Animatrice : Mady
Nombre de participants : 6 animatrice comprise (4F, 2H)
Météo : couvert le matin et dans l’après midi mais une éclaircie avec quelques rayons de soleil en fin de matinée.
Distance : 23km (montre GPS)
Dénivelé : 700 m
Durée : 7h pauses comprises
Classement Atlas : facile 
Kilométrage auto : 15 kms pour 1 voiture de Clermont Fd, 3 voitures directement au point de départ

ITINERAIRE : Pérignat les Sarlièves (rue d’Aubière), direction NO, au PC 406 direction SO, GR 300, PC 509, Sud Est de Romagnat, chemin du Puy Blanc pour gagner l’est du plateau de Gergovie, descente côté est pour rejoindre le village de Merdogne plus connu maintenant sous le nom de Gergovie, ravin de Macon, La Roche Blanche, traversée de la D 52 puis de l’Auzon PC 424, PC 472, direction nord puis est pour rejoindre le GR 300, rapidement quitté en direction ouest pour s’éloigner du bruit, traversée D 120, PC 401 reprise GR300 puis direction Nord nord Est pour retour à Pérignat.

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Les pluies de ces derniers jours se sont rappelées à notre bon souvenir avec quelques chemins détrempés et plutôt glissants. Mais les dérapages ont été bien contrôlés ! Malgré le choix d’un terrain de proximité, des découvertes ou redécouvertes : le ravin de Macon, les grottes de la Roche Blanche. Et puis pour accueillir Marie Thé selon les bonnes traditions atlassiennes, un chemin transformé un torrent et envahi de ronces que nous avons malgré tout essayé d’emprunter. Heureusement, Alain et Yves qui avaient renoncé plus vite, ont pu nous aider à gagner un terrain plus accueillant. Au final, une belle journée de randonnée malgré le petit nombre de participants. Merci à eux .

Gergovie : nom attribué au village de Merdogne par Napoléon III (décret du 11 janvier 1865), à la suite de sa visite sur l’oppidum en1862, à la demande de ses habitants.

Grottes de la Roche Blanche :Le creusement des grottes et leur aménagement pourraient être en relation avec lestroubles liés à la guerre de Cent Ans. Plusieurs textes indiquent qu’à la fin du XVIII° siècle, des grottes sont encore habitées par des pauvres qui s’entassent dans des « tanières » sans fenêtre ni cheminée. Un rapport des Ponts et Chaussées daté de 1827 signale que quelques grottes accessibles par des sentiers extrêmement raides, et même par des échelles, sont encore habitées tandis que d’autres servent de colombiers.

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