Dim 08/05/2022 Rando Cézallier Eglise Neuve d’Entraigues

Animateur : Thierry
Nombre de participants : 7 animateur compris (5F-2H)
Météo : assez ensoleillé et doux – vent sur les hauteurs
Distance : 25,4 km   (GPS)
Dénivelée : 810 m (GPS)
Durée : 7h30
Classement Atlas : Facile
Kilométrage voitures : 140 km – 2 voitures de Montferrand

Itinéraire : Redondel, Bogon, La Cabane, Lavergne, le Bac, Labro, Lascombe, la Bastide, Montgroleix, le Lac, Chante-Milan, la Grande Chaudière, D636, la Montagnoune, ouest Espinchal, GR30 jusqu’à Redondel

De retour dans le Cézallier en pleine saison des jonquilles et lorsque les vaches ne sont pas encore sorties ou très peu…. De belles conditions donc pour une boucle que nous débutons sur la frange orientale du plateau en sautant de vallons en vallons et en traversant de petits hameaux assez peu peuplés et dédiés à l’élevage. Nous croisons par moment le circuit des Vache rouges qui ne semble pas-plus entretenu. Quelques balises apparaissent encore mais comme à la Cabane, le sentier est complètement recouvert de végétation et presque plus visible. Sur les points hauts, nous avons de beaux points de vue sur les Monts du Cantal au sud et le Sancy au nord. Cantal un peu brumeux en début de matinée et qui se dévoilera un peu plus tard. Nous mangeons au-dessus de la Bastide après un petit hors-piste qui nous amène sur les pentes verdoyantes qui surplombent le hameau. On devine la suite du cheminement qui sent bon la dénivelée pour parvenir à Montgreleix ! Après avoir sauté quelques clôtures pour retrouver le chemin, nous vérifions sur le terrain que ça monte bien. Mais ca tombe bien puisque j’annonce depuis le matin que nous allons bientôt arriver sur le vrai Cézallier. A Montrgreleix, on y est presque. Du chemin pour y arriver, on a de longues vues dégagées sur le Mont Chamaroux à l’est et sur les paysages typiques du plateau aux larges ondoiements du terrain et au vert des estives. L’herbe parlons-en : à Labro, un éléveur en tenue de travail avec sa frontale encore accrochée nous explique que les vaches ne sont pas encore sorties par manque d’herbe. Les raisons de ce manque : le retard dans la pousse dû au manque d’eau (le printemps et l’hiver n’ont pas été pluvieux) et surtout causé par la voracité des rats-taupiers qui effectivement dévastent les herbages. A hauteur d’homme, les prés ne sont pas aussi vert qu’on pourrait l’attendre mais parcourus de longues trainées de terre sèches. Inquiétant. Du coup, il n’est pas rare dans les près avant Montgreleix de voir des vaches autour de mangeoires à foin.

Après le Lac, nous entrons dans une longue partie hors piste pour remonter au nord vers Espinchal. Les passages de vache sont confondus par certains Atlassiens conmme de vrais sentes… Classique. Après le buron de Grande-Chaudière, nous rebasculons vers Espinchal qu’on deb=vine au loin. A notre droite, vers le bas de la pente nous observons de larges sagnes des Chastelets reconnaissables à leur brun ocre. Un peu plus loin nous devinons le lac de St Alyre. Un dernier HP nous amène au buron de la Montagnoune et au bois de Play et à la partie ouest d’Espinchal. En traversant cette partie du village, certaines maisons typiques du secteur arrêtent notre regard. Ces fameuses maisons construites par les marchands de toile dans la seconde partie du 19ème – début du 20ème siècle.Ils partaient (6 à 9 mois de l’année) en tournée à pieds puis avec le cheval et la charrette (maringotte) spécialement aménagée pour recevoir les pièces entières de toile. Ils furent ensuite les premiers à acquérir des automobiles en paticulier les marchands d’Espinchal.Ils vendaient dans toute la France et même en Algérie. En 1920, on comptait près de 3500 marchands devenus des Négociants-voyageurs regroupés dans la Fédération du même nom qui existe encore aujourd’hui (on appelait jusque récemment les représentants Michelin, des voyageurs dans le vocabulaire de l’entreprise….).

Après une dernière petite montée sur le GR30 nous voilà de retour à Redondel. Un pré alentour est recouvert de jonquilles. Je me sers pour ramener un beau « trophée » à la maison.

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Jeu 05/05/2022 Rando Haute Loire Lempdes sur Alagnon

Animateur : Georges
Nombre de participants : 18 (9 F et 9 H )
Distance : 21 km
Dénivelé : 650 m
Durée : 6H30
Classement Atlas : facile
Météo :  couvert toute la journée avec de petites éclaircies, pas de pluie. températures agréables.
Kilométrage voitures : 125 km pour 1 voiture et 85 pour 3 autres soit 380 km


ITINERAIRE : Départ de Lempdes sur Alagnon, Chambazon, plateau du Caure, traversée de l’alagnon, Lanau, Léotoing, Farreyrolles, retour à Lempdes sur Alagnon.

L’Alagnon


C’est du camping de Lempdes sur Alagnon que nous commençons notre rando. Un petit dénivelé pour s’ échauffer et nous descendons au bord de l’Alagnon. Après avoir traversé un petit ruisseau, un chemin en zigzag nous amène jusqu’au village de Chambezon en direction du plateau du Caure, avec une belle vue sur la vallée et les méandres de l’Alagnon. Nous entamons la descente, un PR nous guide jusqu’au fond de la vallée, nous avons la surprise de croiser Elisabeth C. en traversant un ruisseau ( elle participait à un prélèvement de la faune aquatique ). Nous retrouvons l’Alagnon et le village de Lanau.

Terrasses fleuries sous le château de Léotoing

En face de nous, deux cents mètres plus haut, l’imposante ruine du château de Léotoing, nous décidons de prendre le pique-nique au pied du château. Sur ses pentes, de magnifiques terrasses en écailles ont été restaurées par l’association Oasis de Léotoing Cétanella.Ancienne forteresse médiévale du XIII siècle, propriété des Dauphins d’Auvergne durant plusieurs siècles, le château tombe en ruine à partir du XVIè et sert de carrière pour les habitants du village. Depuis le pied du château, nous entamons le retour à travers une zone de cultures et de prairies verdoyantes. Merci à tous, à bientôt sur de nouveaux chemins.

Pique nique au château de Léotoing

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Jeu 28/04/2022 Rando Sancy Murol

Animateur : Fabien  
Nombre de participants : 14 (7F, 7H) animateurs compris
Météo : Beau temps ensoleillé. Températures élevées
Terrain : Sec
Distance : 24,1 km   
Dénivelé : 670 m
Durée : 7 h pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 90 km pour 2 voitures de Clermont et 70 km du Crest pour 2 voitures soit 320 km


ITINERAIRE : Lac Chambon, le Tartaret, Murol, Chautignat, Prabellet, St Nectaire, PC 763, Sapchat, Roche Romaine, Puy de Bessolles, Bois Rivaoire, Jassat

La journée avait mal commencé pour l’animateur. Sa voiture n’a jamais voulu démarrer. Un grand merci à Corinne qui m’a récupéré chez moi, permettant ainsi à la balade de se dérouler comme prévue.

Cette balade a commencé par une mise en jambe tranquille et bucolique en faisant le tour du lac Chambon. Ce tour a permis de voir, sur sa rive ouest, la Couze de Chaudefour qui alimente le lac ainsi que les aménagements réalisés autour de celle çi. En effet, en draînant sédiments et alluvions, la Couze de Chaudefour entraîne la réduction de la surface du lac (qui a perdu les ¾ de sa superficie initiale) et à terme, son comblement. D’où ces aménagements autour de la Couze pour réduire cette échéance.

Le lac “miroir” Chambon

Une fois ce tour effectué, nous ne pouvions pas continuer sans monter au Tartaret, intimement lié au lac Chambon puisque c’est ce volcan qui, en barrant la Couze de Chaudefour , a donné naissance au lac Chambon. Au sommet, après avoir profité de la jolie vue sur le lac et le Massif du Sancy, nous faisons le tour du Tartaret , ce qui nous a permis de voir son cratère, chose moins évidente au premier abord compte tenu de la végétation. C’est alors le moment de redescendre sur Murol, et commencer à apercevoir le Château de Murol que nous verrons sous tous ces angles au fur et à mesure de la balade.

Vue depuis le Tartaret

Après être passé devant le château, direction Chautignat. Avant d’arriver à ce village, nous découvrons le moulin de Landrode ; beau petit endroit accolé au ruisseau de Chadeyre qui aurait fait un joli terrain de pique nique mais il n’était que 11h25 et l’estomac de Jean Louis n’était pas encore prêt !!! Nous continuons donc et après avoir traversé Chautignat, nous mettons le cap sur Saint –Nectaire. Après s’être restauré au soleil, nous reprenons notre marche et apercevons St Nectaire mais nous n’entrons pas dans la ville et bifurquons au sud pour rejoindre Sapchat.

Roche Romaine

De là, nous nous dirigeons vers le Puy de Bessolles que nous gravirons par son épaulement nord est, ce qui nous fait atteindre la Roche Romaine ou nous faisons une petite pause devant le panorama à 360 degrés ou chacun essaie de trouver les différents Monts qui nous entourent. Cette exercice terminé, nous effectuons les derniers mètres d’ascension jusqu’au Puy de Bessolles. Après avoir fait le tour de ce Puy et profité d’un joli panorama sur le lac Chambon, nous redescendons sur Jassat via les bois de Rivaoire et empruntons le GR jusqu’aux Fougeoles. Et c’est là que nous ferons le hors piste en redescendant à travers les bois des Bouves, ce qui nous permettra de regagner notre point de départ en évitant de cheminer le long des maisons.

Arrivé à destination, un pot en terrasse avec le lac Chambon en arrière-plan conclue cette belle journée de fort belle manière.

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Séjour n°7 Escapade en Aveyron

Date : 23 AU 25 AVRIL 2022
Animatrice :   Christelle
Nombre de participants :  12 animatrice comprise   (8F, 4H)
Météo : J1 ciel gris avec quelques vagues éclaircies, vent sensible sur le plateau puis à partir de 15h pluies orageuses jusqu’à la fin
J2 pluie et brouillard tout le parcours
J3 bien ensoleillé toute la journée


Terrain : J1 première partie sur sols secs , détrempés pour finir mais sans gêne pour cheminer
J2 de belles flaques ,chemins herbeux très humides, passerelles du lac bien arrosées mais non glissantes
J3 retour à des terrains secs

Parcours J1 18Km  678 m D+ 6h pauses incluses
J2 10 Km 112 m D+ 3H pauses incluses
J3 20 Km 680 m D+ 6h35 pauses incluses


Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 680 k x 3 véhicules

ITINERAIRES : J1 Castelnau-Pégayrols,Castelmus, ravin de Carlesse,la Bise, PC 720, PC 687, Roquetaillade, Marzials, ruisseau de la Salesse, PC 625, PC 608, PC 649, Castelnau.
J2 Le Jouanesq, Puech de Font Frège, Le Vialla haut, ruisseau de la Niade, passerelle sur le lac de Villefranche, D528 Montplaisir, Alrance, le Jouanesq.
J3 Brousse le Château, pont sur le Tarn, les Clauzets, la Balmayrié, D902, pont sur le Tarn, Couffoulens, aller retour chapelle St Cirice, Puech Cani, La Palisse, Nouals, La Castié, Viales, Brousse .

Castelnau Pegayrol

Comme convenu le convoi des atlassiens a quitté le Crest samedi matin à 7h15 et après une petite halte en Lozère nous arrivons à Castelnau Pegayrols à 10H.Nous croisons les doigts pour que les mauvaises prévisions météo soient fausses mais le ciel est déjà bien chargé et l’air bien frais. Nous parcourons rapidement les ruelles de ce vieux village déjà occupé par un fort au Xème siècle. Il s’en dégage une atmosphère très moyen-âgeuse avec ces antiques maisons à colombages, les fenêtres à meneaux, les linteaux ouvragés ; le tout construit avec de belles pierres blondes ou rougeâtres. Nous admirons une reconstitution du village en miniature C’est bien dommage que l’horizon soit bouché car le site occupe un rebord de plateau où, par beau temps on peut profiter d’un panorama étendu sur le haut Languedoc, la Montagne Noire, les Monts de Lacaune ainsi que le Mont Aigoual. L’endroit mérite vraiment le détour.

Reproduction miniature de Castelnau

Nous plongeons ensuite dans la vallée de la Muze par une jolie sente qui serpente au milieu des châtaignIers, bon raidillon qui nous amène 300 mètres plus bas pour enjamber le ruisseau de la Muze puis remontons aussi sec jusqu’à un autre joli village ancien, Castelmus, implanté sur un éperon rocheux. Nous poursuivons la remontée pour sortir de la vallée et aborder un plateau où la vue porte assez loin ,on aperçoit le majestueux viaduc de Millau qui tente de sortir de la brume. Déjà bientôt 20 ans (2004) que cet édifice nous permet d’éviter les bouchons !

Le vent ainsi que quelques gouttes se faisant plus présents, nous profitons d’un petit bois de résineux pour pique-niquer rapidement à l’abri car il ne fait pas bien chaud ! nous poursuivons la traversée du plateau où nous admirons de nombreuses orchidées. Nous tombons aussi sur un amas de roches ressemblant fortement à un dolmen ce qui ne serait pas étonnant dans ce département qui détient la première place en France du plus grand nombre de mégalithes (1000 dolmens recensés).

Puis nous plongeons de nouveau dans la vallée de la Muse pour rejoindre un autre joli village ancestral ,Roquetaillade. Blotti au bord du ruisseau avec toujours d’antiques et belles bâtisses posées les unes contre les autres comme nous le verrons aussi au village suivant de Marzials où nous ne pourrons malheureusement guère flâner pour cause de belles averses orageuses .

Près du Puech de Font Frégé

La pluie ne nous lâchera plus jusqu’à la fin et c’est donc engonçés dans nos tenues soit disant imperméables que nous terminons la dernière heure…. trempés. Nous n’avons même pas pu terminer la visite de Castelnau …dommage….Départ pour le gîte sous une tempête de neige fondue avec une petite halte pour observer un sanglier qui voulait traverser la route et cherchait une solution pour nous éviter !

La douche chaude et un bon dîner seront les bienvenus, tout le monde garde le sourire malgré des prévisions météo vraiment pas terribles annoncées pour le lendemain.

Dimanche matin, pas de miracle !! brouillard et pluie sont bien présents…nous partons quand même pour entamer un parcours moins long que prévu car je ne vois pas trop l’intérêt de faire 20 kilomètres dans ces conditions et tout le monde pense la même chose !

Nous cheminons dans une jolie campagne verdoyante émaillée de nombreux puechs. Nous rejoignons la bordure ouest du lac de Villefranche de Panat .Cette étendue d’eau de 180 ha et 4 km de long fait partie des lacs du Lévézou et alimente la centrale d’Alrance inaugurée en 1952. Joli site notamment apprécié par les pêcheurs. Un sentier de 10 km comportant une longue passerelle sur l’eau permet d’en faire le tour. Cela nous permet de traverser et remonter vers le nord du lac toujours baigné de brume et de bruine..en chantant « Singing in the rain »nous tentons d’imaginer ce paysage sous un beau ciel bleu !! en tout cas le cheminement se fait sans encombre, plusieurs autres petites passerelles permettent d’éviter les zones plus humides.

Lac de Villefranche de Panat

Arrivée à Alrance…c’est la fête annuelle locale mais compte tenu de la météo, nous ne croisons pas grand monde, un monsieur nous dit « vous avez du mérite !! ».Nous profitons du hall d’entrée de l’église pour pique-niquer au sec ! reprise sans amélioration du temps. Comme nous sommes à proximité des voitures, je décide d’en rester là. Retour au gîte où nous prenons le mode « colonie de vacances » avec temps calme, jeu de société pour se réveiller et terminons quand même la journée sur une bonne note avec une sympathique visite de la Tour de Peyrebrune. Située sur un puech à 913 m d’altitude , elle est couronnée d’une galerie d’observation perchée à plus de 30 mètres de hauteur où le panorama est bien beau et très étendu. Siège de la seigneurie de Peyrebrune, elle a été rachetée en 1898 par des abbés qui ont aménagé escalier et chapelle ainsi que la vierge qui couronne le toit de la galerie. La brume s’étant un peu dissipée nous avons quand même un peu profité de la belle vue! nous avons été accueillis par le président de l’association de préservation du site « les amis de Peyrebrune » qui a pris le temps de nous donner pas mal de détails sur la tour et la vie locale.. ce site de 31 ha classé également espace naturel est vraiment beau avec ses énormes blocs.

Tour de Peyrebrune

Le parc de Peyrebrune

Lundi matin, bonne nouvelle, le soleil pointe enfin le bout de son nez. Nous reprenons les voitures, nous plongeons vers la vallée du Tarn et Brousse le Château.

Classé parmi les plus beaux villages de France, ce petit bourg médiéval s’est implanté sous le château perché sur une éminence rocheuse tombant en à-pics sur le Tarn. Les habitants y trouvaient protection en ces temps troublés par de nombreuses guerres (100 ans, guerre des Routiers, guerre de religion…) Chantiers de jeunes et initiatives privées ont pu redonner vie à Brousse en respectant le cachet de ses vieilles demeures, ses ruelles étroites et pavées coupées par des escaliers. Un superbe et vieux pont enjambe l’Alrance et a constitué l’unique accès au village jusqu’au 19ème siècle.

Belvédère chapelle saint Cyrice

Nous entamons notre parcours par une traversée du Tarn et remontons une sente bien verdoyante où nous pouvons apprécier la vue sur le château et ses remparts qui surplombent la rivière. Nous savourons le doux rayonnement du soleil ! quel contraste par rapport à la veille !! Nous rejoignons les bords du Tarn que nous longeons pendant un bon moment puis le retraversons pour entamer la montée vers notre beau belvédère du jour, la chapelle Saint Cyrice. Comme souvent maintenant, les portes sont closes mais nous sommes là surtout pour la vue. L’édifice est installé sur un éperon rocheux que nous remontons sur quelques mètres pour apprécier un large paysage et la vue plongeante sur un méandre du Tarn. Lieu idéal pour pique-niquer mais il est vraiment trop tôt ! Pour nous mettre en appétit, nous faisons une bonne remontée vers le plateau occupé par quelques hameaux disséminés au milieu des pâturages et des exploitations essentiellement dédiés à la fabrication du fameux roquefort.

Brousse le château

Agréable pause pique-nique, toujours sous le soleil, au milieu d’une marée de pâquerettes…en route nous traversons de vieux villages dont les maisons faites de la pierre locale doucement teintée de rouge sont bien belles ! mention spéciale pour la Castié qui avait beaucoup de cachet avec en prime un beau panorama ! un peu plus loin nous croisons un habitant en plein travail titanesque de rénovation qui nous explique ses déboires de chantier et prends le temps de nous indiquer une astuce pour rejoindre Brousse. Je suis ses indications et nous profitons d’une superbe sente inondée de grandes bruyères blanches , variété que personne ne connaissait. Ce sentier est également un très beau belvédère sur tout le village de Brousse et son château que nous rejoignons par une petite sente qui serpente entre les chênes et les buis. Nous prenons le temps de faire le tour de ce beau bourg médiéval et terminons ce séjour par une sympathique pause désaltérante. Je remercie encore tous les participants d’avoir gardé sourire et dynamisme malgré ces conditions climatiques très médiocres !!

Bain de bruyères arborescentes

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Séjour n° 6 L’Allier en canoë canadien

du mercredi 20 au samedi 23 avril 2022

Animateur : Michel J.
Nombre de participants : 6 ( 2 femmes et 4 hommes ).

Le mot de l’animateur : L’exploration de cette rivière sauvage se poursuit. Nous reprenons notre périple à partir de Chatel-de-Neuvre. Les habitués ont accueilli avec plaisir deux nouveaux adhérents dans l’activité particulière qu’est la randonnée en canoë, Sophie et Pascal. Le débit d’eau faible pour cette période de l’année nous a obligé de suivre au plus près la masse d’eau et d’utiliser les techniques pour éviter et contourner les obstacles accumulés dans le lit. Une météo agréable, des bivouacs somptueux, une faune omniprésente plus particulièrement le deuxième et troisième jour, un groupe convivial, tous les ingrédients étaient réunis pour faire de cette première pour les adhérents d’Atlas, une parenthèse agréable. L’arrivée était prévue au Bec d’Allier, mais celui-ci étant passé dès 14h00 vendredi, le périple s’est poursuivi sur le fleuve Loire jusqu’à la Charité.

Préparatifs avant le départ

Météo : les prévisions pessimistes se sont révélées erronées. La première journée, la couverture nuageuse s’est disloquée au fur à mesure de notre progression vers le Nord. Les autres jours ont été agréables et les nuits fraîches sans excès. Trois gouttes sont tombées dans la nuit du vendredi au samedi.
Classement : facile mais cela reste de l’aventure avec des paramètres imprévus qui nécessitent une forte adaptabilité, un équipement sérieux et de la bonne humeur dans ces moments un peu délicats à passer.

Matériel mis à disposition par l’association :
2 canoës canadien de marque Venture modèle prospectot 17
1 canoë canadien Nova Craft prospector 17
équipement complémentaire pour les canoës (3 pompes, 3 écopes, éponges, 3 cordes de 15 mètres, des mousquetons, 2 chariots)
pour les bagages, chaque participant avait à sa disposition un container de 60 litres et un autre de 30 litres et 3 sacs étanches de marque Zulupack.
pour le couchage individuel ou en couple 1 tente Hardwear Montain, 1 tente North Face modèle WestWind (trois participants avaient leurs tentes personnelles)
6 tapis de sol complémentaires Space Blanket (orange)
1 tarp bergaus pour les repas (déplié un soir)
équipement pour les participants (6 gilets d’aide à la flottabilité, 6 pagaies et 1 de secours)
pour le transport des bateaux et containers : une remorque routière équipée de l’adaptation « canoë »

Eau : chaque participant avait à sa disposition une bonbonne de 5 litres d’eau rechargée au village d’Apremont sur Allier

Organisation générale :
Transport: à l’aide de deux véhicules en co-voiturage, Gilles (Citroën C3) et Michel J. (Renault kangoo) tractant la remorque nous sous sommes rendus à Chatel-de-Neuvre, lieu de la mise à l’eau. Le déplacement s’est fait en 1heure et 1/2.
Yves et Luc sont venus le 23 récupérer le véhicule Kangoo et la remorque pour les acheminer à l’arrivée. Au retour, Yves accompagnant Gilles pour reprendre son véhicule resté en dépôt. Un grand merci à ces deux adhérents bénévoles qui ont permis par leur disponibilité que ce séjour se fasse.
Kilométrage général effectué par les véhicules : 815 km

Niveaux d’eau : le 21 avril 49 m3/s à Moulins ; le 23 avril 106 m3/s ; le 24 avril à La Charité sur Loire 118 m³/s.
Conditions de navigation : ce faible débit nous a obligé à utiliser au mieux les courants rendant ce parcours intéressant techniquement.
Kilométrage parcouru : 112.750 Les données ont été fournies par une montre GPS de marque Garmin et la fin de l’étape 3 et la matinée du jour 4, recalculées à partir d’openrunner.
Hébergement : Les bivouacs en milieu naturel ont toujours été confortables dans un environnement exceptionnel.

Bivouac sur une île.

Itinéraire : les faits marquants

J1. Arrivés en 2019 à Chatel-de-Neuvre et après une pause due au Covid19 en 2020, c’est de cette commune que nous reprenons la descente. La progression se fait dans la réserve naturelle du Val d’Allier jusqu’à la hauteur rive gauche de Bressolles. De longs méandres succèdent à des courbes plus serrées, l’érosion par la force de l’eau est bien présente et des effondrements récents visibles. Un pylône de ligne à haute tension au socle renforcé se rapproche dangereusement année après année du bord de la rivière. De nombreux amoncellements de branches et d’arbres occupent une partie du lit. Bientôt l’ancien pont de chemin de fer et rapidement se profile la première difficulté que représente le pont de Régemortes construit à partir de l’année 1750 et qui porte le nom de son constructeur. Infranchissable, il faut impérativement se porter sur une des deux rives pour franchir l’obstacle. Passant habituellement, rive droite, je tente la rive gauche, côté passe à poissons. Après un repérage, nous avançons en progressant à pied dans l’eau, passons chaque bateau l’un après l’autre sous le pont et pendant qu’un des participants le maintien dans le courant, les containers sont déchargés en faisant une chaîne puis c’est le tour du bateau de quitter son milieu naturel empoigné par des bras vigoureux pour franchir la levée rocheuse.
Après c’est un jeu d’enfant, le bateau installé sur l’un des chariots est rechargé puis guidé jusqu’à la berge accueillante. Une bonne demie heure suffit pour les manipulations et la pause du pique-nique sous un chaud soleil est décidée avant de reprendre le fil de l’eau. Les cris des sternes Pierregarin sur l’île à quelques dizaines de mètres distraient notre pause.
Rapidement, le bruit de la ville et du trafic routier s’estompe et nous retrouvons le calme et le chant des oiseaux. A la moyenne de 8,5 km/h et après 4h10 de navigation et un peu plus de 35 kilomètres, nous plantons notre bivouac sur une île sableuse protégée de la légère brise de Nord par un rideau de jeunes saules. De nombreuses traces sont visibles : branches coupées et écorce mangée par un castor, piétinement par des oies et hérons, passage d’un chevreuil. A la tombée de la nuit, un vol important d’aigrettes garzettes remontant la rivière pour gagner son dortoir nous salue par son cri « krah krah krah »et nous invite à un repos compensateur.

Approche du pont de Régemortes à Moulins
Transfert sous le pont à Moulins côté passe à poissons…
Les Castors sont passés par là !

J2. Après un peu plus de 5 kilomètres, le passage du pont de Villeneuve, ne présente aucune difficulté. La largeur de la rivière nécessite une observation attentive pour voir vers quel bras la masse d’eau se dirige. Les ponts de Le Veurdre puis de Mornay sont franchis. Un chevreuil, rive gauche tout proche, regarde le premier canoë puis s’inquiète de ces mouvements inhabituels et décide subrepticement d’aller se cacher dans les taillis.
Lors d’un changement de direction et suite à une manœuvre trop tardive, l’un des bateaux se bloque sur un arbre en travers, la puissance de l’eau le fait pencher, le remplit et le retournement devient inévitable. Un second bateau dans le mouvement ne peut éviter à son tour l’obstacle et subit le même sort. Les containers étant bien arrimés à bord, les équipiers se laissent dériver et reprennent pied un peu plus loin sur la rive, les embarcations étant récupérées au passage. Reste à pomper l’eau, recharger les bateaux et l’aventure peut continuer… Quelques cigognes avaient déjà été aperçues en vol mais maintenant ce sont des nids occupés qui se montrent rive droite puis en nombre rive gauche. Quel magnifique spectacle proposé par ces oiseaux qui ravitaillent le parent resté au nid accueillis par des claquements de bec. Cette journée nous a permis de voir toutes sortes de résidents des lieux, milans noirs, petits gravelots, hérons blancs et cendrés, œdicnèmes criards, colverts, cygnes tuberculés, cormorans continentaux. En suivant au plus près un haut talus sableux, nous avons dérangé un groupe d’une vingtaine d’hirondelles de fenêtre qui a la hâte sont sorties de leurs longs terriers.
J’avais déjà eu l’occasion de remarquer que hirondelles de rivage et hirondelles de fenêtre se partagent quelque fois le même espace. La veille nous avions pu voir une hirondelle de rivage, mais là nous étions en présence d’une arrivée massive d’oiseaux se préparant à la nidification. Les jours suivants nous permettront d’identifier hirondelles rustiques et de fenêtres survolant l’eau à la recherche d’insectes. Après 4h16 de navigation et un peu plus de 35 kilomètres dans un décor de carte postale face à des arbres alourdis de plusieurs nids de cigognes, nous installons le bivouac à la latitude de Mars sur Allier sur une grande île séparée de la rive droite par un joli et étroit bras à l’eau vive. La soirée se passe à observer les va-et-vient des grands oiseaux et un chevreuil nous fait la surprise de passer près nos tentes.

Œuf de petit gravelot….
Cigognes en nombre au moment du pique-nique
Moment d’échange….manque Sophie la photographe !
L’arbre aux cigognes

J3. La nuit a été calme sous un ciel étoilé et la fraîcheur du matin nous surprend, une brume flotte sur la rivière. Après un copieux déjeuner, le chargement des bateaux assuré et le soleil ayant rapidement pompé l’humidité de l’air nous prenons l’option de l’étroit bras de rivière pour débuter la journée. Notre premier objectif est de ravitailler en eau à Apremont joli village posé sur le bord du cours d’eau dans une large courbe à droite. A l’approche, rive droite le château de Meauce puis rapidement sur la gauche celui d’Apremont. Une belle manœuvre à contre-courant, nous permet d’accoster rive gauche. Bateaux attachés grâce au quinze mètres de corde de chaque embarcation, nous partons en quête d’un robinet et profitons de l’arrêt pour décharger et trier nos ordures. Un sympathique jardinier nous oriente et nous explique que toutes les maisons à l’exception d’une appartiennent au châtelain et sont louées. Le bâti est bien entretenu et sous le soleil, l’ensemble est harmonieux. La première difficulté est tout proche, la prise d’eau des Lorrains. En fait un barrage sur toute la largeur de la rivière qui permet par gravité, par un canal d’alimentation de maintenir le niveau d’eau du canal latéral à la Loire. Approchée tout en douceur par la rive droite, de grandes marches en ciment permettent le passage et la remise en eau quelques mètres plus bas. Juste le temps de se remettre en mouvement et c’est bientôt un pont de chemin de fer puis un nouvel arrêt toujours rive droite au Pont Guétin qui sert de support au canal latéral à la Loire. J’invite les participants à grimper sur l’ouvrage d’art qui est un des plus grands pont-canaux de France, avec 343 m de long, ouvert à la navigation en 1838. Déchargement, portage des containers, des bateaux, chargement et mise à l’eau, l’équipe est rodée. A droite le département de la Nièvre, à gauche celui du Cher, la rivière servant de limite administrative naturelle. Après le pique-nique, la navigation reprend et nous atteignons rapidement le Bec d’Allier après être passé sous le dernier pont routier (D976). Le volume d’eau apporté par la Loire n’est pas impressionnant et le fleuve cumule maintenant un peu plus de 100m3. Quelques bateaux de Loire apparaissent sur la rive gauche, toue cabanée, fûtreau. Bientôt rive droite Fourchambault et son pont puis sa digue de 300 mètres qui canalise le fleuve et permet la navigation par basses eaux. On laisse sur notre gauche une écluse prise par la végétation et qui permettait autrefois par un canal de jonction de rejoindre le canal latéral. C’est l’heure du bivouac sur une large et longue île à hauteur du lieu-dit Poids de fer, après 26 kilomètres.

Apremont, ravitaillement en eau
Passage du barrage des Lorrains
Promenade à pied sur le pont Guétin
Bateau traditionnel de Loire, Toue Cabanée

J4. A 08h30, l’équipe est déjà prête et les premiers coups de pagaies sont donnés. Marseille-Lès-Aubigny se présente rive gauche où le canal est très proche du fleuve d’où l’on pouvait rejoindre le canal du Berry, aujourd’hui en partie comblé. Un sanglier en train de boire, surpris par notre arrivée, fait rapidement demi tour. Pour éviter les parties rectilignes jusqu’à la Charité-sur-Loire, j’opte dès que cela est possible par des bras plus étroits qui rendent la navigation moins monotone et plus dynamique. Rive droite le château de la Marche transformé en hôtel puis une dernière pause où nous découvrons une colonie de moustiques en pleine reproduction….Le parcours s’achève vers 11h00, après une petite navigation de 16 kilomètres, face au vieux pont de la Charité après avoir passé un bras à contre courant (modification du courant suite à l’effondrement d’une digue et des modifications de banc de sable). Merci à toutes et tous pour votre bonne humeur et à la prochaine pour une nouvelle aventure !

Nous sommes bien sur la Loire !
Traces de ragondin
Regroupement des bateaux devant La Charité
Merci à Yves et Luc pour la récupération !

A l’arrivée à La Charité, nous avons déposé un sac de détritus collectés au cours des deux derniers bivouacs.

Nourriture : prévue au départ par chaque participant et disposée dans les containers mis à disposition

Accident : néant

Temps de préparation : 20 heures (découpage des journées de l’itinéraire, montage de la remorque, rassemblement et vérification du matériel, achat des bonbonnes d’eau, informations aux participants par mail et téléphone, compte rendu etc…)

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Sam 16/04/22 Sortie d’entraînement en canoë

Animateur : Michel J.
Lieu : rivière Allier/Limagne
Nombre de participants : animateur compris 6 (2F, 4H)
Météo : température douce ensoleillée, vent sensible en rafales (50km/h) de Nord, Nord-Est dès le début de l’après-midi.
Kilométrage du véhicule principal : 95 et du véhicule d’assistance : 60 soit un total de 155
Débit de la rivière : 40 m3/s au Pont de Limons

Faunes remarquables : 2 oies bernaches du Canada, 1 aigrette et des hérons cendrés, des cormorans continentaux, des petits gravelots en nombre, plusieurs milans noirs et de nombreux canards colvert
Petite déception, pas d’hirondelles rustiques ni de guêpiers d’Europe.

l’équipe Pascal, Régis, Mady, Gilles, Sophie et le photographe Michel J.

Ce rendez-vous avait pour but de s’habituer à naviguer ensemble et pour certains de découvrir la randonnée avec des canoës canadiens dans la perspective des séjours n° 6  « L’Allier en canoë canadien » et n°8 « En canoë canadien sur la Loire des grands barrages ».
Avant le départ, à l’aide d’un tableau mobile et de feutres, quelques précisions ont été apportées pour avoir une bonne lecture de la rivière, contre-courant, déplacement de la masse d’eau, les dangers objectifs et subjectifs.
La bonne position du barreur et de l’équipier et le rôle précis de chacun ont été abordés. L’utilisation de la pagaie a également été rappelée par une démonstration.

Données fournies par un Gps de marque Garmin
Distance du parcours : 27 km 800
Moyenne : 8.1km/h
Durée de navigation : 3h26

Matériel mis à disposition : 3 bateaux, 2 « venture prospector » 16 (association) et 1 « novacraft prospector » 16 (Michel J.), 6 gilets d’aide à la flottaison, 4 sacs étanches de marque Zulupack et 3 bidons de 35 litres, 6 pagaies de marque Carliste et une de rechange.

Composition des bateaux :
-Sophie et Gilles -Régis et Pascal -Mady et Michel

Relation de la journée
L’objectif était de revoir toutes les techniques pour manœuvrer au mieux un canoë chargé. Le faible débit d’eau a rendu l’exercice intéressant, contournement des arbres charriés et déposés dans le lit de la rivière et des autres obstacles, passage des seuils marneux, utilisation au mieux de la masse d’eau pour passer les méandres serrés et des contre-courants pour remonter le cours d’eau et s’arrêter sur les berges. Le débit moyen de la rivière ne présentait aucun risque.

Pause pique-nique

Un covoiturage était organisé au départ de Clermont-Ferrand avec un départ à 09h30. Les participants ont installé les canoës sur la remorque routière. Au départ de la randonnée, au pont de Joze se trouvait Gilles habitant à proximité.
Arrivés sur place, les sacs étanches et les containers contenant les affaires de rechange ont été placés dans les bateaux, chaque élément attaché par des mousquetons.
Les consignes rappelées (voir ci-dessus) chacun a pris place dans les canoës. Quelques conseils ont été donnés au fil de l’eau pour l’optimisation des gestes et la lecture de la rivière.

Belle descente de reprise. L’équipe de récupération composée de Marie et Denis est arrivée dix minutes après notre sortie de l’eau à proximité du pont de Ris sur la D43.

Retour sur Clermont vers 18h30.

Préparation du matériel, rangement, nettoyage et compte-rendu : 4 heures

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Jeu 14/04/22. Environnement. Nettoyage des bords de l’Allier (2)

Animateur Michel J.
Nombre de participants : 22 animateur compris (7F, 15H)
Météo : ciel bleu, température douce en matinée puis atteignant les 22° dans l’après-midi
Durée : 8 h 00 (déplacement routier compris)
Kilométrage auto : 5 voitures de Clermont Fd et alentours et 2 voitures du Crest soit 423 km en co-voiturage.
Matériel apporté par les participants mis à disposition : une débroussailleuse, trois tronçonneuses et des crocs, râteaux piochons etc…
Matériel loué sur le compte pro d’Atlas chez Kiloutou : une débroussailleuse
Préparation et rédaction : 3h00

Rappel….chantier de départ !

L’opération continue (voir compte-rendu du lundi 28 février 2022) contre la propagation de la plante invasive renouée du Japon sur les bords de l’Allier. Certains sont intervenus sur la repousse de printemps sur la partie déjà travaillée en février pendant que d’autres s’attaquaient à une zone d’un hectare un peu plus éloignée de la rivière afin d’atteindre une boire, terme utilisé plutôt sur la Loire (ancien bras mort) présentant une fois nettoyée un intérêt pour les amphibiens.

Début de la seconde tranche

Après le travail accompli en février, l’herbe reprend sa place et nous avons pu observer de nombreux pieds de « Latrée pourpre ».

Retouche sur la phase 1

Passant devant le chantier entamé en 2018, l’herbe étouffe la renouée du Japon, et le jaune des fleurs de pissenlits rend cette berge très accueillante.

A la mi-journée, un copieux pique-nique organisé par Mady avec l’aide de Régine a permis de passer un moment très convivial où les nouveaux participants à cette opération ont apprécié l’ambiance et la bonne humeur de cette sortie champêtre.

Moment de détente autour du pique-nique

Christian, Frédéric, Daniel, Alain, Jean Pierre, Claude, Régine, Liliane, Yves, Jean Louis, Marie-Hélène, Sophie, Mady, Monique, Luc, Laurent, Martine, Jean Marc, Vincent, Denis, Pascal

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Mar 12/04/2022 VTT Theix

ANIMATEUR: MICHEL D.
4ème sortie VTT Entrainement préparation du séjour 11 (pic st Loup)

SECTEUR GEOGRAPHIQUE : Dômes Sud
NOMBRE DE PARTICIPANTS : 9 animateur compris 6H et 3F
METEO : Couvert toute la journée température agréable pour du VTT 14/15 degrés.
DENIVELE : 850m+ et –
DISTANCE: 40 Km
DUREE DE ROULAGE : 3h05
CLASSEMENT : FACILE Sortie allure modéré 14,5 km/h

ITINERAIRE RdV 11h15 à Theix départ rando 11h30 – Fontfreyde par D 778- ancien tunnel de la Cassière – piste Ribbe Haute – pc 902 – sente jusqu’au carrefour des treize vents – bois du Lot – piste pour Verneuge – Fontclairant – piste entre Charmont et Combegrasse – piste jusqu’à Aurières – Ribeyrole – piste jusqu’à Récoleine – montée par GR 30 vers pc 1043 – puis à gauche piste direction Pélat /la Boue- pc 1037 à droite piste jusqu’au col pc 1093 entre Pélat et Mercoeur – piste forestière jusqu’au col de la Moréno – sente le long de la D 942jusqu’à Laschamps (arrêt mécanique pour Alain il a explosé son dérailleur de l’ avant et nous quitte pour renter chez lui à Fontfreyde par la route) nous continuons par la piste – cime du Busageix et Chatrat -piste jusqu’à st Genès Champanelle – descente sente le long du ruisseau de st Genès – piste jusqu’au quatre chemins – remontée dans un nouveau lotissement – colonie de vacances – et arrivée à 15h45 aux voitures.

 Agréable sortie VTT sur pistes très roulantes qui se prêtent à merveille pour cette activité. La météo était parfaite pour cette sortie .

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Séjour n°5 Tour de la chaîne des Puys en 24h.

Du samedi 09 à partir de 12h00 jusqu’au dimanche 10 avril à 13h00

Segment A. Marche nordique, allure modérée, de Volvic au manoir de Veygoux

Date : samedi 09 avril 2022
Animatrice : Mady
 
Météo : Temps frais mais ensoleillé au départ. Une averse de grésil en cours de parcours.
Terrain : terrain souple
Nombre de participants (animatrice comprise) : 15 (6F, 9H)
Durée de la séance : 2 h 15 environ (échauffement et étirements compris)
Durée du parcours : 1h45′
Distance : 9,98 km. Moyenne : 5,70 (montre GPS). Dénivelé positif : 415m (montre altimétrique)
Itinéraire : Parking des eaux de Volvic, vierge de Volvic, Puy de la Bannière, ouest de Beauvaleix, Monchebrou, ouest de Facemeunier, Croix de St priest, Charbonnières lesVarennes, parking du Manoir de Veygoux.

Groupe marche nordique allure modérée.

Pour cette 1ère étape du Tour de La Chaîne des Puys, 14 participants ont répondu présents, pour beaucoup des habitués de la marche nordique du samedi matin ( soutenue et modérée) mais aussi quelques-uns des séances de semaine. Un parcours un peu exigeant au début avec la montée à la Vierge de Volvic puis au puy de la Bannière. Une descente puis un chemin en courbe de niveau permettent de reprendre son souffle avant une nouvelle montée pour arriver à l’ouest de Beauvaleix. Sur le plateau, alors que nous n’avons plus les bois pour nous protéger, une petite averse de grésil se charge de nous rafraîchir. Regroupement à la Croix de St Priest avant de prendre la direction de Charbonnières-les-Varennes et du point d’arrivée, le parking du manoir de Veygoux où nous arrivons dans le délai prévu chaleureusement accueillis par les participants à la randonnée qui suit. Il nous reste à souhaiter bon courage à ceux du groupe qui continuent pour les étapes suivantes voire sur la totalité du parcours.


Segment B. Randonnée classique. Manoir de Veygoux, plaine sous le col de Ceyssat (aire d’atterrissage des parapentes)

Date : samedi 09 avril 2022
Animatrice : Christelle

Météo : correcte avec quelques averses de grésil.
Terrain : souple
Nombre de participants (animatrice comprise) : 28 (17F; 11H)

Après le manoir de Veygoux

Durée du parcours : 5h50 (déplacement), 4h47 (randonnée)
Distance : 24,9 km.  Dénivelé positif 550 m et 220m de dénivelé négatif.

Challenge vraiment sympathique que cette boucle autour des Puys avec lesquels nous avons joué à cache-cache pendant ces quelques heures.
Pour respecter le timing j’ai donc demandé à tous de suivre une cadence un peu plus soutenue que d’habitude. Tout le monde a joué le jeu avec entrain ! pour une fois pas le temps d’observer les jolies fleurs printanières mais quand même quelques pauses pour alimenter les moteurs et pour prendre un petit cliché de l’œuvre de Courtadon située à hauteur du Louchadière.
Un bon rythme qui  nous a même permis d’arriver  en avance après 5h50 de cheminement (pauses incluses) pour profiter de quelques gourmandises bienvenues avant de passer le relais à Sébastien!

Encore bravo à tous les participants et grand merci à l’équipe dirigeante pour l’organisation

Segment C. Marche sportive, plaine sous le col de Ceyssat à Zanières.

Date : samedi 09 et dimanche 10 avril 2022
Animateur : Sébastien

Météo : ciel dégagé, températures froides puis négatives
Terrain : souple, se durcissant au fil de la chute des températures
Nombre de participants (animateur compris) : 7 animateur compris (2F, 5H)
Durée : 4h15 de déplacement, 2 pauses de 5 mn comprises
Distance : 25 km

L’équipe au départ, déjà 35 kilomètres au compteur…

Itinéraire : Aire d’atterrissage des parapentes, Fontaine du Loup, Parc d’Allagnat, La Moréno, passage entre les puys de Monteillet et de Pourcharet, Château de Montlosier, Col de la Ventouse, passage entre les puys de Combegrasse et de la Rodde, Puy de l’Enfer, Saulzet-le-Froid, Mareuge, Zanières.
Progression dynamique et agréable pour débuter, le long de belles allées de hêtres, magnifiques dans la lumière du crépuscule. L’arrivée de températures négatives n’a pas suffi à refroidir la bonne humeur du groupe. Petit rappel historique tout en continuant à marcher en passant devant le château de Montlosier : c’est en effet au comte de Montlosier que nous devons le reboisement de la chaîne des Puys au début du XXe siècle, reboisement qui a fortement contribué à la diversité des écosystèmes qui la composent aujourd’hui. Après un détour pour contourner le Puy de Monténard, le groupe est arrivé à Zanières au cœur de la nuit.
Remarques : Véronique a commencé à éprouver une douleur au genou vers la Garandie, douleur qui est devenue particulièrement importante dans la descente du Puy de l’Enfer et qui l’empêchait de suivre le rythme initial de progression. Après discussion, j’ai demandé à Pascal de la raccompagner jusqu’à Zanières en passant par la route la plus courte, par le Moulin de Saulzet, pendant que nous faisions le tour du Puy de Monténard.

Segment D. Randonnée nocturne, Zanières à Beaune-le-Chaud

Date : dimanche 10 avril 2022
Animateur : Thierry

Météo : Nuit claire et très froide
Nombre de participants : 5 animateur compris (1F-4H)
Durée : 5h40
Distance : 27,7 km   (Iphigénie). Dénivelé positif : 490 m (Iphigénie) 

Itinéraire : Zanières, Pindin, Pierre Longue, Phialeix, Poudure, GR 30 – Pont de l’arche- au bord du lac d’Aydat jusqu’à la D90, nord de Fontclairant, vers puy de Charmont, intersection  D 213, GR4-441 jusqu’à la Cassière, tunnel sous D2089, nord Fontfreyde, Cheire de Mercoeur (Creux du Pialoux), D5, est du puy de la May, PC 943, Beaune le Chaud

Arrivés à Zanières avec Gwladys vers 23h30, suivis de peu par Frédéric, nous nous élançons autour de 0h50 vers Beaune le Chaud rejoints par Fabien et Laurent qui entament leur 4ème tronçon du Tour. La nuit est très froide et étoilée : elle le restera jusqu’au terme de la rando. L’éclairage aurait pu être parfait si la lune avait été pleine, elle n’en était qu’à son premier quartier 😊. On comptait donc sur nos lampes pour éclairer nos pas et la carte (pour l’animateur). Les chemins d’exploitation empruntés au début nous permettaient une mise en jambe parfaite… Trop car emporté par ma fougue je loupais un tourne à gauche évident corrigé 300 m plus loin.  En passant au sud de Phialeix, à l’occasion d’un reflet, nous devinons le lac au loin. Nouvelle petite erreur avant Phialeix, nous quittons à tort le GR que nous retrouvons après un retour sur nos pas… Ce seront de mémoire les deux seules erreurs de navigation sans conséquence. Naviguer la nuit n’est pas simple : lecture de carte et confirmation sur le terrain vont de pair plus encore que le jour.  Nous longeons Phialeix dont nous devinons les maisons sur la gauche et parvenons à Poudure endormi… Nous suivons le GR jusqu’à trouver l’embranchement à Pont de l’Arche qui nous mènera en suivant le lac jusqu’au camping et à la route où nous laisserons le pauvre Laurent souffrant de maux gastriques dans les mains des « anges-gardiens » Michel et Yves qui le ramèneront chez lui… Je les avais appelés avant de parvenir à ce point pour éviter une trop longue attente pour notre infortuné collègue. La suite à 4 donc jusqu’à Fontclairant puis la Cassière sera simple par le nouveau tracé du GR4-441 qui passe au sud de la D2089 et qui chemine en partie en forêt à travers Ribe haute et Ribe longue. Je n’avais encore jamais emprunté cette partie résultant de la modification du tracé qui arrivait autrefois directement au col de la Ventouse et qui passe dorénavant à la Cassière… Une fois sortie de Fontfreyde, la navigation jusqu’à l’arrivée sera triviale. Petite surprise pour nos randonneurs, le petit coup de cul dans la cheire de Mercoeur pour sortir du creux (bien nommé) du Pialoux. Longeant la D5 sur quelques dizaines de mètres, nous sommes croisés autour de 5h30 par deux coureurs à pied trottinant vers le puy de la Vache… préparant une grosse course ? Si non pour quelles raisons sortir si tôt par une nuit si fraîche ? Bref de quoi m’occuper l’esprit deux minutes (avec des questions sans intérêt en fait 😊) puisque la navigation est terminée ou presque. Nous retrouvons près du Mercoeur, le beau chemin qui nous mène en 2 km à Beaune. A quelques centaines de mètres de l’arrivée, Yves surgit de la nuit finissante pour accompagner nos derniers pas. De grandes stabulations sont déjà éclairées nous rappelant que le travail des éleveurs commence très tôt et ne connaît pas de week-ends. Le jour se lève à peine et nous sommes accueillis par les collègues qui vont partir en marche dynamique sur le tronçon E jusqu’à la Nugère. Je les envie un peu car ils vont avoir droit à un somptueux lever de soleil.
Remarques : Marche dynamique avant l’heure avec de bons randonneurs. La nuit froide n’incitait pas à lambiner non plus… A priori, l’exercice a plu. Il faudra reproposer de belles marches de nuit en toute saison pour développer encore plus le sens de l’orientation (pour l’animateur-trice)  et les sens tout court, à l’occasion de ce type de déplacement naturel mais plus trop pratiqué : on a un public pour cela je pense.

Je profite de ce compte-rendu pour remercier Michel et Yves pour leur organisation tip top et efficace : de la préparation des randos à la planification des transports et à leur aide pendant le tour dans la préparation des ravitaillements et lors des transports entre les sites. Une belle expérience qui soude une association je pense. Et bravo à Fabien, épatant de résistance. C’est beau la jeunesse ! 😊 !

Segment E randonnée dynamique, Beaune-le-Chaud au col de la Nugère.

Date : dimanche 10 avril 2022
Animateur : Yves

Météo : Très frais au départ, plus doux et soleil en fin de matinée.
Nombre de participants (animateur compris) : 10 (6F, 4H)
Durée : 4 h 07 pauses comprises
Distance : 20.8 km . Dénivelé positif : 280 m

Itinéraire : Beaune le Chaud, PC 944, PC974, PC978, Laschamp, PC952, Croix Espinasse, PC924, Péage, Chemin des gouris, PC930, Bruyère des moines, PC965, Parking des Goules, PC917, PC892, PC877, Bois du Girardet, Bois de Pérol, Bois Coubert, Bois des Charots, Col de la Nugère.

Moins 4° C ce dimanche matin au départ de Beaune le Chaud. Gants, bonnets, polaires et nous voilà partis. Il est 6h30 le jour commence à pointer son nez, les frontales sont à peine nécessaires, d’ailleurs la mienne restera éteinte. Malgré l’heure matinale le groupe accompagné de Fabien qui marche maintenant depuis samedi 12 h est d’autant plus motivé.
Sur les premiers kilomètres le sol est bien gelé, bien craquant, et une petite brise nous cingle le visage. Les chevaux du centre équestre de Laschamp, revêtus de leur couverture ont l’air étonné de voir des marcheurs dynamiques à cette heure de la journée.

Ouf le soleil arrive !

Sortis de Laschamp, avant de s’engouffrer dans le bois de Charmes, nous assistons à un magnifique lever de soleil qui vient soudainement réchauffer nos épaules. Dans le bois jusqu’au golf des Volcans nous serons protégés du vent, mais le soleil n’ayant pas encore pénétré, la fraîcheur sera toujours de mise. Petite montée à découvert face au Pariou où une petite pause s’impose, avant de nous diriger vers le parking des Goules. L’allure prévue est respectée, nous devrions honorer le timing imparti.
Passé le parking, dans les ornières du chemin, gelées et glissantes nous sommes vigilants. Les Sarcoui, grand et petit à notre gauche, nous marchons plein nord pour rejoindre l’intersection de la D775 au pied du Puy de Chaumont. Après le deux micros pauses faites jusque-là, nous nous octroyons un arrêt plus conséquent. Ce dernier permet à Fabien de s’alimenter convenablement afin de pouvoir aller au bout de ses 120 kilomètres.

Le groupe à la fin de la randonnée dynamique…

Segment F. Marche nordique allure soutenue du col de la Nugère à Volvic

Date : dimanche 10 avril 2022
Animateur : Michel J.

Météo : quelques passages nuageux. Chaud au soleil.
Terrain : sec
Nombre de participants (animateur compris) : 9 (3F; 6H)
Durée du parcours : 2h10
Distance : 13 km 650, 6,3 km/h de moyenne (montre Gps). Dénivelé positif : 100 m. Dénivelé négatif : 475 m (montre altimétrique).

Itinéraire : col de la Nugère, Puy des Littes, bois Latia, à droite du Puy Desmaret, à droite du Puy des Marais, contournement par l’ouest et le nord du Puy de Paugnat, sud du terrain de football de Moulet-Marcenat, ouest de le Chalard, Cheyres de Bruvaleix, parking des eaux de Volvic.

En cette fin de parcours, les organismes fatigués ne répondent plus. Certains sortis du lit au dernier moment n’ont pas eu le temps de se changer et sont venus en tenue de nuit !

Nous ne pourrons pas atteindre les habituels 7,2 km/h mais c’est déjà une réussite de finir. Pour l’un des participants les 120 kilomètres se ressentent, d’autres ont les jambes lourdes après avoir réalisé plus de 70 kilomètres. Véronique après quelques heures de repos a tenu a être présente avec le groupe pour finir malgré quelques douleurs.

A l’arrivée, une haie d’honneur est faite à Fabien qui a effectué la totalité du parcours par des participants aux segments précédents et une coupe lui est remise en souvenir du bel effort effectué.

La haie d’honneur pour Fabien !


Un pique nique offert par Atlas clôture ce week-end.

Fin de ce challenge sous le soleil.

Bravo à tous pour votre participation et votre bonne humeur….

Et à tous ceux qui ont participé à l’organisation pour faire de ce challenge de 25 heures une réussite.

Participation par segment :

A : Mady, Fabien, Laurent, Didier, Pascal, Véronique, Sandrine, Pierre, Régine, Martine, Daniel, Frédéric, Alain S., Michel J. Sophie F.

B : Christelle, Fabien, Laurent, Didier, Pascal, Véronique, Sandrine, Pierre, Régine, Martine, Daniel, Monique, Jean-Marc, Dominique F., Anny, Élisabeth, Dominique R., Lionel, Alain C., Régis, Marie-Hélène, Lucette, Dominique M., Florence, Claude, Eric, Isabelle, Anne..

C : Sébastien, Fabien, Laurent, Didier, Pascal, Véronique, Sandrine.

D : Thierry, Fabien, Laurent, Frédéric, Gwladys.

E : Yves, Fabien, Pierre, Monique, Geneviève, Christelle, Liliane, Luc, Marie, Aurélie.

F : Michel J., Fabien, Didier, Pascal, Véronique, Sandrine, Pierre, Alain S., Geneviève.

Kilométrage réalisé : 122,03

38 adhérents pour un total de 69 participations.



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Jeu 08/04/2022 Rando Livradois Billom

Animateur : Liliane
Nombre de participants : 15 (6 F, 9 H) animateur compris
Météo : températures moyennes allant de 11° le matin jusqu’à 14° l’après-midi. Ciel couvert, du vent surtout l’après-midi, quelques gouttes éparses et petite pluie fine sur l’arrivée
Terrain : chemins et sentes agréables sur terrain sec ou herbeux. Très peu de passages boueux.
Distance : 23 km
Dénivelé : 800 m
Durée : 7 h pauses comprises
Classement Atlas : Facile
Kilométrage auto : 46 X 2 et 60 X 1 soit 152 kms, trois voitures de 5 personnes.
ITINERAIRE : Chas Petit Turluron par PC 419-468-486.le Gros Turluron par PC 438-461, le Puy Benoit par PC 378- 377- 397- 438, tour du Puy Benoit, Chauriat, tour du Puy Pileyre, Chas.

Aujourd’hui, nous démarrons notre randonnée de Chas, beau village fortifié prés de Billom.

Petit Turluron : Chapelle Notre Dame-de-la-Salette


Premier objectif : le Petit Turluron. Mais avant de quitter le village, nous prenons le temps de regarder sa fontaine Saint- Aignan. Nous nous réservons la découverte de son église Saint- Martin et du château pour cet après-midi à notre retour. Notre chemin nous amène à contourner le petit Turluron par son côté Est avant d’entamer son ascension et d’atteindre la petite chapelle qui s’y trouve : Notre- Dame- de- la- Salette édifié en 1869. En plus, un panorama à 360° s’offre à nous malgré le ciel très nuageux. La pluie n’est pas très loin à divers endroits autour et nous savourons d’en être épargnés.

Gros Turluron

Nous redescendons par un petit chemin pentu et très pierreux pour notre deuxième objectif le Gros Turluron. Pour atteindre son sommet nous prenons un beau chemin herbeux, qui sur la carte n’aboutit pas, mais qui sur le terrain se continue par une toute petite sente à peine dessinée et très raide. En haut, un château en ruine plein de charme nous accueille. Et c’est là, à l’abri du vent, près d’un magnifique tapis de pervenches que nous sortons notre pique-nique du sac.

Petit et Gros Turluron

Bien restaurés, nous redescendons par le chemin confortable bien tracé. Puis, c’est par des chemins agricoles, bien roulants mais très ventés que nous nous dirigeons vers notre troisième objectif le Puy Benoit. Nous le contournons par un chemin tapissé d’herbe, un peu plus abrité du vent et en balcon. Nous profitons ainsi et encore de la vue sur Billom, sur tous les villages alentours et bien d’autres sites tels que les chateaux de Mauzun et de Montmorin.

Eglise de Chauriat

Notre quatrième objectif : le puy de Pileyre. Au passage nous prenons le temps d’admirer la très belle église de Chauriat bâtie au cours du XII è et achevée en 1201.
Encore quelques petites montées et descentes sur le chemin qui contourne le puy et qui passe pas très loin de son sommet, et nous redescendons sur Chas. La pluie, absente jusqu’à présent, a finalement décidé de nous accompagner jusqu’au village. Mais elle cesse rapidement et nous laisse clôturer cette journée rando par un bon moment convivial. Et c’est autour d’un banc, sur la petite place près de la mairie, que nous avons dégusté le pâté fait maison par Jean-Louis, le pain fait maison par l’animatrice et en dessert le gâteau à l’orange fait par Monique.
Merci à Jean-Louis et à Monique pour cette délicieuse dégustation et à vous tous pour cette sympathique journée sportive partagée. A bientôt sur d’autres chemins.

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