée :7 H 30 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 90 x 2, soit 180 km
ITINERAIRE : Les Ancizes, Pont du Bouchet, Roche Grande, Confolant, Belvédère d’Andrivet, Miremont, Grandes Bruyères, Sapins de Martinèche, Saint-Jacques d’Ambur, Chartreuse de Port-Sainte-Marie, Les Ancizes
Depuis les Ancizes, nous commençons notre progression par une descente dans un sous-bois aux couleurs de l’automne, nous offrant de belles échappées sur le lac de barrage des Fades. Ce lac artificiel est tellement encaissé que malgré ses 10 kilomètres de longueur, sa largeur maximale ne dépasse pas les 600 mètres. Après l’avoir traversé au Pont du Bouchet, nous le surplombons de sa rive ouest, d’où nous pouvons admirer le majestueux méandre qu’il dessine au niveau de la Côte d’Andrivet. Un peu plus loin, une colonie de milans dessine des cercles autour de ce que nous supposons être un futur repas. Et à l’arrière-plan, malgré la couverture nuageuse, nous parvenons tout juste à distinguer la base du géant des Dômes. Notre vision de la chaîne des Puys se limitera toutefois à cette image pour cette journée. Dommage…
Instant nostalgie lors de la traversée de Miremont. Ce village continue de faire vivre ses traditions par une installation permanente de mannequins, véhicules et outils rappelant les métiers et coutumes d’antan. Nous cheminons ainsi entre un tonnelier, un facteur ou encore un véhicule agricole semblant tout droit survenus d’un passé pas si lointain que cela.
Et un autre voyage dans le temps nous attendait un peu plus loin, à la faveur d’un crochet vers les vestiges du monastère de la Chartreuse de Port-Sainte-Marie. Fondé en 1219 par les moines chartreux, cet imposant édifice eut une grande influence tout à la fois religieuse et commerciale jusqu’à la Révolution Française, notamment grâce à ses vignes et à son activité d’élevage.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 10 animatrice comprise (6F, 4 H) Météo : Ciel couvert avec quelques éclaircies et aussi en 3 fois quelques gouttes. Température douce Distance : 25 km (openrunner) Dénivelé : 700 m (openrunner) Durée : 7 h 30 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont fd (70 km X 2) soit 140 km Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : Charbonnières les Vieilles, les Incas, les Peytoux, Pery, Bord, Villemorie, la Biesse, Montoute, Croizet, la Coussidière, Gour de Tazenat, Charbonnières.
Ciel menaçant…
Charbonnières les Vieilles dont le nom vient de «charbon» car le bourg était autrefois producteur de charbon de bois, nous accueille ce jeudi pour la première randonnée de la saison 2021/2022. Nous prenons la direction de les Peytoux où nous traversons la Morge. La rivière qui prend sa source au sud de Manzat, près de l’étang de Lachamp à une vingtaine de kilomètres de là, a déjà une belle largeur.
La Morge
Notre cheminement nous en éloigne un peu pour mieux la retrouver au niveau du pont de Pery. Nous la retraverserons une nouvelle et dernière fois juste après Montoute. Sur la fin de parcours nous arrivons au Gour de Tazenat. Né d’une éruption qui remonte à environ 30 000 ans, lorsque le magma est entré en contact avec le ruisseau de Rochegude dont les eaux ont progressivement rempli le cratère créé, il s’étend sur un peu plus de 30 hectares avec un diamètre de 800 m en surface et de 400 m au fond du cratère. D’une profondeur estimée à 68 m, ses eaux abritent une faune aquatique variée. Ce cercle parfait où se reflètent les berges a été source d’inspiration pour Guy de Maupassant qui en a célébré les changements de couleur et sa beauté : « Lorsque le soleil fut prêt de disparaître, le ciel s’étant mis à flamboyer, le lac tout-à-coup eu l’air d’une cuve de feu ; puis, après le soleil couché, l’horizon étant devenu rouge comme un brasier qui va s’éteindre, le lac eu l’air d’une cuve de sang. Et soudain sur la crête de la colline, la lune presque pleine se leva, toute pâle dans le firmament encore clair. Et lorsqu’elle fut haut dans le ciel, le lac eut l’air d’une cuve d’argent ».
Le Gour de Tazenat
Nous empruntons par la droite le sentier qui le contourne, en étant attentifs sur les quelques passages rocheux bien glissants avec les feuilles mouillées. Mais le sentier suivi s’arrête brusquement. Broussailles d’un côté et rochers de l’autre. C’est en escaladant ces derniers, heureusement avec de belles prises pour les mains et les pieds que nous retrouvons le sentier «officiel». Merci à Yves d’avoir ouvert «la voie» et à tous d’avoir suivi. Cet intermède «aventure» passé, il nous reste à gagner Charbonnières. De beaux chemins nous amènent jusqu’au centre du bourg. Un passage devant le château de Lord Davis, blanche construction du 19ème siècle en calcaire de Souvigny et c’est l’arrivée aux voitures. Cidre et panettone offerts par Monique pour fêter son tout nouveau statut de Mamie ( vive Gaël ! ) terminent cette journée où nous avons profité de beaux chemins et de belles couleurs d’automne.
Animateur : Thierry Nombre de participants : animateur compris 5 (2F, 3H) Météo : grand soleil et grande douceur Distance : 28 km Dénivelé : 1107 m Durée : 8h30 pauses comprises Classement Atlas : difficile Kilométrage auto : (14km pour deux voitures)
ITINERAIRE : Gare de Durtol, croix des Combes, bois de Ribage, Sarcenat, PC818, intersection D90, intersection D773, croix de Ternant, long du bois de Côte Verse à main droite, PC964, pente est du Grand Sarcoui, sommet, descente plein nord, Petit Sarcoui, intersection D559,D775,puy de Chaumont, descente plein ouest vers puy Chopine, NE vers D775, Chanat la Mouteyre, SE vers puy de Pérady, la Mouteyre, Ternant, Suquet Morand, Sarcenat, côte de Pégnu, Durtol.
La volonté de diminuer drastiquement le kilométrage auto et des prévisions météo annonçant de la pluie m’ont amené à proposer une randonnée de proximité dans la chaîne des Puys. Bien m’en a pris : météo exceptionnelle et cheminements remarquables sous de belles frondaisons automnales. L’objectif principal était de rejoindre des volcans que nous fréquentons rarement, par des chemins que nous empruntons peu souvent. Départ assez inédit je crois de la gare de Durtol en direction de Sarcenat par des chemins bordés de grands chêne séculaires. Au vu du nombre de bogues vides sur le sol, on se doute que l’endroit est bien connu des locaux, amateurs de crème de marron. Passés Sarcenat et sa belle fontaine aux merles construite en 1800 toute en pierre de Volvic, le chemin s’élève progressivement dans une alternance de pré et de bois au feuillage coloré. C’est l’occasion de faire un petit détour par la croix de Ternant de laquelle nous avons un beau panorama sur l’agglo clermontoise, de la montagne Bourbonnaise jusqu’aux crêtes du Forez. Cette croix a été construite en 1933 par l’Abbé Ferrandon pour commémorer le 1900ème anniversaire de la mort de Jésus. La croix haute de 22m est la propriété de l’évêché de Clermont-Ferrand. Ce sont les habitants de Ternant qui ont acheminé le matériel de construction. En 1988 (?), un dispositif d’éclairage a été installé. Elle sert depuis de nombreuses années de site d’émission des radios locales catholiques comme RCF. Après un court « recueillement », nous prenons la direction de la pente est du Grand Sarcoui que nous remontons comme nous pouvons jusqu’au sommet. L’inclinaison sur ses deux tiers est forte, près de 60° (ou 31%) avec des arbustes qui ne nous facilitent pas la progression. Le sommet à 1141m est préservé car peu de monde y accède (du fait d’une interdiction de prendre son chemin à partir des grottes, je crois). Le tapis de bruyère est imposant et me fait regretter de n’être pas monté au temps de sa floraison… Un vent du sud assez soutenu nous incite à trouver plus bas notre salle à manger du jour. La pente nord du volcan est recouverte par une belle hétraie qui rend la descente beaucoup lus simple que la montée.
Un chemin étroit sépare le bas du Grand Sarcoui de la pente du Petit Sarcoui. En fait, le Grand Sarcoui s’est construitsous la double contrainte au sud du puy des Goules et au nord du Petit Sarcoui -tous deux cônes stromboliens – qui ont limité son extension : la lave très visqueuse puisqu’on a affaire à un dôme trachytique s’est accumulée jusqu’à former ce beau dôme régulier en forme de chaudron renversé. Les vulcanologues avancent l’idée que son flanc nord-est se serait écroulé (comme le Mont St-Hélène en 1980) ce qui expliquerait tous les débris trachytiques plus ou moins importants que l’on trouve sur près de vingt hectares au NE de l’édifice : résultat d’une coulée de débris d’avalanche. La poursuite de l’éruption et de l’écoulement de lave pâteuse ont alors provoqué la « cicatrisation » du dôme qui a de fait repris la forme très régulière que nous pouvons observer aujourd’hui. Après un rapide déjeuner sur la pente du « grand-frère » Petit Sarcoui, nous parvenons vite au point le plus haut (1041m) de la lèvre est du cratère (c’est un cône strombolien !) avant de redescendre au fond et de remonter sur sa lèvre Ouest. Le cratère recouvert d’une forte végétation semble très large. Vite redescendu vers le croisement D559/D775, nous nous acheminons vers notre troisième volcans le puy de Chaumont que nous attaquons plein nord par une belle hétraie.
Le sommet (1108m) est vite atteint et nous nous retrouvons vite au bas de sa pente malgré de grosses ronces qui nous auraient bien gardées avec elles. Nous trouvons vite le large chemin qui va nous conduire au nord du puy vers la D775 et Chanat la Mouteyre. Nous avons de ces chemins de beaux points de vue sur la Nugère et Jume et Coquille. Nous rejoignons le beau hameau de la Mouteyre après des tours et détours à travers le bois de Clerzat. La commune de Chanat a mis en place récemment trois circuits de randonnées, dont un que nous empruntons partiellement, la rando « Des trois villages ». Le balisage est joli mais très espacé. Comme je pense que la commune n’a pas produit le petit topo qui va bien, la rando ne me parait pas très confortable. C’est une constante ! Sans carte le randonneur du dimanche qui voudrait suivre des PR balisés aurait le plus grand mal. On en a encore la preuve en rejoignant Ternant : des changements de direction ne sont pas signalés alors que le sentier au sol est quasiment invisible. C’est ballot randi ! pardon BaliRando ! La sortie de Ternant est moins « fluide » que celles des autres villages/hameaux traversés et nous oblige à consentir quelques centaines de mètres de goudron. En regardant bien la carte il y avait un beau chemin à l’ouest de la D90. Un rapide HP à travers une exploitation agricole que nous quittons vite nous ramène sur le chemin de Sarcenat. Le retour vers Durtol n’est alors plus qu’une formalité. Il est temps car la troupe est bien fatiguée par cette randonnée un peu plus longue que nos standards, surtout hérissée de beaux coups de cul qui ont certainement pompé un peu d’énergie.
Secteur géographique : Rhône/ Alpes Cartes utilisées : Édition Didier Richard N° 10 1/50000 plus topo du Queyras et IGN Top 25 3637OT 3536 OT et 3537 ET Animateur : Michel D. Nombre de participants : (10 = 4F – 6H) Classement Atlas : Moyen kilométrage pour 3 voitures A/R : 1130 km x 3 = 3390 km Météo : 1er jour couvert puis pluie/ neige toute la nuit, 2ème jour couvert quelques averses de neige et brouillard puis soleil l’après midi. 3 ème jour idem , 4 ème jour passages nuageux puis soleil ,5 ème jour neige toute la journée visibilité réduite, 6 ème jour le froid est là -5 ° au départ jusqu’à -8° à 2100 avec un beau soleil, 7 ème jour idem température négative et grand beau pour notre dernière rando . Les données kilométriques et altimétriques des journées sont le résultat de montres et GPS Garmin
Séjour prévu en étoile à partir de l’ auberge de Jeunesse de Guillestre en pension complète pour découvrir de somptueuses vallées couvertes de Mélèzes qui assurent un festival de couleurs , la nature nous a donné un festival de chefs d’œuvres. Les mélèzes et pins cembro forment cette forêt emblématique du haut Queyras. Elle atteint l’altitude record de 2500m, là ou la végétation n’a guère plus de trois mois pour se développer. Le pin Cembro, étroitement associé au mélèze, est appelé également arole. Il est l’un des emblèmes du Queyras. Les rameaux sont vert bleuté. Les bourgeons sont cylindriques et pointus , ses aiguilles de section triangulaire, sont groupées par cinq. Son bois léger est utilisé pour l’ébénisterie locale. Chaque jour nous somme allés savourer une nouvelle vallée avec ses nombreux chalets d’alpages à l’architecture typique, nous les avons parcourus par tous les temps pluie ,neige, soleil et froidure. Séjour classé par les participant de « MAGNIFIQUE » pour les couleurs flamboyantes des mélèzes. Je suis entièrement de leur avis, c’était tout simplement féerique ces éclairages au grès du changement de couleurs des aiguilles des mélèzes, paysages que l’on ne voit nulle part ailleurs.
JOUR 1 samedi 30 octobre ; Trajet voiture Clermont Fd/ Château Queyras départ 5h30 , arrivée à Château Queyras à 12h il pleut repas de midi pris sous un abri de fontaine. Puis départ à 13h pour la rando de l’après midi à 1370m Distance : 12km D : 580 Durée : 4h Déplacement : 4h30 mini 1370m maxi 1900m GR 5 lac de Roue 1847m, ravin de Terre Neuve par un canal d’irrigation en fonction, passerelle de Pré Soubeyran, passage à Soulier 1850m, Pr jusqu’au parking autos par Rouchou et Eyssartou, arrivée à 17h30. Montée sous ciel couvert et neige vers 1800m. Redescente à Guillestre et installation à l’auberge, accueil très sympa de Jérôme et son équipe.
JOUR 2 dimanche 31 octobreAbriès : Distance : 18km D 850m Durée:5h Déplacement : 7h30 mini : 1560m maxi: 2350m Départ couvert puis éclaircies et soleil jusqu’à 16h Journée flamboyante sous le soleil et les mélèzes, rando où les photographes ont pris leur pied. Deux véhicules pour Abriès départ rando 9h30. Draille de la combe javel, GR 58, le bois noir->2126m bergerie des pierres écrite, bergerie sous Roche, repas de midi, passage PC 2318 , nous laissons le GR qui monte au col d’Urine 2525m, redescente par un PR ancien GR le long du torrent d’Urine, hameau de Valpréveyre 1850m hameau dévasté par plusieurs avalanche mais encore reconstruit, Valpréveyre le nom de ce hameau perché à 1839m vient du provençal veyre qui signifie inculte En 1691 ses 40 maisons furent détruites par un incendie. Sa Chapelle St Roch fut reconstruite en 1712. Pierres Écrites, un livre de pierre… Partout, les bergers ont gravé sur la roche des textes, témoignages de leur éducation. Une belle pierre plate arbore un nom et un prénom, œuvre d’un berger laissant là sa trace. Le village d’Abriès est connu pour ses multiples pierres écrites que l’on retrouve de-ci de-là sur le mur d’une maison ou d’une digue. Elle témoigne de l’instruction des Queyrassins à une époque ou bien souvent, dans les montagnes, les familles n’avaient ni le temps, ni l’argent pour s’en préoccuper. Au 16éme siècle déjà, les communautés recrutaient pour l’hiver un maître d’école qu’elles entretenaient. Au 18éme siècle, la plupart des Queyrassins savaient lire et écrire. Voilà le pourquoi de toutes ces inscriptions. Camping aire naturelle et PR direction le hameau de Le Roux 1810m, passage à la chapelle St Barthélémy et sente jusqu’à l’alpage de La Gasgue et descente sur la route D441 par sente, passage de passerelle au dessus du torrent de Boucher, arrivée à Abriès à 17h visite du village et recherche des pierres écrites, retour à Guillestre .
JOUR 3 lundi 1er novembre Aiguille Distance : 15 km D 1080m Durée : 5h35 Déplacement : 7h Mini : 1450m Maxi : 2350 Ce matin, météo pas top je décide de reporter la rando du jour (Molines). Donc nous partons pour Aiguille. . Départ sous la pluie du parking du Guil, puis neige vers 1700m jusqu’à 13h et ensuite soleil jusqu’au retour. A 9h 30, passage à une chapelle, remontée du torrent de Peynin par un subtil PR jusqu’au Pc 2305 où, surprise une cabane grand luxe, ouverte à tous avec couchage, nous attendait. Cabane des chasseurs d’Aiguille. Nous avons pu pendant le repas de midi nous sécher un peu. C’est certainement une tradition dans ce Queyras les chasseurs retapent des anciens chalets d’alpage vraiment très confortables et les partagent avec les randonneurs car sur notre séjour nous en avons vu trois autres de ce style. Après le repas, redescente car il y a environ 20 cm de neige fraîche et certains n’étaient pas trop à l’aise. Bois des lauzières 2148m, bergerie Prachin, anciens téléskis, sources du colombier, hameau de Peynin et retour aux 2 voitures à 16h35.
JOUR 4 mardi 2 novembre Molines, le Mont Bucher 2254m : Distance : 19 km D : 1050m Durée : 5h Déplacement : 8h20 Mini 1710m Maxi 2370m Ce matin, météo correcte donc direction Molines. Quelques passages nuageux le début de la matinée puis soleil, température proche du 0°. Départ du parking, 2 autos à 9h , PR le long du torrent aiguë Agnelle , PR passage barre rocheuse de la Seiche, le Clot Henri 2ème cabane de chasseurs grand luxe, col des Prés de Fromage puis montée au sommet du Bucher 2254m, vue à 360° sur les sommets alentours, la Barre des Ecrins et le Pelvoux, repassage au col des prés de fromage, GR 5, fontaine rouge, plateau des chalets de Fontantie 2247m, bergerie de la Sommette, retour sur le GR 5, Llousselar, descente torrent du vallon, sous la pointe de Selle et pointe Rasis 2844m , PR sous la crête de combe Arnaude, découverte d’une pierre écrite, sente PC 2348, bois des Vallonnets, hors sente chapelle St Simon, le Clot Henri, hors sente croisement de quatre sentes dans la forêt de Mélézin, piste forestière au dessus de la barre rocheuse de la Seiche, bois de Ribo Martno puis parking de Molines, arrivée 17h25.
JOUR 5 mercredi 3 novembre Ceillac , Vallée du Cristillan : Distance : 19 km D : 720mDurée : 5h20 Déplacement : 7h Mini 1650m Maxi 2165m Météo : neige et frais toute la journée, peu de visibilité, températures négatives toute la journée. Mais visite de beaux hameaux pittoresques du Queyras. Dépose des 2 véhicules place de la Mairie. Départ de la rando à 9h15, PR la Vière, forêt domaniale de Mont Dauphin, pont de Villard, piste le long du torrent Cristillan, PC 1909 direction PR hameau le Serre , le Rioufenc, bergerie des Bois Noirs, l’étable des Génisses, pause car 25/30 cm de neige fraîche, redescente sur les Claux, hameau des Bois Noirs qui a subi lui aussi des avalanches, bergerie du Lacas, Les Chalmettes, Rabinoux, Le Tioure, chapelle Ste Barbe puis GR 5 jusqu’à Ceillac, passage à l’office du tourisme pour certains, arrivée à 16h30.
JOUR 6 jeudi 4 novembre St Véran : Distance : 16 km D : 600m Durée : 4h45 Déplacement : 6h30 Mini 1850 Maxi 2390 Météo : grand beau, dans la neige 5/25 cm, froid entre -3° et -8°. Aujourd’hui 2 véhicules au parking Pierre Belle sous St Véran, départ à 9h05, GR58 Le Raux, pont du Moulin. Là je décide (comme les autres jours) de modifier ma rando car dans la petite descente jusqu’au pont 2 chutes dues à la neige, donc j’annule l’aller retour à la crête de Curler pour son point de vue avec des pentes soutenues, nous continuons par la remontée du torrent Aiguë Blanche, Pont Vieux, Pré Rolland et forte montée dans la neige à la chapelle de Clausis 2399m, pause avec repas au soleil. J’abandonne aussi le secteur prévu du passage au refuge de la Blanche à 2499m car les jours sont courts et le groupe avec ses arrêts photos (compréhensible car tellement beau) et la neige n’avance pas très vite donc direction l’ ancienne carrière de marbre vert et ancienne douane puis l’ancienne mine de cuivre et nous prenons le chemin de retour en suivant l’ancien grand canal d’irrigation de St Véran, le bois de Colombe, la cabane Beau Regard et St Véran. Arrivée à15h et 30mn de visite du village.
JOUR 7 vendredi 5 novembre ½ journée au dessus de Villar St Pancrace rando dans Cembraie des Ayes Distance : 14 km D : 600m Durée:3h20 Déplacement : 4h20 Mini 1370m Maxi 1930m Après avoir libéré notre hébergement à 7h45 et chargé les 3 véhicules nous prenons la route de retour vers Clermont Fd mais une matinée de randonnée nous attend avec un soleil radieux et des températures négatives. Arrivés au pied de la minuscule route qui mène au parking prévu, je décide de laisser les véhicules au parking du bas car la route est enneigée. Nous prenons donc le chemin pédestre pour 6 km de montée 1h30, (non prévue) vers le hameau de Ayes en hivernage à 1800m, rues enneigées et route verglacée (les adhérents me disent qu’on a bien fait de laisser les véhicules en bas). La montée dans les mélèzes et pins cembros était de toute beauté, sentes et PR jusqu’au lac gelé de Orcyrette 1930m, sublime sous le soleil et le cirque derrière lui. Nous ne monterons pas plus haut car il faut rentrer à la capitale Auvergnate, retour par sensiblement le même chemin, repas de midi à Plan Peyron ou nous avions repéré des tables au soleil lors de notre montée, très belle et dernière salle à manger. A cause de l’ enneigement nous ne sommes pas montés dans la Cembraie la plus haute des Alpes (le pin Cembro aux aiguilles qui sont groupés par 5). Une autre fois peut être de passage à Briançon . Arrivée aux voitures vers 13h Briançon gaz oïl et départ à 14h pour le col de Lautaret où la saison hivernale a commencé, randonneurs en raquettes, skis de rando et surf, enfants avec luges . Nous sommes arrivés après une pause à l’Ile d’Abeau à Clermont Fd à 19h.
Animateur : Georges Nombre de participants : 13 ( 8 f et 5 h ) Météo : soleil toute la journée, vent sur les hauteurs Terrain : gras sur certains secteurs Distance : 22 km Dénivelé : 900 m Durée : 7h 45 pause comprise Classement Atlas : annoncée facile et reclassée moyenne Kilométrage auto : 72 km pour 2 voitures, 78 pour 1 autre et 1 sur place soit 222 km
ITINERAIRE : Rochefort-Montagne, pc 999, Roche branlante 1128, Rouchaube haut, Douharesse, La Montagne du Gros, Sommet de la Roche Sanadoire, traversée du ruisseau de Fontsalade, sommet de la Roche Tuilière, La Malviale, retour à Rochefort Montagne.
La roche branlante
Rochefort-Montagne, notre point de départ avec pour objectif la remontée du ruisseau de Fontsalade jusqu’à sa source. C’est rive droite que nous commençons notre rando en direction du plateau, un petit allez-retour pour découvrir la Roche Branlante : un énorme bloc de roche volcanique posé en équilibre sur d’autres. Le prochain objectif, les Roches Tuilière et Sanadoire, ces deux sentinelles appartiennent au massif volcanique de l’Aiguiller dont la période d’activité s’échelonne entre 2,2 et 1,8 millions d’années. A l’époque, ce volcan était en partie recouvert d’une calotte glacière. Ces deux roches sont des protrusions ( une protrusion se forme lors d’une éruption volcanique lorsque la viscosité du magma fait que celui-ci monte lentement sous la forme d’un piston ). Au fil des siècles, les glaciers ont érodé les deux roches pour former une vallée en auge. Au moyen-âge, la roche Sanadoire était surmontée d’un château, il servait de repaire aux mercenaires Anglais pendant la guerre de cent ans. En 1373,les ducs de Bourbon et les seigneurs d’ Auvergne durent l’assiéger pour déloger les 300 Anglais présents sur le site. A la fin du xv siècle un tremblement de terre provoqua l’effondrement de la partie sommitale.
Roche Tuillière
Nous voici au pied de la roche Sanadoire, nous posons les bâtons qui ne nous seront d’aucune utilité et c ‘est avec les mains que nous escaladons la première partie. La progression est lente, la pente devient moins raide, nous atteignons le sommet avec soulagement. C’est une première pour certains, la vue est magnifique avec la roche Tuilière en face qui nous attend. La descente est moins rapide, la vigilance est de rigueur.
Roche Sanadoire
Nous descendons au fond de la vallée après avoir traversé le ruisseau de Fontsalade, c’est la remontée en direction de la roche Tuilière que nous atteignons vers 1h30 pou le pique-nique. Elle a été exploitée pour ses pierres de Lauze, elle est aujourd’hui classée. Dernier site à voir, le domaine de la Malviale, il a été construit entre 1890et 1900, avec la magnifique grange dont la charpente et ses dimensions ont fait sa renommée. Malheureusement aujourd’hui elle est en ruine, seule subsiste la maison du fermier qui est aujourd’hui occupée par un monastère orthodoxe avec des moniales. Retour à Rochefort-Montagne, une petite halte au bistrot du coin pour clore cette magnifique journée ensoleillée. Merci à tous pour avoir bravé les difficultés et selon la formule toujours dans la bonne humeur.
Animateur : Michel J. Terrain : souple Météo : température négative au départ, ciel bleu Temps de préparation et de rédaction : 2h 00 Mise à disposition de bâtons : 1 paire de 115 cm Kilométrage : 4 voitures avec une moyenne de 35 km (aller et retour) soit 140 km Nombre de participants : 7 animateur compris (1F, 6H) Distance : 21 km 740 ; moyenne 6,6 km/h (montre gps), dénivelée 525 m (montre altimétrique), 547 m (montre gps). Durée : 3 h 16 (de marche) et 3 h 43 (de déplacement) Itinéraire : parking du panoramique des Dômes, chemin des Gouris, direction Sud, traversé de la D68, col de Ceyssat, Sud grand Sault, Bac de Montmeyre, chemin passant à l’Est du puy de Gorce, Bas de Ceyssat, passage entre Puys de Côme et Balmet, Ouest de Chabanne Vieille, traversé de la D941, col des Goules, parking des Goules, traversé de la D941, stand de tir, Sud-Est du Puy Pariou, chemin des Gouris, parking… Observations : échauffement habituel. Deux pauses d’un total de 27 minutes environ ont permis d’absorber, eau, quelques fruits secs et autres encas tirés du sac à dos. Déplacement dans la bonne humeur et avec dynamisme mais sans excès !
Animateur : Michel D. N. de participants : 12. 7 F , 5H Météo : Ensoleillé températures très douces Distance : 22 Km Dénivelé : 1200 m (annoncé 990m mais requalifié difficile compte tenu du dénivelé supplémentaire) Durée : 9h avec les nombreuses pauses explicatives. Classement : Difficile Km véhicules : 112×2 = 224km et 92×1= 92km. total 316 km
Cascade fontaine salée
Itinéraire : Départ baraques de Vassivière, chemin de croix source de Vassiviaire et chapelle, madonne redescendue a Besse pour l’hivers, traversée du bois de Landrode sous le puy de Paillaret, passage vers un curieux rocher (explication donnée au groupe présent), passage au col de Couhay, GR 30 puis sommet du puy Ferrand 1854 m car la majorité du groupe n’y était jamais monté puis pause déjeuner sur une terrasse a 360° Un groupe d’une trentaine de militaires fait de même sûr celui que j’appelle le petit Ferrand 1844m juste au dessus du col Ferrand, passage au col de la cabane, pas de l’âne où je rencontre Guillaume T. un copain d’école de Besse et ami de mon fils qui est garde du parc, passage au pas des chèvres avec ses chaînes garde fou, puy Redon, col du val de Courre sous le puy Chabanne, longue descente au buron détruit du roc de Tuile, traversée de la pinède et passage au buron refuge de Merdencon inconnu par un grand nombre de personnes du groupe, puis passage à la source salée et puis chose incroyable pour moi personne du groupe ne connaissait la cascade de la vallée…. mais la aussi il fallait être avec le groupe pour connaître cette cascade qualifiée de fabuleuse par les participants avec ses deux ressauts, remontée sur la montagne haute, passage sous le Paillaret ouest. Toute la journée le ciel était rempli d’oiseaux de toutes les couleurs (les parapentes), col de la Geneste, descente sur Vassivière par les pistes de ski de fond, on repasse à la source car les gourdes sont vides et retour aux véhicules. Superbe journée a tout point de vue , seul bémol aucun animal sauvage . Merci et bravo aux participants
Carte 2432 ET Animatrice : Mady Nombre de participants : 17 animatrice comprise (10F, 7H) Météo : journée ensoleillée, température douce Distance : 20 km (openrunner) Dénivelé : 1000 m ((openrunner) Durée : 7 h 15 Classement Atlas : moyenne Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd (100 km X 2) et 2 voitures du Crest (80 km X 2) soit au total 360 km Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : Parking de la maison de la Réserve Naturelle, Montagne de la Plate par versant Nord, Puy de Champgourdeix, Col de la Cabane, Pan de la Grange, Puy de Cacadogne, Puy des Crebasses, Sud Chambon des neiges, Pont St Anne, Parking.
Nous ne partons pas vers la vallée mais à l’opposé. Le chemin permet une montée régulière et douce sur le plateau. Vue de ce côté, la Montagne de la Plate ne l’est pas vraiment !
Montagne de la Plate versant Nord
Alors que nous progressons vers elle, sur l’épaulement, un mouflon nous observe tranquillement avant de s’éloigner. Après une petite pause au sommet, d’où nous pouvons profiter de panoramas sur le massif mais aussi plus lointains, nous repartons pour retrouver le parcours qui suit les crêtes.
Montagne de la Plate
Le Puy de la Perdix nous accueille pour le pique nique. Il fait très beau et il faut motiver le groupe pour repartir. Près du col de la Cabane, à nouveau, 2 mouflons qui traversent le sentier et disparaissent côté Chaudefour. Nous avons vraiment de la chance. Et ce n’est pas fini !
Mouflons
Dent de la Rancune et crête de Coq
Alors que nous surplombons la vallée de Chaudefour, plusieurs groupes et des individus isolés se déplacent ou paissent tranquillement sur les pentes. Les yeux pleins de belles images, nous quittons les hauteurs et faisons une dernière pause sur une douce pelouse au cours de la descente vers le Chambon des Neiges. Un chemin bien ombragé nous ramène vers la vallée. Petit détour par la fontaine St Anne et c’est la fin de cette randonnée où tous les éléments, météo, paysages, faune, étaient réunis pour en faire une très belle journée. Sans oublier bien sûr les participants et les gourmandises partagées !
Fontaine St Anne
Remarques : 2ème sortie dans le Sancy à peu d’intervalle compte tenu de la météo.
Carte 2432 ET Animatrice : Mady Nombre de participants : 11, animatrice comprise (7F, 4H) Météo : journée ensoleillée avec des températures fraîches le matin et sur les hauteurs exposées au vent du Nord-Est Distance : 20 km (openrunner ) Dénivelé : 930 m (montre altimétrique) Durée : 6 h 40 Classement Atlas : moyenne (annoncée facile mais requalifiée compte tenu du dénivelé réel) Kilométrage auto : 2 voitures de Clermont Fd soit 114 km x 2 et 1 voiture du Crest soit 120 km au total 348 km Préparation et rédaction : 2 h 30 ITINERAIRE : La Bourboule (ZAC de la Vernière), les Marais, Pailloux, Puy Gros, Banne d’Ordanche, traversée de la D609 à l’ est du village de vacances de Murat le Quaire, l’ Usclade, Zac la Vernière.
Le ciel est bien dégagé mais il fait très frais au point de départ situé à côté de la Dordogne. Le Puy Gros domine la vallée. C’est un des objectifs de la journée. Nous empruntons le chemin qui suit, à part quelques petits écarts, la rivière.
Source Félix
Découverte d’un pavillon à l’abandon abritant la source Félix dont l’eau était utilisée en bain pour soigner les maladies de peau et un peu plus loin du Moulin de la Compissade. Sur ce lieu fut construite en 1898, une centrale pour alimenter en électricité le funiculaire des Capucins, 1er funiculaire de France à traction électrique. Cette centrale a été remise en service en 2016, avec l’objectif d’alimenter en électricité (hors chauffage), entre 300 et 350 foyers du Mont Dore.
A l’entrée du Mont Dore, nous nous éloignons de la rivière pour gagner les hauteurs. Le soleil bien présent nous réchauffe. Nous profitons d’un arrêt pour enlever des «couches» et admirer le paysage. De la Montagne de Bozat au Roc de Cuzeau, les différents sommets sont énumérés.
Massif du Sancy
Le chemin zigzague entre forêt de hêtres et parties découvertes pour arriver finalement sur le plateau où souffle un petit vent de Nord-Est. Un nouveau panorama plus large sur tout le massif et au loin sur la chaîne des Puys un peu dans la brume. Arrivés au sommet du Puy Gros, il faut se mettre à l’abri côté sud ouest pour le pique nique. Bien calés dans la pente, à l’abri de rochers, nous pouvons en toute tranquillité nous restaurer avec sous les yeux, notre point de départ. Après une friandise offerte par Régine, il est temps de repartir pour la Banne d’Ordanche dernier point haut de la journée.
La Banne d’Ordanche
Avec en partie le vent dans le dos nous grimpons alertement les dernières pentes Bizarrement, arrivés à la table d’orientation, le vent est moins fort ! A la descente nous nous arrêtons au Tra reconstitué par des passionnés de la nature. Cette forme d’habitat temporaire typiquement auvergnat, très probablement des abris pastoraux liés à l’estive bovine, intrigue encore les archéologues.
Entrée du Tra
Au-dessus du village de vacances de Murat le Quaire, nous prenons la direction Est. Le chemin serpente d’abord dans une forêt de conifères avant de retrouver une belle hêtraie. A la jonction avec le GR 30, c’est la descente vers notre point de départ et la fin de cette belle journée.
Remarques : après plusieurs journées de grisaille, contents de retrouver un ciel dégagé et le soleil. Un seul regret, aucun animal aperçu au cours du parcours.
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