Animateur : Yves
Nombre de participants : 12 animateur compris (7 F, 5 H)
Météo : ensoleillé dans l’ensemble
Distance : totale 82 km
Dénivelé : total 6920 m
Durée : 45 H
Classement Atlas : difficile
Kilométrage auto :  2550
Préparation et rédaction : 40 H
 
Séjour en étoile pour découvrir les 2000 des Bauges.

Jour 1 : Croix du Nivolet      9 km, + 900m, – 900m, 5h

Trajet effectué, il est 11h. Nous voici dans le Parc Naturel des Bauges, parc de 900 km2 créé en 1995. Territoire de moyenne montagne avec, à l’est, les sommets les plus élevés qui culminent aux alentours de 2000 m dont certains seront gravis durant la semaine. A l’ouest, des sommets plus doux : Semnoz, Revard, Nivolet dominé par une croix majestueuse, celle que nous allons justement découvrir maintenant.

Le départ se fait par le versant sud, à partir du hameau de Lovettaz où nous venons de nous garer. Passé le hameau, la montée se fait régulière sur un sentier mi-terre, mi caillouteux, jusqu’aux Grands Prés. Petite pause au pied des projecteurs qui illuminent la croix, installés en 1960, pour le centenaire du rattachement de la Savoie à la France et financés par EDF. La pente se fait plus raide pour atteindre le Pas de l’Echelle, où, pour passer cette difficulté, nous décidons de replier les bâtons dans le sac. Nous commençons par un passage câblé, sur des roches calcaires lissées par le temps et les chaussures des randonneurs, le câble est bienvenu car, à droite, la pente est importante. La suite est plus physique : passage étroit dans une faille de la montagne, étiqué tant bien que mal de barres métalliques, plus ou moins bien positionnées.
Malgré la difficulté du passage, tout le monde se retrouve à la sortie et reprend ses bâtons. Simple formalité pour atteindre la croix quelques mètres plus haut.
Après l’effort, la récompense aurait du être au rendez-vous mais la déception est grande car le brouillard, présent sur le sommet depuis le départ ne s’est pas dissipé et nous entoure. Du pied de cette croix de 21m de haut, on devine à peine son sommet. Je leur avais vendu une vue spectaculaire sur le Lac du Bourget et Aix les Bains, je suis également très déçu. La seule façon de se repérer est de lire la table d’orientation.

Croix du Nivolet

Il ne fait pas très chaud et la brise nous cingle le visage, nous redescendons de quelques mètres pour une pause bien méritée, car nous voulions passer la difficulté avant de nous restaurer.
La descente dans le bois de Charvettan à la lisière du rocher du même nom, nous mène au Col de la Doria. Nous changeons brutalement de direction pour nous diriger vers la Cascade de la Doria. De la passerelle qui surplombe la cascade, nous apercevons des courageux sur la Via Ferrata de la Grotte Carret. Séances photos et progression le long du torrent de la Doria jusqu’au parking.
Il nous reste 1h de petites routes tortueuses pour gagner notre gite à Jarsy.

Jour 2 : Chaurionde (2173m)     16km, +1200m, -1200m, 8h

Tout le monde est en forme ce matin. La nuit au gite s’est bien passée. Un gite de 30 personnes uniquement pour nous, nous sommes à l’aise. Dans le dortoir, filles d’un côté, garçons de l’autre. Très bon accueil de la responsable. La tartiflette était excellente.
Petit déplacement en voiture jusqu’au parking du Nant Fourchu à proximité du Chéran, la rivière sauvage qui traverse Les Bauges et qui n’est, à cet endroit qu’un torrent impétueux.
La montée dans la Forêt de Coutarse nous fait rapidement transpirer car les dénivelés importants se succèdent entrecoupés de faux-plats pour reprendre notre souffle.
Sortis du bois, l’Alpage d’Orgeval avec sa piste d’accès s’offre à nous. Nous la suivons jusqu’aux chalets de l’alpage. Les sommets sont encore dans le brouillard ce matin, sur notre gauche, nous distinguons le 1er 2000, le Mont de la Coche. Passés les chalets d’Orgeval, progression en alpage face au roi des Bauges (Pointe d’Arcalod 2217m).

Nuages et brouillard se déplacent rapidement. Nous stationnons quelques minutes en face afin de visualiser cette pointe réputée pour sa difficulté d’ascension. La chance nous sourit : d’un seul coup elle se découvre et se présente à nous dans toute sa splendeur. Il aurait été dommage de ne pas la découvrir. De là, on s’imagine bien que l’escalade pour atteindre son sommet n’est pas chose facile.
Au Col d’Orgeval, changement de cap : direction plein Est face à la Pointe de Chaurionde. Les 400m de dénivelé se font tranquillement, la pente est raide mais régulière. Le plafond s’élève et le soleil apparait.

Montée de Chaurionde

La partie sommitale est vaste et nous nous retrouvons avec quelques personnes déjà présentes. Ça y est, c’est notre premier 2000 (Chaurionde 2173m). La vue est époustouflante sur tous les massifs avoisinants : Belledonne, Ecrins, Vanoise ainsi que le Mont Blanc d’un blanc immaculé comme je ne l’avais jamais vu. En dessous, une mer de nuages remplit les vallées. La Sambuy est à portée de main mais des cordes sont nécessaires pour l’attaquer de ce côté. En face, la Dent de Cons à la couleur sombre semble sortir d’un film d’horreur. Au sud, nous distinguons le Pécloz avec ses plis caractéristiques et l’Arménaz que nous gravirons vendredi. De l’autre côté, la Tournette proche du Lac d’Annecy sort des nuages comme un pantin de sa boite. L’endroit est trop beau, nous décidons de pique-niquer sur place.
Un patou très docile, en mal d’affection se joint à nous et profite de quelques bribes de notre festin jusqu’à ne plus vouloir lâcher la gamelle de Sandrine. Malheureusement, tout à une fin, on aurait bien passé l’après-midi-là, mais il faut redescendre.
Les premiers 400m jusqu’au Col du Drison sont pentus et escarpés, les cailloux roulent sous nos pieds. Pas de chute à déplorer, les Atlassiens ont le pied sur. Petit raccourci vers le Col du Haut du Four où nous retrouvons le GRP du Tour des Bauges. A la Fontaine de la Croix de Fer, nous quittons le GRP pour emprunter un sentier peu fréquenté au-dessus du Chéran, entrecoupé d’une douzaine de mini canyons formés par les torrents qui alimentent la rivière, plus ou moins faciles à passer. La descente est longue et pénible : racines, rochers humides, terrain boueux par endroits provoquent plusieurs glissades, heureusement sans gravité. Nous retrouvons enfin le GRP avec une économie d’une bonne heure de marche si nous l’avions suivi, mais ce ne fut pas sans peine !
Passé le Chéran, une bonne piste nous conduit aux voitures.

Jour 3 : Le Mont Trélod (2181m)     13km, +1200m, -1200m, 7h10

Suite à la mise en place d’une zone de recherche qui s’intègre dans la nouvelle réglementation de la Réserve Nationale de Chasse et de Faune Sauvage (RNCFS), seuls les sentiers balisés sont autorisés. Le parcours sera donc en grande partie en aller/retour, seule une petite boucle sur le retour sera effectuée. Le départ se fait du parking des Cornes, d’abord en alpage puis en forêt par un sentier à la montée régulière peu accidenté. Le temps est brumeux et le soleil peine à sortir. Nous voici sous la Dent des Portes, où le passage de rochers se fait sans encombre, petit chemin en balcon et nous voilà au Chalet des Gardes. Progression régulière en légère montée sur un chemin terreux et herbeux. Un troupeau d’Abondances obstrue le chemin, nous les contournons gentiment sous leur regard complaisant. Soudain les yeux de lynx d’Anny repèrent des chamois sur un pierrier ainsi que sur une pente herbeuse qu’ils dévalent allègrement. Les appareils photos crépitent. Nous nous approchons du but : le sentier devient caillouteux et la montée finale nécessite les mains. Nous sommes au Mont Trélod (2181m), : (notre deuxième 2000).

Sommet du Trélod

Malheureusement la vue est bouchée : brouillard plus ou moins épais qui change en permanence. Photos de groupe et nous redescendons de quelques mètres pour la pause méridienne.
Le retour se fait tranquille, les vaches ont dégagé le chemin. Nous arrivons à l’embranchement de ma petite boucle. Progression à découvert sur un sentier terreux à la pente plus douce. Au chalet du Golet, le berger nous accueille avec le sourire et un grand nombre d’entre nous repart avec un fromage de chèvre qui s’avèrera délicieux. Les 2.4km de piste dans le bois pour rejoindre le parking nous semblent interminables.

Jour 4 : Margériaz     11km, +600m, -600m, 6h

Aujourd’hui jour plus cool, mais pas de repos pour autant !
Nous partons pour les falaises de Margériaz, au-dessus de la station Aillons-Margériaz 1400. Station complètement intégrée dans le site, dans un respect écologique et environnemental. Falaises de 12km de long, qui s’étalent de la vallée du Chéran au Col du Pré de la Roche, qui soutiennent, à l’ouest, le plateau de Margériaz au centre du bucolique Massif des Bauges.
Partis de la place à Baban, nous montons d’entrée sur les roches de calcaire karstique jalonnées de tannes et de gouffres qui se visitent pour certains. Passage près du chalet du Margériaz où un patou nous montre que c’est lui le gardien du troupeau. Le bord de la falaise est atteint à proximité de la Tanne des Squelettes. Après une atypique photo sur un fauteuil en bord de falaises, nous continuons sur la crète jusqu’au Golet de l’Agneau. Ce passage, utilisé autrefois par des bergers qui portaient leurs agneaux sur leurs épaules, permet de gagner Plainpalais dans l’autre vallée. Deux Atlassiens viendront avec moi pour se rendre compte de la difficulté de ce passage, effectivement vertigineux mais relativement bien équipé. A faire par beau temps et en montant de préférence !

Falaise de Margériaz

Malgré la faible hauteur du plateau, la vue à 360° est très riche en repaires, surtout par cette journée magnifiquement ensoleillée. Après un repas pris proche du Golet, le retour se fait sur la piste au début, puis nous regagnons la crète au niveau où nous l’avions atteint, pour la suivre jusqu’au col de la Verne, au-dessus d’une barre sinueuse dénommée « La Couleuvre ». Nous marchons sur une zone de lapiaz à crètes aiguisées et émoussées, en faisant très attention de ne pas se tordre les pieds. Passé le Col, 2 sentiers s’offrent à nous pour descendre la Combe de la Verne. Je choisis celui de droite qui me parait plus net, mauvais choix ! Après quelques pas, la végétation a pris le dessus, on se croirait en hors-piste. Les remarques sympathiques fusent mais que cela ne tienne, nous le garderons jusqu’à la rencontre de l’autre. Pas de chance, mais c’est l’aventure avec un A…
Avant le retour aux voitures, un petit arrêt à la Grotte des Fées, lieu de méditation à l’accessibilité plus ou moins glissante.
Sur la route du retour, arrêt à la Cascade du Pissieu qui draine l’eau de pluie et de fonte de neige du plateau de Margériaz après avoir emprunté un réseau souterrain. L’endroit est très prisé et, en cette fin d’après-midi caniculaire, la foule est au rendez-vous.

Jour 5 : Mont Pécloz (2197) et Mont d’Arménaz (2158),     16km, +1500m, -1500m, 9h


Pour ces deux-là, une grande boucle n’étant pas possible (zône RNCFS), la moitié du parcours sera en aller/retour.
Départ du parking du Couvent, petite sente raide pour rejoindre le sentier de découverte où nous nous instruisons tout en marchant, prolongée d’une belle piste un peu monotone jusqu’à la Culaz. A partir de là, montée caillouteuse en forêt, passage en courbe de niveau et nous atteignons les derniers « S » sous le Chalet des Gardes. Nous apercevons le sentier qui mène au col entre Pécloz et Arménaz. Bonne pause et nous attaquons la montée. La pente est dure, chacun monte à son rythme et tout le monde se retrouve au col. Nous sommes à 1995m. Sur la partie basse de l’Arménaz, plusieurs jeunes chamois ignorent la pente et s’en donnent à cœur joie. Devant nous, le Pécloz culmine à 2197m. Il reste encore 200m à gravir. Les regards se tournent vers le sommet qui fait poser des questions : par où ça passe ? Il faut escalader ? Il y a du vide ?
Je les rassure. On pose les sacs, certains les bâtons et nous voilà partis. Effectivement, à plusieurs endroits, il faut mettre les mains : la sente est très raide et caillouteuse, mais le cheminement se fait entre les blocs, donc pas aérien. Seule la crète pour atteindre la croix mérite son nom, nous sommes sereins. D’en haut, la vue à 360° est majestueuse, nous apercevons les sommets déjà faits et devant nous celui à venir. Albertville s’étale en fond de vallée et le Mont Blanc, toujours présent, bien visible en toile de fond. Au sud se dressent quatre autres 2000 : la Pointe des Arces, la Pointe des Arlicots aux deux canines effilées, le Grand Parra et la Dent d’Arclusaz. La désescalade du Pécloz se fait tranquillement jusqu’aux sacs où nous nous restaurons. Pendant cette descente, une envolée de rapaces nous survole : ils sont superbes et imposants.

Montée au Pécloz et Arménaz

La journée est magnifique, le soleil est de la partie et une légère brise nous aide à supporter la chaleur. Au-dessus de nous, le 2° objectif du jour : Le Mont d’Arménaz (2158). Les 150 m positifs après le repas sont un peu durs le long de cette crète sinueuse avec, à notre gauche, un vide sidéral. Le groupe reste attentif et monte doucement. C’est fait : le deuxième 2000 du jour !
Le retour, plus doux au départ, passe au pied de la Pointe des Arces. Petite pause au Chalet des Gardes avant de reprendre la partie en aller/retour. Déception au village de la Chapelle car l’explication audio de la destruction du village en 1944 présente l’été dernier n’existe plus. Détour par la Chapelle de Belleveau où les stigmates de la tentative d’ouverture de la porte par les Allemands sont encore visibles.  Retour au départ.

Jour 6 : Mont Colombier (2045),    11km, +1320m, -1320m, 7h


Aujourd’hui, départ d’Aillons le Vieux pour le Mont Colombier, sommet central du Massif des Bauges qui offre un point de vue à 360° sur les autres sommets Baujus mais aussi Haut Savoyards et Isérois. Tout en étant éloigné des autres, il n’en reste pas moins mythique. Comme toujours, le parcours commence en forêt, et se faufile en pentes très raides par moment, dans la Combe du Cheval. La forêt représente 60% du Parc Naturel avec comme essences principales épicéas, sapins et hêtres. Au sommet de cette combe, un grand cirque s’ouvre devant nous avec, au fond une petite mare (Le Lac) et en arrière-plan, notre objectif. Un petit plus est prévu au programme : la montée à la Croix de Rossanaz., magnifique croix en inox que nous atteignons rapidement. Léger retour et direction le Col du Colombier par un sentier verdoyant et fleuri, d’où part la sente bien visible qui gravit l’arête jusqu’au sommet.
Le cheminement d’accès au sommet comporte quelques passages escarpés :  alors prudence !

La crête du Colombier

Tout s’est bien passé, cinquième 2000 atteint : le Mont Colombier (2045m). Le 360° prévu est bien là, avec toujours notre Mont Blanc en fond. Cette journée très estivale à la luminosité parfaite nous permet de voir à l’horizon notre fameuse Croix du Nivolet du 1er jour. Pique-nique au sommet : nous ne sommes pas les seuls ! Descente par l’arête Sud légèrement aérienne mais en toute sécurité. Face à nous une équipe de rugbymans en décrassage du match de la veille confirme la difficulté de l’ascension. Chacun descend à son allure et regroupement au Col de la Cochette où un autochtone à vélo qui va s’approvisionner en fromage à la bergerie voisine nous apprend que son épouse est de Cébazat ; conversation de quartier avec Dominique. Au chalet de la Cave, deux patous gardent un troupeau de chèvres. L’un d’eux nous ignore et ramène au troupeau une chèvre égarée, l’autre, en despote sur son territoire, impose sa présence par un aboiement rauque et régulier mais protecteur. Pour ne pas l’affronter, nous nous frayons un passage au milieu du rumex alpin ou rubarbe des moines, afin de retrouver le sentier quelques encablures en dessous.
Le retour à la Bottière où, ce matin, nous avons posté une voiture pour éviter d’emprunter la route, se fait par un sentier très agréable, légèrement plus long mais moins pentu qu’à la montée. Arrivée sous la chaleur : on cherche l’ombre pour attendre les chauffeurs.

Jour 7 : Chaos du Chéran     6km, +200m, -200m, 3h
On est dimanche : la semaine et le séjour sont malheureusement finis, on quitte notre gite avec un peu de nostalgie. Avant de prendre la route du retour, direction le Pont de l’Abîme pour découvrir le Chaos du Chéran, la rivière sauvage qui a été notre fil conducteur une grande partie de la semaine. Le Pont de l’Abîme étant en travaux sa traversée est rigoureusement interdite, nous ne pouvons pas effectuer le parcours prévu qui était de longer le Chéran de part et d’autre en aval du pont pour remonter jusqu’au chaos, situé sous le pont. Nous descendons donc tranquillement par une petite route et de larges chemins jusqu’au domaine du Leutet. Puis la déclivité s’accélère pour rejoindre la rivière. Nous prenons le sentier qui longe en rive droite le long de prairies. Ce sentier découverte est jalonné de panneaux informatifs sur la géologie, la faune et la flore. Plus loin, la vision se resserre, le sentier franchit une zone plus tourmentée. Les dernières difficultés se passent tranquillement sans stress et nous retrouvons un beau chemin en forêt. Au bout d’une ultime clairière, le sentier remonte sur la route mais nous poursuivons en aller/retour jusqu’au chaos. Belle zone un peu sauvage à la sortie des gorges, dominée par le pont 100m plus haut où la rivière se faufile entre d’énormes blocs. Remontée et retour aux voitures garées à proximité que nous reprenons pour rejoindre l’autre côté du pont où, tout en observant le décor environnant, nous prendrons notre dernier pique-nique. Passés de l’autre côté, nouveau décor : nous sommes au bord de ce pont métallique suspendu construit en 1887. Le spectacle est unique sur les gorges et offre une vue saisissante sur le Chéran. Maintenant la vue sur les Tours Saint Jacques que nous avons pu apercevoir en venant est remarquable grâce à une luminosité parfaite à cette heure-ci. Ces 3 monolithes qui se sont détachés de la falaise et continuent de glisser de 2 à 3 cm par an se dressent sur le versant méridional du Semnoz, tels des tours de défense.
Voilà, ce seront les dernières images de ce séjour riche en diversité, originalité et surprises.  Je garde de ce séjour l’image d’un groupe sympathique, motivé, volontaire et qui a su relever avec brio tous les défis. Merci à tous pour y avoir contribué. Merci également à Didier, Luc et Patrick pour l’entraide généreuse et spontanée dans les passages délicats.

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