Animateur : Thierry Nombre de participants : 6 animateur compris (2F-4H) Météo : trop chaud ! Distance : 21,5 Km Dénivelée : 460m Durée : 3h12 (3h25 pauses comprises) Moyenne : 6,7 km/h (sans les pauses)
Itinéraire : Col de la Moréno (près de l’auberge), sous la source de l’Enfer, La Boue, PC 978, vers Antérioux, PC 925, PC 946, GR441B, est de Nébouzat, Récoleine, le Pradat (l’était pas là ) chemin parallèle à D2089 jusqu’à hauteur de Randanne, W puys de Montchal, NW jusqu’au puy de la Vache, sud puy de Lassolas par GR4 puis vers Laschamps par GR441, clairière vers Mercoeur,…, ouest puy Pelat, sud-ouest puy de Montchar (Vasset), grand chemin d’exploitation vers D942 puis nord-ouest pour couper D942 au PC 972, contournement puy de Barme par l’Ouest, retour col par la grande trouée avec ligne électrique.
“à fond la forme”
“à fond la forme”
Sortie dynamique sur un parcours roulant en empruntant de beaux chemins d’exploitation et des sentes forestières en partie effacées. Allure régulière avec les deux pauses syndicales de 5 minutes augmentées de deux mini pauses pour boire. Terrains variés et une grosse chaleur heureusement adoucie par une petite brise bienvenue. Un petit groupe homogène et sympathique. Vitesse moyenne préconisée tenue… Une manière dynamique de lancer son week-end.
Animateur : Michel D. Nombre de participants : 7. 2F. 5H . Météo : nuageux et très chaud 28″ Terrain : sec Distance :. 33km Dénivelé :. 680 m Durée : 2 H30 Classement : Facile Préparation : 1h
Itinéraire : ARTENIUM, romagnat,la roche blanche, le Crest, plateau de la serre, nadaillat, teix, rebond bas, haut de Ceyrat, ARTENIUM
Remarque: bonne reprise dynamique du groupe. Tout le monde en parfaite condition.
Animateur : Michel J. Nombre de participants animateur compris : 21 (14F, 7H) Météo : ciel se couvrant rapidement par des nuages d’altitude, température douce Terrain : souple Distance : 24 km (gps) Dénivelé : 640 m (montre altimétrique) Durée du déplacement : 6h40 (montre chrono) Durée de la randonnée : 5h10 environ Classement Atlas : facile Kilométrage auto : (80 x 3) + (40 x 2) = 320 km Préparation et rédaction : 3h00
Itinéraire : parking à droite à l’entrée de Zanières, à proximité de la D5, le Moulin de Saulzet, Saulzet-le-Froid, Pessade, contournement par l’Ouest et le Sud du Baladou, Bois de Maugue, Bois de Mareuge, Mareuge, sommet du Puy de Montenard, Zanières.
Un doux parfum de campagne nous enveloppe pour démarrer cette randonnée digne sur le plan météo d’une fin d’été. Quelques informations sur le parcours puis c’est le départ sous un ciel qui se tinte rapidement d’une blancheur laiteuse amenée par un léger vent de Sud-Ouest. Nous passons à proximité du Moulin de Saulzet qui à une époque un peu lointaine, sans doute, se servait de la force hydraulique du ruisseau du Labadeau mais pour quel usage ? Un peu en amont, juste au-dessus de la D74, un autre moulin, le Moulin de Souverand situé sur le même ruisseau entretient le mystère. Aucune explication trouvée ! Ce beau ruisseau ignoré se jette face au Montcharley dans la Veyre. Ayant retrouvé le GR4-et GR441, nous nous dirigeons paisiblement vers Saulzet-le-Froid, village d’un grand calme où même les chiens regardent passer les randonneurs en levant tout juste la tête. Quelques tracteurs à l’ouvrage et quelques 4×4 de chasseurs amènent un bruit mécanique.
Sorbier des oiseleurs
Petite pause à la Croix Grande, toujours aussi belle taillée dans la pierre volcanique. Au loin, se dessine dopé par une humidité atmosphérique, le massif adventif du Sancy composé de quatre sommets principaux, le Puy de la Tache (1629m), le Puy de Monne (1692m), le Puy Barbier (1702m) et le Puy de l’Angle avec sa pointe si caractéristique (1738m).
Massif adventif du Sancy
Pessade traversé où un car de jeunes aventuriers vient d’arriver pour investir le « Chouette Parc », nous quittons les grands espaces de prairies artificielles pour gagner les estives où les gyrobroyeurs forestiers ont dégagé le terrain des grands genets à balais qui l’hiver venu, nous empêchaient de progresser sereinement en raquette à neige. Les chasseurs ont pris possession de ce vaste territoire de Pessade aux confins de la Monne. Quelques tuniques oranges postées à des points stratégiques accompagneront notre journée. Le bonjour est de rigueur et le contact jovial. Nous sommes jusqu’au col de Diane à découvert et même notre passage par la petite sente à gauche du bassin versant du Chevalard ne peut passer inaperçu.
Puy Beaudet
Le bois de Pessade sur notre droite, nous contournons par l’Ouest puis par le Sud, sans le gravir afin de respecter la prévision de dénivelée annoncée pour la journée, le Puy de Baladou (alt.1455m). Une longue descente sur un chemin confortable s’amorce et se termine par la traversée de la Monne. Nous sommes au cœur du bassin versant de la Monne, merveilleux terrain de jeu lorsque l’hiver, la neige est au rendez-vous ! Le chemin pour traverser la rivière est devenu une large piste avec sur les pentes des coupes importantes d’arbres certains gisant, les troncs s’entremêlés. Le pique-nique d’un commun accord est pris en lisière de forêt avec la vue sur les Rochers de Sautet. Certains préféreront se mettre à couvert des épicéas pour échapper à la légère brise qui souffle du Sud. Nous laissons la vaste estive du buron du Leyrenoux sur notre droite et prenons plein Est, longeant le bois de Maugue et le bois de Mareuge à main gauche presque entièrement rasés récemment et replantés de mélèze. Au lieu appelé Le Creux, nous observons des chèvres Angora qui donne la fameuse laine mohair.
Chèvres angora
Les trois petits étangs alimentés par la Monne laissés sur notre gauche, nous traversons Mareuge en prenant plein Nord. Face à nous la dernière difficulté de la journée que l’on attaquera par le Sud en prenant un vieux chemin malheureusement interrompu par une clôture qui nécessitera de faire un peu de gymnastique. La montée est avalée et du haut de ses 1173m, le Puy de Montenard nous permet de découvrir une grande partie de l’itinéraire effectué et un panorama sur plus de 180° en direction du Sancy. Zanières au pied du puy est gagné rapidement avec le plaisir que procure une journée bien remplie. Merci pour votre bonne humeur et pour les douceurs distribuées à la fin du repas et à l’arrivée. A bientôt pour de nouvelles aventures !
Remarque : ambiance agréable sous une température d’une fin d’été…
Animateur : Fabien Nombre de participants : 16 (10F, 6H) animateur compris Météo : Couvert le matin, pluie l’après-midi. Vent fort Terrain : Humide. Joli tapis de feuille dans les sous-bois Distance : 18,5 km Dénivelé : 700 m Durée : 6h05 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 76 km pour 3 voitures de Clermont soit 228 km et 1 voiture sur place Préparation et rédaction : 3h
ITINERAIRE : Col de Guéry, Puy Loup, Col de St Laurent, Chez Tamboine, Planoles, Légal, La Fougère, Pailloux, PC1366, Ouest lac de Guéry
Départ du Col de Guéry où le vent se fait déjà bien sentir. Après avoir vadrouillé dans la partie ouest de la forêt domaniale de Guéry, nous débouchons sur le plateau où le vent est bien présent. Malgré tout, nous prenons le temps d’observer les Roches Tulière et Sanadoire et le lac de Guéry.
Lac du Guéry
Nous rattrapons ensuite l’ancienne route qui mène à la ferme du Puy May pour la quitter rapidement en direction du sommet du Puy Loup. Durant toute la montée, le vent se fait de plus en plus fort et les participants luttent contre celui-ci. La majorité de la randonnée se faisant sur le plateau, l’animateur commence à réfléchir à un plan B plus abrité. Arrivé au sommet du Puy Loup, toujours à cause du vent, la pause pour observer le panorama à 360 degrés est très courte et nous redescendons rapidement en direction du col de St Laurent. Lors de cette descente, nous pouvons observer la borne des 4 seigneurs. La borne actuelle, installée à l’automne 2005, remplace une plus ancienne qui marquait la limite entre les seigneuries de Perpezat, Laqueuille, Préchonet et Murat. Cette borne actuelle marque les limites entre les communes de Perpezat, Laqueuille, Murat le Quaire et le Mont Dore. A cet instant de la balade, le groupe Atlas Aventure était donc disséminé sur ces 4 communes !! A côté de cette borne, un stèle marquée « Albert Aujeas-15 juillet 1942 » intrigue le groupe. Pierre, après une recherche sur internet, nous explique qu’il s’agit d’un instructeur de planeur qui s’est tué en vol suite à une collision avec un élève.
Borne des 4 seigneurs
Nous continuons la descente sur le Col de St Laurent. Le vent est toujours aussi fort et j’ai validé dans ma tête le plan B. Arrivés au col, je le propose donc au groupe qui acquiesce à l’unanimité. Au lieu de monter à la Banne d’Ordanche puis filer sur Murat le Quaire comme prévu, nous contournerons le Puy Gros pour se retrouver dans les bois. Nous voilà donc repartis en direction du Ténon en essayant de garder la courbe de niveau pour éviter une descente suivie d’une remontée.
Le groupe bifurque
Après avoir passé le Ténon, c’est là que nous pénétrons en sous-bois. Le sol est superbe avec son tapis de feuille morte mais nous demande de rester vigilant, ces feuilles mortes cachant pierres et trous.
Joli tapis de feuille en sous bois
Nous longeons le Puy Gros d’abord par l’ouest puis nous bifurquons à 90 degrés pour continuer ce contournement par le sud. C’est là que nous faisons la pause casse-croûte. Après s’être rassasiés, nous repartons sous les premières gouttes de pluie. Une ouverture dans les bois permet au groupe de voir le Puy Gros sous un angle méconnu de tous. C’est alors que, malgré sa présence sur la carte, le chemin s’arrête, nous obligeant à un hors-piste imprévu pour rejoindre Planoles où nous retrouvons un chemin qui nous mène à Légal puis Pailloux. De là, nous bifurquons plein nord pour entamer une belle montée à travers bois qui nous fait rejoindre le plateau du Guéry à l’est du Chantauzet. Après avoir traversé la partie sud de la forêt domaniale de Guéry, nous revoilà au pied du lac que nous longeons par l’ouest pour rejoindre notre point de départ, sous une pluie qui s’est intensifiée qui fait que nous finissons cette randonnée bien mouillée.
Animatrice : Liliane Nombre de participants : 17, animateur compris ( 11 F, 6 H) Météo : températures agréables. Nuageux mais nombreuses apparitions du soleil. Pas de pluie pourtant annoncée. Terrain : chemins sur terrain sec. En sous-bois très agréables tapissés de feuilles mortes. Distance : 18 kms Dénivelé : 790 m Durée : 6 h 15 pauses comprises Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 65 X 1 et 35 X 3 soit 170 kms. 2 voitures de 4 personnes, 2 voitures de 3 personnes et 2 voitures sur place. Préparation et rédaction : 3 h
Itinéraire : Parking rond-point de Vulcania, tour des puys des Gouttes et Chopine côté ouest, PC 1018 et 946, ascension du Louchadière, descente HP côté Nord-Est, PC 1026, montée des puy Jumes et Coquilles, traversée du puy de Leyronne, ascension du puy Chopine, petit HP pour retrouver PR direction montée puy des Gouttes, descente par PR, retour au parking.
Ce jeudi nous allons dans nos puys pour savourer et profiter des belles couleurs de l’automne. Nous partons du parking vers le rond-point de Vulcania et nous engageons sur le chemin qui contourne les puys de Gouttes et Chopine, direction le Puy de Louchadière. Belle mise en jambe avant d’entamer l’ascension du Puy. Mais auparavant nous prenons le temps de contempler une œuvre en pierres de Volvic sculptée par Thierry Courtadon : un énorme « CHUT ! ».
Œuvre de Thierry Courtadon
La sente qui monte jusqu’au sommet du puy, camouflée sous un douillet tapis de feuilles mortes, est à peine visible. D’ailleurs sur la fin nous perdons sa trace et terminons-en hors-piste pour le retrouver au sommet. La descente se fait en hors-piste avec pour objectif de tomber pile sur l’épave d’un petit avion (qui s’est écrasé en 1967). Sa carcasse est toujours là ! Nous continuons notre descente dans un épais tapis de feuilles mortes aux couleurs automnales. Le sol est un peu glissant, nous devons donc rester vigilants mais c’est un régal ! Nous nous dirigeons ensuite vers le puy de Jumes. Arrivés à son sommet nous prenons le chemin de crête qui nous mène jusqu’au puy de la Coquille.
Le Louchadière vu des Jumes et Coquille
Tout le long le paysage est saisissant : vue sur le Louchadière d’abord, puis en direction de Coquille vue sur les puys de Chaumont, puy de Dôme, Chopine, Côme. Tous revêtus d’un manteau aux couleurs chaudes de saison.
Vue du Puy de la Coquille
Avant de redescendre nous nous installons à l’abris du vent pour notre pause déjeuner et profitons encore et encore de ce panorama magnifique. Puis nous traversons le Puy de Peyronne et entamons la montée du Chopine par un chemin peu fréquenté qui devient une sente très agréable dans la végétation. Ce chemin aboutit proche du sommet et il nous faut faire demi-tour pour reprendre notre itinéraire. Plus bas, dès que le terrain nous le permet, nous coupons en hors-piste pour rejoindre un chemin en contre-bas. La descente s’avère délicate au tout début mais le terrain devient très agréable à fouler sur le sol moelleux sous les arbres. Nous rejoignons le PR qui monte au puy des Gouttes par son cratère. Parvenus au sommet, nous prenons le temps de contempler et d’apprécier la vue panoramique sur le Puy de Dôme et tous les puys alentours (Lemptégy, Côme, Pariou, Les Goules, grand et petit Sarcoui…). On en prend plein les yeux ! Puis nous redescendons, jusqu’à nos voitures. Certains avaient prévu petits gâteaux et chocolats que nous savourons dans une ambiance amicale avant de nous qui quitter.
Les puys de Lemptégy et Côme
Encore une belle journée partagée ! Merci à vous et à très vite.
Animateur : Thierry Nombre de participants : 7 animateur compris (4F-3H) Météo : douceur et soleil Distance : 25 km (GPS) Dénivelée : 810 m (GPS) Durée : 7h30 ClassementAtlas : Facile Kilométrage voitures : 2 voitures de Montferrand Préparation et CR : 2h
Itinéraire : Sarcenat, D90, D773, croix de Ternant, ouest côte Verse, D559, PC904 et 896, PC879 et D775, ouest du bois de Girardet, NW dans bois de Perol, HP plein ouest jusqu’au sommet du puy de Coquille, GR441, sud puy Chopine puis sommet puy des Gouttes, HP E-SE jusqu’au GR441, D559, S du creux Morel puis NE jq’au PC960, entre puys des Goules et Grand Sarcoui, en HP, NE jq’au PC964 et retour Sarcenat par le même chemin qu’à l’aller
Nous partons pour une journée ensoleillée et chaude d’un petit village proche de Clermont (pénurie d’essence oblige), Sarcenat. Direction la chaîne des Puys un peu plus haut sur le plateau.
Vue sur le PDD en montant
Petit détour par la croix de Ternant que les villageois ont offerte à la vue de tous les Clermontois dans les années 1930. Le but du jeu est d’aller chercher par la forêt la pente est des puys de Jume et Coquille pour gagner Coquille. Dans les sentiers forestiers, nous croisons quelques dizaines de VTTistes, en majorité électrisés… Un peu d’azimut HP pour parvenir au pied de la pente avec une petite dénivelée de 250 m que nous absorbons tranquillement en profitant de la belle hêtraie.
Hétraie sur la pente du puy de Coquille
Nous arrivons juste sur le puy de Coquille où nous prenons notre déjeuner au soleil. Pas de randonneur en vue : je m’attendais à une plus grosse affluence avec la météo du jour ! Nous reprenons la boucle en suivant le GR441. Depuis mon dernier passage, un long escalier a été installé.
Descente du puy de Coquille
Les travaux vont continuer avec l’installation de petites barrières de branches de noisetier entremêlées tout le long du chemin : il ne faut surtout pas en sortir…. comme sur le chemin des Muletiers. Nous suivons le GR441 jusqu’au croisement avec la montée au puy des Gouttes. Nous parvenons rapidement au sommet et nous profitons d’une belle vue sur le sud de la chaîne jusqu’au Sancy. Ne faisons pas les blasés, ce paysage est toujours remarquable et il ravit les plus novices…Pour rompre un peu la monotonie d’une descente par le chemin vers la route D559 qui mène à Chanat, je propose de descendre pleine pente vers l’est : les genêts à balais à travers lesquels nous disparaissons sont de valeureux combattants qui ne se laissent pas déborder facilement. Surtout aidés par leurs supplétifs vicieux et féroces, les ronces ! Une pause s’impose après ces 150 m de descente éprouvante. Nous retrouvons au bout de quelques minutes la pente assez sèche qui nous amène au col entre Sarcoui au nord et Goules au sud. Nous croisons des randonneurs-promeneurs du dimanche après-midi avant de reprendre un court HP qui nous ramène vers le bois de côte Verse et notre cheminement de l’aller que nous suivons jusqu’à Sarcenat. Oui, la boucle n’est pas fermée de façon élégante mais il y a peu de possibilités intéressantes dans le secteur pour regagner notre lieu de stationnement … Un bon chocolat suisse offert par Samanta, nouvelle adhérente, nous réconforte après l’effort. L’occasion de nous rappeler que nous sommes des citadins heureux d’avoir une telle offre de pleine nature à 10 minutes de chez nous.
Animateur : Georges Nombre de participants : 21 ( 13 F et 8 H ) Distance : 22 km Dénivelé : 800 m Durée : 7 h pause comprise Météo : couvert toute la journée et température agréable Classement Atlas : facile Kilométrage voitures : 90 km pour 4 voitures et 130 pour 1 autre soit 490 km Préparation et CR : 2 H
ITINERAIRE Départ sous le village de Vichier, La Bussiere, Lavaux, La Borde,La Faye, Le Vivier, St Gal sur Sioule, Chaux, Machal, Pouzol, La Bussiere et retour aux voitures
Couleurs d’automne
Pas de brouillard au départ de la rando, contrairement à l’annonce de la météo, nous pouvons profiter de la vue sur la vallée de la Sioule. La montée en direction du village de Vichier est raide, les muscles sont froids, petite pause au village pour souffler. Après le village de Bussiere, nous entrons dans la forêt, sur la sente un tapis de feuilles multicolores annonciateur de l’Automne, une petite route et nous rejoignons Lavaux. Retour dans la forêt sur une sente en balcon, petit aller-retour sur un promontoire rocheux pour admirer la Sioule et les gorges de Chouvigny. La forêt n’a pas encore pris toutes ses couleurs.
La Sioule
Au village de La Faye, face à nous, le château de Chouvigny sur la rive gauche, il date du XIII siècle et a appartenu aux seigneurs de Chouvigny, à la famille Lafayette et au Duc de Morny ( demi frère de Napoléon III ). L’heure du pique-nique approche, nous décidons de le prendre à St Gal sur Sioule, bonne idée car nous pouvons nous installer sur des tables et des chaises dans la cour d’un bâtiment fermé qui semble être l’ancienne école du village.
Au départ de St Gal nous nous éloignons de la Sioule, une petite montée en hors piste pour accélérer la digestion !!! Une dernière difficulté au ruisseau de la Rouelle pour atteindre le village de Machal. A Pouzol l’église nous interpelle, une tour à côté se dresse et sert de clocher, c’est un campanile construit en 1952 par souscription. Retour aux voitures avec cette fois la descente de Vichier.
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 14, animateur compris (9F, 5H) Météo : passage de légers cirrus d’altitude, température douce Terrain : souple Distance : 22,5 km (montre Gps) Dénivelé : 500 m (montre altimétrique) Durée du déplacement : 5h42 (montre chrono) Durée de la randonnée : 5h00 environ Classement Atlas : facile Kilométrage auto : (30 x 3) + (52 x1) = 142 km Préparation et rédaction : 3h00
Itinéraire : parking du Panoramique des Dômes, chemin des Gouris, stand de tir, plateau de Fraisse, contournement Est, Nord puis Ouest du Puy de Fraisse, Chabanne Vieille, Prés de Côme, contournement Nord puis Ouest du Puy de Côme, Bac de Ceyssat, Bac de Montmeyre, col de Ceyssat, Bois de Charmes, parking.
Vers 19h00, nous partons sous un timide soleil dans un ciel occupé par de nombreux parapentes comme suspendus autour de la grande antenne du Puy-de-Dôme. Ce temps clément et cette belle luminosité nous permettent de pouvoir profiter des belles couleurs automnales de dame nature. Selon l’exposition, les hêtres ont commencé à tourner, les érables d’un jaune d’or se remarquent, les fougères encore dressées d’un marron plus ou moins foncé, installées de part et d’autre du passage semblent indiquer le chemin à suivre.
La fraîcheur qui s’installe tout doucement distille des odeurs de bois, de champignons, d’humus. Le groupe a pris une cadence régulière sur ces premiers chemins faciles et la vieille sente, peu connue, le long d’un grillage à mouton n’a même pas ralenti les échanges entre les participants. L’ombre arrive progressivement et il fait presque noir à l’amorce du contournement du Puy de Fraisse. Les feuilles encore bien présentes sur les arbres rendent les sous-bois sombres malgré la lueur d’une belle lune bien ronde à peine voilée par les traînées d’un avion de ligne. Au passage des quatorze participants, la faune se fait très discrète, on l’imagine tapie observant cette drôle de procession de petites lumières. Vers le Sud du Puy de Fraisse, l’animateur semble s’être endormi et après un relevé gps et un peu de hors piste, à l’aide de la boussole, le cap est repris.
On “jardine”
Le petit encas au bord du chemin
Le petit encas pris à proximité de Chabanne Vieille est apprécié, complété par quelques douceurs apportés par des participants.
Le Bac de Ceyssat et ses habitants….
Le chemin traverse une belle zone de prêle avant d’arriver au Prés de Côme. Quelques pas en sous-bois pour récupérer une sente puis un bon chemin pour gagner le Bac de Ceyssat où des punaises aquatiques (Corise ponctuée appelée petit marin ou cigale d’eau) de l’ordre des Hémiptères et deux petites grenouilles sont observées à la lueur de nos lampes.
Le déplacement se poursuit par un passage plus sauvage, parallèle au grande chemin d’exploitation qui conduit au Bac de Montmeyre. Un oiseau de nuit surpris décolle dans un lourd et bruyant jeu d’ailes. A l’approche de la zone d’atterrissage des parapentes, nous retrouvons la forte lueur de la lune, le Puy-de-Dôme s’est revêtu d’une écharpe nuageuse. Petite sente raide et c’est le col de Ceyssat. Reste la longue descente puis le faux plat et c’est l’arrivée. Un cake fait maison par Mady est offert aux participants. Il est un peu plus de minuit, il est temps d’aller se coucher ! Merci pour votre bonne humeur et d’avoir apprécié ce moment… Merci à Liliane, Bénédicte et Mady pour les photos transmises.
Animatrice : Mady Nombre de participants : 19 animatrice comprise (11F, 8H) Météo : ciel couvert le matin et dégagé l’après midi, température agréable Distance : 24,800 km Dénivelé : 800m Durée : 8h30 Classement Atlas : facile Kilométrage auto : 96 km pour 2 voitures de Clermont Fd et 30 km pour 3 voitures du Crest, soit au total 126 km et 1 voiture sur place. Préparation et rédaction : 2h30
ITINERAIRE : Saint Saturnin, Saint Sandoux, le Pabo aire d’envol des parapentes, Puy de Saint Sandoux, Chaynat, Olloix, Oppidum d’Olloix, Moulin de la Varenne, Saint Saturnin.
Le départ à partir du parking du stade de St Saturnin, permet de retrouver rapidement après la traversée de la Monne des chemins qui vont nous mener à l’entrée de St Sandoux. Les conversations entre les participants contents de se retrouver une fois de plus le jeudi, n’empêchent pas d’entendre, le bruit des noix fort nombreuses qui s’écrasent sous nos pas. Sur notre droite, quelques murs indiquent que nous longeons la propriété du château de Travers et peu après nous arrivons à la D 74. Saint Sandoux est juste devant nous, mais l’objectif n’est pas d’aller dans le village mais à la Chapelle de Notre Dame des Prés.
Notre Dame des Près
La légende dit qu’elle aurait été construite à l’emplacement d’une source découverte par un laboureur suite aux conseils d’une belle dame vêtue de bleu et de blanc qui lui serait apparue pendant son travail. On la découvre entourée de pommiers chargés de fruits, c’est le verger de Saint Sandoux. Créé en 2001, il se compose de 2 parties : le verger de collection et le verger conservatoire qui perpétuent la tradition fruitière très ancienne en Auvergne, le Puy de Dôme étant un des plus gros producteurs français de pommes pendant la première moitié du 20ème siècle.
Conservatoire de Saint Sandoux
Après cet intermède bucolique, petites parties de route, larges chemins où nous rencontrons des chasseurs, petite sente et nous voici au pied d’un pierrier qui doit nous permettre de monter à l’aire d’envol du Pabo. La majorité du groupe est partante mais 3 participants préfèrent emprunter une sente moins difficile. Yves faisant partie de ceux favorables à la montée par le pierrier, je lui confie le groupe et pour ma part, j’accompagne les 3 personnes pour le passage moins difficile. Avec quelques parties empierrées, des portions très pentues, c’est aussi une belle montée.
Montée au Pabo
Au sommet, nous retrouvons le reste du groupe déjà arrivé. Tous sont enchantés d’avoir réussi ce passage un peu plus technique. Dommage personne n’a pensé à immortaliser ce moment. Une petite pause, pour admirer la vue sur le val d’Allier, reconnaître village et sommets et nous repartons pour le sommet du puy de St Sandoux. Du petit lac présent sur ma carte, seul subsiste le creux où il s‘étalait. La petite sente qui doit nous permettre de descendre sur Chaynat au début bien marquée, disparaît suite à un débroussaillage. Après un peu de recherches nous reprenons la bonne direction et zigzaguons pour passer une partie rocheuse.
Descente du puy de Saint Sandoux
Le pique nique pris avec une très belle vue sur le massif du Sancy, nous poursuivons vers Chaynat, où fut fondée vers 1250 une commanderie de l’ordre des Templiers, puis en direction d’Olloix. A proximité du point côté 771, nous retrouvons chasseurs et chiens et un lièvre déboule devant nous. A l’entrée d’Olloix, direction plein nord, vers les Gorges de la Monne puis nord est pour passer à l’oppidum établi par les Arvernes. Le chemin pour y arriver est agréable, pelouses sèches, chaos rocheux, pins sylvestre qui le bordent, donnent l’impression d’être plus au sud ! Une pause assez longue sur les rochers au soleil et nous repartons pour la descente sur la Monne.
Un cœur solitaire…
Face à nous, sur la rive gauche, s’élève le monastère de Randol. Nous traversons les ruines du village de Liauzun datant du haut Moyen Âge qui aurait été abandonné à la suite à une épidémie de peste. A partir de là je pensais que nous devrions faire un petit bout de hors piste mais la sente continue. Quelques passages un peu raides et tout le monde arrive sans souci sur un grand chemin. Une nouvelle piste forestière redescend sur le chemin qui borde la Monne et on déroule tranquillement jusqu’à la D 28. Retour à Saint Saturnin par le chemin de Sazeirat, traversée de la Monne, passage sous et vers le château et redescente sur le parking de départ en profitant du calme et de l’atmosphère particulière que dégagent les rues de ce vieux village. Merci à Yves pour sa participation très active, et à tous pour votre bonne humeur..
Date : 24 AU 25 SEPTEMBRE 2022 Animateur : Christelle Nombre de participants : 11 animatrice comprise (7F, 4H)
Météo : J1 ciel partagé avec de belles apparitions du soleil en première moitié de journée, plus nuageux l’après-midi, température douce J2 Bruine et brouillard le matin, ciel plutôt couvert et douceur l’après-midi
Terrain : J1 Sec J2 Avec la bruine, passages en bord de Creuse où quelques affleurements rocheux et racines ont demandé un peu plus de vigilance Parcours J1 24.4 KM 360 M D+ 6h45 pauses inclusesJ2 25.7 KM 402 M D+ 8h15 pauses incluses
Classement Atlas : Facile Kilométrage auto : 450 km X 3 véhicules Préparation et rédaction : 20 h
ITINERAIRES : J1 BARAIZE, direction CHAMORIN puis MAGOT par le GRP, Pont Noir, GARGILESSE, le CERISIER, les CHERONS, barrage d’EGUZON, BONNU, les QUARTIERS, plage de FOUGERES J2 Rochers de la Fileuse, CROZANT, VITRAT, le PUY BARON, PILEMONGIN , CHAMBON , CHANTECREUSE, Camping de MONTCOCU, CROMAY, CHAMORIN, BARAIZE.
RECIT Départ de Clermont à 7h pour la découverte de cette belle vallée nichée à cheval sur les bordures départementales de la Creuse et de l’Indre. Nous rejoignons Baraize où nous chargeons nos sacs un peu plus que d’habitude puisque nous ne reprendrons les voitures que le lendemain soir.
Soleil et douceur sont présents pour cette matinée où nous cheminons sur de larges sentiers d’où nous commençons à apercevoir la rivière Creuse qui va nous accompagner tout le week-end. Cet affluent de la Vienne qui s’étend sur 263 km prend sa source au plateau de Millevaches.
Le pont noir à Gargilesse
Pique-nique au bord de l’eau
Nous rejoignons le moulin de Gargilesse. Le site auréolé de belles lumières est vraiment joli et nous permettra de faire une agréable pause déjeuner en bord de rivière. Puis direction pour le centre de Gargilesse : ce charmant village aux maisons harmonieuses s’étire sur un piton de schiste. La célèbre romancière Georges Sand ne résista pas à son charme. Voulant un tant soit peu s’éloigner de sa résidence principale de Nohant, elle se trouve de passage à Gargilesse et c’est le coup de cœur. Son compagnon de l’époque revient quelques semaines après ce séjour pour y acheter une petite maisonnette où elle reviendra séjourner régulièrement. Passage près du château converti en joli manoir, il ne reste que 2 tours et une poterne de la construction d’origine.
Maison de Georges Sand
De nombreux passages en balcon
L’église romane (XIème XIIème) vaut le détour : on y contemple de superbes fresques ainsi qu’un très bel ensemble de chapiteaux historiés.
Nous remontons sur le plateau avant de plonger vers un joli sentier longeant la rivière. Nous avons tous apprécié le calme et l’ambiance apaisante qui se dégage de ces bords de Creuse !
Barrage d’Eguzon
Nous quittons le bucolique pour rejoindre un lieu plus « industrialisé » : le barrage d’Eguzon. Sa construction de 1917 à 1926 a mobilisé jusqu’à 1000 hommes. Cet ouvrage de 60 mètres de hauteur produit l’électricité couvrant les besoins de 40000 personnes. En 1926, il était le plus puissant d’Europe ! Nous passons au pied de l’immense mur avant de rejoindre un belvédère permettant d’avoir un beau panorama sur l’ouvrage complet.
Nous poursuivons notre chemin en remontant sur le plateau où les nombreuses lignes électriques témoignent de la présence du barrage. Néanmoins elles sont très regroupées et n’altèrent pas la beauté des rives de la Creuse. Nous rejoignons Bonnu, charmant village bien entretenu et son magnifique château .Construit aux 13ème et 14ème siècles la petite forteresse était une tour de signaux qui servait de relais entre les châteaux des alentours. Acheté par des privés en 1906, il change de mains en 2003. Ces 2 propriétaires ont fait d’énormes et beaux travaux de rénovation. La bâtisse est vraiment superbe ! Il peut être visité à certaines dates en été via l’office de tourisme et même être loué. Avis aux amateurs de séjours médiévaux !
Le château de Bonnu
Après avoir échangé gaiement avec quelques habitants de la commune qui nous demandaient notre avis sur l’abattage d’un arbre, nous avalons rapidement les 3 derniers kilomètres pour nous poser au camping de la plage de Fougères où nous nous installons dans de sympathiques petits chalets.
Rendez-vous était pris avec l’épicier du village voisin pour une livraison de denrées permettant de préparer le goûter et le dîner ! En effet le restaurant prévu a été obligé de fermer suite à d’importants dégâts causés par un orage ! Du coup après une séance collective d’épluchage, découpe de légumes, de pommes et cuisson des confits de canard (qui avaient passé la journée dans le sac à dos de Pierre !), nous profitons d’un bon repas et d’une soirée bien sympathique !
Dimanche matin, nous repartons par un beau sentier en balcon au-dessus du lac d’Eguzon. Le soleil nous a malheureusement abandonné mais brouillard et bruine donnent néanmoins une belle ambiance « lac d’Ecosse » !
Ambiance écossaise au départ du camping
Nous cheminons dans le calme de cette atmosphère ouatée pour rejoindre les falaises abruptes des rochers de la Fileuse. Site apprécié par les grimpeurs, elles offrent un point de vue imprenable sur la confluence de la Creuse et la Sédelle , très bel endroit qui était le chouchou des peintres de l’école de Crozant initiée par Monet. Entre 1860 et 1930, plusieurs centaines de peintres y ont trouvé source d’inspiration !
Les atlassiens aux rochers de la Fileuse ,Crozant en arrière-plan
De là superbe vue également sur les ruines de la forteresse de Crozant installée sur un imposant éperon granitique. Nous la rejoignons après avoir emprunté le joli sentier longeant une partie du méandre. Siège de nombreuses luttes ainsi que d’un tremblement de terre, il ne reste que peu de bâtiments de la construction d’origine qui s’étalait pourtant sur plusieurs centaines de mètres et comportait 10 tours !
L’heure tourne et nous oblige à repartir sans avoir fait le détour par le centre du village. La pluie menaçant, nous demandons l’autorisation de nous installer sous le hangar d’un agriculteur pour la pause déjeuner. Reprise plus champêtre sur le plateau avant de replonger en bord de Creuse, toujours aussi paisible. Les mollets ne sont pas au repos pour autant car les rives ressemblent à un petit parcours de montagnes russes et donnent à l’exercice une tournure plus physique que ce que certains auraient pensé ! Nous nous sommes aussi rendu compte que même pour 48 heures seulement, il faut bien réfléchir à ce que l’on met dans le sac à dos pour éviter surcharge et fatigue supplémentaire !!
Le méandre de la Creuse et vue sur une des tours ruinées
Chambon, un petit esprit breton
Retour à la civilisation avec un passage dans la commune de Chambon où nous retrouvons le lac d’Eguzon. Beaucoup de petits bateaux y stationnent et donnent l’illusion étonnante d’une rade bretonne ! Surprenant Berry où le dépaysement est bien présent et invite à revenir car les 2 départements de la Creuse et de l’Indre comptent de nombreuses curiosités et beaux sites.
Ces quelques heures ne permettent pas de flâner outre mesure, il faut remonter vers le plateau. Il est déjà presque 18h lorsque nous rejoignons le parking de Baraize après ces bons moments sportifs et conviviaux ! Merci à tous pour votre dynamique présence !
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