Animateur Michel J. Nombre de participants : 14 animateur compris (4 F, 10 H). Météo : ciel bleu, température fraîche, brise du Nord
Durée pour l’ensemble de l’opération : 180 h 00 environ Kilométrage auto pour l’ensemble de l’opération : 497 km Préparation et rédaction : 4 h 00
Choisi comme un des objectifs environnemental de la saison, le démantèlement et l’évacuation des morceaux de l’avion Beechraft qui s’est écrasé le 15 juin 1967 sur le versant Sud du Puy de Louchadière a eu lieu en quatre phases.
– le 27 novembre 2024, réunion de travail sur le terrain avec un garde nature du parc des Volcans d’Auvergne. – De novembre à janvier, la partie administrative menée avec brio par Luc a permis d’obtenir les différentes autorisations pour enlever cette épave, notamment du bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile (BEA), du propriétaire de l’avion, des différents propriétaires forestiers pour le droit de passage sur les parcelles traversées lors de l’évacuation etc… – le 04 novembre, acheminement d’une tronçonneuse de matériaux sur batterie et son réservoir d’eau pour le découpage en tronçon des restes de la carlingue. – le 26 mars descente sur 400 mètres environ dans une pente à 40 % par endroit des morceaux et dépose dans une remorque de tracteur mise à disposition par Luc. Les déchets ont été transportés à la société Paprec Auvergne 63230 Saint-Ours-les-Roches.
Il est à préciser que les morceaux ont été évacués, comme demandé, de la pente du Louchadière sans engin mécanique afin de ne pas endommager la couverture végétale du sous bois.
Un remerciement à la société Kiloutou de Clermont-Ferrand qui nous a fait bénéficier d’une belle remise pour la location du matériel.
Le financement de l’opération a été réalisé sur le budget environnement de l’association qui est alimenté par des dons d’entreprises ou de particuliers ainsi que par la compensation carbone liée à nos nombreux déplacements lors de nos activités de pleine nature. Un joyeux pique-nique malgré le fond de l’air frais, organisé par Mady et Sophie a clôturé cette opération. Merci à toutes et tous pour votre présence et votre efficacité.
Animateur :Michel J. Météo : ciel bleu, température fraîche, légère brise de Nord-Ouest l’après-midi Terrain : principalement sur petites routes, avec quelques passages sur chemins d’exploitation. Distance du parcours : 58 km ; dénivelé positif : 494 m (montre GPS) Durée de la sortie: 4 h 10 (avec les pauses) Durée de roulage : 3 h 43 ; 15,26 km/h de moyenne. Nombre de participants : animateur compris 10 (5 F, 5 H) Temps de préparation (matériel et rédaction) : 3 h 00
Les grandes lignes de l’itinéraire : départ à 10h00 de la rue des Fossés sous le Séminaire (musée Quillot), piste cyclable Croix Neyrat, Blanzat, bassin de rétention du Bedat, Sayat, Malauzat, Volvic, Chatel-Guyon, la Mouniaude, Riom, le Marais, Targnat, St-Beauzire, chez Legay, laiterie de Gerzat, la Combaude, musée.
Journée de reprise pour préparer les voyages à vélo associatifs de l’année 2025 (séjours 6 et 14). Noua avons accueilli Carole et Philippe qui venaient découvrir, en groupe l’activité. Une météo agréable bien loin des prévisions et qui nous a permis de rouler toute la journée sous le soleil atténuant la fraîcheur de la brise du Nord. Groupe homogène qui est en forme. Ambiance agréable.
Groupe à l’arrivée….
Les vélos peu chargés ont permis de rouler à une allure régulière.
Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Retrouvez les informations sur l’activité sur le site onglet « Actualités ».En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18h30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h. Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres. Ce début d’année malgré des conditions météorologiques changeantes et incertaines, la motivation est toujours au rendez-vous et le nombre de participants reste stable.
Un groupe en pleine nature le samedi….
Statistiques du 01 janvier au 28 février 2025
Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi : 8 Mardi : 8 Annulées : 0 Types de séances : Fractionné : 4 (lundi) 4 ( mardi) Foncier : 4 (lundi) 4 ( mardi) Nombre de participants : Lundi : 147 dont 69 F et 78 H mardi : 112 dont 53 F et 59 H Animateurs : Mady, Christian , Michel J Les samedis Nombre de samedis : 10 Nombre de séances : 10 Nombre de séances annulées : 1 (allure modérée manque de participants) Modérée : 7 Soutenue : 3 Nombre de participants : 66 dont 39 F et 27 H Animateurs: Mady, Christian, Michel J
Animateur : Michel J. Nombre de participants : 11 animateur compris (3F, 8H) Météo : température fraîche au départ puis douce à partir de 10 h00. Les rafales de vent ont été sensibles dans le premier quart du parcours puis l’itinéraire en majorité en sous-bois nous en a protégés. Le soleil a tenté de percer à plusieurs reprises apportant dans un ciel laiteux un peu plus de chaleur . Classement : hors catégorie Transport : deux véhicules au départ du musée Quillot pour gagner le point de départ de la manifestation et deux véhicules pour ramener les participants au musée et un au point de départ du raid pour trois participants. Assistance au transport : Mady, Sébastien, Marie et Vincent. Kilométrage routier : 425 km (dépose des participants, ravitaillement et récupération des participants à l’arrivée) Véhicules utilisés : Mady (Renault Kangoo), Sébastien (Fiat Tipo), Marie (Bmw) et Vincent (Citroën C3) Temps de préparation, rédaction des divers documents et achat des éléments du ravitaillement : 6 heures Cartographie utilisée : carte Ign Top 25, 2531 OT. Matériel mis à disposition par l’association: une paire de bâtons de marche nordique 1,10.
Itinéraire tracé (données du logiciel openrunner) : départ sur la D138 (entre Charbonnières-les-Varennes et Beaunit à proximité du lieu-dit Le Bouy), Suc de Beaunit (km 2), D90 (km 5), D943 (km 10, pied du Puy de Louchadière – 1ère pause. 5 minutes), D559 (km 17,5), Chabanne Vieille (km 20,5) 2ème pause. 5 minutes, Bac de Montmeyre (km 24. Rav et eau, 15 minutes), Col de Ceyssat km 26,4, D942 (km 28,5 – dénivelé cumulé : 631 m), Laschamps (km 29,6), col entre Puy Pelat et Puy de Mercoeur (km 32 – dénivelé cumulé : 762 m) 3ème pause. 5 minutes, Pied du Puy de la Vache (km 25,2), Col de la Ventouse (km 38,6 – dénivelé cumulé : 793 m), Sud du Puy de Charmont (km 40 – dénivelé cumulé : 856 m), arrivée, camping les Volcans la Garandie (km 42,5 – dénivelé cumulé : 920 m)
Données récoltées par une montre Garmin : durée du déplacement sans les pauses, 6 h 59’21 ; distance : 43 kilomètres ; vitesse moyenne : 6,2 km/h ; dénivelé positif : 987 m ; dénivelé négatif : 736 m.
Echauffement avant le départ !
L’équipement recommandé a été rappelé dans les messages en amont de l’activité : chaussures de trail, jogging, un collant plus ou moins chaud en fonction de la météo, vêtement respirant pour le haut, petit sac à dos avec ravitaillement, eau, des bâtons (de type marche nordique) pouvant être prêtés …
A mi-parcours et toujours frais …
Le mot de l’animateur.
Malgré une météo changeante et annoncée médiocre pour le dimanche, j’ai pris la décision, le jeudi soir de maintenir la manifestation. Bien m’en a pris car nous avons bénéficié d’un temps frais mais agréable pour marcher. Les rafales tempétueuses n’ont pas perturbé notre progression étant à couvert sur une grande partie de l’itinéraire.
Par rapport à la saison précédente, j’ai souhaité tracer un parcours Nord Sud d’où notre départ à proximité du lieu-dit Le Bouy qui a zigzagué entre les plus beaux volcans de la chaîne sur des chemins et sentes permettant de maintenir une allure soutenue. De nombreux arbres tombés suite au dernier coup de vent entre le Puy Balmet et le bac de Montmeyre ont ralenti ponctuellement notre progression. Partis à 11, nous sommes arrivés à La Garandie, à 11 dans un état de forme particulièrement satisfaisant. Un groupe homogène toujours en contact avec un souci de garder le même rythme quel que soit le terrain rencontré. L’encouragement et la bonne humeur ont été les maîtres mots de la journée. Autre innovation cette année a été le ravitaillement assuré par Mady ce qui a permis d’absorber une nourriture adaptée à base de fruits secs et frais, de recharger les contenants en eau. En amont de cette journée, une préparation a été proposée aux pré-inscrits avec deux boucles de 20 et 30 kilomètres avec des profils proches du raid. Ces entraînements auxquels ont participé 15 adhérents différents ont été complétés par la marche sportive du mois et les marches nordiques à allure soutenue du samedi matin. Nous avons eu l’agréable surprise de recevoir des encouragements d’adhérents sous le Grand Suchet par Véronique et ses amis, au col de Ceyssat puis à l’entrée de Laschamps par Monique et Martine et à l’arrivée par Edith et Michel D. Je remercie les bénévoles qui se sont rendus disponibles pour être présents un dimanche après-midi pour récupérer les participants et les ramener vers Clermont-Fd ou au point de départ du Raid où étaient stationnés trois véhicules.
Animateurs : Michel J. et Sébastien Nombre de participants : 6 dont 1 femme et 5 hommes. Météo: pluie fine par averses le samedi, nuages et soleil le dimanche. De larges éclaircies avec un net rafraîchissement le lundi. Nuit de dimanche avec gelée. Classement : facile (samedi et lundi) et moyen le dimanche Transport : Renault Kangoo, Peugeot 3008 et Renault scenic Assistance au transport : Mady, Brigitte et Yves Kilométrage routier : 674 km (dépose et récupération) Temps de préparation du matériel et rédaction des divers documents : 10 heures Cartographie utilisée : cartes Ign bleue et Top 25, 2435 OT, 2535 O, 2534 OT, 2432 ET. Matériel mis à disposition par l’association : une tente tipi Helsport, une tente North face modèle Westwind, deux sursacs goretex et un filtre à eau.
Faune et indices rencontrés : les animaux sauvages n’ont été visibles qu’une seule fois (3 biches) à la lisière de la forêt de Boissonnière. Par contre, nous avons pu observer de nombreuses traces et indices notamment des crottes (moquette) de chevreuil, (laissées) de sangliers, (fumées) de grands cervidés.
Fumées de grands cervidés.
Mot de l’animateur. Nous accueillons sur ce raid, trois adhérents n’ayant jamais participé à ce genre d’aventure avec Atlas. Adeptes habituellement de randonnées sur plusieurs jours mais en suivant des balisages, ils ont été emballés par notre pratique et ont approfondi leurs connaissances par les apports donnés sur les techniques de navigation à l’aide de la carte et la boussole. A cette époque de l’année, les grands espaces s’offrent sans limite, sans gêne pour les troupeaux. L’ambiance fut excellente même dans l’humidité du samedi et la fatigue de la longue journée du dimanche. En autonomie l’adaptation est le maître mot…. Ne sachant si je pourrais être au départ ni finir cette traversée suite à une douleur récurrente à l’épaule droite, j’ai demandé à Sébastien de coanimer ce séjour, animateur titulaire et breveté au sein de l’association. Notre collaboration a été parfaite en tout point et a bien profité au groupe. De nombreuses micro animations ont ponctué cette traversée aussi bien sur la faune, les espaces naturelles, la météo, le matériel de randonnée ou la cartographie.
Quelques chiffres : données fournies par une montre Garmin. Dénivelées positives totales : 1826 m ; négatives : 1844 m, kilométrage : 57 km 950, temps de déplacement : 20 h 50 (pauses incluses).
Relation des journées : Déposés vers 08 h 30 au col d’Entremont, samedi par Mady et Yves, c’est sous une pluie fine et un vent sensible que l’on débute notre périple. Sans assistance, l’autonomie oblige au port d’un sac lourd avec tout le nécessaire, vêtements, nourriture et matériel de couchage pour couvrir nos besoins pendant trois séjours. L’hiver même si les prévisions météo n’annoncent pas des froids importants, il faut être en capacité de se protéger des intempéries et du vent qui peut faire descendre rapidement la température. Cette période est une excellente école pour voir rapidement si l’indispensable est dans le sac à dos ! Pendant ces trois jours, nous cheminerons au 2/3 en hors piste et profiterons de ces grands espaces d’estives occupés à la belle saison par vaches et chevaux. Le début du parcours nous fait louvoyer entre des anciennes carrières et des zones humides dans un paysage tourmenté. La végétation réapparaît au Frau de Collanges entre pessière et forêt mixte. Nous laissons le lac de Sauvages à l’Ouest puis celui du Pêcher et prenons un axe Nord pour traverser l’imposant bois de la Pinatelle qui s’anime dès le mois d’août au moment du brame où les grands cervidés prennent possession des lieux dans des joutes bruyantes. Même si les fumées parsèment le terrain, la forêt est silencieuse et seules quelques chants d’oiseaux se font entendre entre deux coups de vent. Un peu d’observation pour trouver un passage nous permettant de traverser le ruisseau gonflé de Cézérat coulant dans un vallon serré. La remontée se fait sur un chemin à l’abandon dans une végétation de buissons noirs. Autour les pacages sont de mauvaises qualité et délaissés. Arrivés sur un mini plateau occupé par quelques prairies artificielles dédiées à la production de foin envahies par des monticules, œuvres de rats taupiers, il nous faut traverser la D9 pour gagner le lieu-dit Laneyrat puis le ruisseau éponyme situé en contrebas où nous ravitaillons en eau à l’aide d’un filtre MSR. Le bois de Roche Grande et son sommet à 1151 m occupé par un chaos basaltique se dessine, c’est notre zone du bivouac à la latitude d’Allanche située vers l’Est. La pluie a cessé déjà depuis quelques heures et le ciel montre un aspect laiteux ce qui va nous permettre de monter les tentes en ce début d’après-midi tranquillement au sein d’une clairière. Cette étape d’un peu plus de 19 kilomètres a été rapidement avalée sur un terrain assez facile d’accès et des bois traversés aisément. Quelques gouttes, un léger refroidissement lancent l’heure du repas du soir. Même si les jours ont bien rallongé, chacun n’a qu’une hâte, c’est de se mettre au chaud dans son duvet.
La journée du dimanche s’annonce dès le réveil plus lumineuse. La nuit a été calme et le chant des oiseaux met tout le monde de bonne humeur. La mise en route prévue entre 09 h 00 et 09 h 30 s’effectue sans problème chacun s’organisant à son rythme. Nous sortons rapidement plein Nord du bois, passons le vélorail, puis traversons le ruisseau de Landeyrat bien en eau avant d’atteindre le lieu-dit Romaniargues. Au hameau, je montre la présence d’un énorme nid de rapace, repéré lors d’un précédent passage, il y a quelques saisons où à cette période un Milan royal consolidait déjà son nid par l’apport de nouveaux branchages. A la sortie des quelques maisons à hauteur des solides et imposants bâtiments de la ferme de Piquemeule, nous rejoignons le Tour des Vaches Rouges qui par des chemins confortables, nous amènera jusqu’à Pradiers, lieu connu des anciens de l’association car point de ravitaillement de la longue distance de l’époque, la traversée du Cézallier sur la journée. Plein Nord, sur un chemin d’exploitation entre Montagne de Pradiers sur notre droite et Montagne des Courbières sur notre gauche, nous gagnons le pied de la Montagne des Huides dont le sommet est côté à 1449 m, deuxième plus haut point du Cézallier.
Sur la Montagne des Huides… En arrière plan la Montagne des Pradiers
Le prochain objectif se distingue facilement avec ce temps clair, le point le plus haut à 1476 m d’altitude, le Mont Chamaroux qui sera atteint après le passage du ruisseau des Coins et la traversée de la D724 qui mène de Boutaresse à Marcenat. Du Mont, un paysage sur 360° se montre à nos yeux du Cantal au Sancy. Quiétude et tranquillité à chaque fois renouvelées…on ne se lasse pas de ressentir un moment de paix intérieure loin de tout et des contingences habituelles !
La Godivelle d’en bas
Il nous reste dans cette longue journée encore quelques kilomètres à parcourir et l’heure avance. La montagne du Chamaroux puis le lac d’En Bas de la Godivelle sont atteints. Je modifie notre point d’arrivée qui se situait à proximité de la Montagne de Las Tiolas car le paysage a subi une importante modification, une partie de la forêt a été rayée de la carte. Nous gagnons la Coualle Basse où coule un vigoureux ruisseau né dans la tourbière de la Plaine Jacquot, toute proche. Les tentes sont installées rapidement car le soleil décline, masqué par quelques nuages gris. Une froideur s’installe rapidement ce qui pousse après le repas expédié, les participants à se mettre au chaud. Le vent a tourné et souffle au lever du jour de l’Ouest, les tentes portent une pellicule de glace. La routine du matin accomplie, petit déjeuner, pliage et chargement des sacs, nous prenons sur quelques centaines de mètres le GR30 à travers une forêt qui s’éveille. Notre direction change brutalement en suivant la séparation entre une forêt d’épicéas et de mélèzes pour gagner le Teston du Joran. Nous surplombons sur notre droite le lac à proximité de Cureyre pour traverser la forêt de la Montagne de la Veisseyre jouant avec les petits reliefs et les zones humides pour atteindre le col routier de la Chaumoune. Les estives ont, là aussi, été également travaillées par les engins agricoles et des pacages faits de trous et de bosses ont été aplanis pour permettre des surfaces plus grandes destinées au foin. Pour les randonneurs la progression est plus aisée et les zones humides reléguées sur les fonds. (photo)
Vers le col de la Chaumoune…en arrière plan le Sancy et ses traces de neige.
En grimpant la Montagne du Ronzier pour atteindre la dernière grosse difficulté du séjour, le Puy de la Vaisse à 1358m, il suffit de se retourner un instant… c’est la magie d’un itinéraire en linéaire, pour voir que le massif du Cantal est déjà bien loin. Après la descente dans la magnifique hêtraie, nous cherchons refuge dans la pessière pour nous protéger du vent qui se renforce et amène une grande fraîcheur. Les Fontlonges sont dépassés et nous contournons par l’Est cette grande cuvette qui draine les eaux d’écoulements puis c’est la montée au sommet du Puy Ferrand où nous prenons le temps d’une longue pause à l’abri des genévriers. La neige a déserté cette mini-plaine, terrain de jeu des skieurs de fond il y a quelques années. Passons au Nord du Cocudoux et pénétrons dans la forêt de la Bany où les musheurs ont pris leur quartier d’hiver, les traîneaux ayant été remplacés par des karts à roue pour promener les touristes. La fin de notre séjour est proche, nous passons par une petite dépression à peine visible sur les cartes au 1/25000 ème pour admirer une jolie cascade, sans nom, alimentée par un ruisseau approvisionné par l’humidité de la forêt de la Bany et qui doit plus ou moins disparaître à la saison sèche. Nous sommes au point de rencontre, le parking de l’Escarot qui marque la fin de cette nouvelle aventure. Merci à tous d’avoir participer avec bonne humeur et entrain à ce séjour.
Remarques : merci aux bénévoles, Brigitte, Mady et Yves qui ont participé à la réussite de ce séjour en transportant et ramenant sur Clermont, les participants.
Animateur : Michel J. Terrain : dur et craquant par endroit sous l‘effet de la gelée. Météo : température allant de -4°C au départ à 08° à l’arrivée Temps de préparation et de rédaction : 2 h 00 Mise à disposition de matériel : 2 paires de bâtons de marche nordique en 1,25 et 1 en 1,10. Kilométrage : 3 voitures en covoiturage au départ de Clermont, 6 voitures sur place soit un total général de 335 km Nombre de participants : 13 animateur compris (4F, 9H) Distance : 30,06 km ; moyenne 6,3 km/h soit 9’33’’au km ; dénivelée 597 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 4 h 46’ 35’’ (de marche) et 4 h 56 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés.
Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, les Cheires de Bruvaleix, tour par l’Est et le Nord du Puy de Paugnat, Nord et Ouest du Puy La Baneyre, Ouest du Puy de Lespinasse, Ouest du Puy de Tressous, D 941, Est le Bouchet, Sud puis Est du Puy de Louchadière, D941, Chazeron, col de la Nugère, Ouest Puy de la Nugère,les Goulots, sentier du docteur Moity, parking.
Après 20 kilomètres….
Observations : ce second entraînement pour préparer le raid pédestre du 23 mars s’est déroulé dans de bonnes conditions. L’objectif annoncé au moment du départ de 6 km/h a été légèrement dépassé. Le groupe en bonne forme a tenu une allure supérieure sans forcer. L’itinéraire tracé avait un profil peu accidenté se rapprochant de l’itinéraire prévu le 23 mars.
L’équipement recommandé a été rappelé dans les messages en amont de l’activité : chaussures de trail, jogging, un collant plus ou moins chaud en fonction de la météo, vêtement respirant pour le haut, petit sac à dos avec ravitaillement, eau, des bâtons (de type marche nordique) pouvant être prêtés …
Après 30 kilomètres….l’ombre du 13ème en bas à gauche !
Remarque : parcours dans un environnement agréable passant dans de belles hêtraies avec une météo convenant bien pour ce genre d’exercice. L’ambiance a été bonne et les participants étaient heureux de partager ce moment.
Animateur : Michel J. Nombre de participants animateur compris : 21 (14F, 7H) Météo : ciel bas nuageux quelques averses de pluie fine, température douce pour la saison 08°C. Terrain : gras et glissant Distance : 23,580 km (montre gps) Dénivelé : 329 m (montre gps) Durée du déplacement : 7 h 15 environ Durée de la randonnée : 6 h 10 environ Classement Atlas : facile Kilométrage auto : (120 x 3) + (160 x 2) = 1040 km Préparation et rédaction : 3 h 00
Itinéraire : Fréteix, étang de Vergne-Labouesse, la Vergnette, Aubarre, Chauvence, forêt de Roche, les Bolles, , les Dejets, la Croix de Roche, étang de Chancelade, Troissagnes, Fréteix.
Le ciel bas n’a pas découragé les 21 inscrits pour affronter cette zone des Combrailles. Paysage agraire resté très bocager où les haies sont bien présentes et entretenues, ce territoire parsemé d’étangs plus ou moins grands, est voué à l’élevage en grande partie sur un sol granitique. Déjà proposé un dimanche sans neige le 25 février 2023 sous un beau ciel bleu mais par une température polaire, je souhaitais revenir sur cette partie des Combrailles, espace géographique un peu abandonné des clermontois. J’ai apporté quelques modifications à l’itinéraire de 2023, allant plus au Sud et faisant malgré l’humidité ambiante un long cheminement le long de l’étang de Chancelade. Le point de départ reste Fréteix et je relate après une présentation globale de la journée la particularité de ce lieu déjà écrit dans mon précédent rapport. Fréteix, lieu-dit avec une chapelle du XVII ème siècle dédié à Saint Jean-Baptiste. L’histoire de ces quelques maisons sort de l’ordinaire….Au XIV siècle, l’épouse du seigneur du Montel-de-Gelat, Mgr Gaspard de Daillon du Lude, frôle la mort, son cheval s’étant emballé. Des villageois ayant maîtrisé la bête, l’époux de cette gente dame va octroyer aux habitants de Fréteix de nombreux avantages, ils deviennent « francs » et de « franche condition », les habitants des autres villages ayant le statut de serf. Et dans les autres avantages, ils sont exemptés de tout droit sur les vins et de la « corvée de vinade ». Ce qui fait que ce modeste regroupement de maisons qui a compté à son apogée jusqu’à 243 habitants comptait deux cabarets au XVIII ème siècle ! Après l’étang de la Vergne-Labouesse, nous passons successivement quelques maisons à la Vergnette et à Aubarre par des chemins d’exploitation que les roues des tracteurs ont quelque peu marqués. Nous gagnons un point surplombant au Sud, le ruisseau qui s’écoule de l’étang longé précédemment où un château dominait jadis, château du XVe siècle de Villosanges situé au lieu-dit Chauvence démantelé à la révolution. Le but de cette pause est le Monument Historique en pierre de Volvic qui était dans la propriété du seigneur et qui présente un ensemble très travaillé avec des pinacles, des niches occupées par des statuettes. Sur la Croix, d’un côté un Christ et de l’autre une Piéta, en dessous on distingue l’écu de la famille Rochebriant, seigneurie très ancienne. Pour compléter les informations et marquer l’importance du lieu, Saint Amable serait né en 397 dans le premier château et deviendra curé de Riom au Ve siècle.
Après un petit retour en arrière sous les aboiements des chiens de ferme, nous prenons Nord-Ouest à travers la forêt de Roche puis Est. Les Bolles passé, nous perdons le chemin au ruisseau « la Barge ». Une belle averse arrive et dans ce contexte fort humide avec un groupe aussi important, je propose de revenir sur nos pas et de prendre le premier chemin sur notre droite pour gagner les Dejets où une grange ouverte nous permet de nous abriter pour le pique-nique. Un 22 ème participants nous accompagne, il est dynamique de couleur noire, moucheté de blanc, il a quatre pattes et se propose de nous servir de guide, nous devançant, revenant sur ses pas pour s’assurer que l’on suit le bon chemin…Il fera la randonnée avec nous jusqu’à Freteix. Avant de repartir en voiture, nous préviendrons le propriétaire qui, pas inquiet, nous précise qu’il reviendra seul à la maison…
On attend la chute !
L’étang de Chancelade se dessine à travers une végétation composée de chênes, de bouleaux, de saules encore défeuillés. Nous longeons cette belle masse d’eau de 132 hectares où la luminosité filtrée par les nuages fait penser à l’atmosphère de la Mare au diable décrite par George Sand. Nous parcourrons un bon 1/3 tiers des berges de l’étang ponctué de panneaux indicatifs nommant poissons et volatiles vivant sur et sous ses eaux. On a pu voir un groupe de cormorans continental et quelques hérons blancs.
Après le Suquet des Ballets, une vieille passerelle nous invite à poursuivre mais le terrain de l’autre côté est occupé par une masse liquide ou seuls quelques saules sortent la tête de l’eau. Avec les quantités de pluie des derniers jours, nous avons eu de la chance d’être arrivé jusque là ! Il nous faut rebrousser chemin afin de traverser une pâture où nous pataugeons un peu. Après avoir retrouvé un bon chemin d’exploitation, nous passons sur le Sud des Troissagnes et n’avons plus qu’à rejoindre notre point de départ. Merci pour la distribution de spécialités et café pendant la pause de midi et comme d’habitude à l’arrivée. Heureusement que nous avons laissé quelques calories au cours de cette journée qui fut somme toute pas si mal à vivre…
Remarque : groupe volontaire malgré un terrain glissant et un peu humide…
Animateur : Michel J. Nombre de participants animateur compris : 15 (9F, 6H) Météo : température fraîche au départ puis s’élevant vers 08°C avec l’activité solaire. Terrain : dur, gelé sur une grande partie du parcours Distance : 23 km (montre gps) Dénivelé : 950 m (montre gps) Durée du déplacement : 6 h 00 environ Durée de la randonnée : 5 h40 environ Classement Atlas : moyenne Cartes Ign 1/25000 : 2432 ET Kilométrage auto : (84 x 3) = 252 km Préparation et rédaction : 3h00
Itinéraire : lac de Chambon, Jassat, St-Victor-la-Rivière, le Breuil, Entrée de Courbanges, Montaleix, Varennes, parking Murol du lac.
Après une présentation rapide de l’itinéraire que nous allons suivre et notamment les différents passages hors piste, le lac longé sur sa partie Est, nous attaquons la pente du bois des Bouves puis passons sous le Suc du Coq avant de gagner par une belle sente, Jassat. Le groupe un peu endormi dans la fraîcheur du matin traverse le ruisseau de Courbanges qui en aval devient La Planchette et qui plus en aval va se jeter un peu avant le lieu-dit les Granges dans la Couze Chambon. Très vite nous sommes à St-Victor-la-Rivière où l’on dénombre deux croix très proches l’une de l’autre qui ont un double rôle de guide et de protection. Ce plateau jusqu’à le Breuil, situé à un peu plus de 1000 d’altitude se consacre à l’élevage et l’on peut voir encore malgré l’hiver quelques troupeaux dans les pâtures. Peu avant de plonger dans la cassure occupée par le ruisseau de Malvoissière où trônent d’anciens moulins parmi un terrain de broussailles, nous bifurquons Sud-Ouest pour rejoindre la grande allée de la forêt de Courbanges puis le chemin de Vanzoux à l’orientation Nord-Est. Forêt sectionale d’une surface de 1889 hectares qui malgré sont appartenance au Parc naturel régional des Volcans d’Auvergne voit le passage de quads bruyants et polluants. Heureusement, peu après nous pénétrons en sous-bois suivant plus ou moins un coupe-feu. Nous profitons d’une clairière de cette forêt mixte pour faire la pause de à 12h04…où quelques spécialités de notre pâtissière et du pâtissier du jour nous attendent. Le voile se déchire avant de repartir et un soleil plus présent réchauffe les corps refroidis. Notre cheminement nous amène à l’entrée Sud du village de Courbanges. La rive droite du ruisseau éponyme sera notre main-courante par un chemin où les écoulements non canalisés se sont figés et forment une gangue de glace parfois translucide et épaisse. Le chemin est plus facile que je le pensais et traverse une hêtraie en courbe de niveau où seul le chuchotement du ruisseau en contrebas se fait entendre. Notre orientation change brutalement car nous quittons le vallon du ruisseau de Courbanges pour gagner le ruisseau du Cheix séparé par un tout petit mouvement de terrain.
En remontant le ruisseau du Cheix.Le ruisseau du Cheix barré par un rideau de glace.
La remontée au frais presque Ouest nous fait gagner de l’altitude et après un zig et un zag, sur un point haut nous retrouvons le soleil sous le village de Montaleix que nous contournons par le Nord.
Le massif adventif du Sancy sur la droite
Un pacage traversé et c’est la descente en hors piste un peu raide du bois de Favarades où des laissées de sanglier et de la moquette de chevreuil sont visibles. Maintenant, nous suivons dans un premier temps le ruisseau des Fouesses puis la Couze de Chaudefour qui alimente en grande partie le Lac Chambon. Le reste de l’itinéraire noyé dans les nouveaux chalets qui émergent nous fait passer sous la butte féodale qui fera l’objet d’une visite explicative dans la randonnée de Pierre dans quelques semaines. Après une descente de quelques marches nous retrouvons le bord du lac d’une surface de 60 hectares et d’une profondeur maximum de 4 mètres où une légère pellicule de glace fige la surface et bientôt le parking où le gâteau des rois et autres pâtisseries nous attendent pour finir cette belle journée.
Animateur : Michel J. Terrain : souple, glissant, quelques grosses flaques d’eau Météo : température douce se rafraîchissant en cours de matinée. Temps de préparation et de rédaction : 2h00 Mise à disposition de matériel : 2 paires de bâtons de marche nordique en 1,25 et 1 en 1,15. Kilométrage : 3 voitures en covoiturage au départ de Clermont, 4 voitures sur place soit un total général de 280 km
Nombre de participants : 13 animateur compris (4F, 9H)
13 au départ…13 à l’arrivée sous le soleil ! (à gauche l’ombre du photographe)
Distance ; 19,45 km ; moyenne 6,4 km/h soit 9’10’’au km ; dénivelée 540 m (montre Garmin Félix 6 Pro Solar). Durée : 3 h 03’ 35’’ (de marche) et 3 h 15 (déplacement et pauses compris). Échauffement et étirements non comptabilisés. Itinéraire : départ parking des eaux de Volvic, Est du Puy de la Bannière, Est du village Facemeunier, Croix de St Priest, sortie Est du village de Moulet-Marcenat, Sud du Puy de Paugnat, passage au Sud du Puy des Marais, les Goulots, les Cheires de Bruvaleix, parking
Observations : l’objectif annoncé au moment du départ de 6 km/h pour préparer le Raid du 23 mars 2025 a été dépassé. Le groupe en bonne forme a tenu une allure supérieure sans forcer. Après un début de parcours au relief haché fait de quelques montées aux profils rudes, le reste de l’itinéraire a permis de dérouler sans gros effort…
L’équipement recommandé a été rappelé dans les messages en amont de l’activité : chaussures de trail, jogging, un collant plus ou moins chaud en fonction de la météo, vêtement respirant pour le haut, petit sac à dos avec ravitaillement, eau, des bâtons (de type marche nordique) pouvant être prêtés …
Remarque : parcours dans un environnement agréable avec une météo clémente dans une bonne ambiance de groupe.
Les bienfaits apportés par la marche nordique sont consultables sous l’onglet Marche Nordique du site. Retrouvez les informations sur l’activité sur le site onglet « Actualités ».
En semaine, les séances se déroulent au stade Leclanché à partir de 18h30 en alternant une semaine sur 2, le foncier et le fractionné. Le lundi, 5 tours de 1 km 200 sont effectués soit au total 6 kilomètres, le mardi 6 tours soit 7 km 200. L’objectif est d’amener les participants à marcher à une moyenne de 6 km/h. Pour ce début saison, le 01 novembre pour l’association, les participants sont toujours aussi nombreux et la motivation bien présente. L’entraînement régulier a permis une progression collective et les nouveaux adhérents arrivés le 01 septembre ont apprécié le dynamisme du groupe et des animateurs ! Le samedi matin sur le site des eaux de Volvic principalement, deux allures sont proposées : allure modérée jusqu’à 6,4 km/h sur une distance d’environ 10 kilomètres et allure soutenue à partir de 6,6 km/h sur une distance d’environ 13 kilomètres.
Merci Armand…Didier…
Statistiques du 01 novembre au 31 décembre 2024 Les lundis et mardis Nombre de séances réalisées Lundi : 7 Mardi : 7 Annulées : 1 (nombre insuffisant de participants vent et pluie) Types de séances : Fractionné : 2 (lundi) 3 ( mardi) Foncier : 5 (lundi) 4 ( mardi) Nombre de participants : Lundi : 113 dont 60 F et 53 H mardi : 105 dont 45 F et 60 H Animateurs : Mady, Christian , Michel J Les samedis Nombre de samedis : 12 Nombre de séances : 12 Nombre de séances annulées : 2 (allure modérée manque de participants)
Modérée : 7
Soutenue : 5 Nombre de participants: 65 dont 29 F et 36 H Animateurs: Mady, Christian, Michel J, Sébastien
Les statistiques sortiront tous les deux mois dorénavant…
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